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A l'issue d'une réunion organisée mercredi, les membres de la commission d'Albis ont finalement décidé de maintenir les montants actuellement en vigueur de la redevance copie privée, alors que les ayant-droits demandaient une hausse de 15% des tarifs. En revanche, la commission a opté pour l'extension de l'assiette de la copie privée aux téléphones mobiles, qui devraient donc être assujettis à la redevance dans les prochaines semaines, dès publication des nouvelles mesures au Journal Officiel.

Pour mémoire, le montant de la redevance appliquée à un appareil ou à un support donné est calculé à partir de sa capacité de stockage, mais aussi des usages qui seront faits de ce dernier. Par exemple, on considèrera qu'une carte mémoire destinée à un appareil photo a moins de chances de servir à des actes de copie privée qu'un disque dur multimédia, et l'on ajustera les barèmes en conséquence.

Depuis sa création, la copie privée est censée compenser les copies effectuées à partir d'oeuvres légalement acquises, et ne doit donc pas tenir compte du piratage. Le 11 juillet dernier, le Conseil d'état avait prononcé l'annulation de la copie privée, au motif que cette dernière n'opérait pas de distinction entre usages licites et illicites dans le calcul des montants.

Dans un communiqué, les ayant-droits affirment à plusieurs reprises que, bien que les barèmes soient identiques à ceux qui étaient en vigueur avant cette décision, la redevance copie privée en tient parfaitement compte.

"À partir des résultats d'une étude menée par l'institut TNS Sofres, commandée par la commission, les membres de cette dernière ont élaboré des tarifs, dont le montant demeure identique à ceux actuellement applicables, qui traduisent à la fois la règle fixée par l'arrêt du Conseil d'Etat et la mise à jour des autres paramètres concourant à leur définition", expliquent-ils. Les "autres paramètres" auront donc permis de compenser la nécessaire baisse induite par la décision du Conseil d'état.

Du côté des téléphones, la redevance copie privée ne sera maintenant plus seulement applicable aux smartphones haut de gamme de type iPhone, mais à « l'ensemble des téléphones utilisables à des fins de copie privée de contenus musicaux, audiovisuels, littéraires ou de l'image fixe ». Les barèmes exacts seront connus lors de la publication au JO.
En début de semaine, le Wall Street Journal dénonçait certaines pratiques de Google et accusait la société californienne d'établir plusieurs partenariats avec les principaux câblo-opérateurs américains mettant en péril la neutralité du net. Le quotidien expliquait alors que Google tentait d'obtenir un traitement privilégié pour ses services Internet.

Quelques jours plus tard Google tente de s'expliquer et la firme de Mountain View, à son tour, accuse le Wall Street Journal d'avoir confondu une demande d'accès prioritaire menaçant de plein fouet la neutralité du net et la mise en place de serveurs cache partagés.

Aussi, Richard Whitt, conseiller média & Telecom, explique que la mise en cache des données est une pratique courante utilisées par les fournisseurs d'accès à internet ou les éditeurs de contenu afin d'améliorer l'expérience utilisateur. M. Whitt précise que d'autres sociétés telles que Akamai ou Amazon Cloudfront font usage de cette technique.

Ainsi, le déploiement de serveurs cache pour un site Internet qui nécessite une forte bande passante - tel que YouTube - permet à l'utilisateur d'améliorer le confort de lecture des clips tout en optimisant le trafic Internet des câblo-opérateurs. En effet, ce sont précisément les sites de streaming tels que YouTube - jugés gros consommateurs de bande passante - qui sont pointés du doigt par les FAI américains.

Google précise aussi que la mise en place de ces serveurs est régulée par le programme intitulé Google Global Cache et que cela n'entraine aucune exclusivité auprès des fournisseurs d'accès à Internet.

Richard Whitt conclut : "Google reste fortement engagé dans les principes de la neutralité du net et continuera de travailler avec les autorités dans les années à venir pour conserver un Internet gratuit et ouvert".

