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Un an et demi après le lancement de M6 replay, le groupe M6 (éditeur de Clubic.com) annonce le lancement de W9 Replay, une nouvelle plate-forme de télévision de rattrapage donnant accès aux programmes de la 9e chaîne de la TNT.

« Tous ces programmes - séries, émissions, musique et match de football - sont désormais disponibles gratuitement et dans leur intégralité après leur diffusion et pendant 7 à 15 jours sur www.w9replay.fr, le nouveau service de télévision de rattrapage de W9. » indique le groupe dans un communiqué.

De X Factor à Harper's Island en passant par les derniers combats de catch, les internautes peuvent en effet retrouver les principaux programmes de la chaîne même si le groupe a du faire une croix sur la rediffusion des Simpson, l'un des principaux succès d'audience de la chaîne. « Ce programme est partagé avec Canal+ ce qui rend la négociation plus complexe », explique Thomas Follin, en charge du projet chez M6.

M6 Replay, M6 vod et désormais W9 Replay... le groupe multiplie en tout cas les sites internet diffusant et rediffusant ses programmes. Reste toutefois à savoir si cette relative dispersion est pertinente à l'heure où des concurrents comme Orange (Video Party) ou TF1 misent au contraire sur une seule marque ombrelle pour l'ensemble de leurs vidéos.
Nous apprenions hier que plusieurs personnes avaient été touchées par un bug surnommé Black Screen of Death. En effet, au démarrage de leur machine, après s'être identifiés sur leur session, certains utilisateurs ne retrouvèrent qu'un écran noir avec une interface dépourvue des éléments classiques tels que la barre des tâches ou le système de notifications. Seule une fenêtre de l'explorateur de fichiers était ouverte, pointant sur le dossier Ordinateur. Selon la firme britannique Prevx, qui a mis à disposition en téléchargement un correctif, ce problème surviendrait après l'installation des dernières mises à jour publiées par Microsoft le 3 novembre dernier.

Contacté à ce sujet, Microsoft déclarait alors avoir ouvert une enquête afin de déterminer la nature exacte du problème. Christopher Budd, responsable de la communication du département sécurité chez Microsoft, explique pour sa part : "en ce qui concerne les mises à jour de sécurité du mois de novembre et les changements de permissions effectués au sein de la base de registre qui se traduisent par des erreurs de système pour certaines personnes, Microsoft a ouvert une enquête". il précise : "la société en a conclu que ces rapports n'étaient pas fondés".

La firme de Redmond encourage les utilisateurs affectés par ce problème à contacter l'équipe d'assistance de Microsoft. Selon la firme Prevx, ce bug toucherait Windows 2000, NT, XP, Vista et 7.
L'éditeur d'applications bureautiques en ligne Zoho annonce aujourd'hui l'intégration de l'interface de programmation de Google Documents directement au sein de ses services web.

Après avoir autorisé la communication avec leur compte Google, les utilisateurs des services web de Zoho pourront ainsi importer un document initialement créé via l'interface de Google directement au sein des éditeurs Zoho Writer ou Zoho CRM. Ce document pourra également être joint à un email composé au travers de Zoho Mail ou du gestionnaire de projets Zoho Projects.

Créée en 2005 et basée en Inde, la société Zoho joue depuis quelques temps la carte de l'ouverture. En effet, il est aujourd'hui possible de s'identifier directement avec son compte Google, Google Apps ou Yahoo!. Par le passé la société avait devancé Google à deux reprises en proposant un accès en mode déconnecté pour Zoho Writer et Zoho Mail tout en utilisant la technologie de Gears. Il y a quelques semaines le développeur Sridhar Gopalakrishnan avait répondu aux accusations de Ron Markezitch, vice-président du département Microsoft Online, qui affirmait lors d'un entretien que "Zoho, Google, Zimbra " ne proposaient que "de fausses fonctionnalités d'Office" et ne remplaceront jamais les logiciels de la suite bureautique de Microsoft.

A ce jour Zoho bénéficierait d'une base de 2 millions d'utilisateurs contre 20 millions pour Google Apps.
La voix de Rupert Murdoch, magnat à la tête de News Corp, a-t-elle été entendue ? Google a annoncé mardi autoriser les éditeurs de presse à limiter le nombre d'accès gratuits à leurs articles indexés par ses soins via le programme First Click Free.

Ce dernier permet à l'internaute d'accéder librement aux contenus de l'éditeur concerné via Google. Cependant, lorsque l'internaute cherche à accéder à une autre page web du site en question, l'éditeur a la possibilité d'exiger une identification et/ou un paiement.

