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PHPCompute est une nouvelle façon d'utiliser le langage PHP.

Ainsi, vous pourrez utiliser le noeud PHPCompute et d'écrire des scripts PHP, pour transformer les messages WebSphere dans WebsSphere Message Broker.

Le site IBM vous montre comment l'utiliser étape par étape.

- Introducing the WebSphere sMash PHPCompute node in WebSphere Message Broker
Le site Smashing Magazine rappelle dans son dernier article, certains points à prendre en compte avant la mise en ligne d'un site internet car souvent oubliés.

Ils sont aux nombres de 15 :
- Favicon
- Titles And Meta Data
- Cross-Browser ChecksProofread
- Links
- Functionality Check
- Graceful Degradation
- Validation
- RSS Link
- Analytics
- Sitemap
- Defensive Design
- Optimize
- Back Up
- Print Style Sheet

- 15 Essential Checks Before Launching Your Website
Hier après-midi, le projet de loi du gouvernement pour lutter contre le piratage a été rejeté par les députés de l'Assemblée Nationale. Alors que le texte avait été adopté au Sénat, il n'y avait pas assez de députés de la majorité dans l'hémicycle pour que la loi Hadopi soit adoptée.

Invitée du site internet du Figaro ce soir, la ministre de la Culture et de la Communication s'est dite "consternée". "J'étais consternée car c'était vraiment une manoeuvre des socialistes" a-t-elle précisé pour expliquer ce coup de théâtre.

Christine Albanel s'engage à ce que le texte soit représenté sans modification dans les prochaines semaines. Si cela n'était pas le cas, la ministre indique alors qu'elle partira : "J'y crois et je représenterai le texte le 28 avril. Et si je ne devais pas le faire, évidemment, je partirai (...) Depuis le début, c'est une affaire personnelle (...) et je souhaite le développement d'Internet comme vecteur culturel."
Après avoir dévoilé sa nouvelle suite d'outils en ligne MobileMe le 9 juin 2008, Apple a décidé de faire le ménage dans sa stratégie Internet en fermant les deux services Groups et Homepage de son ancien pack de souscription .Mac.

Initialement dévoilé avec les iTools en janvier 2000, .Mac HomePage permet aux membres de créer et publier de simples pages web au travers d'un éditeur en ligne. Cependant, depuis son introduction la firme de Cupertino a développé des solutions plus robustes de publication, notamment, le logiciel iWeb intégré au sein de la suite iLife et offrant un large choix de modèles prédéfinis. Par ailleurs, l'internaute a la possibilité de publier du contenu multimédia (photos et vidéos) sur MobileMe Web Gallery directement depuis l'application iPhoto.

Hier, les membres de MobileMe ont reçu un email expliquant : "le 7 juillet 2009, nous allons procéder à l'arrêt de l'application web HomePage .Mac. À compter de cette date, vous ne serez plus en mesure de créer de nouvelles pages, ou de modifier les pages existantes en utilisant HomePage. Toute page déjà publiée avant cette date restera en ligne aussi longtemps que vous le souhaiterez. Si vous devez apporter des modifications à vos pages existantes, faites-le avant le 7 juillet".

D'après le site Internet de la société californienne, au mois de juillet, les groupes de discussions devraient aussi fermer leurs portes : "Les groupes .Mac seront interrompus le 7 juillet 2009. Après cette date, les utilisateurs n'auront plus accès aux adresses e-mail, aux pages web, aux tableaux de message de groupe ou toute autre fonctionnalité des groupes .Mac".

Retrouvez plus d'informations ici et .
Après le succès fulgurant des spots publicitaires d'Apple mettant à mal les arguments commerciaux de Microsoft auprès de ses utilisateurs, la Fondation Linux a décidé en décembre dernier d'organiser un concours de vidéos promotionnelles avec, au coeur de cette initiative, un message clé : Linux n'a plus rien à envier à Windows et Mac OS X, il est temps de passer au libre.

Ce concours, baptisé We're Linux, s'est déroulé entre le 29 janvier et le 31 mars dernier. La fondation recommandait d'employer un ton relativement léger, voire humouristique pour une vidéo ne dépassant pas une minute. Aussi, les organisateurs précisaient que la publicité comparative n'était pas un pré-requis.

En plus du vote communutaire, le jury était composé de Jono Bacon et Joe Brockmeier, respectivement en charge des communautés Ubuntu et OpenSuse. Notons aussi la présence de Tim O'Reilly, fondateur et PDG de O'Reilly Media, et Larry Augustin, membre de la Fondation Linux.

Le résultat de ce concours est désormais publié et le clip sélectionné comme grand vainqueur s'intitule : "What does it mean to be free ?". La vidéo fut réalisée par un israëlien de 25 ans nommé Amitay Tweeto qui gagne un aller-retour à Tokyo pour assister au prochain sommet de la fondation. Mais réjouissons-nous, deux autres vidéos ont été choisies pour leur qualité de montage, notamment un clip français, sobrement appelé Linux Pub.
Les temps sont durs pour les Google Car qui lorsqu'elles ne percutent pas une biche, se font bloquer par une chaine humaine ou... percutent un pont ! C'est la dernière mésaventure en date survenue à l'une des automobiles qu'utilise Google pour tourner les images qui alimentent le service Google Street View.

Comme on peut le voir en ligne, une Google Car plus audacieuse que les autres a décidé de s'engager sous un pont un peu trop bas dans les environs de Pittsburgh, USA. Si la voiture est passée sans encombre, le dispositif dédié à la prise de photos semble avoir nettement moins apprécié l'expérience.