Si finalement la neutralité du net ne semble pas être en péril, ce malentendu révèle néanmoins la puissance de Google et la crainte qu'il puisse un jour profiter de sa popularité à ses propres fins.
L'importance donnée à la faille de sécurité affectant Internet Explorer n'était pas feinte : rompant avec ses habitudes, Microsoft a procédé mercredi soir à la publication en urgence d'un correctif de sécurité destiné à son navigateur, sans attendre le deuxième mardi de chaque mois, date à laquelle il distribue habituellement ses rustines et mises à jour.

Qualifiée de critique par l'ensemble des éditeurs de sécurité, cette vulnérabilité était susceptible de permettre l'exécution de code à distance si un utilisateur affichait à l'aide d'Internet Explorer une page Web spécialement conçue, ouvrant la porte à l'injection de malwares, à l'élévation de privilèges et enfin à la prise de contrôle à distance d'un ordinateur.

Les modalités d'exploitation de cette faille ont été publiées le 10 décembre dernier, quelques heures seulement après la publication des correctifs Windows du mois de décembre. D'après certains éditeurs, plus de dix mille sites Web, essentiellement pornographiques, auraient été piégés pour permettre d'en tirer parti, au fur et à mesure que se multipliaient exploits et proof of concept sur les sites spécialisés.

"Nous déplorons cependant que, dans le cas présent, la description de cette vulnérabilité ait été publiée sans laisser le temps à Microsoft d'en fournir le remède." explique Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité chez Microsoft France, dans un communiqué envoyé en urgence par l'éditeur mercredi soir.

Tous les utilisateurs d'Internet Explorer sont donc invités à procéder sans attente à l'installation de ce correctif, dont la distribution a d'ores et déjà commencé via Windows Update. On pourra sinon le télécharger manuellement via cette page.
le 17/12/2008 à 21:35
Aptana PHP
Aptana est un IDE, permettant de créer des sites internet dynamiques et rejoint la large gamme des IDE Open Source et surtout maintenant intègre le langage PHP.

Il est basé sur la technologie Eclipse et possède de nombreuses fonctionnalités :
- Gestion de script
- Auto-complétion (HTML, JS(AJAX), PHP, CSS...),
- Coloration personnalisable,
- FTP,
- Gestion de projet,
- synchronisation local/serveur,
- Analyseur syntaxique

et une documentation actuellement en Anglais.

- Aptana PHP
Contradiction dans les termes ? Bien que l'ensemble des acteurs du Web rappelle à corps et à cris qu'Internet n'a rien à voir avec la télévision, les députés ont voté cette semaine dans le cadre de la loi de réforme de l'audiovisuel public un amendement octroyant au CSA (Conseil supérieur de l'audiovisuel) l'autorité nécessaire à la surveillance de la publicité en ligne. Objectif : veiller à ce que les réclames affichées sur le Net ne risquent pas de nuire aux mineurs.

"S'agissant des services consistant à éditer du contenu créé par des utilisateurs privés à des fins de partage et d'échanges au sein de communautés d'intérêt, le Conseil supérieur de l'audiovisuel veille à ce que la publicité placée par l'éditeur du site ne puisse nuire à l'épanouissement physique, mental ou moral des mineurs.", énonce précisément le texte adopté par l'Assemblée.

Tout site susceptible d'accueillir des contenus générés par les utilisateurs se retrouve donc placé sous le contrôle du CSA, chargé de veiller à la bonne moralité des publicités diffusées, sans qu'on sache comment le gendarme de la télévision opèrerait sa mission.

"Un certain nombre de sites de partage de données privées comportent aujourd'hui des liens

publicitaires susceptibles de porter atteinte à la protection des mineurs. Aucun contrôle n'est

aujourd'hui exercé sur ces contenus publicitaires. Cet amendement vise à combler cette lacune.", lit-on dans l'exposé de cet amendement déposé par les députés UMP Christian Kert et Françoise de Panafieu.

