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le 19/04/2009 à 22:37
Rmail
HTMLMimeMail est une classe PHP très connu, vous permettant d'envoyer facilement des emails au format TXT ou HTML avec une ou plusieurs pièces jointes et plusieurs destinataires possibles.

L'auteur de HTMLMimeMail change le nom de cette classe en l'appelant « Rmail » pour faciliter sa mémorisation.

Maintenant la prochaine grosse évolution de cette classe apparaitra avec l'arrivée de PHP 5.3.

- Rmail for PHP: A PHP class to send all types of email
le 18/04/2009 à 22:36
Yahoo! Developer Network (YDN)
Yahoo! Developer Network (YDN) est un ensemble de nouveaux services Web que Yahoo propose pour rendre plus simples et intéressants :
- Le développement de Mashups
- L'enrichissement de contenus
- La création de nouvelles applications Web

Avec l'arrivée de cette nouvelle plateforme destinée aux développeurs et développeuses de sites internet, et pour les impatients de voir les différentes possibilités qui sont offertes, Yahoo organise un rendez-vous à la Cantine le 29 avril prochain.

Mais de nombreux articles sous la forme de « TUTORIAUX » sont en cours de parution dans de nombreux magazines et sites internets comme PHP solution, Programmez, PHP Team... Etc.

Vous pouvez consulter le communiquer officiel pour en savoir plus.

- Communiqué YDN
Le fabricant de mini-PC Shuttle vient d'annoncer la disponibilité immédiate du X270V, un ordinateur de type "nettop", aux dimensions et à la consommation électrique réduites, qui présente la particularité de venir équipé du système d'exploitation Linux OpenSUSE 11.

Basé sur le barebone X27D, le X270V adopte une configuration semblable à celle des nombreux netbooks qui ont envahi le marché, en optant toutefois pour un modèle de processeur double coeur, l'Atom N330, cadencé à 1,6 GHz. Ce dernier accepte jusqu'à 2 Go de mémoire vive, et se voit accompagné d'un contrôleur graphique intégré, le GMA 950, ainsi que d'un port réseau gigabit et de 6 ports USB 2.0. En option, on pourra choisir de s'équiper d'un graveur DVD.
Le prix de départ est fixé à 355 euros TTC.
A l'instar de certains de ses concurrents, TF1 vient de lancer, à l'occasion de la mise en ligne de la nouvelle mouture de son portail tf1.fr, un service de "télévision de rattrapage", ou catch-up TV, qui permettra de revoir gratuitement sur le Web la plupart des contenus diffusés à l'antenne dans un délai de sept jours. Contrairement à M6 (éditeur de Clubic.com), qui a fait le pari d'un site et d'une marque dédiés sous la forme de M6Replay, TF1 intègre l'ensemble de son offre vidéo au sein de son nouveau portail qu'il veut plus simple, plus accueillant et plus interactif.

Articulé autour de deux thématiques reines, l'information et le divertissement, le nouveau tf1.fr offre divers flux d'actualités, thématiques ou généraux, ainsi qu'un ensemble de mini-sites dédiés à chacun des contenus que la chaine souhaite mettre en avant sur le Web : émissions de flux, séries ou journaux télévisés, avec à chaque fois une présentation des programmes, des intervenants, etc. ou des actualités dédiées. Le site se dote enfin d'un nouvel espace, baptisé "TF1 & Vous", permettant aux internautes et téléspectateurs de poser leurs questions à la chaîne, qui promet d'y répondre.

C'est toutefois la vidéo qui est au coeur de ce nouveau portail. La télévision de rattrapage permettra de retrouver environ 60% de la grille entre 18 et 24h (sont exclus cinéma, sport, et certaines séries américaines à succès proposées en vidéo à la demande payante). S'ajoutent quelque 16.500 programmes court, archives de la chaine et extraits de programmes populaires, ainsi qu'un zapping quotidien. Une partie des contenus premium tels que les séries est accessible en "HD".

En parallèle, TF1 entend développer le caractère communautaire de son site, avec des espaces de discussion ou la possibilité de laisser des commentaires. Le groupe prépare par ailleurs la mise en place d'un dispositif événementiel spécial : alors que la Une diffusera un programme sur son antenne et sur le web, les internautes pourront le commenter en direct depuis le réseau social, sur un modèle identique à ce qu'avait fait CNN aux Etats-Unis lors de l'inauguration présidentielle américaine. Le coup d'envoi devrait être donné le 28 avril prochain pour la Champions League.

