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Pour répondre à la sortie du livre choc qui dénonce de potentielles irrégularités dans le processus électoral ayant conduit Martine Aubry à la présidence du parti socialiste, Ségolène Royal avait tout prévu. A commencer par une nouvelle version de son site Internet, Désirs d'avenir, qui pour l'occasion perdait son .org au profit d'un .com. Mis en ligne mardi, ce dernier profite d'une notoriété sans précédent. Principalement parce que dans une allocution vidéo publiée en début de soirée, la présidente de Poitou-Charentes y donne son avis sur la polémique en cours, mais pas seulement. Certains technophiles se sont rapidement donné le mot pour que circule l'adresse du site, tant son design passé de mode et sa réalisation bancale les ont fait rire. En quelques heures, le nouveau Desirsdavenir.com devient le sujet in sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook, et donne naissance à divers détournements humoristiques.

Inutile d'être versé en technologies du Web, en ergonomie ou en accessibilité pour comprendre que le site ne répond pas aux critères esthétiques valables sur la Toile en 2009. Le site s'ouvre sur une image de paysage, au centre de laquelle on trouve un lecteur vidéo qui se lance automatiquement, encadré de deux séries de liens dont certains fonctionnent.. et d'autres non. Passé la page d'accueil, on arrive sur une implémentation basique du gestionnaire de contenus Joomla (CMS, gratuit) avec, là encore, des liens qui parfois n'aboutissent pas. Mercredi après-midi, le site retourne régulièrement des erreurs 500.

Sur le Web, on ne mâche pas ses mots, surtout losqu'on peut s'offrir une telle cible de choix. Twitter, Facebook, forums et commentaires sur les sites d'actualité : les réactions fusent. "Suicide numérique" pour les uns, "epic fail" pour les autres, le nouveau desirsdavenir donne surtout envie de rire. Sur les forums Clubic, certains vieux de la vieille ne manqueront pas de glisser une allusion à Jvachez ;-)

"Aujourd'hui, pour 41.000 euros on n'a plus rien", résume-t-on sur Twitter. C'est là que le bât blesse : les sites mal faits sont légion sur Internet, mais la plupart du temps, ils ne sont pas facturés 41.000 euros. Plus précisément, 41.860 euros si l'on en croit le site de L'Express, qui révèle le montant de la facture adressée à Pierre Bergé, le principal soutien financier de Ségolène Royal. Cerise sur le gâteau, desirsdavenir aurait été réalisé par une agence inconnue sur la place de Paris, mais dirigée par le compagnon de cette dernière ! Certes, d'autres fonctionnalités seraient censées voir le jour, mais tout de même.

Un site que n'auraient pas renié les fondateurs de Frontpage, un tarif exorbitant, une mise en scène qui intervient dans un contexte politique troublé : tous les ingrédients sont réunis pour que l'esprit potache des internautes se déchaine. Très rapidement nait un générateur de site, puis les inévitables parodies, Désirs d'endives d'inspiration Raëlienne et Désirs de fail, plein d'Artworks et de .gif animés, sans oublier le site qui se fait fort de recenser toutes les allusions à ce est qui est devenu, pour quelques heures au moins, un véritable mème.

Ségolène Royal n'aurait sans doute pas fait mieux si elle avait choisi de mettre en place une stratégie de communication basée sur l'auto-dérision. Elle ne serait en revanche sans doute pas allé jusqu'à procéder à un nouveau détournement du film La Chute tel que celui qui suit... Les internautes attendent maintenant avec impatience de voir ce que donnera le futur réseau social en projet à l'UMP. Là, on parle en effet d'un budget de 500 000 euros.

