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La semaine dernière nous apprenions que plusieurs utilisateurs se plaignaient de problèmes de batterie après avoir migré vers Windows 7. Le fil de discussion, créé sur les forums de Technet au mois de juin, reçu une réponse officielle de Microsoft quelque huit mois plus tard. La firme annonçait avoir ouvert une enquête avec ses distributeurs partenaires.

Parmi les problèmes soulevés, certains expliquaient recevoir régulièrement des messages d'avertissement les invitant à remplacer la batterie. D'autres ont vu l'autonomie de leur machine passer de plusieurs heures à quelques dizaines de minutes. Ces problèmes auraient été rencontrés sur différents types d'ordinateurs portables : du modèle classique au netbook et quelqu'en soit le fabricant. Si Windows 7 semble être le dénominateur commun à tous ces problèmes, Microsoft annonce sur l'un de ses blogs officiels, qu'il ne s'agit en aucun cas d'une erreur de fonctionnement du système. "Il n'y a pas d'erreur lorsque Windows 7 présente un avertissement pour une batterie défectueuse, par ailleurs le système retourne correctement l'état d'utilisation de la batterie et ne peut aucunement être tenu responsable pour la dégradation de cette dernière", explique ainsi l'équipe.

Microsoft précise que contrairement à Windows XP ou Vista, Windows 7 embarque un nouveau système capable d'analyser les données du firmware de la batterie afin d'établir un diagnostic. En expliquant qu'au fil des mois une batterie classique perd de son autonomie, la firme ajoute que le message d'avertissement se présenterait à l'écran lorsque la batterie ne fonctionnera qu'à 40% de ses capacités originales. "Une batterie affichant un cycle de 5 heures ne dure alors que 2 heures", est-il ainsi expliqué. Reste à savoir si cette réponse officielle satisfera les utilisateurs concernés.
Numericable répond aujourd'hui au souhait d'offre sociale d'accès à Internet de François Fillon en annonçant avoir soumis pour homologation une offre double play sociale à 10 euros par mois.

Pour ce tarif bien inférieur aux 20 euros mensuels préconisés par le premier ministre, les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), de l'allocation de solidarité spécifique ou de l'allocation aux adultes handicapés obtiennent l'accès à Internet illimité à 2 Mbits/s et le téléphone illimité vers la France métropolitaine et le Pôle Emploi (théoriquement facturé).

À condition toutefois que leur logement soit l'un des 4 millions raccordés au réseau Numericable, et que le gestionnaire d'immeuble ait souscrit à l'offre collective service unique numérique (SUN), qui leur donnait déjà droit à un accès internet à 2 Mbits/s, à une ligne téléphonique entrante et aux chaînes nationales et locales de la TNT (y compris aux chaines haute définition), ainsi qu'aux chaines étrangères dans les zones limitrophes.

Ce qui n'en fait pas pour autant une offre triple play, contrairement à ce que Numericable continue de prétendre, puisque l'offre sociale n'ajoute en fait que la téléphonie illimitée à l'offre SUN dont ils profitaient déjà, puisque c'est un prérequis. De là à parler d'offre mono play…

Un maximum de 250 000 personnes peuvent aujourd'hui profiter de cette offre sociale à 10 euros par mois puisque c'est le nombre de foyers qui bénéficient du contrat SUN de Numericable.
Au travers d'une étude menée au mois de janvier par le cabinet Cross Tabs pour Microsoft, il apparaît qu'en France, dans 48% des cas, les informations des candidats à un poste sur Internet seraient régulièrement consultées voire parfois déterminantes dans le choix d'un recrutement. Alors qu'aux Etats-Unis, 86% des employeurs avouent qu'une bonne réputation sur Internet peut se révéler être un atout dans le processus de recrutement, ce taux serait de 71% en Allemagne et 65% au Royaume-Uni.

Parmi les informations consultées, nous retrouvons les sites de petites annonces, les réseaux communautaires, les sites de partage de photos et vidéos ou encore les forums et communautés d'utilisateurs. Pour 79% des candidats interrogés, cette réputation sur Internet pourrait facilement être contrôlée. Par ailleurs, 53% des participants dissocieraient leur réseau personnel de leur profil professionnel. Plutôt que d'être scrutés par de potentiels employeurs, les internautes se méfieraient principalement des vols d'identité (56%) et des scams (55%).

