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le 10/09/2009 à 20:18
PHP architect : Podcast
Le magazine PHP architect relance les actualités en Podcast au format audio et MP3.

Publiés tous les 15 jours, ils regrouperont les nouveautés et actualités de la communauté PHP.

Sommaire du numéro 1 :
- Comparatif entre PHP et ASP.Net
- Processus de soumission SXSW
- PHP 5.3
- perspectives

Sommaire du numéro 2
- Les effets de IT, L'oss, et le langage PHP
- Des réactions sur un post de Keith
- Quelle est la valeur dans Zend studio
- Où l'on va avec PHP par Folkes Samuel

- numéro 1
- numéro 2
le 10/09/2009 à 20:18
FireSymfony
FireSymfony est un débogage d'applications à l'intérieur de Symfony Firebug. Il s'agit d'une nouvelle extension Firefox vous aidant dans la réalisation de vos projets framework Symfony.

Le blog du site symfony propose en même un tutorial pour vous aider à bien commencer.

- FireSymfony - Debugging symfony applications inside Firebug
- FireSymfony: Installing and Configuring the Plugin
Le service musical MusicMe, qui s'était distingué en lançant en France la première offre de téléchargement illimité de musique sur le mode locatif, vient de mettre en place une nouvelle formule de distribution, plus conventionnelle, basée sur un achat "à la carte" associé à des formats sans DRM, voire à des fichiers lossless (encodage sans perte).

L'achat ne se fait pas à l'acte, comme sur iTunes ou Amazon, mais par le biais de "formules" donnant droit à un certain nombre de téléchargements. Pour 6,90 euros, l'internaute pourra ainsi télécharger "de 5 à 10 titres". A 9,90 euros, il s'en verra proposer de 7 à 14, puis de 15 à 28 pour 19,90 euros. Chaque titre est proposé dans différents formats qui, tous, sont exempts de mesures techniques de gestion des droits numériques : MP3 (192 ou 320 Kbps), AAC (110 ou 320 Kbps) mais aussi WMA Lossless. Les fichiers ainsi acquis pourront donc être lus sans restriction d'usage dès lors que l'utilisateur dispose d'un équipement compatible.

En parallèle, MusicMe maintient sa formule "téléchargement illimité", facturée 9,90 euros par mois, associée à des fichiers protégés par DRM. Le mode locatif implique en effet que la licence accordée à l'utilisateur soit renouvelée chaque mois durant la totalité de son abonnement. Avec un catalogue estimé à 4,8 millions de titres, le service compte sur la diversité de ces offres pour répondre aux attentes du plus grand nombre.
Après l'affaire ayant opposé le fabricant de GPS TomTom à Microsoft concernant une violation du brevet du format de fichiers FAT, les distributeurs de Linux souhaitent se rassembler afin de racheter les droits de technologies autrefois déposés par la firme de Redmond. Ce groupe, baptisé Open Invention Network et constitué entre autres de IBM, Red Hat et Sony, déclare ainsi être sur le point d'acquérir 22 brevets vendus plus tôt cette année par Microsoft à l'organisation Allied Security Trust (AST).

Cette initiative devrait protéger les éditeurs de distributions de Linux contre d'éventuelles attaques en justice, notamment de la part d'individus ne faisant pas usage de ces technologies déposées mais engageant plusieurs procès afin de récolter des droits de dommages et intérêts. De son côté, le groupe AST est constitué, entre autres, de Verizon Communications, Cisco Systems Inc et Hewlett-Packard. Keith Bergelt, directeur de l'Open Invention Network, déclare : "nous avons empêché le déroulement d'un scénario où ces brevets pourraient être utilisés avec de mauvaises intentions".

