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Avec quelques semaines de retard sur le calendrier initial, le gouvernement vient de donner le coup d'envoi du label « Haut débit pour tous », qui signalera dès la fin de l'année les offres d'accès à Internet garantissant un niveau minimal de service. Ce label ne se destine pas tant aux foyers déjà raccordés à Internet qu'à ceux qui habitent dans les zones blanches, où l'ADSL n'est pas toujours accessible.

Les conditions nécessaires à l'obtention de ce label feront sans doute sourire ceux qui profitent déjà du triple play. Pour pouvoir afficher la mention « Haut débit pour tous » sur leurs offres, les FAI devront en effet garantir un débit minimal de 512 Kbps, associé à 96 Kbps en trafic ascendant, ainsi qu'un accès à « la plupart des sites internet accessibles au public » et à l'échange de courriers électroniques ou de fichiers « de taille raisonnable ».

Le tarif facturé à l'abonné ne devra pas excéder 35 euros TTC par mois, mise à disposition de l'équipement d'accès inclus. L'opérateur reste toutefois susceptible de facturer lors de l'adhésion des frais d'accès au service dont le montant ne doit pas excéder 100 euros. Enfin, ces offres pourront envisager la méthode des quotas et restreindre ou couper les débits au delà d'un seuil de 2 Go de données échangées dans le mois. Dans les faits, le label devrait donc venir qualifier des offres d'accès par satellite telles que celle que vient de lancer SFR.

« L'objectif est d'encourager le développement d'offres garantissant aux utilisateurs l'accès en haut débit à Internet à des conditions équitables et techniquement satisfaisantes », explique le communiqué associé au lancement du site hautdebitpourtous.telecom.gouv.fr, sur lequel on pourra consulter le cahier des charges du label, en attendant que les premières offres compatibles soient référencées.
La directive IPRED, équivalent local de notre Hadopi bien aimée, fait enfin ses premières armes en Suède, bien qu'elle ait été adoptée le 1er avril dernier.

Conformément à ces dispositions, un tribunal a effectivement ordonné au FAI TeliaSonera de révéler l'identité du dirigeant présumé du site de partage Swetorrents à l'association anti-piratage Antipiratbyrån, à la demande de quatre studios de cinéma, sous peine d'une amende de 750 000 couronnes suédoises (environ 72 000 euros).

Le plaignant reproche à Swetorrents de mettre à disposition des films, dont certains ne sont pas encore commercialisés, ce qui représenterait un manque à gagner. La défense se défend quant à elle en arguant que son traqueur est privé et que le partage dans le cercle familial et privé est toléré par la loi. La justice suédoise a toutefois estimé qu'un site recensant 20 000 membres ne pouvait être considéré comme étant privé.

TeliaSonera avait dans un premier temps indiqué qu'il se battrait pour garantir la vie privée de ses clients, et qu'il ferait appel si la cour en jugeait autrement. Le fournisseur d'accès à internet n'a toutefois pas encore honoré ces déclarations.

L'IFPI fait aussi son baptême d'IPRED en réclamant aujourd'hui l'identité d'un téléchargeur présumé. Huit mois après l'adoption de cette directive, un gros poisson a enfin mordu à l'hameçon de cet organisme international de défense de l'industrie du disque. Plutôt que de cibler un utilisateur de BitTorrent, qui partage rarement plus de quelques fichiers au même moment, l'IFPI s'est effectivement attaquée à un utilisateur du protocole Direct Connect, avec lequel on partage habituellement l'intégralité de sa bibliothèque multimédia.

Reste à connaitre le verdict de la justice et à découvrir si, le cas échéant, l'IFPI décide de se contenter d'un avertissement ou d'attaquer en justice le pirate...
Pour Olivier Roussat, directeur général de Bouygues Telecom, il est clair que l'arrivée de Free dans l'univers de la téléphonie mobile conduirait à une destruction de valeur préjudiciable pour tous, à commencer par les effectifs des trois opérateurs actuellement en place sur le marché français. Dans une interview accordée au Figaro, il indique que Bouygues Telecom a d'ores et déjà gelé les embauches depuis le lancement de l'appel à candidatures pour la 4e licence 3G française, à laquelle Iliad / Free est le seul candidat.

« Bouygues Telecom, qui compte 8 650 salariés, ne recrute plus. Nous étions habitués à recruter beaucoup de jeunes diplômés qui font leurs classes chez nous et trouvent ainsi une sorte de tremplin à leur carrière. C'est terminé. Bouygues Telecom est obligé de se préparer à l'arrivée de Free en réduisant ses coûts fixes », affirme Olivier Roussat. Alors que l'Arcep doit rendre son verdict sur le processus d'attribution de la 4e licence 3G dans le courant du mois de décembre, cette déclaration n'a rien de fortuit.