Sur cette lancée, d'autres n'hésitent pas à voir les choses en grand. Ainsi le député UMP Frédéric Lefebvre suggérait-il dans un autre amendement, rejeté par l'Assemblée lundi, que l'on confère au CSA le pouvoir de fixer les règles permettant d'assurer la protection de l'enfance, mais aussi de délivrer des labels de confiance aux "services de communication au public par voie électronique mettant des contenus audiovisuels à disposition du public".

Le CSA comme gendarme de l'Internet ? Le débat n'est pas neuf. Il revient même régulièrement dans les discussions des parlementaires, comme en 2004 lors du vote de la loi pour la confiance dans l'économie numérique. Et l'idée compte bien des détracteurs : certains pensent qu'il est de toute façon impossible d'effectuer une surveillance digne de ce nom sur le Web, tandis que d'autres dénoncent la volonté d'instaurer une autorité qui viendrait se substituer au pouvoir judiciaire... Une contradiction que l'on retrouve et retrouvera autour des problématiques liées à la protection du droit d'auteur.

Pour l'Association des Services Internet Communautaires, qui réunit des acteurs tels que Google, PriceMinister ou Dailymotion, une telle idée "résulte d'une méconnaissance singulière des spécificités d'Internet et du cadre règlementaire existant".

Le collectif La Quadrature du Net s'interroge également. Si l'idée de protéger les enfants constitue un noble objectif, il reste "indispensable de s'interroger sur la légitimité de mesures visant, sous ce prétexte, à imposer plus de contrôle et à contourner l'autorité judiciaire", estime ses représentants, pour qui cet amendement « constitue une atteinte grave à la libre concurrence et à la liberté d'expression ».
Au mois de juin dernier, l'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), cette organisation chargée de superviser la gestion des suffixes Internet, avait annoncé la libéralisation des noms de domaines. A ce jour, les TLD (Top Level Domain) sont peu nombreux (.com, .fr, .net...) et pour redynamiser le marché l'ICANN souhaiterait que chacun ait la possibilité d'acheter directement l'extension de son choix.

Paul Twomey, PDG de l'ICANN avait alors déclaré : "dès le premier trimestre, les 1,3 milliard d'internautes pourront acquérir des adresses génériques, en déposant des mots courants comme '.amour', '.haine' ou encore des noms propres". Ce sont donc entre 200 et 800 nouvelles extensions qui devraient voir le jour en 2009. Pourtant, si l'idée semble plutôt bonne au premier abord, le magazine Ars Technica souligne que cette initiative n'est pas sans poser plusieurs problèmes auprès des professionnels.

Visibilité et recherche

C'est véritablement la syntaxe de l'adresse Internet qui sera modifiée par ces nouvelles extensions et cela ne sera pas sans perturber l'utilisateur. Ainsi, l'internaute sait qu'une adresse de type .mobi a de fortes chances de retourner un site optimisé pour les téléphones portables ou qu'un site universitaire est caractérisé par le TLD .edu.

En admettant que le site mobile www.wap.dupont devienne très populaire l'année prochaine, de quelle manière pourrais-je m'y rendre ? Pour beaucoup, le premier réflexe serait d'entrer wap.dupont.com ou www.dupont.mobi dans la barre d'adresse du navigateur. Bien sûr, il y a ce cher moteur de recherche mais doit-on pour autant déstructurer une organisation pré-établie chez l'utilisateur ?

Cyber-squatting

La libéralisation des noms de domaine pose aussi le problème du cyber-squatting. Ainsi, les URL Clubic.net ou Clubic.fr redirigent automatiquement le visiteur vers Clubic.com. Par cette pratique, le contenu du magazine est non seulement plus accessible pour l'internaute mais il s'agit aussi d'une stratégie pour empêcher le développement de sites frauduleux ou publicitaires ciblant les lecteurs égarés.

Cependant, les choses ne seront pas aussi simples avec une extension personnalisée. Si un site Internet tel que Clubic n'aurait pas besoin d'acheter l'extension .clubic, cela resterait néanmmoins une assurance contre une potentielle utilisation frauduleuse.