Objectif affirmé : parvenir à augmenter aussi bien le trafic généré par son site que le temps passé par les internautes à le consulter. "L'heure est aux synergies et non plus aux combats entre nouveaux médias et TV", a lancé Nonce Paolini, PDG de TF1, lors de la présentation à la presse du nouveau tf1.fr. En parallèle, le groupe vient d'adopter un nouveau système de mesure d'audience fourni par Mediamétrie, qui vise à comptabiliser précisément le temps passé par chaque internaute sur une vidéo, de façon à exploiter au mieux cette dernière sur le plan publicitaire. Et ainsi de confirmer que l'idée selon laquelle la vidéo sur le Web n'a pas vocation à phagocyter les parts de marché de la télévision, mais bel et bien à les compléter, a fait son chemin.
Google plie ne mais rompt pas. Habitué à des croissances record, le numéro un mondial des moteurs de recherche enregistre pour la première fois de son histoire une légère baisse de son chiffre d'affaires, qui s'établit à 5,51 milliards de dollars pour le premier trimestre 2009, soit un recul de 3% par rapport au quatrième trimestre 2008. Sur un an, les recettes de Google progressent toutefois de 6%. En revanche, le groupe enregistre un bénéfice supérieur aux attentes, en hausse de 9% sur un an, à 1,42 milliards de dollars.

"Aucune société n'est à l'abri de la récession", a commenté Eric Schmidt, directeur général de Google, lors d'une conférence téléphonique donnée aux investisseurs. "Google en ressent effectivement l'impact. Les utilisateurs cherchent toujours, mais ils achètent moins".

Selon ComScore, Google est aujourd'hui crédité de 63,7% des parts du marché de la recherche aux Etats-Unis, loin devant ses concurrents Yahoo ou Microsoft. Chaque mois, le moteur enregistrerait sept milliards de requêtes outre-Atlantique.

Les sites du groupe Google, pages de son moteur de recherche ou services en ligne tels que YouTube ou Gmail, sont à l'origine des deux tiers des revenus publicitaires enregistrés sur le trimestre par la firme de Mountain View, et représentent une hausse de 9% sur un an. Une progression logique, dans la mesure où Google a étendu ses surfaces publicitaires à des services qui jusqu'ici en étaient exempts, comme Google News. Le tiers restant provient des sites membres du programme AdSense, en baisse de 3% sur un an.

Les dirigeants de Google ont rappelé que la période à venir, soit le deuxième trimestre de l'année, était une période traditionnellement "faible" sur le plan des revenus publicitaires. Quoi qu'il en soit, le moteur semble ne pas voir se dessiner une reprise immédiate. Conséquence de cette frilosité : les primes 2009 versées ont été revues à la baisse. Google a par ailleurs cessé d'étendre sa masse salariale, estimée à 20.164 employés à la fin du premier trimestre.
Une nouvelle bataille vient d'être gagnée dans la lutte contre le spam et plus particulièrement du scam nigérien. En effet, qui n'a jamais reçu ces emails de la part d'une famille nécessitant un crédit financier et promettant un remboursement avec intérêts ?

Les autorités ont pu identifier l'origine de certains de ces messages envoyés entre 2005 et 2008. Il s'agirait d'un australien d'une trentaine d'années du nom de Tuoyo Clement Nikaghanri qui aurait volé la somme de 132 400 dollars à quatre victimes locales.

M. Nikaghanri fut condamné à six ans de prison par le juge Phillip Eaton du tribunal d'instance. L'une des personnes proches de cette affaire, Clyde Ellison, déclare au quotidien West Australian : "c'était un vrai chef d'oeuvre avec beaucoup de travail et beaucoup d'expertise", avant d'ajouter : "il y avait plusieurs documents et photos qui semblaient authentiques pour convaincre les victimes".

Tuoyo Clement Nikaghanri aurait rejoint ce réseau de spammeurs afin de payer une dette de 96 000 dollars. L'homme possédait également quatre faux passeports et aurait été accusé de fraude.
Le 16 février dernier, le procès opposant les fondateurs du site The Pirate Bay aux lobbys de l'industrie culturelle débuta en Suède sous le regard attentif des médias du monde entier ; notamment de la France, au coeur des discussions du projet de loi Création et Internet.

