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Apple a publié une série de mises à jour pour ses systèmes d'exploitation Mac OS 10.4 (Tiger) et 10.5 (Leopard). En tout, la firme de Cupertino corrige une quarantaine de failles de sécurité présentant des risques potentiels d'attaques externes. Ces vulnérabilités concernent plusieurs types de composants tels qu'Apache, PHP, MySQL ou le système d'impression CUPS mais aussi des outils de Mac OS X comme le Finder et notamment Aperçu qui poserait problème d'accès à la mémoire virtuelle dans l'affichage de document Microsoft Excel. 

Disponibles depuis le système de mise à jour du système, ces correctifs pèsent 32 Mo pour Leopard et 199 Mo pour Tiger. Retrouvez en détail la liste de ces mises à jour ici.
L'éditeur Zoho vient de compléter sa suite de services web avec Zoho Mail, un service utilisant la technologie Google Gears pour proposer la lecture de ses emails en mode déconnecté.

L'un des paris du web 2.0 est bel et bien de remplacer les logiciels installés sur votre ordinateur en proposant des applications Internet dotés de nouvelles technologies. Après l'Ajax qui permet d'éviter les rafraîchissements des pages web ou le DOM , utilisés pour le glisser-déposer, de plus en plus de produits proposent d'accéder aux données de votre compte utilisateur en mode déconnecté. Dans cette optique, Google a rendu publique l'interface de programmation de Gears, un petit utilitaire permettant de synchroniser le contenu d'un site sur votre machine. La première intégration fut couronnée par Google Reader mais très vite, les services compétitifs se sont emparés de cet outil pour leurs propres produits. Parmi ces derniers, Zoho avait déjà devancé Google et intégré Gears à l'éditeur texte Zoho Writer, bien avant que le géant de Mountain View ne l'utilise pour Google Documents.

Cette fois Zoho, fait d'une pierre deux coups. Non seulement le service Zoho Mail embarque la technologie offline, il dispose aussi de dossier «et» de labels pour la gestion interne de la boite aux lettres. l'interface de Zoho Mail ressemble beaucoup à celle de Yahoo! En revanche, il n'est pas possible de glisser-déposer un message depuis un dossier vers un autre ; il faudra donc sélectionner l'email et choisir un dossier cible depuis la barre d'outils. Pour faciliter le transfert vers son webmail, Zoho permet de configurer d'autres comptes email externes. Pour l'instant l'interface française pêche un peu par l'affichage des caractères spéciaux. Une fois le mode offline activé, Zoho vous propose de choisir le nombre d'emails qui devront être de synchronisés automatiquement en local. 

Alors à quand Gears dans GMail ?
L'équipe en charge du développement de Windows 7 l'a confirmé cette semaine : le successeur de Windows Vista conservera la fonction UAC (User Account Control), mais celle-ci sera remaniée de façon à se révéler moins pénible pour les utilisateurs. Ben Fathi, vice président de la division Windows Core Operating System chez Microsoft, indique que ce qui a été identifié comme les quatre principaux défauts de l'UAC devraient être corrigés.

Activée par défaut avec Windows Vista, l'UAC part du principe qu'il est nécessaire de faire valider certaines actions dans un environnement sécurisé. Lorsque le système détecte une action susceptible d'avoir un impact sur son état, comme l'installation d'un pilote ou le lancement d'un exécutable dont la provenance n'est pas identifiée, il affiche une demande de conformation. Cette dernière est ouverte dans un environnement dit sécurisé, de façon à ce qu'une application ne puisse pas elle-même valider son action.

Intéressant sur le plan de la sécurité, l'UAC s'est aussi révélé un mécanisme assez envahissant, conduisant de nombreux utilisateurs à purement et simplement le désactiver, même si l'arrivée du SP1 de Vista a quelque peu contribué à améliorer les choses. Pour Microsoft, il importait donc de revoir le fonctionnement de l'UAC, d'autant que de l'aveu même de Ben Fathi, 40% des messages générés sont provoqués par le système d'exploitation, et non par une application tierce.

Soucieux de montrer que les nombreux retours suscités par l'UAC ont été pris en compte, Ben Fathi indique qu'avec Windows 7, le nombre de fenêtres d'avertissement devrait être considérablement réduit, de façon ne pas en galvauder le message. Le nouvel UAC devrait également être en mesure d'afficher des informations sur l'action provoquée. Enfin, l'utilisateur aura la possibilité d'en régler le fonctionnement. De plus amples informations sur la gestion des droits au sein de 7 devraient être données à l'occasion des sessions techniques de la conférence PDC, fin octobre.
le 10/10/2008 à 20:27
L'IMAP de GMail sous contrôle
En début de semaine nous vous présentions Mail Goggles, ce petit utilitaire vous empêchant l'envoi de tous messages compromettant après une soirée bien arrosée. Aujourd'hui, la même équipe a mis en place un autre outil tout aussi alléchant visant à vous laisser contrôler les transferts IMAP entre le service web et votre gestionnaire de courriers électroniques.