De la même manière, pour éviter toute forme de cyber-squattage, les adresses newyorktimes.com et nyt.com redirigent vers nytimes.com. Cela signifie qu'à l'avenir, le journal américain pourrait devoir acquérir trois TLD différents .nyt, .nytimes et .newyorktimes.

Dans la mesure ou cette extension sera vendue à 185 000 dollars, auxquels il faudra ajouter 75 000 dollars pour une utilisation annuelle, certains pointent du doigt une hypocrisie de la part de l'ICANN qui se définit comme : "une organisation internationale publique à but non lucratif vouée à rendre l'Internet plus sécurisé, plus stable et plus interopérable".

L'ICANN est-elle en passe de dessiner un nouveau marché lucratif sur Internet ?
Yahoo a annoncé aujourd'hui qu'il avait réduit à 90 jours la durée de conservation des données personnelles. Tout en étant deux fois plus courte que celle envisagée sous condition par Microsoft la semaine dernière, cette nouvelle politique est d'ores et déjà entrée en vigueur. Yahoo va même plus loin que les recommandations du Groupe de travail sur la protection des données publiées en avril dernier.

Que les 550 millions d'utilisateurs des services de Yahoo se rassurent, cette amélioration significative en terme de respect de la vie privée, la rétention des données passant de 13 à 3 mois, n'impactera pas l'expérience utilisateur. D'après Anne Toth, vice présidente en charge de la politique de protection de la vie privée chez Yahoo, cette durée correspond "au temps minimum pendant lequel il faut conserver les données pour répondre aux besoins de l'activité".

En particulier sur le plan de la publicité ciblée, Christophe Pelletier, directeur de la communication pour Yahoo France, indique que les comportements des internautes n'étaient d'ores et déjà étudiés que sur quelques jours à quelques semaines (8 au maximum). Les publicités resteront donc pertinentes, ouf !

Certaines données permettant d'identifier les activités frauduleuses ne seront en revanche rendues anonymes qu'au bout de 6 mois. D'autres encore, pour des raisons légales, pourront être conservées plus longtemps.

Contre toute attente, Yahoo devance ses camarades Microsoft et Google après avoir été très discret sur ce sujet ces derniers mois. En se montrant "attaché au respect de la vie privée" de ses utilisateurs, l'ex-géant de l'Internet semble vouloir reprendre du poil de la bête face à l'inquiétant big brother Google. Reste à voir si Microsoft tiendra parole en rendant à son tour les données anonymes plus rapidement.
Disponible en français depuis le mois de septembre dernier, la seconde bêta d'Internet Explorer fut dévoilée aux Etats-Unis en août 2008. Quatre mois plus tard, Microsoft serait sur le point de lancer une version pré-finale (release candidate) du navigateur. En effet, interrogé par le magazine Eweek, Dean Hachamovitch, chef produit chez Micrososoft affirme ainsi : "Si je devais penser à une phrase-clé alors je dirais : 'développeurs, démarrez vos moteurs!'".

M. Hachamovitch regrette cependant que certains éléments présents dans Internet Explorer ne reçoivent pas beaucoup de promotion : "IE8 intègre ces superbes outils de développement directement dans le navigateur". Le kit de développement d'Internet Explorer 8 permet d'éditer un site à la volée, directement depuis le navigateur en activant ou désactivant certains éléments de son code source.

Aussi, avec ce nouveau navigateur, la firme de Redmond promet une meilleure prise en charge des standards du web. En effet, le chef produit déclare : "Microsoft a exécuté 2500 tests auprès du validateur W3C afin de s'assurer de la bonne compatibilité avec CSS 2.1, et sur la RC1 nous en conduirons 1000 nouveaux".