Fin 2008, Martin Bouygues était déjà monté au créneau. Virulent opposant à cette 4e licence, il avait alors indiqué que la guerre des prix causée par l'arrivée de Free sur le marché de la téléphonie mobile était susceptible de provoquer « de 10 000 à 30 000 pertes d'emplois chez les opérateurs ». De façon plus ou moins déclarée, les trois grands acteurs du secteur redoutent notamment que sous l'impulsion de Xavier Niel, Free tente de reproduire sur le marché du mobile ce qui a fait le succès de sa formule ADSL : un forfait tout en un, sans surprises, à prix cassé.

Challenger d'Orange et de SFR, Bouygues ne devrait justement pas sa progression sur le marché français à son seul positionnement tarifaire, légèrement plus compétitif que celui de ses concurrents. « Nous ne nous sommes jamais positionnés par rapport à nos concurrents mais en fonction des seules attentes de nos clients : nous sommes arrivés sur le marché du fixe avec une proposition différente, ideo, qui a bousculé les équilibres d'un marché figé depuis cinq ans », défend-il. Dans la lignée d'Ideo, il annonce d'ailleurs le lancement, pour 2010, d'une offre de voix sur IP en 3G, un usage jusqu'ici proscrit par tous les opérateurs français.

Une stratégie de rupture avec l'existant sur laquelle Iliad pourrait bien aussi compter. Associée à une politique tarifaire agressive, elle ferait sans doute des ravages. En admettant qu'Iliad surmonte les nombreux obstacles qui le séparent encore du lancement d'une offre commerciale, à commencer par un éventuel rejet de la candidature déposée auprès de l'Arcep.
La société Tiobe propose une étude comparative réalisée en septembre 2008 et sepembre 2009. Cette étude présente un classement des langages les plus populaires auprès de l'ensemble des développeurs, des formations et des acteurs économiques.

Le langage PHP progresse encore cette année dans son classement. Il se retrouve maintenant en 3ème position juste après Java et C.

A noter que cette étude indique une orientation car il est très difficile d'établir un sondage et une analyse juste.

- PHP enters top 3 of most popular programming languages
le 07/12/2009 à 23:19
phpUnderControl 0.5.0
La nouvelle version de phpUnderControl vient de sortir. Cette nouvelle version propose quelques améliorations, évolutions mineures et corrections de bugs.

La grosse nouveauté concerne une fonctionnalité majeure pour PHPUnderControl, il s'agit de PHP_CodeBrowser.

PHP_CodeBrowser est une application séparée qui récupère les différents fichiers de log XML avec différentes mesures du projet / violations et les présente dans une vue de source hierarchique avec une syntaxe intuitive.

- phpUnderControl 0.5.0 released
le 06/12/2009 à 23:16
Backup de sa base de données
La majorité des développeurs ou webmasters de sites webs peuvent négliger la sauvegarde de la base de données. Même si celle-ci est sauvegardée par l'hébergeur, il est surtout conseillé de réaliser quelques sauvegardes supplémentaires lorsque vous êtes amené à faire évoluer votre projet.

Il existe de nombreuses applications proposant la sauvegarde en automatique comme PHPBackup.

Le site oziks.fr propose un petit script à insérer dans votre code, pour effectuer la sauvegarde de votre base MySQL facilement.

- Faire un backup de sa base de données
le 06/12/2009 à 23:16
5 thèmes en POO
Depuis quelques semaines, la programmation objet (POO) est revenue dans les actualités.

Il s'agit d'un sujet très vaste et Brandon Savage propose 5 thèmes concernant la programmation objet en PHP, inspiré des bonnes pratiques pouvant déjà exister :
- Abstraction
- Encapsulation
- Mise en œuvre des objets muets
- Découplage
- Concept d'une classe

- Five (Good) Lessons The Government Teaches Us About Object-Oriented Programming
Chris Shiflett publie le calendrier de l'Avent PHP, avec des astuces d'experts PHP pour tout le monde.

- Ed Finkler : You Really Need to Learn JavaScript
- David Sklar : Do URLs Matter?
- Lorna Mitchell : One Step at a Time
- Rob Allen : Automate Your Deployment

- You Really Need to Learn JavaScript
- Do URLs Matter?
- One Step at a Time
- Automate Your Deployment
le 05/12/2009 à 23:14
Open Web Analytics
Open Web Analytics (OWA) est une nouvelle API basé sur le principe d'un framework. Ce nouvel outil est réalisé en PHP et utilise HTTP API.

Le but de l'application est de permettre l'utilisation d'outils d'analyse Web. Par ailleurs, un support intégré est proposé pour certaines applications très populaires comme Wordpress et MediaWiki.

Grâce à cet outil, vous pourrez proposer vos propres outils d'analyse pour obtenir un résultat plus pertinent.
le 05/12/2009 à 23:14
Se défendre contre les injections
Lorsque vous manipulez les bases de données relationnelles comme MySQL, le risque le plus courant auquel vous devez faire face concerne les injections SQL.

Stefan Mischook publie sur son blog un petit rappel concernant les moyens proposés pour vous protéger avec le langage PHP.

Suivant le format de relation entre le langage et la base de données, il existe différentes fonctions comme mysql_real_escape_string.

- Defending against SQL Injection attacks
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