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le 12/01/2010 à 23:18
PHP Solutions Janvier 2010
Le premier numéro de PHP solutions de l'année vient de paraître.

Vous trouverez les sujets suivants :
- Le Web service (partie 2)
- Testez votre projet
- L’intégration du .Net à PHP
- Rédiger et optimiser le contenu d’un site pour les moteurs de recherche
- Édition de documents OpenOffice ODF avec PHP
- Création de fichier de logs
- Votre boutique en ligne
- La puissance des démarches descriptives
- Envoyer des mails en PHP
- Symfony 1.3 : nouvelles fonctionnalités et envoi d’emails
- Manipuler les répertoires avec PHP
- BeEF Exploitation

Par ailleurs un CD ROM proposant un tutorial vidéo est disponible en français sur le thème PHP & PDO et le livre blanc « Industrialisation PHP » de Alter Way

- PHP Solutions Janvier 2010
le 11/01/2010 à 23:24
CrawlTrack 3.2.0
Le référencement, le nombre de pages indexées pour un site web sont des points très importants.

Ces points sont visibles au niveau des statistiques.

Cette nouvelle version apporte quelques nouvelles évolutions utiles par rapport aux différents moteurs de recherche comme :
- Le nombre de pages indexées par Google
- Le nombre de backlinks
- Le changement d'API pour les interrogations sur Yahoo
- Différentes corrections
- etc

- Communiqué CrawlTrack 3.2.0
Autrefois simple moteur de recherche qui aurait pu se faire avaler par Yahoo!, Google a su diversifier ses activités sur le web mais également dans le domaine des logiciels. Cet empire numérique n'est pas pour plaire à tout le monde, et outre les procès relatifs à Google Books ou Google News, la société est également accusée d'entretenir une politique relativement floue concernant les données personnelles des utilisateurs. Pour certains, l'avenir du web passe d'ailleurs par la fin de l'anonymat.

De la transparence d'une société...

Au cours d'un entretien recueilli la semaine dernière par le magazine Der Spiegel, la ministre de la justice allemande Sabine Leutheusser-Schnarrenberger a partagé ses craintes vis-à-vis de Google en expliquant qu'au fil des années la firme de Mountain View avait accumulé beaucoup trop de puissance. « Globalement, ce qui se passe ici, c'est la naissance d'un nouveau monopole comparable à Microsoft », explique la ministre avant d'ajouter : « je veux créer plus de transparence et m'assurer que les internautes savent où vont leurs données ». Pour Mme Leutheusser-Schnarrenberger Google doit changer immédiatement sa politique sans quoi elle n'hésitera pas à avoir recours à « des actions en justice ».

Interrogé par le magazine, Philipp Schindle, vice-président du département des ventes en Europe chez Google, explique : « nous ne vous espionnons pas, nous ne vendons pas vos données à des sociétés tierces. Nous ne sommes pas intéressés par vous en tant que personnes. Nous ne connaissons ni votre nom ni vos données personnelles, ni votre compte en banque (...) seul votre fournisseur d'accès à Internet possède votre vrai nom ».

Cependant ces positions ne garantissent pas pour autant la sécurité des informations personnelles. Le 7 décembre dernier, Eric Schmidt, le PDG de Google, rappelait que les moteurs de recherche retenaient des informations pendant un certain temps et que selon la loi en vigueur dans le pays, certaines données pouvaient être partagées avec les autorités.

... à celle de l'utilisateur

Lorsque l'on parle de transparence, il semblerait que les sociétés souhaitent plutôt recentrer la question sur les internautes eux-mêmes. C'est ainsi que Marissa Mayer, vice-présidente du département de la Recherche chez Google, expliquait au mois de juillet que le monde virtuel suivrait la même évolution que le monde physique. « Il y a très peu de choses que vous pouvez faire sous le couvert de l'anonymat dans le monde physique. Je pense qu'avec le temps, sur Internet, il y aura également de moins en moins d'anonymat, et je pense que c'est une bonne chose », déclare-t-elle en ajoutant qu'il s'agit aussi de responsabiliser les internautes.

Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, partage des positions similaires. Au mois de décembre, le réseau communautaire a changé sa politique en matière de vie privée. Si de nouveaux paramètres ont été ajoutés afin de régler plus finement les droits de lecture et d'écriture de ses contacts, le profil de quelque 350 millions d'internautes est soudainement devenu public par défaut. Interrogé ce weekend à ce sujet par le magazine Techcrunch, M. Zuckerberg explique qu'il s'agit-là de « la nouvelle norme sociale ». Il ajoute que ces 5 ou 6 dernières années, les internautes ont pris l'habitude de partager des informations personnelles via les blogs ou les réseaux sociaux. « Les gens sont devenus plus enclins non seulement à publier des informations de différentes natures, ils le font également de manière encore plus ouverte et avec plus de personnes. La norme sociale a évolué avec le temps ».
Les clients de l'opérateur Internet SFR ont eu la désagréable surprise de constater ce week-end que certains des emails reçus via leur adresse "@sfr.fr" ou "@neuf.fr" ont été filtrés. Le contenu même des messages a en effet été remplacé, par erreur, par une alerte indiquant que le courriel comportait un virus.

Car il s'agissait bien d'un problème touchant l'antivirus installé dans les serveurs de messagerie de SFR, mal configurés et croyant que bon nombre des emails reçus étaient touchés par un virus nommé "Exploit.PDF-9669". "Votre option Anti-virus Mail a détecté un virus dans l'un des messages qui vous était destiné. Le message ci-dessous contenait un ou plusieurs fichiers infecté(s) par le virus suivant : Exploit.PDF-9669", indiquait alors SFR dans les emails reçus par ses abonnés.

Le problème a rapidement été détecté dans la matinée de samedi et corrigé quelques heures plus tard. Reste à savoir si SFR possède une copie de sauvegarde des emails effacés par erreur ou si ces derniers sont définitivement perdus.
Qu'il s'agisse de ses emails, de son carnet d'adresses, de ses photos ou de ses documents, chacun utilise ses services web préférés. Cependant, l'internaute est-il pour autant assurer de pouvoir migrer ses données vers un service tiers en cas de problème ?

Telle est la question posée par Vint Cerf, co-fondateur du protocole TCP/IP et Chief Internet Evangelist chez Google. Lors d'une conférence au Churchill Club à San José en Californie, il explique ainsi qu'Amazon, Google ou IBM n'ont pas su définir une forme d'interopérabilité en ce qui concerne la portabilité des données. "Il n'existe pas de standard de migration d'un serveur à l'autre", affirme-t-il, avant d'ajouter : "la situation actuelle du web s'apparente à celle de 1973 lorsque les réseaux d'ordinateurs ne pouvaient pas communiquer entre eux".

Si Google est l'une des rares firmes à mettre à disposition un site précisément dédié à la migration des données, les sociétés devront tôt ou tard trouver un standard. Plutôt que d'enfermer l'internaute dans une solution propriétaire, cette initiative permettrait par ailleurs de redynamiser le marché.
Alors que des rumeurs insistantes indiquent qu'Apple pourrait dévoiler dès la fin du mois sa première tablette tactile, à mi chemin entre un ordinateur portable et un lecteur de livres électroniques, c'est Stéphane Richard, le directeur général délégué de France Télécom, qui a donné ce matin sur Europe 1 plus d'informations à sujet.

Au micro de Jean-Pierre Elkabbach, le numéro 2 d'Orange indique en effet qu'elle sera "bien sûr" commercialisée auprès de ses clients. "Ils en bénéficieront d'autant plus facilement qu'avec la webcam, on pourra en effet se transmettre de l'image en temps réel. On va moderniser en quelque sorte ce visiophone qu'on a connu il y a quelques années. Là aussi, la taille et la qualité du réseau que nous avons mis en place au service des Français permettra à ces nouveaux usages de se développer partout".

