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le 11/12/2009 à 22:00
IPHP un shell PHP interactif
iPHP est une API proposée par Alan Pinstein. IPHP signifie Interactif PHP et est un shell interactif PHP.

Il vous donne de nombreux avantages sur les fonctionnalités shell de PHP par défaut.

Les différents points mis en avant concerne que iPHP va résoudre un certain nombre de problèmes douloureux par rapport au PHP standard :
- Le traitement des erreurs
- Le soutien readline
- La saisie semi automatique
- etc

- IPHP un shell PHP interactif
"Il a Free, il a tout compris". Ce slogan, qui tourne en boucle sur les chaines de télévision françaises, serait-il incorrect ? C'est l'avis de l'association de consommateurs UFC Que Choisir, qui a assigné en justice le fournisseur d'accès à Internet d'Iliad en justice le 7 décembre dernier. Elle lui reproche de ne pas respecter certaines directives de la loi Chatel, la préselection par défaut de l'option "Service Plus" facturée 9,99 euros mais aussi les pressions exercées sur le client pour qu'il fasse appel au prélèvement automatique du montant de son abonnement.

L'UFC devrait ainsi faire valoir que Free contraint ses abonnés à verser un dépôt de garantie de 400 euros, ainsi que 4 euros en plus du montant de leur forfait tous les mois, s'ils ne choisissent pas de régler par prélèvement bancaire. Au niveau de la résiliation du compte, elle dénonce un délai d'un mois, alors que la loi Chatel impose un maximum de dix jours, ainsi que la politique qui vise à réinitialiser l'ancienneté à partir de laquelle sont calculés les frais de cloture en cas de déménagement ou de renouvellement du matériel (freebox).

"Nous avons analysé chaque pratique mise en cause et évalué ce que cela rapportait à Free. Une fois le préjudice des consommateurs estimé, nous en avons retenu la somme de 1%", indique l'UFC. 1% d'un préjudice que l'association de consommateurs estime 53 millions d'euros donne donc une demande de réparation de l'ordre de 535.000 euros. L'audience, déjà planifiée, se tiendra le 9 mars prochain.
Le chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, intervient dans le débat relatif à la numérisation et à l'indexation sur le Net de millions de livres. Le président de la République n'a pas nommé Google. Toutefois, M. Sarkozy a déclaré mardi qu'une société, américaine qui plus est, ne saurait "spolier" le patrimoine littéraire de la France. Combat d'arrière garde ou résistance nécessaire ?

Depuis l'intervention anti-Google de Jean-Noël Jeanneney en 2005, prédécesseur de Bruno Racine à la présidence de la Bibliothèque nationale de France (BNF), le discours des dirigeants français sur le sujet n'a pas ou peu changé. A leurs yeux, la France et l'Europe devraient s'appuyer sur un groupe d'acteurs des secteurs public et privé pour numériser leurs ouvrages.

Ont-ils oublié le fiasco de Quareo, projet franco-allemand de moteur de recherche multimedia ? Ont-ils conscience que les bibliothèques numériques européennes peinent à monter en puissance ? Pensent-ils que l'Etat soit mieux placé qu'une société privée pour faire progresser l'économie numérique ? Le libéralisme (responsabilité individuelle, moindre intervention de l'Etat, libre entreprise) existe-t-il en France ?

« Nous ne nous laisserons pas dépouiller de notre patrimoine au profit d'une grande entreprise, peu importe qu'elle soit accueillante, grande ou américaine », a souligné le président français, le 8 décembre, lors d'une intervention dans le Nord-Est du pays. Nicolas Sarkozy a ajouté à cette occasion que le projet national de numérisation de livres fera partie des priorités du 'grand emprunt' censé remettre la France sur les rails de la croissance.

Il est vrai que Google, société californienne née en septembre 1998, n'est pas exempte de défauts. Il est bon que des internautes, éditeurs, auteurs, organisations de défense des droits numériques et juristes lui rappellent ses obligations en termes de rémunération des ayants droit, de droits d'auteur, de protection des données, de libre expression, etc. Toutefois, Google est une véritable réussite commerciale et plus d'un jeune apprécierait d'y faire ses classes.