Mise à jour, 17/09, 10h50 : Le site a évolué dans la nuit. La vidéo ne se lance maintenant plus par défaut, et un nouveau fond de page a fait son apparition, assurant la promotion de la Journée de la Fraternité organisée le 19 septembre prochain à Montpellier. Du côté technique, quelques évolutions également, pas toujours très pertinentes...
Cet été, l'association des éditeurs de journaux américains s'est interrogée sur les nouveaux moyens possibles pour redynamiser son marché et augmenter ses revenus. C'est ainsi que plusieurs grandes firmes, dont Microsoft, Google ou IBM, ont été consultées à ce sujet afin d'obtenir de nouvelles pistes d'exploration.

Pour sa part, la firme de Redmond a publié un concept baptisé "Next-Generation Newspaper". L'interface utilisateur du produit en question aurait été travaillée conjointement avec la firme Sobees et tente d'illustrer plusieurs idées. Microsoft propose alors une page personnalisable composée de plusieurs modules intéractifs présentant différents types de médias de manière contextuelle. Ces éléments sont retournés via des flus RSS (textes, photos, videos) provenant de différentes sources. Cette page est censée fonctionner sous n'importe quel système d'exploitation, au travers de n'importe quel navigateur et peut être consultée hors connexion. Les revenus seraient principalement générés par de la publicité contextuelle et un système de contenu premium.

Ce "journal de nouvelle génération" utiliserait plusieurs technologies de la société de Redmond, notamment SharePoint, pour la collaboration éditoriale et la gestion du contenu provenant des partenaires, PlayReady, pour protéger les droits d'utilisation de ce contenu ou encore les services Windows Live pour en améliorer l'interface utilisateur et ajouter des fonctionnalités communautaires.

Notez que la firme Sobees propose un programme très similaire utilisant la technologie Silverlight de Microsoft. Retrouvez le concept dans son intégralité ici (PDF).
Voté mardi à l'Assemblée nationale, le second volet de la loi Hadopi a fait l'objet aujourd'hui d'un examen par la commission mixte paritaire, qui réunit sept sénateurs et sept députés. Ces derniers n'ont pas mis longtemps à délibérer, et se sont entendus sur un texte identique à celui qui a été approuvé par l'Assemblée. La majorité UMP et centristes a voté en faveur du texte, alors que les représentants PS et PCF, ont voté contre, comme ils l'avaient fait mardi.

Le texte va donc maintenant poursuivre sa route pour un dernier vote solennel : le 21 septembre au Sénat puis le lendemain, 22 septembre, à l'Assemblée nationale. Il devrait alors faire l'objet d'un recours déposé devant le Conseil constitutionnel par les députés PS et PCF, qui entendent notamment dénoncer le recours à l'ordonnance pénale, et tenter d'obtenir une nouvelle censure du texte. Retrouvez notre rappel des enjeux liés au projet de loi Hadopi 2, ainsi que les reproches formulés à l'encontre du texte.

Mise à jour, 22h15 : "La navette parlementaire a ainsi joué son office, chaque assemblée parlementaire ayant pu apporter sa pierre à l'édifice dans un esprit constructif et pédagogique", se félicite dans un communiqué Michel Thiollière, rapporteur du projet de loi pour le Sénat. Il souligne par ailleurs qu'en tirant les conclusions de la décision du Conseil constitutionnel du 10 juin dernier, cette nouvelle loi insère un maillon devenu manquant entre, d'un côté, l'action préventive de la HADOPI et, de l'autre, la voie pénale existante et permet donc de redonner une portée pédagogique à la lutte contre le phénomène du piratage des oeuvres culturelles sur Internet. Un avis qui reste loin de faire l'unanimité !
le 16/09/2009 à 22:22
PHPUnit 3.4.0
La très attendue nouvelle version de PHPUnit vient de sortir.

Les nouvelles fonctionnalités proposés sont :
- le support pour les dépendances dans les tests et la réutilisation mobilier
- la possibilité d'exécuter des tests dans des processus distinct PHP pour les tests d'isolement accru

Consultez le communiqué pour connaître l'ensemble des nouveautés.

- PHPUnit 3.4.0
- Le communiqué PHPUnit 3.4.0
le 15/09/2009 à 22:19
Comment Déboguer en PHP
Sur le blog de Think vitamine, Kieran Masterson a écrit un article assez complet pour déboguer vos applications PHP.