Certes, avec une part de marché de 69,77%, Internet Explorer domine largement le marché des navigateurs mais les produits alternatifs tels Firefox, Opera, Safari ou Chrome attirent chaque jour un peu plus d'utilisateurs. IE8 changera-t-il la donne ? Pas sûr, car Ben Galbraith, l'un des co-directeurs du laboratoire des développeurs de Mozilla explique à Eweek que la grosse : "déception, c'est le moteur JavaScript [...] Firefox, Safari, Chrome, chacun affiche un meilleur moteur JavaScript [...] IE8 aura peu d'amélioration en termes de rapidité".
Déception pour les fans ? Apple a indiqué mardi que 2009 serait l'année de sa dernière apparition sur le salon MacWorld, qui se tient en janvier, au Moscone Center de San Francisco. La firme, qui ne s'est pas rendue à l'Apple Expo parisien, confirme ainsi sa désaffection à l'égard des événements dédiés à son univers. Autre coup de tonnerre : alors que Steve Jobs assure traditionnellement la conférence d'ouverture du MacWorld - le fameux keynote, Apple déclare qu'en 2009, c'est Phil Schiller, vice président en charge du marketing, qui se pliera à l'exercice. De quoi alimenter les nombreuses spéculations autour de l'état de santé du charismatique patron de la firme de Cupertino...

Chronophages et onéreux, les salons comme le MacWorld perdent de leur intérêt. "La popularité croissante des boutiques Apple, que 3,5 millions de personnes visitent chaque semaine, et du site Apple.com, permet à Apple de toucher directement plus de cent millions de clients à travers le monde par de nouveaux biais innovants", indique la firme dans un communiqué.

Un revirement prévisible ? Alors qu'il se tenait un temps deux MacWorld par an aux Etats-Unis (un sur la cote Ouest, l'autre sur la cote Est), Apple a déjà considérablement réduit la voilure en matière d'événements. Outre l'Apple Expo - devenu Apple Expo Remix sans Apple - la firme de Cupertino a par exemple cessé de participer à l'événement organisé chaque année à destination des professionnels de l'image, le NAB (National Association of Broadcasters).

Pour les adeptes européens, le principal coup de tonnerre restera sans doute l'annonce selon laquelle Steve Jobs ne montera pas sur scène le 6 janvier prochain, alors qu'il officie en tant que maitre de cérémonie depuis 1985, profitant de ce rendez-vous annuel pour dévoiler les nouveautés de la marque. En 2007 par exemple, c'est au MacWorld qu'il avait dévoilé l'iPhone, premier téléphone mobile d'Apple. Il n'en faudra sans doute pas plus pour que repartent les rumeurs selon lesquelles Jobs, souffrant, pourrait bientôt laisser les commandes du navire Apple à d'autres.
Semaine de mises à jour pour la fondation Mozilla, qui publie coup sur coup deux nouvelles versions de Firefox, les 3.0.5 et 2.0.0.19, ayant essentiellement pour raison d'être la correction de failles de sécurité. Signalons par ailleurs l'arrivée d'une nouvelle version du navigateur open source Mac Camino, la 1.6.6.

Mozilla l'avait déjà annoncé, mais le confirme aujourd'hui : Firefox 2.0.0.19 constituera la dernière mise à jour de la version 2 du navigateur, dont les adeptes sont instamment invités à télécharger la version 3. Notons que cette version, qui vient corriger quelques failles de sécurité (voir liste), voit son module anti-phishing désactivé, du fait d'une mise à jour du service dispensé par Google.

Firefox 3.0.5 corrige également plusieurs problèmes de sécurité, mais aussi de stabilité, annonce Mozilla, qui explique en outre que l'accord de licence pour l'utilisateur final a été remplacé par une nouvelle barre d'information "À propos de vos droits" lors de l'installation initiale. Différents problèmes d'accessibilité ont par ailleurs été résolus. Camino 1.6.6 profite quant à lui d'une mise à jour du moteur de rendu Gecko, qui passe en version 1.8.1.19, et voit ses fonctionnalités de blocage de publicités ou de contenus Flash améliorées.
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