Dans cette affaire, Frederik Neij, Gottfrid Svartholm Warg, Carl Lundstrom et Peter Sunde furent accusés d'avoir aidé des millions de gens à partager illégalement des films, de la musique et des jeux vidéo sur Internet. Du côté de l'accusation nous retrouvons entre autres Warner Bros, Sony Music Entertainment, EMI et Columbia Pictures.

Malgré les espoirs des partisans de The Pirate Bay, la cour a reconnu les fondateurs du site coupables des méfaits susmentionnés et chacun d'entre eux a été condamné à un an de prison ferme et a une amende globale de 2.74 millions d'euros. Les quatre membres du site devraient faire appel de cette décision. Les deux parties disposent de trois semaines pour préparer leur prochaine stratégie.

Notez que le compte-rendu de ce jugement fut disponible avant l'heure officielle, une occasion pour Peter Sunde d'ironiser sur la sécurité des studios d'Hollywood continuellement victimes des fuites de leurs derniers films. Peter Sunde précise par ailleurs que le site The Pirate Bay ne fermera pas ses portes.
La société de sécurité informatique McAfee a récemment publié un rapport dans lequel les experts dressent l'impact écologique du spam envoyé chaque année. Parmi les chiffres-clés de ce rapport, notons 33 milliards de kilowattheure, c'est-à-dire l'équivalent de l'électricité utilisée dans... 2,4 millions de foyers.

Comment mesurer l'impact environnemental du spam ? Les chercheurs ont retenu la quantité d'énergie produit par l'ordinateur pour créer, envoyer, ouvrir, effacer et filtrer un courrier indésirable dans 11 pays, à savoir la France, l'Allemagne, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Chine, le Canada, le Brésil, le Japon, le Mexique, l'Inde et l'Espagne.

Pour la petite anecdote, un seul courrier indésirable génèrerait 0,3 gramme de gaz carbonique, cela représenterait l'équivalent d'une voiture parcourant trois mètres. Ces chiffres doivent être multipliés par le nombre de spams annuels, c'est-à-dire 62 000 milliards rien que pour l'année 2008. 80% de cette énergie serait consumée par les internautes effaçant les messages indésirables et procédant à des recherches au sein de leur boite aux lettres pour retrouver du courrier légitime. De leur côté les filtres automatiques représenteraient 16% de cette quantité d'énergie. De ces chiffres il ressort que les dispositifs de filtrage économiseraitn 135 térawattheure soit l'équivalent de 13 millions de voitures en moins sur les routes.

Retrouvez l'étude en français dans son intégralité ici (PDF).
La nécessité de maitriser son identité en ligne n'est plus à démontrer. Partant de ce constat, l'équipe des Geemiks*, avec l'École supérieure de commerce de Lille et l'École Centrale de Lille, a réalisé un guide pratique à destination des internautes. Cet ouvrage intitulé Cultivez votre identité numérique est accessible en ligne sous forme d'un e-book consultable gratuitement.

Inspiré par le forum YouOnTheWeb, organisé fin mars 2009, ce travail collaboratif sous licence Creative Commons a été co-écrit par une vingtaine d'auteurs de tous les horizons (Damien Bancal, fondateur de Zataz.com ou encore Serge Ravet, directeur de l'institut européen d'e-learning, pour n'en citer que deux). Il tente d'apporter une réponse méthodologique aux enjeux de la e-réputation. Agrémenté de témoignages, de contenus interactifs (vidéo, slideshare, billets de blog) et de nombreux liens, ce document a été réalisé via l'outil de publication Issuu.

*La communauté des Geemiks, Geek (férues de nouvelles technologies) + Gimmick (terme de jazz : les cinq premières notes qui donnent le ton), imagine les usages du web 2.0 pour les managers.
Le site WebReference propose un article en 4 parties sur le thème de la personnalisation de l'utilisateur pour les identifications.

Cet article vous parle :
- La préparation de la demande
- La vérification et contrôle du code
- Le login
- Enregistrement des utilisateurs

- User Personalization with PHP: Beginning the Application
- User Personalization with PHP: The Verification Code
- User Personalization with PHP: User Login
- User Personalization with PHP: User Registration
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