Il existe de nombreuses façons de repérer les niveaux des erreurs en utilisant quelques outils, cela peut vous faciliter la vie.

En outre, l'article vous montre le point de démarrage pour utiliser certains outils comme FirePHP et xDebug.

- How to Debug in PHP
le 15/09/2009 à 22:19
Comment PHP est devenu un tel succès
Le site Techradar.com publie une interview de Rasmus Lerdof sur le thème « Comment et pourquoi PHP est devenu un tel succès dans le monde du développement en ligne ?".

Les sujets mentionnés dans l'interview sont très variés et surtout, l'interview parle des différentes actions dans lesquelles Rasmus est impliqué.

- How PHP became such a huge success
Hier nous apprenions que Microsoft travaillait sur une nouvelle version de son moteur de recherche Bing. Plusieurs employés de la société avait en effet publié des messages sur le site Twitter. Aujourd'hui nous découvrons une nouvelle option de recherche baptisée Visual Search.

Cette nouvelle fonctionnalité permet à l'internaute de naviguer les résultats de recherche par vignettes plutôt que par liens texte traditionnels. Pour l'heure, l'équipe a implémenté Visual search autour de quatre domaines : le voyage, la santé, les loisirs et le shopping. Yusuf Medhi, vice-président des services web chez Microsoft, explique : "le concept global, c'est que les moteurs de recherche vont changer". Il ajoute : "les gens chercheront de manière plus graphique et cela marquera un tournant sur la manière dont ils effectuent leurs requêtes ».

La technologie de Visual Search est couplée au plugin Silverlight. Pour y accéder, il faudra changer les paramètres de Bing par défaut et choisir de le localiser aux Etats-Unis. Don Dodge, directeur de la stratégie financière de la société, explique à la BBC qu'il s'agit également d'un meilleur modèle économique. "il y a beaucoup de revenus publicitaires liés au domaine du shopping ou du voyage. Donc il ne s'agit pas simplement d'offrir une meilleure ergonomie de recherche, c'est aussi une meilleure stratégie commerciale". Avec Visual Search, Microsoft semble parier sur une recherche plus multimédia, un mouvement amorcé par Yahoo! et sa technologie Search Monkey.

Testez Bing Visual Search.
Google a dévoilé lundi un nouveau lecteur de news : Fast Flip. Cette application web permet aux internautes d'accéder à des articles présentés sous la forme de pages web (vignettes) et de les feuilleter (flip) virtuellement. Le but de Google consiste à apporter à ses utilisateurs un confort qui se rapproche de la lecture d'un magazine et, bien entendu, d'en tirer profit.

Les articles sont classés par catégories : technologies, économie, politique, divertissement, articles les plus populaires, etc. L'internaute peut passer très rapidement d'un article à l'autre en pointant sur les flèches à droite ou à gauche des séries de vignettes. Lorsque l'internaute double-clique sur un article/vignette, il accède directement au site web du journal concerné. Néanmoins, en un seul clic, la lecture depuis la vignette choisie est aisée.

Les inquiets s'interrogeront sur le respect de la propriété intellectuelle, l'audience que les journaux peuvent générer ainsi que le partage des revenus publicitaires que peut engranger Google par ce biais. Pour les rassurer, la société internet américaine affirme indexer et capturer les images d'articles produits par des sites web partenaires... consentants, par conséquent.

Encore au stade expérimentale, Fast Flip est disponible dans sa version US via Google Labs.
Celui qui n'a pas connu la file d'attente matinale près des bornes RATP le premier jour du mois n'appréciera sans doute pas l'annonce à sa juste valeur, mais la RATP vient de lancer un programme de test visant à permettre le rechargement de son pass Navigo directement depuis le domicile de l'abonné, au moyen d'un lecteur de cartes USB et d'un ordinateur connecté à Internet.

