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le 14/01/2010 à 21:30
MyClientBase 0.6.3.2
MyClientBase est une application open source, destinée aux auto-entrepreneurs. Cette application est réalisée en PHP/MySQL.

Elle va vous permettre de créer des factures, suivre des règlements, des rapports.

De nombreuses options sont proposées pour le paramétrage comme :
- La gestion de la date
- Les valeurs de paiement
- Différents modes de templates pour la facturationetc

- MyClientBase site officiel
La messagerie instantanée peut être utilisée pour recevoir des notifications en temps réel de l'état de vos serveurs. Vous pouvez utiliser PHP et XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol).

Abhinav Singh a publié sur son blog la méthode qu'il utilise pour obtenir des notifications en temps réel par l'intermédiaire de Jabber sous la forme d'un exemple assez détaillé.

- Get real time system & server load notification on any IM using PHP and XMPP
le 14/01/2010 à 21:30
Player FLASH en Javascript
Le titre peut surprendre, mais cela fonctionne...

Tobias Schneider a réalisé un script javascript pour lire les fichiers FLASH (SWF).Pour se faire, il utilise  javascript, le langage HTML 5 et propose l'application sous licence MIT.

Actuellement ce nouveau player fonctionne avec les dernières versions des navigateurs comme Firefox, Chrome et Safari. et permet aussi de visualiser les fichiers Flash sur les téléphones 3G.

Il propose 3 démos qui montrent les possibilités de son player expérimental.

- Player FLASH en Javascript
Depuis quelques heures, c'est la photo emblématique du massacre organisé par les autorités chinoises en 1989 qui apparait en première position de Google Images Chine lors d'une recherche sur les termes « Tian'anmen ». Le numéro un mondial des moteurs de recherche vient en effet d'annoncer qu'il allait cesser de se plier aux exigences du gouvernement de Pékin en matière de censure. Dans un communiqué, il explique que cette décision, dont il reconnait qu'elle le contraindra peut-être à quitter le marché chinois, fait suite à la découverte d'attaques informatiques de grande envergure sur ses serveurs ainsi que sur ceux d'une vingtaine de grandes sociétés internationales.

« Nous avons détecté une attaque très sophistiquée et très ciblée contre notre infrastructure d'entreprise, venant de Chine et qui a résulté en un vol de propriété intellectuelle », explique dans un communiqué David Drummond, responsable juridique de Google. Les attaquants auraient notamment essayé d'obtenir l'accès à des activistes chinois opposés à la politique de Pékin, sans succès selon Google. Le moteur ajoute que des dizaines de comptes Gmail de défenseurs des droits de l'homme en Chine basés dans l'Empire du Milieu, aux Etats-Unis ou en Europe, ont été régulièrement consultés par des tiers suite à des vols de mots de passe (malwares ou techniques de social engineering).

« Dans le cadre de notre enquête, nous avons découvert qu'au moins vingt autres sociétés d'importance évoluant dans une large gamme de domaines - Internet, finance, technologies, médias ou chimie - ont été visées de la même façon », indique encore Google. Il ne s'agirait donc pas d'un incident isolé ou de l'initiative de quelques particuliers mais d'une action organisée à bien plus grande échelle, laisse entendre le moteur, qui ne va pas jusqu'à préciser qui en serait à l'origine.

« Ces attaques et la surveillance qu'elles ont permis de révéler - combinées aux tentatives de ces dernières années en vue de restreindre encore la liberté d'expression sur le Web - nous ont amené à conclure que nous devions réviser la faisabilité de nos affaires en Chine », explique Google. En conséquence de quoi le moteur annonce son intention de ne plus filtrer les résultats de recherche sur Google.cn. Il indique que ses représentants s'entretiendront avec le gouvernement chinois dans les semaines à venir afin de voir s'il est possible de continuer à opérer sa version chinoise dans ces conditions. « Nous reconnaissons que cela pourrait bien vouloir dire que nous allons devoir fermer Google.cn ainsi que, potentiellement, nos bureaux en Chine », admet le responsable juridique de l'entreprise.

