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Lorsque Google teste de nouvelles fonctionnalités, les utilisateurs de Gmail sont généralement favorisés par rapport aux détenteurs d'un compte personnalisé sur Google Apps. En effet, Google Apps étant principalement destiné aux PME et aux organisations, il est fort probable que la firme de Mountain View souhaite s'assurer de la stabilité de ses produits avant de les déployer auprès des professionnels.

Aujourd'hui, notons que les fonctionnalités de Gmail Labs sont désormais disponibles pour les comptes Google Apps et sont activables à partir de l'interface de gestion des options du service mail. Cependant, Gmail Labs n'a toujours pas été localisé et pour bénéficier de ces divers outils, il faudra donc configurer l'interface son compte en anglais.

A ce jour, les utilisateurs de Gmail bénéficient aussi de thèmes graphiques. A l'avenir il se pourrait alors que les PME et les professionnels disposent d'outils similaires permettant de personnaliser leurs services web.
Dailymotion, qui revendique le statut de premier site vidéo indépendant au monde, inaugure aujourd'hui « DM Kids », un portail vidéo exclusivement destiné aux enfants. Les internautes pourront y consulter gratuitement des contenus fournis par différents fournisseurs et éditeurs, au nombre desquels on trouve quelques grandes chaînes spécialistes de la cible jeunesse, comme Cartoon Network, Boomerang ou Canal J qui jusqu'ici, réservaient leurs contenus aux réseaux de télévision payante.

Environnement sécurisé, contenus sélectionnés

"Les moins de douze ans représentaient déjà près de 5% de notre audience, sur des contenus qui ne leur étaient pas forcément destinés", explique David Ripert, responsable des contenus chez Dailymotion. Pour adresser correctement les besoins de cette cible très particulière, la société imagine donc de mettre en place un nouveau portail, sans aucune corrélation avec ses autres espaces sur le Web, où les contenus seront manuellement sélectionnés, afin de garantir aux parents que l'offre est parfaitement adaptée à leurs enfants.

Pour le lancement lancement, DM Kids disposerait de trois cents heures de programme, soit environ mille vidéos. Outre les chaînes issues de la télévision payante, on trouve parmi les fournisseurs de contenus des canaux spécialisés gratuits (Gulli), des éditeurs (PlayBac), des institutionnels (CNES ou CEA), des labels et des producteurs, ainsi que des créatifs détectés par l'intermédiaire du programme Motionmaker. De quoi retrouver clips, documentaires, reportages... et une copieuse offre de dessins animés, allant de Scooby Doo à Popeye en passant par Bugs Bunny, Tom & Jerry ou Kid Paddle.

Dailymotion concurrent de la TV payante ?

Comme sur le portail principal, le modèle retenu est ici le partage des revenus publicitaires, qui devrait se faire dans la plupart des cas sur une base 50/50. Démarchés par la régie interne de Dailymotion, les annonceurs auront le choix entre bannières, habillages de page, des contenus sponsorisés ou pré-rolls (séquence de pub insérée avant la vidéo visionnée par l'internaute).

Bien qu'il offre un accès gratuit à certains contenus qui jusqu'ici n'étaient disponibles qu'au travers des réseaux câble et satellite, Dailymotion se voit plus comme le complément que le concurrent des TV payantes, avec des contenus à la demande qui n'ont pas forcément pour objet de détourner des flux linéaires traditionnels. "Nous offrons aux chaînes une visibilité supplémentaire, ainsi qu'une nouvelle possibilité de monétiser leurs contenus", estime toutefois David Ripert, qui entend bien convaincre de nouveaux diffuseurs de rejoindre le portail, et porter ce dernier vers les box des opérateurs.

Fort de 10,5 millions d'abonnés à ses offres payantes, soit à peu près l'audience que revendique Dailymotion en France, le groupe Canal+ ne reste pas indifférent à l'essor des services de VOD ou de catch-up TV, comme en témoigne l'arrivée de l'offre « CanalSat à la demande », qui permet de retrouver gratuitement les programmes diffusés à l'antenne pendant trente jours. Reste à voir si la mise en place de nouveaux services permettra de garder captifs des téléspectateurs... devenus ou en passe de devenir internautes.
Selon le Wall Street Journal, Google serait entré en discussion avec les principaux câblo-opérateurs et opérateurs de téléphonie mobile américains afin d'obtenir un traitement privilégié pour ses propres services web. Parallèlement, le géant de Mountain View précise qu'il pourrait interférer manuellement avec son algorithme de recherche.

Neutralité : l'accessibilité au réseau
Don't be evil, tel est le leitmotive de Google, et pourtant, la firme californienne semble être en passe de déroger à cette règle de plusieurs façons. Non satisfait de dominer le marché de la recherche sur Internet, Google tente désormais d'obtenir des partenariats avec les FAI américains afin de proposer un accès optimisé à ses services Internet. Se pose alors la question de la neutralité du réseau.