D'autre part, les Google Cars ne sont pas immunisées face aux contredanses, comme le rapporte le site Netorama. L'une d'entre elles a ainsi été arrêtée en Angleterre pour avoir roulé dans une voie réservée aux bus et aux cyclistes. Cette fois-ci, les, images correspondantes n'ont pas été mises en ligne. Le sens de l'humour de Google a manifestement ses limites !
Les rumeurs qui couraient depuis quelques semaines au sujet de négociations entre Sony Pictures et YouTube ont aujourd'hui été confirmées. "Nous sommes en discussions avec YouTube," a aujourd'hui admis Paula Askanas, porte parole de Sony Pictures Television, sans toutefois apporter plus de détails.

Une sélection de longs métrages tout droit sortis des studios de Sony Pictures rejoindraient ainsi les rares films de Metro Goldwyn Mayer, disponibles exclusivement aux Etats-Unis. Le site internet de partage de vidéos de Google continuerait ainsi son grand virage vers les contenus professionnels, plus rentables. Tout comme pour l'accord qui est sur le point de se conclure avec Disney, c'est de nouveau le studio qui se chargerait de la publicité, dont les revenus seraient partagés avec YouTube.

À en croire les accords signés avec d'autres plateformes de vidéo à la demande, comme l'exclusivement américain Hulu, Sony Pictures ne devrait proposer qu'une dizaine de films et se réserver les dernières sorties pour sa propre plateforme Crackle. Il sera en outre impossible de partager ces contenus par le biais du lecteur exportable.

Avec cet hypothétique deuxième accord, et non des moindres, Google pourrait attirer d'autres gros poissons et, qui sait, marcher sur les plates bandes d'Hulu. Reste à exporter ces services en dehors du territoire américain pour en faire profiter le plus grand nombre, et endiguer le téléchargement illégal ?
Il n'y aura pas d'aveu d'échec, mais un simple constat. Quelques heures après le vote surprise de l'Assemblée nationale, la présidence de la République et le ministère de la Culture ont brièvement commenté le vote des députés. Alors que le Sénat venait de valider la loi "Création et Internet" sans le moindre heurt, le texte a été rejeté à l'Assemblée, par 21 voix contre 15, faute d'un nombre suffisant de députés UMP pour contrebalancer l'entrée, au moment du vote, de quelques membres de l'opposition.

Dans un communiqué, Christine Albanel « prend acte avec regret du vote de l'Assemblée ». « Elle tient cependant à dénoncer la triste comédie à laquelle se sont livrés les députés de l'opposition, dont une quinzaine ont dissimulé leur présence pour surgir dans l'hémicycle à la minute même du scrutin. », précise la rue de Valois. « Elle déplore cette manoeuvre de couloir, qui s'est déroulée alors même que les sénateurs d'opposition s'étaient abstenus sur le texte quelques heures plus tôt. »

L'Elysée fait encore plus court, avec la publication jeudi soir d'une communication de trois phrases, dans laquelle le président redit son attachement aux droits des créateurs et sa volonté de voir appliquée au plus vite la loi. « Nicolas Sarkozy n'entend pas y renoncer quelles que soient les manœuvres dérisoires qui n'ont comme seul effet que de nuire à la diversité de la création. », prévient l'Elysée.

Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement, et Jean-François Copé, le président du groupe UMP à l'Assemblée, ont tous deux confirmé jeudi que le texte serait représenté par le gouvernement pour une nouvelle lecture par l'Assemblée, puis par le Sénat. Cette fois-ci, la majorité fera front derrière le texte, a laissé entendre J.F. Copé.

Ce nouvel examen interviendra quelques semaines avant les élections européennes. D'ici là, le parlement européen aura vraisemblablement tranché la question du fameux amendement 138, devenu 46, qui propose de conférer au droit à la connexion à Internet le statut de liberté fondamentale. Une telle décision placerait la France, et son dispositif de riposte graduée basé sur une suspension de l'abonnement à Internet, dans une situation gênante.
Certains l'appellaient le plus gros cyber poisson d'avril jamais créé. Pourtant, si au premier du mois l'activation du ver Conficker/Downadup ne s'est pas avérée aussi virulente que les spécialistes l'avait pronostiquée, ces derniers prévenaient des jours à suivre.

Et pour cause, le laboratoire de sécurité de Trend Micro explique qu'une activité suspecte a été observée sur l'une de ses machines de test infectée de Downadup. "Un nouveau fichier est apparu dans le dossier 'Windows Temp'", explique l'expert Ivan Macalintal. "En regardant de plus près les propriétés du fichier, celui-ci aurait été créé le 7 avril 2009 à 7h41 et 21 secondes précisément".

En analysant l'activité de la machine, Trend Micro n'a enregistré aucun transfert de données via le protocole HTTP le 7 avril entre 7h40 et 7h42. En revanche, un transfert de 134,880 bytes a été noté via le port TCP 5114, généralement utilisé par les logiciels peer-to-peer ; mais aussi par Conficker lui-même pour se mettre à jour. Cette nouvelle version est désormais connue sous le nom de WORM_DOWNAD.E et efface systématiquement toute trace d'activité sur la machine de la victime. La firme note aussi la date du 3 mai 2009 à partir de laquelle cette variante sera désactivée sans plus d'informations.

Par la suite Trend Micro élucida une partie du mystère et rapporte que le 7 avril dernier à 7h41 et 21 secondes précises le ver a tenté de se connecter au serveur de goodnewsdigital.com et de télécharger un fichier chiffré. Le serveur en question fut précédemment utilisé par des hackers pour installer à l'insu des victimes un malware imitant un véritable logiciel de sécurité (Fake/Rogue AntiVirus). Selon les spécialistes, cela pourrait signifier que les auteurs de Conficker sont bien motivés par le gain l'argent. De toute évidence, et même s'il s'agit d'un leurre, la menace n'est pas à prendre à la légère.
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