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le 19/01/2010 à 23:32
Qrcode générator
La gestion de code barre est très utilisée dans différents secteurs activités touchant les prix, le suivi de colis, etc...

Vous pouvez générer ces codes barres sous différentes formes, par exemple avec la librairie GD (graphique).

Cependant, il existe une librairie PHP, appelé « libqrencode », permettant de générer facilement les codes barres et offre aussi d'autre possibilités.

Qrcode générator propose de faire différents types de codes barres associés à une autre action comme :
- Envoyer un SMS au numéro
- Envoyer un email
- Lecture de texte
- Associé un numéro de téléphone
- Un lien vers un site internet

Grâce à ces nouvelles possibilités, vous pouvez mettre un code barre dans vos nouveaux documents commerciaux qui feront plaisir aux personnes équipées de téléphones mobiles avec scanner.

- PHP QR Code Generator
Après des mois de spéculations diverses au sujet de l'arrivée d'une éventuelle tablette tactile chez Apple, la firme vient de confirmer qu'elle tiendrait un événement presse le 27 janvier prochain au Yerba Buena Center for the Arts Theater de San Francisco, à 10 heures du matin (19 heures en France). « Venez voir notre dernière création », indique le carton d'invitation coloré envoyé aux représentants de la presse.

Volontairement sibylline, la tournure employée par Apple ne permet guère pour l'instant de deviner la nature des annonces qui seront formulées, mais tous pensent bien sûr à la désormais fameuse « iSlate », un ordinateur tactile au format tablette qui pourrait, selon les rumeurs, adopter une taille de 10 ou 11 pouces et se voir dotée d'un système d'exploitation dérivé de celui qui équipe aujourd'hui l'iPhone et l'iPod Touch.

D'aucuns estiment toutefois que la firme dirigée par Steve Jobs pourrait profiter de cet événement pour annoncer la quatrième génération de terminaux iPhone, en forme de réponse à l'engouement médiatique suscité par le Nexus One lancé début janvier par Google. Du neuf serait également à attendre du côté des ordinateurs Mac. On évoque notamment le passage des MacBook Pro aux derniers processeurs Core i5 d'Intel, mais aussi l'hypothèse d'un nouvel iMac à écran tactile, suggérée notamment par le quotidien chinois Commercial Times.

En admettant qu'Apple confirme le 27 janvier le lancement d'une tablette tactile haut de gamme, vraisemblablement positionnée aux alentours des mille dollars, il faudra voir si la société saura réitérer sur ce nouveau segment de marché encore peu balisé le succès connu avec l'iPod, puis l'iPhone. Réponse mercredi prochain.
Le Premier ministre François Fillon a dévoilé son programme pour le déploiement du très haut débit dans l'Hexagone. Et pour accélérer le développement des offres de fibre optique, dans les grandes villes mais également et surtout dans les villes moyennement denses, c'est un fonds de 2 milliards d'euros, prévu dans le cadre du grand emprunt, qui sera mis en place.

Rattaché au Premier ministre et placé sous l'égide de Nathalie Kosciusko-Morizet, la secrétaire d'État chargée de l'économie numérique, ce fonds verra le jour en avril et permettra de piloter les appels à projets prévus fin mai. L'État sélectionnera les offres des opérateurs qui souhaitent déployer la fibre tout en assurant la "cohérence des initiatives privées et publiques".

Vers une offre de fibre optique pour tous les foyers français ?

Et pour encourager la mutualisation des infrastructures, comme cela a été récemment le cas via l'accord signé entre Orange et SFR en région parisienne (lire Orange et SFR veulent co-investir dans la fibre optique), l'État favorisera les projets dans lesquels les opérateurs choisiront de co-investir dans le déploiement de la fibre optique. Dans le même temps, l'Arcep, l'Autorité de régulation des télécoms, va lancer une consultation publique pour fixer le cadre réglementaire du déploiement du très haut débit, de l'utilisation des points de mutualisation aux modalités d'accès aux fourreaux de France Télécom.

Les résultats de cette consultation seront connus en novembre. Mais ce n'est qu'en mars 2011 pour les villes moyennement peuplées que l'État sélectionnera les premiers projets qui bénéficieront de ces prêts avantageux. "La contrepartie attendue des opérateurs c'est un engagement en termes d'étendue, d'exhaustivité et de rapidité du déploiement, ainsi que de co-investissement", a déclaré le Premier ministre. Dans les grandes villes, ce dernier a confirmé le modèle plébiscité par l'Arcep, à savoir le multifibre, permettant à chaque opérateur d'acheminer "sa" fibre jusqu'à chaque foyer. "Cette homologation, c'est le véritable top départ du déploiement de la fibre dans notre pays", a-t-il ajouté.