De leur côté, les opérateurs expliquent que les fournisseurs de contenu devraient partager les coûts de leur infrastructure, notamment du fait d'un trafic qui augmenterait de plus de 50% chaque année. Aussi, ils estiment que pour faire face à cette forte consommation de bande passante (notamment à cause de la vidéo en streaming) ils doivent donc trouver de nouveaux revenus afin de mettre à jour leur réseau. Parmi ces solutions, les opérateurs n'excluent pas de monétiser des accès rapides auprès des fournisseurs de contenu, tels que Google.

L'un des gros câblo-opérateurs américains a refusé de signer un tel partenariat avec Google parce que cela serait en violation avec les principes de la FCC (Federal Communications Commission) vis-à-vis de la neutralité des réseaux Internet. Interrogé par le Wall Street Journal, l'un des dirigeants du fournisseur d'accès à Internet en question explique qu'une telle décision pourrait entraîner de lourdes répercussions judiciaires : "si nous avions signé, cela aurait des ravages à Washington"

Dans cette affaire, Google ne serait pas le seul à remettre en cause les principes de neutralité du réseau et Yahoo! et Microsoft se seraient tous deux retirés d'une coalition visant à assurer la neutralité de la Toile. Ainsi, chacun tente d'imposer son moteur de recherche par défaut sur les téléphones des opérateurs et Google semble avoir précipité son navigateur Google Chrome en version finale afin qu'il soit distribué par les fabricants d'ordinateurs sous version OEM.

Neutralité : la recherche sur Internet
L'introduction de Search Wiki au sein des résultats de recherche de Google laissent aussi certains spécialistes assez sceptiques sur cette technologie. Search Wiki permet à l'internaute de changer la place d'un résultat de recherche à la volée afin de personnaliser les résultats d'une requête pour le compte utilisateur.

Cependant, lors du sommet LeWeb'08, qui s'est déroulé à Paris la semaine dernière, Marissa Meyer, vice-président de Google, a expliqué que la société était actuellement en train d'observer la manière dont les internautes utilisent Search Wiki et, à terme, pourrait s'en servir pour raffiner les résultats de recherche globaux automatisés par l'algorithme du moteur de recherche. Mme Meyer explique que si des milliers d'internautes procèdent à un changement évident, alors ce dernier sera effectué par défaut au sein du moteur.

Le débat s'intensifie au sein des experts en SEO (Search Engine Optimization) et certains jugent cette pratique abusive. Après tout, qu'est-ce qu'un changement évident ? D'autres estiment que le système de vote introduit par Search Wiki, est complémentaire à la technologie PageRank qui analyse la popularité d'un site au travers des liens entrants.

Le tumulte de ces débats autour de la neutralité du net face à la position dominante de Google souligne la dimension commerciale inévitable et le malaise qui subsistent entre la FCC et les FAI américains. A ce jour, Internet ne dispose pas réellement d'un autorité globale internationale capable d'intervenir dans ces discussions.
Après les jeux, ou les recherches Web, les films ! Le site TorrentFreak a publié en fin de semaine dernière son top 10 des films les plus téléchargés sur BitTorrent, basé sur ses propres chiffres et estimations. Il révèle un classement dominé, sans surprise, par les cartons du box-office américain, dernier volet des aventures de Batman en tête, avec plus de sept millions de téléchargements.

Derrière la chauve-souris arrivent le second volet des aventures de l'incroyable Hulk, The Bank Job et You Don't Mess With The Zohan, dernier film d'Adam Sandler, qui tous auraient été téléchargés plus de cinq millions de fois. On s'étonnera toutefois de ne pas voir figurer dans ce classement des longs métrages à succès comme Wall-E ou Iron Man, qui ont pourtant rencontré un important succès, aussi bien dans les salles obscures que sur BitTorrent.

En parallèle du nombre de copies illégalement récupérées via BitTorrent, TorrentFreak mentionne les recettes enregistrées par chacun de ces dix films. Une façon pour ces partisans du peer-to-peer de rappeler que ces nombreux téléchargements n'empêchent pas les studios d'enregistrer des revenus record : The Dark Night a ainsi permis aux studios Warner Bros d'engranger près d'un milliard de dollars.
Réputé pour ses services d'hébergement gratuits, le fournisseur d'accès à Internet Free ajoute une corde à son arc avec la mise en place d'une plateforme de blogs faisant appel au gestionnaire de contenus open source et gratuit Dotclear 2.0. Accessible à tous, sans qu'il soit nécessaire d'être client de Free, ce service propose donc aux internautes qui le souhaitent de disposer d'un blog Dotclear sans avoir à se préoccuper de trouver un hébergement, réserver un nom de domaine et effectuer l'installation du logiciel.

Pour en profiter, on ira simplement créer un compte via la page blog.free.fr. L'activation se fait dès réception du courrier électronique de confirmation, et permet très rapidement de se connecter à son blog, dont l'adresse prendra la forme pseudo.blog.free.fr. L'utilisateur disposera ensuite des principales fonctionnalités de Dotclear, de la création de billets à la gestion des tags ou commentaires en passant par la possibilité de changer le thème graphique adopté par le blog, mais n'aura pas accès aux options de configuration avancées. De la même façon, il est pour l'instant impossible de charger son propre thème, ou d'installer soi-même des plugins.