Notons par ailleurs, que l'importance de ces informations périphériques au curriculum vitae serait proportionnelle à l'âge du candidat. Plus précisément, les informations d'un internaute âgé de plus de 50 ans seraient considérées comme obsolètes et donc pas forcément représentatives de la personne en question. Bien entendu, il en est tout autrement pour un candidat entre 18 et 24 ans. Une photo compromettant publiée sur Facebook pourrait-il donc vous coûter votre poste de travail ? Le discours risque de changer d'un pays à l'autre. Alors qu'en France 10% des personnes interrogées estiment que ce cliché pourrait ruiner leur entretien d'embauche, 14% des recruteurs participant à cette étude expliquent avoir refusé une candidature après avoir découvert une telle information. L'écart est encore plus impressionnant aux Etats-Unis, puisque 70% des départements RH n'auraient pas donné suite à une lettre de candidature après avoir passé en revue les profils communautaires des candidats sur Internet.

Retrouvez l'intégralité de cette étude en anglais ici.
En dépit d'une audience colossale, Google n'avait jusqu'ici pas su embarquer dans le train des réseaux sociaux misant sur le "temps réel" dont les chantres s'appellent Facebook, Friendfeed (récemment racheté par le précédent) ou Twitter. Mardi soir, le numéro un mondial des moteurs de recherche a révélé sa première initiative d'envergure en la matière : Google Buzz, un service greffé à la messagerie Gmail qui propose à l'utilisateur d'agréger ses contacts pour suivre, au fil de l'eau, leurs pérégrinations en ligne.

Des statuts, comme chez Microsoft ou chez Yahoo, que l'on pourra commenter d'un "J'aime" comme sur Facebook et relayer à ses propres contacts comme sur Twitter, mais aussi des liens, des photos ou des informations de géolocalisation postées depuis son mobile, comme sur Foursquare ou OpenPlayce. Le tout se fait sans configuration, directement à partir de son compte Gmail, avec récupération automatique des contacts et possibilités de réglages entre informations devant être cantonnées au réseau des proches et données publiées aux quatre vents sur le Web.

Pour Google, Buzz va plus loin que les services suscités. Surtout, il en comblerait les principales lacunes, en permettant notamment à l'utilisateur de s'y retrouver naturellement, ou presque, au sein des flux de données émis par ses contacts. Buzz propose ainsi une construction "automatique" du réseau, en proposant automatiquement à votre profil les comptes d'internautes avec lesquels vous interagissez régulièrement ou qui ont été cités plusieurs fois par vos propres contacts. Chaque suggestion peut être refusée, les avis de l'utilisateur venant alors nourrir l'algorithme de sélection de façon à en affiner les choix.

Rafraichie de façon automatique, l'interface est en mesure d'intégrer des vidéos, des photos ou des publications émanant de services tiers : YouTube et Picasa bien sûr, mais aussi des concurrents tels que Twitter ou Flickr. Galeries de photo et vidéos sont lues directement depuis Buzz, sans qu'il soit nécessaire de quitter le flux d'information. Ceux qui le souhaitent pourront enfin joindre à leurs publications leurs coordonnées géographiques, qui apparaitront alors sous la forme d'une petite carte Google Maps. L'internaute pourra de ce fait partir à la recherche, parmi les statuts "publics", des messages qui ont été postés dans son entourage proche.

Google Buzz sera déployé dans les jours à venir au sein des comptes Gmail, où un nouvel onglet signalera l'activation du service. En parallèle, il est accessible depuis les téléphones mobiles, Android et iPhone dans un premier temps, puis Symbian, Blackberry et Windows Mobile, sous la forme d'une application Web à lancer depuis son navigateur.

« Aujourd'hui, la communication en ligne a dépassé l'email et le chat - les gens partagent des photos avec leurs amis ou leur famille, commentent ce qui se passe autour d'eux, et expliquent au monde ce qu'ils sont en train de faire en temps réel. Ce nouveau partage social offre une véritable valeur, mais il signifie aussi qu'il y a beaucoup plus de matière à trier, et il est de plus en plus difficile de franchir les mises à jour et d'engager des conversations significatives », explique Edward Ho, responsable technique du projet Google Buzz.

