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Six majors du disque sont accusées d'entente illicite sur les prix de la musique en ligne, en violation de la réglementation antitrust américaine. C'est une cour d'appel fédérale de Manhattan (New York) qui a relancé une procédure, classée sans suite en octobre 2008, à l'encontre notamment d'EMI, d'Universal, de Sony BMG et de Warner.

Plusieurs plaintes avaient été déposées à l'encontre de ces majors, réunies en deux joint ventures qui détenaient alors 80% du marché de la musique en ligne, les accusant d'avoir conclu un accord fixant le prix minimum d'un morceau de musique à 0,70 dollar.

Malgré la similitude flagrante des offres des boutiques de musique en ligne, le juge avait estimé que les arguments des plaignants n'étaient pas recevables. De là à penser que les majors avaient également conclu un accord tacite avec le juge…

La cour d'appel envisage cette fois de donner plus de poids à la procédure en regroupant ces plaintes, déposées dans plusieurs états américains entre 2005 et 2006, en un recours collectif. Verdict prochainement.
le 15/01/2010 à 21:38
Analyse du type de flux pour PHP
Les flux de données permettent d'effectuer de nombreuses choses en PHP, comme des analyses, l'affichage d'informations.

Etienne Kneuss propose une mise en forme des informations obtenues. Bien sûr, elle est propre à son cas, mais cela peut servir de base pour la vôtre.

- Dataflow Type Analysis for PHP
- Details techniques de l analyse
- Présentation de l analyse
le 15/01/2010 à 21:38
Jquery 1.4
L'équipe de jQuery vient de publier la nouvelle version de sa bibliothèque du même nom.

Jquery est une des bibliothèques Javascript très populaires et surment une des plus utilisées. Cette nouvelle version sort en temps que son anniversaire, il y a 4 ans.

Cette nouvelle version apporte de nombreuses fonctionnalités, comme :

- Amélioration des performances
- De nouvelles fonctions pour manipuler les objets
- Evolution de la partie Ajax
- Amélioration de la communication Json
- Animation en Leasing
- etc

Avec cette nouvelle version, les nombreuses applications PHP qui utilisent jQuery dont évoluer très rapidement...

- Nouveautés de Jquery 1.4
Alors que l'État vient à peine d'installer le collège de l'Hadopi, il apparait que ce n'est pas le gouvernement qui a revendiqué en premier la paternité de ce terme, acronyme de Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet.

Un internaute au nom de Renaud Veeckman a en effet déposé auprès de l'INPI (Institut national pour la propriété industrielle) la marque "Hadopi", six mois avant que le gouvernement n'en fasse de même, comme le précise l'AFP. Profitant de l'agitation autour de cette loi controversée, cet internaute voulait lancer son propre kiosque de téléchargement de musiques en exploitant cette marque "au second degré", comme l'indique Renaud Veeckman.

Selon le site Internet de l'INPI, deux demandes de dépôt de la marque "Hadopi" ont donc été faites, aucune n'ayant pour l'heure été validée. D'autant plus que le gouvernement devra sans doute revoir sa copie au moment de l'enregistrement de cette marque. Car le logo déposé exploite toujours, sans autorisation, une police de caractères réservée à France Télécom. Un sujet qui avait déjà fait polémique (lire L'Hadopi pirate un logo : une "erreur de manipulation").

Selon l'AFP, le dépôt de la marque par cet internaute a "très peu de chances d'aboutir parce que sa demande ne correspondrait pas aux critères requis". L'État ne devrait donc pas avoir de mal à prouver l'antériorité de l'utilisation du terme "Hadopi", employé depuis de nombreux mois lors de différentes allocutions publiques.

Et ce, en vertu de l'article L712-6 du code de la propriété intellectuelle qui rappelle que "si un enregistrement a été demandé soit en fraude des droits d'un tiers, soit en violation d'une obligation légale ou conventionnelle, la personne qui estime avoir un droit sur la marque peut revendiquer sa propriété en justice". L'internaute en question a donc effectivement peu de chance d'avoir le droit de déposer cette marque. "La fameuse Hadopi a enfin un visage", annonçait la semaine dernière Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture et de la Communication; Il ne lui manque plus qu'un nom (déposé).
Xavier Niel, le fondateur et actionnaire principal d'Iliad - maison mère de Free -, continue d'investir dans les jeunes pousses qu'il juge innovantes.