« Les relations Free.fr/Dotclear n'ont pas toujours été faciles, loin de là. Il y a quelques années, une initiative un peu hâtive avait vu Dotclear arriver en installation automatique sur le service Pages Perso. Ceci avait donné lieu à une mémorable engueulade et pas mal d'incompréhensions. Côté Dotclear, certaines limites imposées par l'hébergement sur Free.fr ne nous ont pas toujours rendu la vie facile non plus, disons-le. », rappelle Olivier Meunier, créateur de Dotclear, avant de préciser que ce partenariat n'est pas de nature commerciale.
le 14/12/2008 à 00:12
IntroMessenger : votre messagerie
IntraMessenger est une messagerie instantané personnel que vous pouvez placer sur votre site internet ou dans votre réseau local, permettant ainsi de correspondre avec les autres machines de votre réseau.

Il s'agit d'une application fonctionnant sur un serveur php/mysql et dont l'administrateur peut gérer les options.

- IntroMessenger : votre messagerie
le 13/12/2008 à 00:11
SPIP 2.0
L'une des plus ancienne API de sa catégorie, voici la nouvelle monture de SPIP.

Pour rappel, SPIP est un système de publication pour l’Internet qui s’attache particulièrement au fonctionnement collectif. Il est toujours multilangue et toujours réalisé en PHP, sous licence GNU/GPL 3.

Cette nouvelle version apporte de nombreuses évolutions, dont ces nouveautés ont été classés en 3 points :
- SPIP et la publication Web
- SPIP et le design Web
- SPIP et la programmation Web

- Communiqué de SPIP 2.0
- Telecharger SPIP 2.0
le 12/12/2008 à 00:10
CodingTeam 0.9
CodingTeam est un système de forge pour logiciel. C'est un projet libre, très léger et surtout extensible.

Cette nouvelle version a été complètement réécrite, mais toujours en PHP, ce qui permet de voir de nombreuses améliorations et évolutions :
- Amélioration de l'interface
- La gestion des sources (SVN)
- Suivi d'activité par les flux RSS et Atom
- Gestion des téléchargements
- Forum
- Intégration de Jabber
- Statistique SVG

etc..

- CodingTeam 0.9 annonce
- CodingTeam 0.9 communauté
- CodingTeam 0.9 sur Wikipédia
Les différentes déclinaisons européennes de Yahoo Music devraient progressivement se voir privées d'un certain nombre de services, au cours d'une période de transition destinée à préparer la mise en place d'une nouvelle version du service, plus riche en fonctionnalités. C'est du moins ce qu'a expliqué Yahoo cette semaine aux utilisateurs français de son service d'écoute de musique en ligne.

« A partir du 15 décembre, les onglets Radio et Videos disparaissent de la barre de navigation en haut de la page. Les liens vers les pages artistes, les clips et les stations radio seront toujours disponibles dans le corps de la page d'accueil », indique Yahoo dans ce message, publié sur son site. Le site annonce en outre la réduction du nombre de radios thématiques aux dix plus populaires au 15 décembre, puis la suspension totale des radios et clips pour janvier 2009.

A cette période de vaches maigres succèderait, courant 2009, l'avènement d'un nouveau Yahoo Music, dont on ne sait pas grand chose, si ce n'est qu'il est prévu de l'ouvrir "au reste du web", pour réunir « informations, musique, photos et news ». En l'absence d'informations complémentaires, difficile d'imaginer ce que donnera la nouvelle version du service, mais cette "ouverture" pourrait laisser présager la mise en place d'un système d'agrégation de contenus, semblable sur le principe a celui des pages Actualité de Yahoo.

Certains ne manqueront pas d'espérer que le portail profite de cette refonte pour enfin rendre ses lecteurs compatibles avec d'autres navigateurs qu'Internet Explorer ;-).
Le cabinet eRoy chargé de déterminer les meilleures stratégies marketing au travers d'Internet, vient de publier une étude effectuée auprés de 283 lycéens et étudiants américains dans 29 états différents et analyse leur mode de communication.

En moyenne, la première adresse email a été crée à l'âge de 13 ans et cela fait environ 8 ans qu'elle est utilisée. Ces jeunes posséderaient en moyenne 2,4 comptes différents. Parmi les services de webmail préférés, Gmail arrive largement en tête du classement avec une part d'utilisation de 32%, suivi par Yahoo! (19%) MSN/Hotmail/Live (18%) puis l'adresse fournie par l'établissement scolaire (17%).

Parmi les autres modes de communication, le réseau communautaire est aussi largement utilisé, et devance même la messagerie instantanée. Facebook arrive en pôle position (83%) suivi de MySpace (65%) et du réseau professionnel LinkedIn (21%).

Cependant, le téléphone portable reste en tête du classement général et plus particulièrement la communication par SMS (37%). Environ 12% des personnes interrogées consultent leurs emails depuis leur téléphone, un chiffre qui, selon eRoi, devrait largement augmenter avec la démocratisation des smartphones.

Retrouvez cette étude ici (PDF).
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