Résultat : après avoir commercialisé en exclusivité l'iPhone d'Apple, Orange pourrait lancer en avant-première cette tablette tactile qui devrait donc être dotée à la fois d'une webcam et d'une connexion haut-débit mobile. SFR compte pour sa part sur une nouvelle gamme de smartphones pour recruter de nouveaux clients, ayant annoncé la commercialisation prochaine des Palm Pre et Pixi sous Web OS, ainsi que du smartphone Android "Nexus One" de Google. Reste à savoir laquelle des deux stratégies sera la plus payante.
Après SFR qui propose en option son boitier "Home 3G" en France, c'est Free qui devrait prochainement permettre à ses clients de bénéficier de la technologie "femtocell" qui consiste à intégrer sur ses box une mini antenne 3G pour améliorer sa couverture mobile en intérieur.

A l'occasion d'un passage dans l'émission Masse Critique diffusée (lien RAM) sur France Culture et relayée par Universfreebox, Maxime Lombardini, le DG d'Iliad - propriétaire du FAI Free -, s'est en effet exprimé sur le sujet.

Il s'avère que la prochaine Freebox ne devrait pas intégrer en standard une telle technologie, l'opérateur n'allant la proposer qu'en option. "On ne va pas les [NDLR : les femtocell] mettre d'autorité dans les Freebox. On les proposera à ceux qui le souhaitent", a-t-il indiqué. Concernant l'intérêt des femtocell, Maxime Lombardini indique qu'elles permettent de disposer d' "une meilleure couverture chez soi et d'écouler du trafic, notamment Internet".

Reste à savoir si tout comme SFR, Free proposera un boitier supplémentaire (facturé 200 euros pour le Home 3G) pour utiliser une telle technologie ou si l'opérateur l'intègrera sur ses prochaines Freebox mais ne l'activera que sur demande. A noter enfin que le DG d'Iliad indique ne pas croire aux offres "quadruple play" intégrant Internet, téléphonie fixe et mobile, et télévision. "Cela ne nous apparait pas comme une demande forte" de nos clients. Pour l'heure, seul Bouygues Telecom, avec ses forfaits Ideo, propose une telle offre.
Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture et de la Communication, a installé vendredi dernier le collège de la Hadopi, acronyme de Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet. "La fameuse Hadopi a enfin un visage", annonçait-il alors.

Elle sera présidée par Marie-Françoise Marais, conseiller à la Cour de cassation, vice-présidente du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique, et juriste spécialisée en propriété intellectuelle. Cette dernière aura donc la charge de mettre en place la "riposte graduée". Dans un premier temps, des courriers électroniques d'avertissement seront envoyés aux internautes incriminés, puis une lettre recommandée, et dans le cas d'une nouvelle récidive constatée, l'accès à Internet sera coupé. Dans ce dernier cas, un juge devra être saisi pour ordonner la coupure de l'accès à Internet.

Selon Frédéric Mitterrand, l'envoi premiers courriers électroniques d'avertissement ne se fera qu' "entre avril selon l'option basse et juillet selon l'option haute". D'ici là, les décrets d'application nécessaires à la mise en oeuvre effective de la loi devront être publiés, en accord avec la CNIL (lire Hadopi : la Cnil retarde l'application de la loi). Reste encore plusieurs inconnues comme le financement de la Haute autorité et les moyens techniques nécessaires à son application.
L'Hadopi a présenté son logo à l'occasion de son lancement officiel vendredi dernier. Bémol, la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet aurait justement violé des droits en utilisant sans autorisation une typographie, nommée Bienvenue. C'est son concepteur lui-même, Jean-Baptiste Levée, qui a découvert le pot au rose et révélé l'affaire sur Twitter. Il y explique que l'usage de cette typographie exclusive est réservé à France Télécom et à ses filiales, et qu'elle ne peut être utilisée par un tiers. L'erreur de manipulation à gauche, la variante rectifiée à droite.

Face au tollé qu'a provoqué cette affaire, l'agence de graphisme en charge du logo, Plan Créatif, a reconnu "une erreur de manipulation", et immédiatement publié une variante rectifiée. D'après un porte-parole de l'agence, c'est "une esquisse de logotype qui avait été écartée lors des phases traditionnelles de vérification de similitude (qui) a été malencontreusement présentée comme solution graphique définitive". Reste que la marque a été déposée avec la version illicite du logo.
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