Récemment Microsoft a annoncé que sur ses 50 000 technologies déposées, la communauté Linux en avait enfreint environ 200. Depuis quelques temps Microsoft tente de négocier des contrats d'utilisation avec les développeurs de logiciels open source. Au mois de juin, Richard Stallman, fondateur du projet GNU et de la licence publique GPL, s'était montré réticent vis-à-vis du projet Mono initié par Novell et qui permet d'assurer une compatibilité avec le langages .NET de Microsoft et offrant un compilateur C#. Microsoft avait alors déclaré ne pas vouloir engager de poursuites judiciaires.

Dave Kaefer, directeur général de la propriété intellectuelle chez Microsoft, assure que la société n'entend pas entraver le marché des produits basés sur Linux avant d'ajouter que si tel avait été le cas, ils n'auraient pas vendu ces technologies à AST, un groupe composé de plusieurs défenseurs de la communauté Linux. A propos de ces brevets, M. Kaefer affirme : "ils n'étaient pas importants pour l'avenir de notre stratégie".
Les éditeurs de livres veulent remplacer les notes en bas de page par du contenu multimédia. Les éditions Robert Laffont vont proposer en librairie dès demain un nouveau livre nommé "Le sens des choses", écrit par Jacques Attali en collaboration avec 32 auteurs dont Erik Orsenna, Philippe Solers ou Jean-Claude Trichet.

Édité à 50 000 exemplaires, il ne coûte pas plus cher qu'un livre classique de la même édition (21 euros) mais se veut être le premier "hyperlivre" mis sur le marché, permettant d'accéder à des contenus multimédia additionnels. Comment ? Le long des près de 300 pages du livre, ce sont 83 flashcodes - des code-barres 2D - qui sont ajoutés dans certaines parties du texte.

Hyperlivre : un livre avec du contenu multimédia supplémentaire

Pour accéder à ces "hypercontenus", 3 moyens seront disponibles : en passant par Internet via le portail hyperlivre-lesensdeschoses.com, par SMS en envoyant le numéro de page contenant le flashcode à un numéro non surtaxé ou directement depuis les quelques mobiles compatibles via une application spécifique. Proposée par Orange qui se charge de l'infrastructure technique de ces "hyperlivres", cette application est compatible avec "26% du parc de mobiles français", précise Didier Lombard, le PDG de France Telecom.En plus des smartphones sous Windows Mobile, sous Symbian et sous Blackberry OS (Blackberry Bold), elle sera prochainement disponible sur l'iPhone, l'application étant en cours de validation par Apple.

Les utilisateurs de terminaux Android ne devraient pas en revanche en bénéficier. Il suffira ensuite pour le mobinaute de scanner le code-barre 2D grâce à l'appareil photo d'un mobile pour accéder au contenu multimédia associé, qui peut être un simple texte, de la musique ou une vidéo.

Un modèle économique encore à imaginer

Cependant, les contenus proposés ne devraient être gratuits que pendant 6 mois. "Il s'agit d'une première phase de test", précise à cette occasion Leonello Brandolini, le PDG des Éditions Robert Laffont, qui pourrait si les "hyperlivres" connaissent un succès important étendre leur période de disponibilité. "Cette technologie nous permettra pour la première fois d'avoir des statistiques d'usages de nos lecteurs, pour savoir quand ils lisent nos livres, si ils les lisent en entier et de quelle manière ils les lisent (chapitre par chapitre ou en le parcourant)", ajoute-t-il.

En terme de modèle économique, Leonello Brandolini pourrait augmenter le prix de ses "livres augmentés" pour certains type d'ouvrages, notamment des dictionnaires ou des encyclopédies, ce qui n'a pas été le cas pour le premier "hyperlivre". D'ailleurs, les contenus multimédia proposés ici sont pour la plupart des contenus déjà produits par le biais d'interviews téléphoniques réalisées à la radio. Car si l'ouvrage de Jacques Attali est le premier livre de ce type, il devrait être rejoint par d'autres livres dans les prochains mois. "Je souhaite que d'autres livres utilisent une telle technologie, qu'il s'agisse de romans, de dictionnaires ou de guides touristiques" a d'ailleurs ajouté Jacques Attali.