Sous une appellation galvaudée, "Buzz", Google remet peut-être en avant son grand propos : « organiser l'information mondiale », en s'attaquant au temps réel. Un concept qu'il touche du bout du doigt depuis des mois, en indexant par exemple les messages Twitter en temps réel ou en proposant, début 2010, l'affichage de résultats de recherche ayant suscité l'intérêt de vos proches, mais sur lequel il n'a pas encore réussi à s'imposer.

A ce titre, Google Buzz a sans doute une carte à jouer. Bien qu'elles ne soient pas encore exploitées, de nombreuses interfaces de programmation sont d'ores et déjà disponibles pour alimenter Buzz à partir de sources tierces de contenus. A ce jeu, Google a pris le parti de ne se fermer aucune porte, en promettant dès le lancement une compatibilité avec tous les formats qui se sont imposés comme des standards de fait sur Internet, du RSS à l'Atom en passant par l'OAuth, de façon à autoriser des interactions plus complexes que la simple agrégation de flux. En revanche, Buzz ne permet pas pour l'instant l'export des données publiées en son sein sur un service concurrent, mais la fonctionnalité serait à l'étude.

Pensé plus comme une plateforme que comme un service indépendant, Buzz pourrait ne pas connaitre un succès immédiat : internautes réticents à l'idée de confier, encore, leurs informations personnelles à Google, ou imbrications trop nombreuses pour que le service puisse être appréhendé rapidement par le plus grand nombre. Comme Wave, service aujourd'hui peu usité en dépit d'une promesse digne d'intérêt, il devrait toutefois servir largement les intérêts de Google, lui permettant d'apprendre à toujours mieux jongler avec les milliards d'informations que produisent aujourd'hui les internautes dans leurs interactions "sociales" en ligne.Màj : Pendant ce temps, chez la concurrence, on rappelle non sans un brin d'ironie l'existence d'un service nommé Yahoo Buzz, lancé il y a deux ans.
le 09/02/2010 à 21:25
Déboguer avec FireBug et FirePHP
Le site SitePoint montre un aperçu d'utilisation des outils FireBug et FirePHP avec Firefox.

Ces outils sont destinés pour les développeurs car ils permettent de déboguer plus facilement votre code.

Pour utiliser ces outils, vous devez tout d'abord les installer et les activer. Ensuite vous n'avez plus qu'à suivre ce tutorial pour voir le résultat.

Par ailleurs, un article assez détaillé, sur ce sujet sera publié dans un prochain numéro du magazine PHP Solutions.

- Debug PHP with Firebug and FirePHP
Alors que l'Alsace est récemment passée en tout numérique, c'est toute la France qui devra passer à la TNT à la fin du mois de novembre 2011. La télévision analogique cessera alors d'émettre et les quelques personnes qui ne bénéficient pas de la couverture numérique devront alors se tourner vers la réception satellite.

Si cette question concerne assez peu de personnes, le CSA a tout de même pris soin de livrer sur son site une application basée sur Google Maps et qui permet de vérifier si votre logement est couvert par un signal TNT. Il suffit d'entrer votre adresse pour voir apparaître à la droite de la fenêtre une somme conséquente d'informations concernant l'émetteur le plus proche de chez vous ou la date de fin d'émission analogique prévue. En bas de page apparaît finalement la sentence, plutôt vague : "Vous devriez être couvert par la TNT".

Alors que le CSA se targue de proposer l'outil le plus précis édité jusqu'ici, basé sur des simulations numériques avancées, on peut s'étonner de cette incertitude qui ne sera pas pour simplifier la tâche des utilisateurs les moins initiés. L'utilisateur aura donc à charge de venir vérifier régulièrement les signaux qui lui sont disponibles, puisque le CSA promet de mettre à jour très régulièrement son outil.

Vous pouvez effectuez le test pour votre logement à l'adresse suivante : http://www.csa.fr/TV_numerique/television_couverture.php.
La justice italienne n'a accordé qu'à peine plus d'un mois de répit à The Pirate Bay. La cour de Bergame a de nouveau ordonné le filtrage du site de partage aux fournisseurs d'accès italiens, conformément à ce qu'une récente jurisprudence laissait présager.