Comme pour toutes les fonctionnalités de GMail Labs, l'interface de votre compte devra être configurée en anglais. Par la suite il suffira d'activer l'outil "Advanced IMAP Controls" et de se rendre dans la section "Labels". Google a introduit l'IMAP pour GMail en octobre 2007 et à ce jour, c'est l'un des rares webmail, avec AOL ou Fastmail, à proposer ce protocole gratuitement. Rappelons qu'à la différence du mode de connexion en POP3, l'IMAP permet de synchroniser tous les dossiers de votre compte et non pas seulement la boite de réception. Puisque GMail n'utilise pas à proprement parler de dossiers, ce sont les labels qui sont synchronisés avec votre logiciel.

L'outil Advanced IMAP Controls vous permettra de sélectionner quel dossier doit être pris en compte lors de la synchronisation. Par exemple si vous configurez Gmail en IMAP sur votre mobile professionnel, vous opterez pour filtrer ces messages dans un label particulier et n'activerez que ce dernier. 

Jusqu'à présent l'IMAP de Gmail  ne fonctionnait pas de manière standard, notamment à cause de l'usage des labels plutôt que des véritables dossiers. Aussi, lorsque vous supprimiez un message sur votre logiciel de gestion, ce dernier était immédiatement effacé du serveur de Gmail plutôt que d'être conservé en attente avant la prochaine synchronisation. Si vous désirez ajouter une mesure de sécurité, rendez-vous dans la section Forwarding and Pop/IMAP. Vous y trouverez une nouvelle option baptisée Auto-Expunge pour gérer ces paramètres de suppression
Signe des temps ? Après avoir écumé pendant plus de trente ans les couloirs des maisons de disque, et occupé des postes à responsabilité chez Barclay, Mercury, Universal, Warner Music France et EMI Music France, Michel de Souza a choisi de "traverser" le Rubicon, pour reprendre ses propres termes, et de passer du côté de la musique qui se construit, se vend et s'écoute en ligne, autour de communautés et loin de tout support physique. Depuis quelques semaines, Michel de Souza est directeur général de la société Hitmuse. Fondée en 2006, celle-ci se propose de créer un modèle économique alternatif pour que la musique puisse connaitre un sain essor sur Internet.

Discussion à bâtons rompus avec un homme de musique qui aujourd'hui suggère d'accompagner les mutation qui sont en cours avec l'avènement d'Internet plutôt que de tenter d'à tout prix maintenir l'existant… une opinion que, de son propre aveu, il n'aurait peut-être pas tenue il y a quelques années !

Clubic.com : Michel de Souza, bonjour. Comment en arrive-t-on à rejoindre une petite start-up du Net après avoir occupé le poste de directeur général au sein des branches françaises de Warner, puis d'EMI ?

Michel de Souza : j'ai pris cette décision après un long processus de réflexion, à l'issue duquel je suis arrivé à la conclusion que le modèle économique traditionnel de la musique n'avait que peu de chances d'être pérenne. L'opportunité Hitmuse s'est alors présentée. Après en avoir étudié le modèle, j'ai trouvé que celui-ci était à la fois souple et malin. En somme, un peu ce qui manque à l'industrie de la musique aujourd'hui. Je ne crache pas pour autant dans la soupe, et je ne mets pas forcément Hitmuse en concurrence du modèle traditionnel : c'est juste une autre manière de développer la musique. Le couple musique / support, que l'on a connu jusqu'à il y a quatre ou cinq ans, est en train de devenir un couple associant musique et service.

Quelles conclusions tirez-vous des chiffres de l'industrie de la musique enregistrée ? Le piratage est-il seul en cause dans la baisse générale que l'on observe?

Depuis 2001, l'industrie de la musique enregistrée a dû perdre quelque chose comme 60% de son chiffre d'affaires, et je connais peu d'industries, au sens large du terme, qui sont capables de survivre à une baisse d'une telle ampleur. Imaginez qu'on baisse votre salaire de 60%, vous allez sans doute avoir des comportements radicaux. Ne soyons pas démagogues, le piratage a bien évidemment une part de responsabilité, mais les causes sont multiples. Il y a par exemple une réflexion à tenir autour du prix du CD, et la façon de positionner ce dernier sur le marché. Aujourd'hui, le consommateur est d'autant plus troublé qu'il n'est pas étonnant dans le cycle de vie d'un CD de le voir à quatre ou cinq prix différents sur une année. Dans ces cas là, vous avez tendance à attendre puisque demain est toujours moins cher.