Concernant l'avenir des livres totalement numériques, tous s'accordent a dire que le livre papier ne dois pas entrer en concurrence avec le livre numérique. "Je suis très attaché au format papier enrichi par du contenu multimédia", précise Didier Lombard; Pour Jacques Attali, "nous voulions aller plus loin en mariant 2 objets nomades, le premier très ancien (le livre) et le second plus récent (le mobile)"; Pour Leonello Brandolini, "nous pourrions développer une version totalement numérique du "Sens des choses" avec du contenu multimédia supplémentaire mais ce n'est pas ce que nous avons voulu faire. Ce n'est pas à l'ordre du jour".
Les ventes de musique enregistrée sur supports physiques continuent leur lente dégringolade et le marché du numérique ne croît plus que dans des proportions réduites : pour le Snep, Syndicat national des éditions phonographiques, le premier semestre de l'année 2009 révèle en France un marché de la musique sinistré. Sur le marché de gros de la musique enregistrée, les ventes représentent un chiffre d'affaires global de 229,2 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année, inférieur de 17,8% à celui enregistré sur le premier semestre 2008.

C'est le marché des supports physiques en général et du CD en particulier qui connait la baisse la plus importante : 52 millions d'euros sur un an. En parallèle, le numérique (qui regroupe musique vendue à l'acte ou commercialisée sous forme d'abonnement, sur Internet ou sur téléphone mobile) ne progresse que de 3,3%, soit 1,7 million d'euros sur un an. La part du numérique augmente, puisqu'il représente maintenant 17% du marché total, mais en 2009, sa progression est « seulement imputable à la baisse du marché physique », estime le Snep.

« A sept années d'intervalle, le marché semestriel de la musique enregistrée est divisé par 2.5 (577 millions d'euros en 2002 et 229 millions d'euros en 2009) et perd 348 millions d'euros (-52 %) », rapporte le Syndicat dans son rapport semestriel. Le marché des singles (CD deux titres) chute de 50,4% sur un an, tandis que celui des albums perd 20,8%.

Du côté du numérique, le téléchargement sur Internet progresse de 39% sur un an. Une hausse importante, que compense toutefois l'érosion des revenus liés à la téléphonie mobile. A 9,8 millions d'euros, ils ne représentent que la moitié des sommes enregistrées au 1er semestre 2008. Les formules de type streaming et abonnement connaissent quant à elles une belle envolée, avec des revenus multipliés par trois qui atteignent 10 millions d'euros.

Alors que s'apprêtent à reprendre les débats liés à la loi Hadopi, le Snep souhaite à sa façon tirer la sonnette d'alarme. La baisse des ventes nuit à la création musicale française : seuls 107 albums francophones ont été commercialisés au premier semestre 2009. Une baisse de 4% par rapport à 2008, et de 54% par rapport à 2002.
Lors de la conférence IBC, qui se déroulera à Amsterdam le 11 septembre prochain, Microsoft devrait lever le voile sur les nouvelles fonctionnalités embarquées au sein de Silverlight 4. Créé pour concurrencer le couple Flash/Flex édité par Adobe, Silverlight permet de développer des applications enrichies dont l'exécution sera assurée au sein du navigateur. Comme Flash, Silverlight requiert donc l'installation d'un plugin dédié fonctionnant sous Windows, Mac ou Linux grâce au projet Moonlight de Novell.

Pour sa troisième mouture, Silverlight avait été optimisé en prenant en charge l'accélération matérielle du décodage des vidéos et de l'affichage des animations, de quoi permettre la lecture en haute définition sur des ordinateurs modestes, alors que la technologie d'Adobe est réputée pour accaparer le processeur à la moindre animation affichée. De son côté Silverlight 4 devrait gérer nativement le multicast (multidiffusion) permettant la diffusion du contenu simultanément vers un groupe d'ordinateurs identifiés par une adresse spécifique ; jusqu'alors, un plugin était nécessaire. Notons également que la gestion des DRM sera basée sur la technologie PlayReady initialement conçue pour être embarquée au sein des baladeurs numériques et qui permet donc de fonctionner sans connexion Internet. Microsoft annonce que PlayReady devrait permettre aux studios de mettre à disposition auprès des internautes leurs contenus tout en y apposant un verrou numérique semblable à celui du DVD ou du Bluray. A terme, cela pourrait donc relancer le marché de la location sur Internet.