Désormais, précise dans un billet John Mueller, webmaster chez Google Zürich : « nous avons décidé de permettre aux éditeurs de limiter le nombre d'accès en vertu de la politique First Click Free à cinq accès gratuits par utilisateur et par jour. Cette modification s'applique à la fois aux éditeurs de Google News et aux sites indexés dans Google Web Search. Nous espérons que cela encouragera encore plus d'éditeurs à ouvrir davantage leurs contenus aux utilisateurs à travers le monde !  »

Cette annonce intervient après des semaines de bisbilles médiatiques entre Google et les éditeurs presse, en particulier News Corp qui menace de déréférencer massivement ses sites d'information (The Wall Street Journal, The New York Post, The Sun, The Times, The Australian, etc.) Google, moteur de recherche et spécialiste des liens sponsorisés de référence mondiale, est accusé de tirer profit de contenus créés par d'autres sans contrepartie financière pour les éditeurs.
En octobre 2008, la Federal Trade Commission, une organisation chargée de réguler les droits commerciaux aux Etats-Unis, et les autorités néo-zélandaises étaient parvenues à enrayer, au moins partiellement, les activités du groupe HerbalKing. Ce dernier fut responsable de l'envoi de millions de courriers électroniques non sollicités à travers le monde. Au plus fort de ses activités, HerbalKing aurait représenté jusqu'au tiers du volume de spam mondial, et rapporté plusieurs millions de dollars à ses fondateurs parmi lesquels nous retrouvons Lance Atkinson. Agé de 26 ans, ce dernier fut condamné par les autorités néo-zélandaises à payer 100 000 dollars mais la FTC avait souhaité prolonger son enquête.

Hier la commission a ainsi condamné le jeune homme à payer la somme supplémentaire de 16 millions de dollars. M. Atkinson et son acolyte Jody Smith auraient en effet été au centre du plus gros réseau organisé de spam jamais identifié avec plusieurs équipes complices à travers le monde. Le réseau de machines zombies - ou botnet - utilisé par les membres de HerbalKing compterait quelque 35.000 ordinateurs, et serait en mesure d'expédier jusqu'à dix milliards de courriers par jour. Plus de trois millions de plaintes auraient été enregistrées sur une période de six mois contre la société Inet Ventures, détenue par M.Atkinson et prescrivant de faux médicaments.
le 02/12/2009 à 22:58
PHP et MySQL sur FreeNAS
FreeNAS est un environnement pour NAS. Son utilisation est souvent très spécifique et surtout précise.

Mais grâce à l'utilisation du système d'exploitation, vous pouvez installer un environnement de développement avec PHP et MySQL. Le site «Maison et Domotique » montre comment installer le langage, une base de donnée et l'interface PhpMyAdmin.

- Tutorial: Installer MySQL, PHP et PhpMyAdmin sur Freenas
le 02/12/2009 à 22:58
EvalSMSI
EvalSMSI est une nouvelle API internet et signifie « Evaluation d'un Système de Management de la Sécurité de l'Information ».

Cette application est développée en PHP et MySQL sous licence GPL. Son but principal est de vous faciliter les opérations d'audit interne avec différentes informations comme :
- L'affichage de résultats sous la forme de graphique radar
- Un tableau de bord
- Le suivi des évolutions avec un historique
- La réalisation de rapports
- Etc

- EvalSMSI
« Twitter », ou comment condenser ses propos en des messages de 140 caractères, vient d'être désigné mot de l'année 2009 par le Global Language Monitor, société américaine spécialisée dans l'étude des tendances en linguistique. Le désormais célèbre service de microblogging devance cette année le président des Etats-Unis « Obama », la grippe « H1N1 », mais aussi « Stimulus » (plan de relance), en référence aux 800 milliards de dollars injectés par le gouvernement américain dans son économie et « Vampire », dont la cinquième position doit sans doute beaucoup au succès de la saga Twilight.

Pour mettre au point ce classement, le Global Language Monitor utilise un algorithme propriétaire qui analyse mots et phrase les plus souvent publiés sur Internet, et les met en perspective en fonction de différents paramètres allant de l'importance conférée au terme dans la page étudiée au contexte de publication.

« Au cours d'une année dominée par des évènements politiques bouleversant la planète, une pandémie, les conséquences d'un tsunami financier et la mort d'une icône de la pop, le mot Twitter domine tous les autres mots », explique Paul JJ Payack, président du Global Language Monitor. « Twitter représente une nouvelle forme d'interaction sociale, où toutes les communications sont réduites à 140 caractères. Cette limitation stricte a fait des merveilles pour le sonnet ou le haiku. Qui sait ce qu'elle nous réservera à l'avenir », ajoute-t-il.