Est-ce qu'on n'a pas parfois l'impression que les gens n'accordent plus guère de valeur à la musique ?

La musique a été banalisée, sans doute en partie à cause de la TV réalité, c'est un fait, mais il ne faut pas pour autant tirer de généralités. Peut-être aussi y'a-t-il un problème avec la qualité ? On le voit bien, si on prend des artistes de qualité comme Mika, Amy Winehouse ou Christophe Whilhem, on atteint des 600 ou 700.000 ventes en France ! Je ne voudrais pas faire l'ancien combattant, mais si vous prenez un album de Led Zep dans les années 70, sur dix titres, huit étaient des tubes potentiels. Aujourd'hui, si vous en trouvez deux sur un CD, c'est proche du miracle. Enfin, on a peut-être un dernier problème : aujourd'hui, la musique ne doit plus être vendue seule, il faut lui associer des services. Pourquoi les gens vont chez Darty pour acheter une machine à laver ? Parce qu'ils savent qu'on va la leur livrer, l'installer, etc. Si au travers de la musique, on accède à quelque chose de plus, il redevient légitime de l'acheter. Mais là, tout reste à inventer.

Pour l'instant, il existe une offre en matière de musique légale sur Internet, mais celle-ci ne décolle pas vraiment. D'après vous, pourquoi ?

Dans un premier temps, on a le problème de l'interopérabilité. Si lorsque vous achetez une voiture, on vous dit que vous n'avez le droit d'aller chercher de l'essence que chez Total, je ne suis pas sûr qu'on favorise les déplacements. Ensuite, on a encore la question des tarifs, évidemment, mais là je n'ai pas vraiment de réponse à apporter. 0,99 euro, est-ce le bon prix pour une chanson ? On n'a pas suffisamment de recul pour en juger, d'autant que l'offre est finalement très uniforme entre les différentes plateformes. Sans oublier qu'aujourd'hui l'offre est relativement pauvre. Là où un iTunes propose quelques millions de titres, il existe depuis les débuts des supports physiques plus de cinquante millions d'œuvres. On a donc une offre qui est infiniment plus restreinte.

Un Contrat de confiance à trouver sur le Net ? Pour ce qui est de l'interopérabilité, l'argument ne tient plus vraiment, du moins pour les ventes de musique à la pièce, puisque tout le monde ou presque accepte aujourd'hui de commercialiser des titres sans DRM.

Le problème s'est également posé aussi pour le CD il n'y a pas si longtemps, sur lequel l'industrie a apposé des verrous restreignant les usages. Ce n'est pas vraiment une bonne idée de culpabiliser l'utilisateur, et de faire comme si on le traitait de voleur à titre préventif. Au bout d'un moment, les idées finissent par faire leur chemin, mais ca n'est pas évident. En tout cas, si 5% des gens qui téléchargent légalement, alors que 95% le font illégalement, il y a forcément un problème quelque part. Après tout, ils ne se sont pas concertés...

S'il était voté en l'état, le projet de loi Hadopi aurait-il une chance de rétablir un équilibre plus sain ?

Je crains qu'avec la loi Hadopi, on essaie de mettre en place une sorte de ligne Maginot, difficile à respecter. Et si la loi n'est pas acceptée, il y'a de bonnes chances qu'elle soit contournée... Internet est le royaume de la fluidité et des échanges rapides, il faut en tenir compte. Bon, je n'aurais certainement pas tenu ce discours il y a quatre ou cinq ans (rires).

Dans ce contexte, quelle est la proposition de valeur d'un site comme Hitmuse ?

Hitmuse est un réseau social autour de la musique, associé à une plateforme de téléchargement. Les deux sont regroupés sous le même toit, ce qui est une approche assez nouvelle en France. Le projet se destine essentiellement aux artistes et aux labels indépendants. Pour faire simple, l'idée est de laisser les musiciens gérer leurs droits, mais l'on met à leur disposition toute une série de services, accessibles à la carte, en fonction de leurs besoins. Ces services passent par les fonctionnalités « sociales » et le service de téléchargement s'ils le souhaitent, ainsi que par des services de marketing, la création d'une boutique personnalisée ou un espace de stockage en ligne.

Tous ces services sont-ils assurés en interne, chez Hitmuse ?