Après avoir déjà participé à différents tours de table pour aider au financement de sites média comme Mediapart, Vendredi et Bakchich.info, du service de consultation de musiques en ligne Deezer ou d'une plateforme de partage de vidéos (Vpod.tv), le patron de Free fait désormais cap vers l'international.

Selon La Tribune, Xavier Niel aurait en effet investi 25 000 dollars dans "Square", une société américaine dirigée par Jack Dorsey, le co-fondateur du réseau social Twitter. "Square" développe une solution permettant d'ajouter sur la prise casque d'un téléphone mobile ou d'un smartphone un module pour transformer l'appareil en un terminal de paiement par carte bancaire. Le tout de manière sécurisée et avec une possibilité d'effectuer des micro-paiements (jusqu'à 60 dollars) en quelques secondes.

A noter que Xavier Niel est membre du conseil d'administration de nombreuses sociétés dont Ateme (technologie de compression vidéo). En association avec plusieurs autres investisseurs, Xavier Niel s'est également offert en fin d'année dernière le catalogue des oeuvres de Claude François.
Tous les regards sont tournés vers le gouvernement chinois depuis la menace de Google de se retirer de Chine suite à des "attaques très sophistiquées et très ciblées" sur ses serveurs en fin d'année dernière, ainsi que sur ceux d'autres sociétés d'envergure internationale.

Le géant de la recherche sur Internet a même décidé d'arrêter de censurer les résultats affichés par son moteur contrairement aux demandes du gouvernement chinois, acceptées encore aujourd'hui par le leader local, Baidu.cn. Si la presse du monde entier a rapidement fait l'écho de ces menaces, la plupart des portails chinois n'a pas ou peu relayé l'information et a omis de faire référence à certains termes comme la "liberté d'expression" ou la "surveillance" des réseaux comme le note le New York Times.

Et cette actualité prend désormais une tournure politique, la secrétaire d'État Hillary Clinton, un poste équivalent américain du ministre des Affaires étrangères, s'estimant "sérieusement préoccupée" par les attaques sur les serveurs de Google et attendant des "explications du gouvernement chinois". Dans un communiqué de presse, un porte-parole du gouvernement chinois a appelé les entreprises à collaborer pour un contrôle public d'Internet. Mettant en garde contre la pornographie, les fausses informations, les cyber-attaques et les rumeurs, le gouvernement estime que les médias en ligne ont une responsabilité en matière de "formation" de l'opinion publique.

Concernant les attaques répétées sur les serveurs de Google, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères affirme que la Chine a elle-même été victime de cyber-attaques. C'est également le cas de Baidu qui a été indisponible pendant plusieurs heures mardi dernier à la suite d'une attaque qui proviendrait de la "Cyber-armée iranienne" et qui aurait pour but de défendre le gouvernement iranien.

A noter que selon les analystes, Google pourrait profiter de ce bras de fer engagé avec le gouvernement chinois pour préparer son départ sans perdre la face. Car la Chine est en effet l'un des rares pays au monde où Google n'est pas le leader des moteurs de recherche, avec "seulement" 30% de parts de marché, contre près du double pour Baidu. Google emploie 700 salariés en Chine pour un chiffre d'affaires situé entre 220 et 600 millions de dollars par an. Un chiffre à comparer avec ses 22 milliards de dollars de chiffre d'affaires au global. La Chine compte 360 millions d'internautes.
Sur son blog officiel, l'équipe du réseau communautaire Facebook annonce un contrat d'un an avec la société McAfee. Cette initiative devrait permettre aux 350 millions d'utilisateurs du site de télécharger et d'utiliser sur une période de six mois les produits de la suite Internet Security.

Les deux parties ont également collaboré sur le développement de certains outils. "Nous avons formé des équipes et des systèmes techniques avancés capables de détecter et de bloquer toute activité suspecte. Lorsque nous trouvons un message contenant un lien qui pointe vers un faux champ de connexion ou un site malicieux, nous empêchons son envoi et effaçons toutes ses occurrences sur le réseau", explique ainsi Jake Brill, de l'équipe de Facebook.

Pour McAfee il s'agit surtout d'une initiative promotionnelle. En effet, sa page dédiée sur le site de Facebook propose plusieurs fonctionnalités communautaires permettant d'inviter ses contacts à télécharger les outils de protection. Au bout de cette période d'essai, les utilisateurs de Facebook bénéficieront d'une remise promotionnelle pour l'achat de la suite de sécurité.