Lors de son entrée sur le marché chinois, en janvier 2006, Google avait provoqué un tollé au niveau de la communauté internationale. Le moteur expliquait en effet alors qu'il se devait de respecter les lois en vigueur en Chine et donc censurer les résultats contraires à la politique locale.

En juin dernier, Pékin avait fait interdire pendant quelques heures l'accès à Google et à Gmail pour contraindre le moteur de recherche à expurger certains mots clé de son outil de suggestion automatique, prétextant que ce dernier favorisait la consultation de contenus pornographiques. En cessant de se soumettre aux prérequis de Pékin, Google rompt avec le principe de neutralité politique qui était le sien jusqu'ici, décision qui pourrait se révéler lourde de conséquences. Elle intervient en outre à quelques jours du discours que doit prononcer la secrétaire d'Etat Hillary Clinton au sujet de la défense de la liberté d'expression sur Internet.

Reste à savoir maintenant quelle attitude adopteront les autres géants américains du Web présents dans l'Empire du Milieu, à commencer par Microsoft et Yahoo qui, comme Google, avaient accepté de se plier aux règles édictées par le gouvernement chinois. On attend également la réponse de Pékin à cette provocation et aux accusations qu'elle implique.
Microsoft a profité hier du deuxième mardi du mois pour publier le premier patch Tuesday de l'année 2010. Belle entrée en matière pour la firme de Redmond puisque ce nouvel épisode ne comporte qu'une seule vulnérabilité, contre douze pour le précédent.

Cette unique mise à jour corrige une faille "importante" permettant de prendre le contrôle d'un ordinateur fonctionnant avec n'importe quelle version de Windows, au moyen d'une police Embedded OpenType (EOT) spécialement conçue affichée dans une application prenant en charge ce format, tel qu'Internet Explorer, PowerPoint ou Word. Elle est jugée "critique" sous Windows 2000. Ce format permet d'intégrer ou d'associer une police à un document pour l'afficher sur n'importe quel ordinateur, qu'elle y soit installée ou non.

La mise à jour est disponible depuis mardi au travers de Windows Update, et sera installée automatiquement le cas échéant. Le bulletin de sécurité rappelle en outre que les utilisateur aux droits limités sont moins impactés que ceux qui disposent des droits administrateurs.
En Finlande et en Espagne, l'accès à Internet est devenu un droit fondamental. Il pourrait le devenir prochainement en Angleterre si l'on en croit les récentes déclarations de Gordon Brown, le premier ministre britannique.

Deux ans après l'annonce de ce projet, 270 000 familles à revenu modeste vont en effet obtenir gratuitement un ordinateur portable et une connexion haut-débit à Internet dans le but de suivre plus aisément les progrès scolaires de leurs enfants. Un budget de près de 335 millions d'euros sera consacré à l'opération pour lutter contre la fracture numérique.

"Nous voulons que chaque famille devienne une famille connectée en haut-débit, et nous voulons que chaque foyer soit relié à une école. Pour ceux ayant des difficultés pour s'équiper, j'annonce ce nouveau plan développé à l'échelle nationale. Cela signifie que toutes les familles pourront se rencontrer, apprendre ensemble et récolter ensemble les fruits de ce projet", a déclaré Gordon Brown.

Reste à savoir si cela aura un impact réel sur le succès scolaire de ces enfants. A noter que le gouvernement a également annoncé vouloir consacrer un budget de près de 1,1 milliard d'euros pour développer les infrastructures d'Internet à haut-débit en Angleterre.
Les internautes français ne s'intéresseraient-ils pas aux offres d'accès à Internet "d'entrée de gamme" ? Alors que beaucoup voyaient dans ces offres proposées moins de 20 euros par mois un moyen de recruter rapidement de nouveaux clients, il semble que la situation est finalement toute autre.