Non, bien sûr, en plus des services conçus en interne, nous travaillons avec un certain nombre de partenaires, comme Spreadshirt pour la confection des tee-shirts personnalisés, ou Digiclick pour la vente de places de concert, mais l'accès à l'ensemble des services disponibles est centralisé au sein de la plateforme Hitmuse, et tout fonctionne sur un mode « à la carte ». Je peux par exemple profiter de la plateforme de stockage, mais aller commercialiser mes morceaux ailleurs, ou assurer ma promotion sur ma page MySpace, etc.

Et la vente directe ?

Notre plateforme de téléchargement payant, Hitload, devrait ouvrir aux alentours du mois de novembre. Les artistes auront alors le choix de commercialiser leurs morceaux directement sur Hitload, ou de nous laisser mettre leurs titres à disposition d'autres services de téléchargement payant, comme Fnac, Virgin et iTune sur le Net, ou Orange et SFR dans le domaine de la téléphonie mobile. Les noms ne sont donnés qu'à titre indicatif, nous sommes encore en phase de négociations avec plusieurs d'entre eux.

Sur Hitload, c'est l'artiste, ou le producteur, qui fixera le prix des morceaux, avec toutefois un minimum de 0,5 euro par titre ou de 4 euros pour un album. Il déterminera également la longueur de l'extrait proposé en écoute gratuite. Sur le montant fixé, on enlève la TVA, et la recette hors taxe est partagée avec Hitmuse : 70% pour le musicien, et 30% pour la plateforme.

C'est donc ainsi que vous comptez monétiser le service ?

De façon générale, oui, nous prélèverons une commission sur les transactions qui sont effectuées par son intermédiaire, sur Hitload mais aussi avec les prestataires externes. Hitmuse dispose par ailleurs d'autres facettes, comme un magazine en ligne dédié à l'actualité de la musique, qui lui sera susceptible de générer des revenus par l'affichage de publicités.

Il s'agit donc d'accompagner le mieux possible les indépendants sur le Web. Peut-on imaginer qu'Hitmuse aille jusqu'à se lancer dans la production ou... revenir au physique, pour les aider à lancer un CD ?

Nous ne nous interdisons rien, et nous pourrions par exemple nous rapprocher d'une maison de disques, pour proposer avec elle une distribution physique aux membres de la communauté Hitmuse. En matière de production proprement dite, rien n'est vraiment prévu, mais c'est une possibilité. C'est l'avantage d'un modèle extrêmement souple, on peut laisser la porte ouverte, même si on décide de ne jamais la franchir.

Quelques chiffres, histoire de voir où en est Hitmuse de son développement ?

Aujourd'hui, sans que nous ayons vraiment communiqué, la communauté Hitmuse compte 100.000 membres, propose 20.000 titres accessibles en ligne et le site réalise environ un million de pages vues par mois. Si le développement se poursuit comme nous le souhaitons, nous devrions être en mesure d'atteindre l'équilibre financier dans les deux à venir. D'ici là, nous espérons pouvoir lancer Hitmuse à l'étranger, une fois que le modèle français sera bien établi.

Que pensez-vous de la récente initiative de MySpace, qui a signé avec les majors pour rendre disponible à l'écoute des centaines de milliers de titres, ou de services comme Deezer ?

Les modes de consommation changent, et le cas MySpace témoigne de l'importance de s'adapter à ces changements. Le site n'est plus du tout ce qu'il était au départ, et ce sont les utilisateurs qui l'ont fait évoluer. Maintenant qu'ils ont signé avec les majors, peut-être les indépendants vont(ils s'en détourner ? Aujourd'hui, tout est poreux, en mouvement permanent, dans le domaine de la musique en ligne, il est difficile de voir à plus de 18 ou 24 mois de façon claire.

Michel de Souza, merci.
À Vienne, des chercheurs ont mis au point un groupe de six ordinateurs relié en réseau au moyen de 200 KM de câble optique. La particularité ? Ces ordinateurs reposent sur une méthode de 

chiffrage quantique qui fait appel à des formules mathématiques complexes. Par nature, la théorie quantique est supposée inviolable.

Anton Zeilinger, un chercheur de l'Université de Vienne explique à la BBC : "tous les schémas de sécurité quantique sont basés sur le Principe d'Incertitude de Heisenberg, c'est-à-dire sur le fait qu'on ne peut mesurer une information quantique sans en perturber sa nature. " Ainsi, il serait donc impossible pour une personne tierce de rejoindre un réseau sans que ce dernier ne soit affecté. 