Internet à 20 euros par mois pour les foyers les plus modestes

A noter que François Fillon a également demandé à "tous les opérateurs qui le souhaitent" de se pencher d'ici six mois sur la mise en place d'un forfait "social" à Internet pour les foyers les plus modestes, et dont son prix avoisinerait 20 euros par mois. Car selon le Premier ministre, "Internet est devenu un outil essentiel au même titre que l'électricité. Y accéder à un tarif abordable et à haut débit est un impératif de justice sociale".

Maxime Lombardini, le DG d'Iliad, a lancé en décembre dernier une offre triple play - Internet, téléphonie fixe et télévision - via Alice à 19,99 euros par mois. Prévue pour concurrencer l'offre analogue de Numéricâble (dualplay) facturée 19,90 euros par mois, elle reste cependant selon ses dires peu populaire. "Il n'y a aucune offre pour ce produit de notre côté", annonçait-il il y a quelques jours (lire Le triple play à 20 E/mois peu populaire selon Iliad).
Peut-être certains d'entre vous se sont-ils essayé au système Linux Ubuntu après avoir visionné notre vidéo présentée par Didier Roche, secrétaire de l'association Ubuntu-fr.org. S'il est relativement facile de trouver et d'installer une nouvelle application au sein de la logithèque intégrée, certains regrettent tout de même l'absence de plusieurs logiciels phares.

Pour cette raison, Gerry Carr, directeur du département marketing de Canonical et les équipes de développement d'Ubuntu ont publié un sondage à destination des utilisateurs. Cette enquête devrait permettre de mieux déterminer les besoins et les attentes de la communauté. La question est relativement simple : quel logiciel souhaiteriez-vous voir porté sur Ubuntu ? Une dizaine de titres sont proposés parmi lesquels nous retrouvons Adobe Photoshop, Apple iTunes ou encore Spotify. Le participant peut également mentionner l'application de son choix.

Canonical précise qu'il ne s'agit pas de livrer ces logiciels directement avec le système mais de les rendre compatibles et plus accessibles aux utilisateurs. Pour participer à ce sondage rendez-vous ici.
Les responsables de l'attaque informatique dénoncée par Google début janvier auraient-ils bénéficié d'une aide interne à l'entreprise ? L'hypothèse serait étudiée très sérieusement, croit savoir l'agence Reuters, qui cite des sources proches du dossier. Certains médias locaux rapportent en outre que plusieurs employés de Google Chine se sont vus interdire l'accès au réseau interne de l'entreprise dès le 13 janvier, date à laquelle le numéro un mondial des moteurs de recherche a rendu publique l'existence de cette attaque.

« Nous avons donné à nos employés une journée de vacances le jour de l'annonce afin de mener des tests et des scans de manière interne pour s'assurer que le réseau est sûr », a nuancé Google dans un courrier électronique adressé à l'AFP, qui refuse de commenter plus avant l'hypothèse d'une complicité interne. Reste à savoir à quel niveau cette « aide » aurait pu intervenir.

D'après différents éditeurs en sécurité, l'attaque aurait été menée à l'aide d'une version modifiée du cheval de Troie Hydraq. Véhiculé par le biais d'emails infectés, le ver ne nécessite a priori aucune assistance humaine. Divers analystes, interrogés par Reuters, soutiennent que le caractère « sophistiqué » de l'attaque porterait plus sur l'identification des cibles à viser que sur les aspects techniques de la démarche.
En Italie, il faudra peut-être bientôt montrer patte blanche pour avoir le droit de publier des vidéos sur son site Web. Un projet de décret émis (PDF, italien) par le gouvernement de Silvio Berlusconi prévoit en effet que les sites Web qui diffusent des vidéos en ligne ne puissent le faire qu'après délivrance d'une autorisation par le ministère des Communications. Ils seraient ensuite soumis au contrôle de l'Agcom, l'équivalent italien du CSA français. Bien que les sites qui font de la vidéo leur fond de commerce, tels que YouTube ou Dailymotion, soient concernés au premier chef, le texte pourrait par extension venir contrôler la simple fait de publier des vidéos sur Internet. Une inadmissible violation de la liberté d'expression selon l'opposition.

Officiellement, l'objectif est de mieux encadrer les éditeurs et hébergeurs de sites, notamment pour lutter plus efficacement contre les atteintes au droit d'auteur. Dans ce cadre, le texte prévoit par exemple que les fournisseurs d'accès à Internet suppriment dès qu'ils leur sont signalés les contenus constituant une infraction au droit d'auteur, sous peine d'une amende de 150.000 euros.

« Le décret prévoit que la transmission d'images sur le Web soit soumise aux règles qui sont spécifiques à la télévision et requière une autorisation ministérielle préalable, une restriction incroyable à la façon dont le Web fonctionne aujourd'hui », a estimé Paolo Gentiloni, député de l'opposition, lors d'une conférence de presse organisée jeudi dernier pour sensibiliser l'opinion à la portée du projet. Nicolas D'Angelo, pourtant commissaire de l'autorité des communications, dénonce lui aussi le projet qui ferait, selon lui, de l'Italie « le seul pays occidental dans lequel une autorisation gouvernementale préalable est nécessaire avant d'utiliser ce genre de services ».