Microsoft mettra aussi à disposition la version finale du protocole de transfert IIS Smooth Streaming utilisé en bêta pour la diffusion de grands événements tels que le Tour de France ou Roland Garros. Frédéric Vincent, responsable du développement chez Canal+, explique qu'avec Silverlight et PlayReady « nous pouvons lancer nos services de Web TV comme Foot+ sur la plupart des navigateurs Internet (...) tout en maintenant un haut niveau de sécurité du contenu ». Il ajoute : « Canal+ est également très emballé par la technologie ISS Smooth Streaming qui nous permet de déployer une qualité de lecture vidéo impressionnante sur le web auprès de nos clients ».
Fidèle à ses bonnes habitudes, Microsoft a publié cette semaine, comme tous les deuxièmes mardi du mois, sa fournée mensuelle de correctifs de sécurité. Cinq patchs sont proposés au téléchargement, qui viennent combler huit vulnérabilités concernant différentes éditions de Windows ou certains de leurs composants. La faille relative à IIS, le serveur Web de l'OS de Microsoft n'est cependant pas corrigée. Ironie du sort, une nouvelle vulnérabilité vient par ailleurs de faire son apparition.

Le bulletin de sécurité publié par Microsoft évoque donc cinq correctifs, tous qualifiés de critique. Les trois premiers adressent des problèmes détectés au niveau moteur JavaScript, du service de configuration automatique de réseau local sans fil et du format Windows Media, susceptibles de permettre l'exécution de code malveillant à distance, par l'intermédiaire d'une page Web ou d'un fichier multimédia piégé de façon à en tirer parti.

Le quatrième, MS09-048, corrige une série de vulnérabilités liées au protocole TCP-IP qui aurait pu être utilisée pour une attaque par déni de service ou l'exécution de code à distance. « Ces vulnérabilités pourraient permettre l'exécution de code à distance si un attaquant envoyait des paquets TCP/IP spécialement conçus à un ordinateur avec un service d'écoute sur le réseau », explique l'éditeur. Le dernier, enfin, corrige une vulnérabilité dans le contrôle ActiveX du composant d'édition DHTML.

A un niveau ou à un autre, toutes les éditions de Windows depuis 2000 SP4 sont concernées par au moins un de ces correctifs. Les utilisateurs sont donc invités à installer sans attendre les mises à jour proposées par son système.

Comme le savent bien les éditeurs, la sécurité informatique est une perpétuelle gageure. Une nouvelle faille a ainsi été portée à la connaissance du public lundi, juste avant la publication de ces correctifs. Découverte par Laurent Gaffié, chercheur en sécurité, elle affecte le protocole SMB 2.0 (Server Message Block), lié au partage de fichiers et d'imprimantes. Microsoft a depuis confirmé son existence. En fonction de la gravité de cette dernière, l'éditeur pourra choisir d'attendre la livraison des correctifs du mois d'octobre ou anticiper la mise en ligne d'une rustine dédiée.
le 09/09/2009 à 21:59
Code barre
L'utilisation des codes barres est quelque chose de très répandue depuis de nombreuses années. Ce système est aussi présent sur internet et les supports mobiles (téléphone par exemple) avec les nombreux formats qui existent.

Le langage PHP permet de générer les codes barres avec la librairie graphique GD.

Un article publié sur le site code-diesel montre la possibilité d'incorporer dans votre application web l'utilisation de l'ensemble des différents formats de codes barres.

- Using barcodes in your web application
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