Baptisé "Mon e-guichet", ce service requiert donc l'acquisition d'un lecteur de cartes compatible. Fourni par Gemalto, il sera vendu 15 euros. Le service de règlement en ligne est quant à lui gratuit, alors que le prix du forfait transports en commun reste inchangé. La RATP indique avoir contacté par email quelque 100.000 de ses clients pour leur proposer de participer à cette phase de test grandeur nature. En cas de succès, le programme devrait ensuite être étendu à tous les clients intéressés, début 2010.

Pour les non Parisiens, rappelons que le pass Navigo est le badge fourni par la RATP à ses abonnés en vue de leur accès aux autobus et rames de métro de la capitale. Il fonctionne sur la base d'un abonnement hebdomadaire ou mensuel, qu'il est possible de régler par prélèvement bancaire ou, chaque mois, via des bornes dédiées, présentes dans toutes les stations de métro de Paris. De son côté, la SNCF devrait lancer cette semaine un programme de test similaire, destiné aux utilisateurs de son Transilien (trains d'Ile-de-France).
C'est mardi après-midi, peu après les questions au gouvernement, que les députés de l'Assemblée nationale se prononceront de façon solennelle au sujet de la loi Hadopi 2, chargée d'organiser le volet répressif de la lutte contre le téléchargement illégal sur Internet. A quelques heures du vote, Clubic.com vous propose de revenir sur les enjeux de cette nouvelle loi, sur les arguments que lui opposent ses détracteurs ainsi que sur les futures étapes de son cheminement parlementaire.

Pour mémoire, on pourra suivre en direct le déroulé des débats, puis le vote, à partir de 15 heures depuis le site de l'Assemblée nationale.

J'irai jusqu'au bout

Nommé ministre de la Culture suite à la censure partielle du premier volet de la loi par le Conseil constitutionnel, Frédéric Mitterrand reprend les rênes du dossier Hadopi initié par son prédécesseur, Christine Albanel. « J'irai jusqu'au bout », avait déclaré Nicolas Sarkozy, en dépit de l'impopularité croissante du texte.

Principale raison d'être de se second volet de la loi Hadopi : confier à la justice les pouvoirs de sanction initialement dévolus à la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi), de façon à répondre aux objections formulées par le Conseil constitutionnel.

Concrètement, qu'arrivera-t-il à l'abonné qui télécharge ? Le dispositif reste très proche de celui qui avait été élaboré suite aux accords de l'Elysée. Dans un premier temps, les ayant-droits procèdent au relevé des adresses IP associées à des téléchargements illégaux par l'intermédiaire des réseaux P2P. Munis de cet identifiant, ils saisissent l'Hadopi. Après avoir constaté les faits, les agents de cette dernière initieront la partie « prévention » du dispositif de riposte graduée, via deux avertissements : un courrier électronique puis une lettre recommandée, adressés au titulaire de la ligne.

En cas de nouvelle infraction, l'Hadopi pourra transmettre au parquet le dossier du contrevenant, via un canal dédié, bien plus rapide que les habituels méandres de la justice. Une fois le dossier en main, le juge estimera la gravité des faits et pourra alors choisir entre deux options, sur le mode de l'ordonnance pénale, dans le cadre duquel l'accusé ne comparait pas.

Pour les faits les plus graves, une condamnation pour contrefaçon, passible d'un maximum de 300.000 euros d'amende et de trois ans d'emprisonnement, à laquelle pourra s'ajouter une suspension d'abonnement à Internet d'une durée maximale d'un an. Pour les téléchargements de moindre envergure, le juge pourra envisager de punir non pas le délit de contrefaçon mais le manquement à l'obligation de sécurisation de sa ligne Internet. Cette « négligence caractérisée » pourra alors donner lieu à une contravention de 5e classe (1500 euros d'amende maximum), éventuellement doublée d'une suspension d'un mois de l'abonnement à Internet.