« Il y a bien un problème », reconnait Marco Pancini conseiller aux affaires publiques chez Google en Italie, interrogé par Bloomberg. « [Ce décret] essaie de soumettre les fournisseurs de services en ligne aux mêmes responsabilités que les réseaux de télévision, alors que YouTube ne fait que mettre à disposition sa plateforme », indique-t-il.

En Italie, le portail de vidéos de Google est en effet poursuivi par le premier des groupes TV locaux, qui lui réclame 500 millions d'euros de dommages et intérêts pour infractions répétées au droit d'auteur ; exemple que l'opposition se fait fort de rappeler, puisque le principal actionnaire de Mediaset n'est autre que Silvio Berlusconi, chef de l'état italien. S'agirait-il d'une tentative à peine dissimulée de couper l'herbe sous le pied aux diffuseurs susceptibles de venir concurrencer l'offre de Mediaset, à commencer par les Web TV ? Non selon Paolo Romani, secrétaire en charge des Communications, selon qui ce décret n'est qu'une transposition en droit national de la directive européenne 2007/65/CE.

Le projet, qui doit faire l'objet d'un vote non bloquant au Parlement italien, pourrait être promulgué dès le 27 janvier prochain, à moins que l'opposition ne tente de le faire retoquer au niveau du Conseil d'Etat.
L'utilisation de Spotify a récemment été interdite sur le réseau de l'université d'Oxford au Royaume-Uni, sous prétexte que le populaire logiciel de musique à la demande, concurrent de notre Deezer national, utilise une technologie peer-to-peer. Le règlement intérieur stipule effectivement que "l'utilisation de logiciel de partage peer-to-peer sur des ordinateurs connectés au réseau de l'université d'Oxford est interdite", indépendamment du caractère légal du logiciel.

Spotify repose sur un mode de fonctionnement hybride, en partie sur une architecture client-serveur, à l'instar d'autres plateformes de lecture en continu légales, en partie de pair-à-pair. Les derniers morceaux écoutés par un utilisateur sont temporairement conservés sur son ordinateur et partagés avec d'autres utilisateurs.

En répartissant la bande passante sur la Toile et en évitant ainsi la création de goulots d'étranglement, cette architecture permet d'accélérer le chargement des titres les plus populaires. C'est ce principe qui fait déjà la force du protocole BitTorrent, qui a d'ailleurs inspiré la conception de Spotify, puisque l'un des créateurs de µTorrent, client BitTorrent le plus utilisé au monde, a été débauché.

Le département informatique de l'université a argué que Spotify utilise une importante quantité de bande passante alors qu'il n'a pas de vocation éducative. "Cette bande passante qui parait insignifiante pour un seul utilisateur prend une toute autre ampleur rapportée aux milliers d'utilisateurs connectés au réseau de l'université. Elle ne justifie pas une mise à niveau du réseau, contrairement à un véritable besoin universitaire," a expliqué le département informatique à un quotidien local. "Le contribuable souhaite qu'on utilise ses impôts a bon escient," conclut-il.

Un étudiant en musique explique que Spotify est pourtant précieux pour ses recherches : "Je l'utilise constamment. C'est la collection de musique classique la plus complète." Cet étudiant et nombre de ses camarades risquent désormais de se procurer leur musique par d'autres moyens… Illégaux, qui sait ?
Le magazine Computerworld rapporte que les développeurs de la fondation Mozilla ont décidé de changer leur stratégie de développement pour le logiciel Firefox. Alors que la version 3.7 du navigateur était attendue pour le second trimestre 2010, celle-ci a été simplement rayée de la feuille de route. Mike Beltzner, directeur de développement, explique ainsi que Mozilla déploiera quelques mises à jour toutes les quatre à six semaines.

Après Firefox 3.6 qui est sur le point d'être disponible en version finale, la prochaine mouture - dont le nom na pas encore été arrêté - est attendue pour la fin de l'année, voire début 2011. "Nous avons appris énormément sur ce qui pouvait provoquer des ralentissements sur notre feuille de route", déclare ainsi M. Beltzner en expliquant que la nouvelle stratégie devrait les aider à mieux préparer l'avenir. En effet, Firefox 3.6, aujourd'hui disponible en version pré-finale (RC) aurait dû être publié au mois de novembre.

La première mise à jour qui sera distribuée devrait permettre d'allouer un processus à chaque plugin afin de séparer leur fonctionnement de celui du navigateur. A l'instar de Google Chrome, en cas de problème sur le lecteur Flash, par exemple, cela devrait éviter de faire planter tout le logiciel ; seul un onglet sera affecté.
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