Au niveau mondial, Twitter aurait réalisé sur le mois d'août 2009 une audience de 54,7 millions de visiteurs uniques selon ComScore, plus de dix fois supérieure aux 4,3 millions enregistrés un an plus tôt. Selon Microsoft, Twitter aurait été le deuxième terme le plus recherché sur son moteur Bing en 2009, devant la grippe porcine, mais derrière Michael Jackson. Yahoo, qui vient également de publier son top 10 des recherches les plus fréquentes, ne fait quant à lui pas mention du réseau social.
le 01/12/2009 à 23:30
Google abandonne Gears pour le HTML 5
Au mois de juin 2007, Google levait le voile sur la technologie Gears. Ce petit plugin agit tel un serveur local afin de mettre en cache les données. C'est ainsi que les utilisateurs peuvent surfer sur une application web en mode déconnecté. La technologie de Gears fut initialement implémentée au sein du lecteur RSS Google Reader puis Google Agenda, Google Documents et Gmail. Cependant plusieurs des fonctionnalités de Gears seront présentes au sein du HTML 5.

"Nous sommes très ravis que la plupart de la technologie de Gears, notamment la prise en charge du mode déconnecté et les interfaces de géolocalisation, soit implémentée au sein des spécificités du HTML5 en tant que standard ouvert et compatible avec tous les navigateurs", explique un porte-parole de la société au Los Angeles Times. Si Gears est directement intégré au sein de la version Windows de Chrome, ce ne sera pas le cas pour la version pour Mac OS X, dont la première bêta est prévue pour mi-décembre. Notons par ailleurs que Gears n'est pas compatible avec Mac OS X 10.6 Snow Leopard, ce qui motive Google à redoubler ses efforts sur le HTML 5. C'est d'ailleurs via ce prochain standard que le système Chrome OS proposera la mise en cache des données.

A l'heure actuelle David Hyatt et Ian Hickson, travaillant respectivement chez Apple et Google, sont tous deux chargés de rédiger les spécificités du HTML 5 pour le W3C. Chez Google les choses sont claires, si la société continuera de s'assurer que les sites spécifiquement conçus autour de Gears continuent à fonctionner correctement, la firme de Mountain View déclare : "nous nous attendons à ce que les développeurs intègrent ces fonctionnalités via l'usage du HTML 5 puisqu'il s'agit d'une approche standardisée qui sera disponible au sein de tous les navigateurs."

Si l'on connaît déjà les efforts fournis par Mozilla pour la prise en charge du HTML 5, rappelons qu'au mois de septembre nous apprenions que l'équipe de développement d'Internet Explorer planchait également sur la question : Adrian Bateman, responsable du développement chez Microsoft, avait ainsi déclaré : "nous soutenons l'inclusion des éléments et au sein des spécifications (...) nous sommes en train de revoir les détails".
Iliad imposera-t-il un nouveau maitre étalon aux fournisseurs d'accès à Internet français ? Après avoir démocratisé, via Free, le triple play à 30 euros, l'opérateur annonce le lancement, sous la marque Alice, d'une formule facturée 19,99 euros. Baptisée AliceBox Initial, elle offre un accès à Internet en ADSL, la téléphonie illimitée via voix sur IP vers les téléphones fixes en France métropolitaine et vers 60 destinations, ainsi qu'un bouquet de 60 chaînes de télévision. L'offre est associée à un boitier unique, combinant les fonctions de modem et de décodeur TV.

Pour accéder à cette offre, sous réserve d'éligibilité, il faudra toutefois s'acquitter de frais d'activation d'un montant de 40 euros et accepter un engagement de douze mois. Les frais de fermeture de ligne seront quant à eux facturés 45 euros.

Un second forfait à 29,99 euros par mois viendra compléter cette offre. Avec cette seconde formule, baptisée AliceBox Plus, on disposera d'un accès aux hotspots Freebox, d'un bouquet de 160 chaînes de télévision dont certaines sont proposées en HD et de 100 destinations pour la téléphonie fixe. Dans ce cadre, Alice proposera son modem, l'Alicebox, accompagnée du décodeur TV Alice, muni d'un disque dur et offrant donc enregistrement et contrôle du direct. Enfin, l'opérateur promet la mise à disposition d'une paire d'adaptateurs réseau CPL (courant porteur en ligne) 200 Mbps.

Réservée aux abonnés en zone dégroupée, également soumise à des conditions d'éligibilité en ce qui concerne la TV, cette formule est associée à des frais d'activation reportés en fin de contrat : le montant est de 96 euros, dégressifs à raison de 3 euros/mois d'abonnement, comme chez Free.

Iliad, propriétaire de la marque Alice et de ses 800.000 abonnés depuis la fin 2008, rompt ainsi avec son habitude qui a longtemps, consisté, avec Free, à ne proposer qu'un forfait unique à tous ses abonnés. En se positionnant comme l'opérateur fournissant, selon ses propres dires, « la 1ère véritable offre triple-play ADSL au monde à moins de 20 euros/mois », Iliad espère vraisemblablement redorer le blason de la marque Alice, qui a perdu 57.000 abonnés sur le troisième trimestre 2009, plombant les statistiques de recrutement du groupe.

Au 30 septembre dernier, Iliad revendiquait 4,420 millions d'abonnés haut débit sous ses deux marques, Alice et Free.
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