En cinq ans, Google aurait numérisé plus de 10 millions de livres, 2 millions seraient entrés dans le domaine public, 2 autres millions auraient été indexés avec l'autorisation expresse des ayants droit, 6 millions seraient épuisés dans leur version imprimée, mais toujours protégés.
Depuis mercredi, les internautes qui se connectent à leur compte Facebook sont invités à mettre à jour les options de confidentialité de leur profil. Un bandeau, affiché en haut de page, présente un message expliquant que de nouvelles options sont disponibles et conduit vers une page permettant d'en configurer en quelques clics les paramètres.La mise en place de ces nouvelles options, annoncée il y a quelques semaines, intervient alors que le réseau social vient d'annoncer que les contenus publics de ses pages pourraient être indexés par les moteurs de recherche. Il assure que l'utilisateur a toujours la possibilité de protéger son profil des robots de Google et consorts s'il le désire. Paradoxe d'un réseau qui se dit soucieux de la vie privée de ses membres, mais cherche dans le même temps à augmenter son audience et sa visibilité par le biais des moteurs ?

Concrètement, ces options permettent de configurer très simplement quelles sont les contenus du profil qui peuvent être vus par tous, et quels sont ceux dont la consultation doit être réservée au réseau de contacts. Par défaut, elle propose que le nom d'utilisateur et la photo du profil soient lisibles, de façon à aider les internautes à localiser des personnes qu'ils connaissent. Les réglages peuvent ensuite être affinés pour tous les éléments du profil via la page "Confidentialité" pour que, par exemple, photos ou publications ne puissent être vus que par un groupe de contacts donné.

"Les fonctionnalités que nous annonçons aujourd'hui ne représentent pas la ligne d'arrivée, mais la dernière évolution de notre processus itératif. De bonnes suggestions et retours utilisateurs nous ont aidés à en arriver là et nous attendons avec impatience les nouveaux commentaires pour nous aider à développer la prochaine innovation en termes de confidentialité et de contrôle utilisateur.", promet Chris Cox, vice président produit de Facebook.

Le réseau aux 350 millions de membres en profite pour rappeler que sa politique en matière de partage d'informations avec les annonceurs n'a pas évolué et que cette dernière reste entièrement placée entre les mains de l'internaute. Celui-ci n'est toutefois pas toujours au fait de ce qu'il convient de partager ou de garder privé. En début de semaine, l'éditeur Sophos indiquait ainsi avoir pu se connecter à de nombreux profils et y récupérer numéros de téléphone portable ou adresses email de la façon la plus simple qui soit, en se contentant de créer de faux comptes utilisateur et en ajoutant des personnes prises au hasard comme amis.

En début de semaine, Facebook a annoncé la création d'un conseil consultatif de sécurité regroupant cinq organisations nord-américaines et européennes spécialisées sur ces problématiques de sécurité en ligne, qui sera chargé de mettre en lumière les meilleures pratiques en matière de prévention et d'information.
Google a publié une mise à jour pour son gestionnaire de photos Picasa qui passe en version 3.6. En septembre dernier le logiciel s'était doté d'un système de reconnaissance de visages permettant d'identifier facilement les photos pour une personne donnée dans n'importe quel album. Une nouvelle fois Google y a implémenté une fonctionnalité premièrement disponible sur Picasa Web et baptisée Collaborative albums.

Directement à partir du logiciel il est ainsi possible de mettre en ligne des photos ou des vidéos au sein d'un album partagé par l'un de ses contacts. Inversement il est possible de spécifier une personne ou un groupe de personnes ayant les droits nécessaires pour contribuer à l'une de vos galeries.