Après Numericable avec son forfait dualplay à 19,90 euros par mois, Iliad, par l'intermédiaire de sa marque Alice, a rapidement suivi avec un forfait triple play proposé quant à lui à 19,99 euros par mois. Exit le bouquet de vidéos à la demande, le magnétoscope numérique ou les appels illimités vers de (très) nombreuses destinations, "AliceBox Initial" se contente du minimum avec un accès à Internet en ADSL, la téléphonie illimitée vers les fixes en France métropolitaine et vers 60 destinations, en plus d'un bouquet TV composé de 60 chaînes.

Et selon Maxime Lombardini, le directeur général d'Iliad - maison mère de Free et Alice -, ce forfait ne fait pas recette. A l'occasion d'une rencontre organisée par l'Association des journalistes médias (AJM), celui-ci a en effet indiqué n'avoir "aucune demande" sur cette offre lancée début décembre. "Il n'y a aucune offre pour ce produit de notre côté", a-t-il ajouté, indiquant n'avoir enregistré que "quelques milliers" d'abonnements.

Reste à savoir se cela est du à un manque de communication d'Iliad ou au désintérêt des internautes pour ce type d'offres. "Il est vrai que nous n'en avons pas fait une grande promotion" reconnait-il d'ailleurs.
De passage à Paris pour présenter sa biographie « Richard Stallman et la révolution du logiciel libre », publiée aux éditions Eyrolles, le fondateur du mouvement GNU a véritablement marqué l'histoire de l'informatique. Cette oeuvre a été écrite par le journaliste américain Sam Williams puis revue et augmentée par M. Stallman lui-même. Notons également la participation de Christophe Masutti et Alexis Kauffmann de l'équipe de Framasoft qui se sont chargés de la traduction française. Dans ce livre, l'auteur revient sur l'actualité internationale du Libre et la problématique de propriété intellectuelle. Clubic en a profité pour poser quelques questions au père du logiciel libre.

Si vous soulignez l'importance d'utiliser des logiciels libres, en revanche, dans certaines situations il n'existe pas forcément de solutions alternatives et les logiciels propriétaires se révèlent particulièrement puissants.

Richard Matthew Stallman : On parle de logiciel « privateurs » parce que ces derniers vous privent de votre liberté. Vous savez, c'est une question de choix. Vous avez le choix de conserver votre liberté et faire le travail de cette manière ou de travailler autrement. Cela dépend véritablement de vos valeurs. Si vous préférez la liberté alors vous travaillerez d'une certaine façon et ferez ce que vous pouvez avec un logiciel libre, sinon vous devez accepter d'être privé de votre liberté. A quel logiciel faisiez-vous référence ?

Disons Final Cut par exemple ?

RMS : Je ne connais pas ce logiciel et de toute façon je ne suis pas prêt à céder ma liberté. Encore une fois c'est une question de priorité personnelle.

L'une des libertés du projet GNU est celle d'étudier le code source d'un logiciel et de le modifier selon ses besoins. Mais pour un programmeur n'est-il pas plus louable d'écrire entièrement un logiciel plutôt que de s'inspirer d'un code existant ?

RMS : Non. Non car étendre les fonctionnalités d'un logiciel existant est très utile aussi.

Quelles sont les équivalents de la GPL dans des domaines autres que le logiciel ?

RMS : Une des licences de Creative Commons est une licence copyleft Share Alike. Il existe une licence avec et une sans copyleft.

Concernant la licence BSD, cette dernière est-elle dangereuse ?

RMS : La licence BSD donne aux utilisateurs des libertés mais elle autorise aussi les logiciels privateurs. Aujourd'hui c'est quand même ambigu. Il existe deux licences BSD. En soit, la licence BSD n'est pas injuste parce qu'elle n'enlève pas de liberté.

Aujourd'hui nous avons la combinaison du système GNU au noyau Linux. Qu'en est-t-il du kernel GNU ?