L'équipe de scientifiques a donc travaillé à base de photons, lesquels circulent plusieurs millions de fois d'un bout à l'autre du câble fourni par Siemens. Au bout du câble se trouve une boite contenant un détecteur de lumière. Pour chaque photon détecté, une clé chiffrée est générée afin de sécuriser les données transitant d'un point à l'autre du réseau. Si un pirate rentre sur le réseau, les photons seront perturbés. C'est donc le détecteur de lumière qui signalera l'intrusion et le réseau s'éteindra automatiquement pour ne pas subir de dommages.

Pourtant, le système ne semble pas avoir convaincu tout le monde. En effet, docteur Hannes Huebel, de l'Université de Viennes affirme: "nous sommes en discussion avec les banques et les assurances, mais ils préfèrent perdre 10 millions plutôt que d'avoir un système interrompu pendant deux heures...pour eux, c'est plus avantageux [...] Ils nous faudra donc leur démontrer que le système peut rester actif pendant plusieurs semaines".
le 09/10/2008 à 23:51
1er BARCAMP Le MUG
l'association francophone des utilisateurs de MySQL organise son 1er BarCamp le 25 octobre 2008 à la Cantine sur Paris.

L'occasion pour la communauté open source et les DBA de se retrouver et d'échanger autour de MySQL, et de contribuer activement au développement de la base de données.

Certains sujets risques de paraitre comme : La sécurité, PDO, MySQL, MySQLi... Etc. et peut-etre meme certains langages comme PHP.

- Communique 1er BARCAMP LeMUG.fr
Cal Evans se penche sur un problème épineux : comment emmener sa machine de développement, et ses serveurs de tests dans le même laptop ? Si vous avez déjà installé une telle configuration (à la maison, au boulot) et que vous avez du vous absenter quelques jours, il a bien fallu résoudre ce dilemme.

Cal a trouvé une solution presque complète : la Virtualbox de Sun, pour embarquer simultanément Windows et Linux. La virtualisation est sûrement la meilleure approche ici, puisqu'on peut faire cohabiter plusieurs environnements distincts sur la même machine (les performances ne sont pas la priorité ici).

Sur son blogue, vous trouverez ses tests, qui fonctionnent avec la Virtualbox, mais échouent sur le problème du Wifi, qui font partie des critères prioritaires de Cal.

- Sun VirtualBox as a virtual development environment for PHP
- Sun VirtualBox
le 09/10/2008 à 23:50
Rencontre PHP à Lille, le 20 Octobre
Note de l'auteur :

Je serai de passage sur Lille le 20 octobre, et grâce à la complicité de Perrick Penet, nous allons organiser une rencontre PHP ce soir-là. Vous êtes nombreux à vous déplacer au forum PHP depuis Lille, alors je vous propose une rencontre différente et sur place. Au programme, ce soir là uniquement :
- Les nouveautés de PHP 5.3
- Apéro PHP
- Trafic d'éléPHPants
- Inscriptions AFUP

Le lieu est L'écart - 26 rue Jeanne d'Arc, de 19h30 à 21h30, le temps d'attraper le dernier TGV pour Paris. L'entrée sera gratuite, et on travaille à trouver de quoi nourrir les affamés et assoiffés sur place.

Pour les éléPHPants, vous économiserez les frais de port, mais prévenez à l'avance pour les grosses quantités.

- Apéro PHP à Lille
Adobe vient de publier une méthode pour permettre aux internautes d'éviter d'être victime d'un style d'attaque particulier : le clickjacking.

Jeremiah Grossman, Chef des opérations techniques de WHitman Security explique que le clickjacking est est un procédé par lequel le hacker trompe l'utilisateur en le faisant cliquer sur un élément de la page à peine visible. Le hacker place un objet malicieux dans le code HTML de la page et, pour que cet objet puisse être cliquable, il rajoute un cadre ou un bouton en Flash, JavaScript ou Silverlight. Certaines pratiques du clickjacking font usage d'une feuille CSS particulière ou d'un cadre en Ajax pour déguiser leur piège.

Adobe informe donc qu'il faut se rendre dans les paramètres du lecteur Flash Player pour choisir l'option Toujours refuser afin que le site Internet ne puisse accéder à votre webcam ou votre microphone.

D'ailleurs, Guy Aharonovsky a publié une vidéo de démonstration dans laquelle il simule une page truquée qui prend le contrôle de la webcam de l'utilisateur. Le clickjacking concerne une large majorité d'internautes puisqu'il est potentiellement dangeruex pour les utilisateurs d'Internet Explorer, de Firefox, d'Opera, de Safari, et de Google Chrome. les utilisateur de Firefox peuvent cependant installer le plug-in NoScript et le régler pour que les iframes soient bloqués.

Grossman conclut : "le clickjacking est un problème très connu mais largement sous estimé et bien réel ".
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