Google annonce également avoir intégré de nouvelles options facilitant le partage, l'organisation et la personnalisation des photos. Ainsi le partage d'un album peut directement être effectué dès sa mise en ligne. En ce qui concerne l'importation des clichés au sein du logiciel, il est possible de les organiser par date, ce qui n'est pas sans rappeler la gestion par événements au sein d'iPhotos. Notons également la possibilité de créer ses propres paramètres pour la fonction Crop lorsque l'on souhaite procéder à un redécoupement l'image. Enfin lors de la publication sur Picasa Web, il est désormais possible de conserver le même degré de compression pour une image JPG.

Pour l'heure, Picasa 3.6 n'est disponible qu'en anglais. Pour le téléchargement, rendez-vous ici.
Microsoft a de nouveau rendu disponible le "Windows 7 USB/DVD Download Tool" (WUDT), sous licence GPL cette fois, certes en retard mais conformément à ce qui avait été annoncé. Le logiciel a donc rejoint CodePlex, la plateforme maison consacrée à l'open source, sur laquelle on peut obtenir son code source.

Publié une première fois sous licence propriétaire, l'outil de téléchargement USB/DVD Windows 7 avait été retiré par Microsoft car un développeur indépendant avait découvert qu'il reposait en grande partie sur le code source d'un autre logiciel, d'ailleurs hébergé sur CodePlex. Conformément à la licence GPL de ce dernier, Microsoft était tenu de distribuer son logiciel sous la même licence, et donc d'en publier le code source.

L'outil offre toujours les mêmes fonctionnalités et permet donc de créer un DVD ou une clé USB d'installation de Windows 7, à partir du fichier ISO téléchargé depuis le Microsoft Store ou obtenu à partir d'un autre DVD d'installation. Il peut être téléchargé depuis le Microsoft Store.
le 10/12/2009 à 21:53
Les bases de Zend Framework
Bien démarrer un nouveau Framework en PHP et respecter les bonnes pratiques n'est pas toujours évidant. Le blog Lyrix vous propose de bien commencer avec Zend Framework avec de nombreux tutoriaux en Français.

Les sujets sont divers mais déjà vous pouvez trouver les thèmes suivants :
- Les bases de MVC
- Architecture
- Les bases de données
- Le template
- La traduction
- La navigation

Un lien à bien garder précieusement

- Blog lyrixx
Lorsque vous réalisez un site personnel en PHP, celui-ci sera la vitrine personnelle et qui pourra être utiliser en complément d'une activité professionnelle.

Si vous décidez d'effectuer un autre site pour une activité différente de votre profession. Il est aussi important de respecter les normes et d'utiliser les bonnes pratiques.

Brandon Savage montre qu'il est important d'utiliser un gestionnaire de bugs pour votre développement personnel et donne 5 raisons pour le faire :
- Repérer les informations imparfaites
- Mauvaises pratiques de développement
- Utilisation des bugs trackers.
- Estimé un temps de réalisation
- Evaluation des progrès réalisés

- Why Tracking Bugs In Personal Projects Matters
Paris, première capitale fibrée au monde ? Pas impossible, si l'on en croit la municipalité : la couverture du déploiement horizontal pourrait atteindre 100% dès la fin 2010. Après plusieurs mois de travaux entre les opérateurs et l'Arcep, le principal objectif est maintenant d'assurer le déploiement vertical de la fibre optique, celle qui part de la rue pour monter jusqu'à l'appartement de l'abonné. Pour avancer rapidement, bailleurs sociaux et opérateurs viennent de s'entendre sur le principe d'une charte, soutenue par la Ville, visant à encadrer leurs relations dans le cadre de ce déploiement.

Baptisée "convention portant sur l'installation, la gestion, l'entretien et le remplacement de lignes de communications électroniques à très haut débit en fibre optique", elle ne répond pas aux questions liées aux aspects techniques ou tarifaires de la mutualisation, mais définit un certain nombre de modalités pratiques : accès au bâtiment, délais de réponse des parties lors d'une négociation commerciale ou responsabilité et assurances suite aux travaux de déploiement. Suite aux dernières décisions du régulateur, il est pour mémoire prévu qu'un immeuble soit fibre par un opérateur, qui louera ensuite l'infrastructure verticale déployée à ses concurrents.