RMS : Il y a un noyau GNU mais il ne fonctionne pas très bien.

Est-il toujours en développement ?

RMS : Oui il est encore un peu en développement. Pour nous l'important c'est plutôt d'améliorer les programmes libres qui se positionnent face aux logiciels privateurs.

L'arrivée de Google sur le marché des systèmes d'exploitation, ca vous inspire quoi ?

RMS : Il y a trois choses. Il y a Chrome, Chrome OS et Chromium. Chrome est un logiciel privateur. Chromium, c'est open source et je crois que c'est plus ou moins libre mais pas complètement. L'important c'est que leur intention est de le distribuer de telle sorte que l'utilisateur ne peut pas installer de programmes. C'est un problème assez grave. Aussi, c'est un système qui a été mis au point pour diriger l'utilisateur vers des solutions hébergées.

C'est un problème selon vous ?

RMS : Oui les applications en ligne, c'est comme un programme privateur. L'utilisateur perd son informatique. On envoie les données au serveur mais on n'a pas le code source ni même l'exécutable.

D'ici cinq à dix ans que souhaiteriez-vous qu'il se passe sur la scène de l'informatique ?

RMS : Je voudrais bien sûr que les logiciels privateurs disparaissent ainsi que les applications hébergées. Je voudrais que le partage soit légalisé et que la surveillance, qui ne cesse d'augmenter, soit mise sous contrôle. Aussi je voudrais que la censure soit éradiquée. La censure est sans doute la pire chose qui existe.

A noter : cet entretien aurait dû être publié en format vidéo, cependant, sur demande de Richard Stallman ce dernier a été retranscrit. En effet, M. Stallman n'accepte la publication de vidéo qu'au format libre Ogg Theora.
Un collégien a récemment été mis en examen pour avoir piraté le système informatique de son école, l'établissement privé Saint Joseph d'Arras (Pas-de-Calais). L'élève de 3e "avait récupéré un logiciel sur Internet et avait voulu l'essayer", d'après Elise Bozzolo, substitut du procureur chargée des mineurs, dont les propos ont été rapportés par le quotidien local. "C'était un jeu pour lui".

L'adolescent de 15 ans, pourtant bon élève, avait notamment tenté de modifier ses résultats dans le système de gestion des notes, sans succès. Il avait alors attaqué le serveur par déni de service, en envoyant 80 000 emails au directeur de l'établissement, ce qui avait provoqué une panne qui n'avait été réparée que quatre jours plus tard. Identifié au moyen de son adresse IP, qu'il n'avait pas pris la peine de camoufler malgré l'étendue de l'offre, puis placé en garde à vue, il avait reconnu les faits.

Le directeur de l'établissement, Dominique Devos, réclame 500 euros de dommages et intérêts à la famille du jeune homme. Son exclusion de deux jours aurait en outre été l'occasion de "débats importants au sein de l'école sur les dangers d'Internet".
Ce n'est pas la première fois que le site français de partage et de consultation de vidéos en ligne s'intéresse aux droits de retransmission de certaines compétitions de football.

Dailymotion a en effet déposé début 2008 plusieurs dossiers auprès de la ligue de football professionnel (LFP) pour s'offrir, sans succès, certains lots de la Ligue 1. Deux ans plus tard, c'est un accord avec la LFP qui vient d'être conclu, permettant à Dailymotion de disposer pendant 3 ans des droits de la Coupe de la Ligue.

Le montant de l'acquisition de ces droits n'est pas connu - un simple partage des revenus publicitaires avec la LFP étant envisagé - mais à titre de comparaison, France Télévisions dépense 10 millions d'euros par an pour bénéficier des droits télévisés de l'évènement. Dailymotion proposera donc sur une chaine dédiée les meilleurs moments de la Coupe de la Ligue. A défaut d'offrir à ses visiteurs des matchs complets, en direct ou en différé.
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