Rappelons que depuis l'année dernière, le réseau est devenu l'une des cibles principales pour des malware tels que KoobFace, un ver qui se propage via la messagerie du site. Pour de plus amples informations rendez-vous ici.
Évadé de prison depuis le mois de septembre, Craig "Lazie" Lynch a finalement été repris par la police britannique mercredi qu'il narguait sur Facebook. Le fugitif de 28 ans, condamné à 7 ans de prison pour vol aggravé, s'était fait connaitre du monde entier en racontant son quotidien sur son profil du plus grand réseau social mondial, que plusieurs milliers d'internautes suivaient.

Un porte-parole de Scotland Yard a confirmé son arrestation sans toutefois préciser si ses statuts avaient facilité son arrestation, ni si l'administration Facebook avait joué un rôle ni même si sa soudaine notoriété avait permis à des individus de l'identifier. La police britannique s'était félicité plus tôt qu'il s'affiche publiquement spontanément, ce qui devait lui faciliter la tâche de façon inespérée.

Reste à savoir s'il continuera à raconter son quotidien, une fois de retour en prison…
C'est au mois de juillet 2008 que Google a rajouté la possibilité d'activer la connexion HTTPS de manière permanente sur son service Gmail. Cette mesure de sécurité permet d'encoder le cookie, contenant votre nom d'utilisateur et votre mot de passe, qui est envoyé aux serveurs de Google lorsque vous surfez sur votre compte Gmail. Une connexion de type HTTPS se révèle alors indispensable si l'on souhaite éviter de mauvaises surprises dans le cas où un pirate tenterait une attaque de type "Man in the Middle" à l'aide d'un sniffer analysant les données transmises entre votre ordinateur et Internet.

Au mois de juin dernier, l'équipe du département de sécurité chez Google annonçait avoir reçu une lettre invitant la société à renforcer les mesures de sécurité sur ses applications web. Après réflexion les ingénieurs expliquaient que Google était prêt à investir dans le déploiement général de cette option mais ajoutaient :" nous voulons mieux connaître son impact sur l'expérience des utilisateurs, analyser les données et s'assurer qu'il n'y a pas d'effets négatifs".

Google a récemment annoncé que ce mode de connexion HTTPS allait être activé par défaut sur l'ensemble des comptes Gmail, une initiative que l'on ne peut s'empêcher de relier à l'affaire impliquant des attaques provenant de Chine. En effet, la firme expliquait mercredi avoir " détecté une attaque très sophistiquée et très ciblée contre (son) infrastructure d'entreprise venant de Chine". Google ajoutait que des dizaines de comptes Gmail appartenant à des défenseurs des droits de l'homme en Chine basés dans l'Empire du Milieu, aux Etats-Unis ou en Europe, avaient été régulièrement consultés par des tiers suite à des vols de mots de passe.

Notez que l'utilisateur pourra, s'il le souhaite désactiver ce mode de connexion. Par ailleurs, il est possible que plusieurs problèmes surviennent suite à ce changement notamment en ce qui concerne la vitesse de chargement d'une page ou la gestion du mode déconnecté.
Nintendo et Netflix ont annoncé mercredi un partenariat qui vise à proposer aux consommateurs américains un service de vidéo à la demande sur la console de salon Nintendo Wii. Les utilisateurs munis d'une Wii connectée à Internet en haut débit et d'un forfait Netflix pourront ainsi regarder des films et des séries en streaming à partir du printemps, sans supplément de coût.

Un disque au fonctionnement similaire à celui d'un jeu sera fourni gratuitement aux détenteurs d'un forfait Netflix (à partir de 9 dollars par mois) permettra d'accéder au catalogue de vidéo à la demande du service, classé en diverses catégories. Le forfait de base permet de louer un nombre illimité de films en streaming.

La Wii est ainsi la dernière console de sa génération à proposer de la vidéo à la demande, puisque la Xbox 360 de Microsoft offre déjà un accès à Netflix en plus du Zune Video Store maison, tandis que le PlayStation Store de Sony s'est récemment ouvert à la location et à l'achat de films. Si la console de salon de Nintendo n'est pas le lecteur multimédia le plus recommandé, faute de fonction lecteur DVD, de haute définition ou bien même de sorties audio et vidéo numériques, elle est en revanche la console de salon la plus populaire de sa génération, et 86% d'entre elles sont placées dans le salon.

Netflix aurait donc eu tord de se priver de ces millions de prospects supplémentaires.
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