Réunis par la Mairie de Paris, bailleurs sociaux et opérateurs ont affirmé mercredi matin leur soutien à cette charte. Pour tous l'objectif est de finaliser rapidement cette convention, de façon à pouvoir la proposer à tous les syndics et copropriétés de la ville.

Du point de vue des bailleurs, la fibre répond à un véritable besoin de la part des locataires, qu'il s'agisse de particuliers ou d'entreprises. Il importe donc que le déploiement soit rapide, mais bien encadré, afin que la vie de l'immeuble ne soit pas trop perturbée par les allées et venues successives des techniciens. "L'acte de raccordement final est toujours quelque chose d'un peu compliqué", explique Patrick Robin, de la SGIM. "40% de nos immeubles comptent moins de 8 logements", fait-il encore remarquer. Avec un cadre clair, on évite les écueils qui pourraient favoriser l'apparition d'une forme de fracture entre les différents habitats parisiens.

Du côté des opérateurs, après des mois de discussions plus ou moins houleuses dans le cadre des ateliers organisés par l'Arcep, on se dit favorable à ce projet. Au passage, on révèle également quelques chiffres sur l'état actuel de la couverture fibre à Paris. Chez SFR, on estime que 80% de la ville seront couverts de façon horizontale en fin d'année, et pourtant on ne revendique que 40.000 logements connectés via une offre FTTH (Fiber to thé Home, ou fibre jusqu'à l'appartement de l'abonné).

"Une couverture de 100% de Paris à fin 2010 est toujours l'objectif", indique Olivier de Baillenx pour Iliad, qui aurait déjà déployé sa fibre sur 70% de la capitale, en horizontal, et vient d'annoncer le lancement de son réseau FTTH à Valenciennes. Pour autant, tous les aspects réglementaires ne sont pas encore réglés. La loi sur la fracture numérique est également un élément important pour valider certains pouvoirs de l'Arcep, commente-t-il. La situation pourrait ne pas trainer : la seconde lecture est prévue pour la fin de la semaine au Sénat.

Du côté de Numericable, on se félicite que quatre opérateurs (lui-même, Darty, Bouygues Telecom et maintenant Auchan) puissent utiliser le réseau fibre déjà déployé, qui couvre sur Paris environ un million de logements sur le mode du FTTB (Fiber to the Building, ou fibre jusqu'au pied de l'immeuble).

Officiellement, acteurs de l'habitat et opérateurs semblent sur la même longueur d'onde, comme en témoigne la mise en place de cette charte. Pour que le déploiement vertical puisse vraiment débuter, tous n'attendent plus que les derniers éléments de l'Arcep, qui doit encore fixer certains aspects de la mutualisation, à commencer par les tarifs que pourra appliquer l'opérateur qui le premier a fibré un bâtiment.
Comme tous les seconds mardis de chaque mois, Microsoft mettait en ligne hier un ensemble de correctifs à destination de ses logiciels et systèmes d'exploitation. Avec une fournée relativement modeste en terme de nombres de patchs, Microsoft revient sur des problèmes de sécurité au sein de son navigateur Internet. Ce sont pas moins de cinq vulnérabilités qui ont été identifiées et corrigées pour les versions 5, 6, 7 et 8 d'Internet Explorer. Les failles en question peuvent permettre l'exécution de code à distance à l'insu de l'utilisateur alors que celui-ci affiche une page internet.

Un correctif pour le service IAS de Windows est également au programme alors que les applications de la suite Office bénéficient de mises à jour visant à empêcher l'exécution non autorisée de code à l'ouverture d'un fichier par exemple (c'est le cas de Project). Naturellement, Microsoft profite de sa mise à jour mensuelle pour proposer une version au goût du jour de son outil de suppression des logiciels malveillants ainsi qu'une mise à jour des filtres de courrier indésirable pour Outlook notamment.

Le téléchargement de ces mises à jour se déroule naturellement sur Windows Update.
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