Fin décembre 2009, la cour de cassation avait effectivement estimé que les sites incitant au téléchargement illicite de contenus protégés par le droit d'auteur menaient une activité criminelle, et qu'ils pouvaient par conséquent être bloqués en Italie, qu'ils y soient hébergés ou non, contrairement à ce que la cour d'appel avait estimé un peu plus tôt.

Contactés par un site spécialisé anglophone, les avocats de The Pirate Bay indiquent étudier la possibilité de faire appel ou non, mais le blocage ne sera quoi qu'il en soit pas retardé. Ils doutent par ailleurs de l'impact du verdict, tant il existe d'alternatives ou même de solutions pour contourner le filtrage.
Aux Etats-Unis, l'accès au site 4chan.org serait impossible depuis quelque 72 heures sur le réseau de Verizon Wireless. Selon Moot, le fondateur du site, il ne s'agirait pas d'un simple incident, mais d'un blocage en bonne et due forme, sur lequel l'opérateur américain ne s'est pas encore exprimé.

« Après enquête, nous avons déterminé que Verizon perd le trafic qui entre ou sort de boards.4chan.org, seulement sur le port 80. Aucun autre domaine, adresse IP ou port n'est affecté, ce qui nous conduit à penser qu'il s'agit d'un blocage volontaire », écrit dans un premier temps Moot sur un site satellite de 4chan. Quelques heures plus tard, il enfonce le clou : « après une heure et demi au téléphone, nous avons reçu confirmation de la part du bureau de la gestion du réseau chez Verizon que nous étions "délibérément bloqués" ».

Clone du site japonais Futaba, 4chan se présente comme un forum de discussions avec service d'hébergement de photos. La majeure partie des rubriques peut être qualifiée de « politiquement correct », tournant pour l'essentiel autour des cultures nippone et numérique. Aux côtés d'une très importante zone dédiée aux contenus pornographiques se nichent les pages les plus populaires du site : la section « Random », qu'il convient de ne pas visiter après un repas trop calorique. Bien que les contenus manifestement illégaux y soient modérés, elle réunit suffisamment d'images choquantes pour alerter le moins zélé des logiciels de contrôle parental, et vaut parfois à 4chan le surnom d'égout du Web.

Temple de l'humour potache et du (très) mauvais goût, 4chan constitue aussi une communauté puissante, qui s'est déjà illustrée à plusieurs reprises sur le Web. Point de départ de nombreux mèmes (si vous vous êtes déjà fait rickroller, sachez que l'idée est née sur 4chan), elle est aussi perçue par ses adeptes comme l'un des terreaux les plus fertiles qui soit à la contre-culture. Au passage, elle réunit aussi bon nombre d'adeptes de l'attaque par déni de service qui risqueraient fort de vouloir inculquer de force à Verizon le concept de neutralité du Net si ce dernier confirmait un blocage qui ne serait basé que sur la nature des contenus hébergés sur le site.
le 08/02/2010 à 21:23
Soirée GitHub
Pour clôturer l'évènement Symfony live 2010 qui se déroulera les 16 et 17 février prochains, organisé par Sensio Labs en partenariat avec l'AFUP (Association Française des Utilisateurs de PHP), une soirée spéciale est prévue.

Cette soirée de clôture est organisée par Sensio Labs et GitHub à Paris avec la présence de Scott Chacon de GitHub, sur le thème GIT, et est destinée à l'ensemble des développeurs de tous les horizons : PHP, Python, Perl, Ruby

Pour rappel, GIT est un logiciel de gestion de versions décentralisé.

- GitHub Meetup Paris, France - 17 Février 2010
le 08/02/2010 à 21:22
MEMQ
MEMQ est basé sur l'utilisation de Memcache et de PHP.

Cette nouvelle approche va vous permettre de mettre en place un système de file d'attente que vous pouvez utiliser dans vos applications.

Abhinav Singh propose dans son tutorial un aperçu d'une file d'attente, l'enregistrement des données. Vous verrez en même temps comment les déplacer facilement.

- MEMQ: Overview
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