Cette procédure, pensée pour une rapidité maximale, n'interdit pas aux ayant-droits d'initier des poursuites classiques pour contrefaçon.

L'adresse IP, une donnée personnelle ?

Discuté depuis plus d'un an, le principe de riposte graduée divise. Députés de l'opposition et organisations de défense des libertés individuelles insistent sur les lacunes ou failles du projet.

Première d'entre elles : l'adresse IP, qui servira à repérer les pirates. Derrière l'unique adresse IP du foyer, on trouve tous les membres de la famille, mais aussi les éventuels connectés de passage qui auraient profité d'un accès WiFi ouvert ou mal protégé. Condamner le détenteur de la ligne sur la seule foi de cette adresse IP est-il juste ? C'est pour répondre à cette question qu'a été créé le délit de « défaut de sécurisation » de la ligne.

Autre pierre d'achoppement : le fait que l'abonné dont l'abonnement est suspendu doive continuer à régler ce dernier à son fournisseur. Parmi les sujets qui fâchent revient aussi la question d'un logiciel « obligatoire » permettant de se dédouaner en cas de détection d'un téléchargement illégal, mais aussi le fait que toute une famille puisse être frappée d'une suspension alors que seul un de ses membres est responsable d'un éventuel téléchargement.

D'aucuns dénoncent par ailleurs un texte qui prévoit la suspension de l'abonnement à Internet à l'heure où l'on essaie, en France, de développer l'économie du numérique et l'administration électronique. Le Parlement européen a pour sa part estimé que l'accès à Internet faisait partie des « libertés fondamentales » dans la mesure où il se révèle aujourd'hui indispensable au bon exercice du droit à la libre expression. Sur le plan juridique, Hadopi 2 contourne toutefois cette argumentation : une restriction aux libertés fondamentales peut être appliquée comme sanction dès lors qu'elle est prononcée par un juge.

Et après le vote ?

Explicitement soutenu par Nicolas Sarkozy, le texte peut et doit être voté pour la majorité, qui ne tient pas à revivre le vote surprise du 9 avril dernier, lors duquel l'opposition avait réussi à renverser la situation, faute de votes suffisants en faveur du texte. Sauf surprise de dernière minute, le texte devrait donc être voté mardi après-midi, sans doute aux alentours de 16 heures.

Il sera ensuite examiné le 22 septembre prochain par une commission mixte paritaire réunissant sept députés et sept sénateurs. Elle devra établir la version finale du texte en harmonisant les modifications apportées par le Sénat et l'Assemblée nationale. Dans la mesure où les textes sont très proches, les travaux devraient aller vite : le texte reviendra alors devant le Parlement pour un ultime vote, avant promulgation.

C'est à cette occasion que l'opposition devrait, comme avec le premier volet de la loi, demander la saisine du Conseil constitutionnel. Elle motivera sa demande par une série d'objections relatives à la constitutionnalité du texte, et devrait par exemple dénoncer le recours à l'ordonnance pénale, procédure accélérée que l'on réserve habituellement aux situations où la culpabilité du contrevenant est établie d'office.

Une nouvelle censure du Conseil constitutionnel serait sans doute désastreuse, et finirait sans doute par compromettre le projet tout entier. Si rien ne se passe, le texte devrait être très rapidement proposé en Conseil des ministres, en vue de la mise au point des décrets d'application. Il serait alors rapidement publié au Journal Officiel, de façon à ce que le loi entre en vigueur. Déjà instituée par le premier volet de la loi, la Hadopi pourrait alors commencer à envoyer ses avertissements.

Un volet Hadopi 3 déjà en préparation

En complément de ce texte, auquel d'aucuns reprochent de n'envisager que la répression, le ministre de la Culture a récemment initié une mission de réflexion visant à encadrer le développement de l'offre légale en ligne. Celle-ci doit rendre ses premières conclusions dans le courant du mois de novembre. Une nouvelle loi, visant à redéfinir les modalités d'application du droit d'auteur en ligne, verra alors peut-être le jour.
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