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le 10/08/2008 à 21:07
Créer des cartes KML avec DOM
Note de l'auteur :

Nous avons commencé à travailler avec des services de localisation. Un des tâches fut de créer un service Web pour servir des marqueur géographiques. Nous avons choisi le KML (Keyhole Markup Language) de google. Il est d'ailleurs devenu un standard officiel du Open Geospatial Consortium (OGC).

Et on peut le produire facilement avec PHP, bien sûr, grâce à l'extension DOM de PHP 5.

- Creating KML with DOM
- KML specification
- Open Geospatial Consortium
Cette année encore, le DOP organise un camp Symfony. L'événement a lieu les 12 et 13 Septembre 2008. C'est une occasion unique pour rencontrer la communauté.

Le camp commencera par une formation sur symfony 1.1, donnée par Nicolas Perriault (symfony 1.1 release manager).

Durant le camp, vous pourrez notamment rencontrer Fabien Potencier,Dustin Whittle,

Fabian Lange, Lambert Beekhuis, Nicolas Perriault et Ian Christian.

- symfony Camp 2008
- symfony camp
le 09/08/2008 à 21:04
MySQL 5.0.67 publié
MySQL 5.0.67, la dernière version du système de basede données Open Source, a été publiée. Cette édition communauté est disponible en format source et binaire, pour de nombreuses plate-forme sur le site de téléchargement.

MySQL 5.0 est la version GA actuelle de MySQL, et cela  faisait un an que la version communauté n'avait pas été publiée officiellement. Il y a donc un effet de rattrapage dans

cette version, avec plusieurs changement de sécurité et de fonctionnalités. 

MySQL 5.1 devrait sortir en version GA prochainement, et ne s'encombre pas du modèle communauté/professionnel de la 5.0.

Drizzle a été lancé sous forme de fork de MySQL.

- le plugin_dir qui gère la source des fonctions utilisateurs a été rapporté de MySQL 5.1 pour améliorer la sécurité.
- Le moteur FEDERATED est désactivé par défaut.
- NDB_LE_MemoryUsage.page_size_kb a été renommé
- CHECK TABLE ,,, FOR UPGRADE et REPAIR TABLE ont changé leur gestion des fichiers .frm incompatibles.
- Les tables MyISAM utilisant les clauses DATA DIRECTORY et INDEX DIRECTORY avait une faille de sécurité.
- Trois failles dans yaSSL ont été découvertes
- ALTER VIEW conservait les droits initiaux de son créateur.
- Les tables fédérées pouvaient crasher le serveur client en renvoyant moins de colonnes de demandé.
- On pouvait crasher MySQL en lui faisant produire un message d'erreur très grand.
- le mode ONLY_FULL_GROUP_BY ne rejetait pas les bonnes requêtes SQL
- Un patch de MySQL 5.0.50 a été annulé, pour cause de nouveaux problèmes
- Plusieurs fonctions qui conservent le type ne le faisaient pas : LEAST, GREATEST, COALESCE, IFNULL, IF.
- Il était possible de faire lire deux fois le même fichier de configuration au démarrage
- AUTO_INCREMENT et NDB avait un bug
- Replication : lorsque le maître crashait durant une transaction d'UPDATE, cela bloquait le serveur.
- Les fonctions de dates comme FRAC_SECOND ont changé de nom.
- Le serveur ne signale plus la suppression des espaces surnuméraires.
- Le log de réplication pouvait être corrompu par des problèmes de réseau.

- MySQL 5.0
- Téléchargement MySQL 5.0
- MySQL 5.0.67
- Drizzle
le 08/08/2008 à 21:02
PHP 4 est mort, vive PHP 5!
PHP 4 a vu sa toute dernière version sortir hier : PHP 4.4.9 est la dernière et finale version de la lignée des PHP 4. Cette lignée a été baptisée stable depuis le 22 mai 2000, et a évolué jusqu'en 2005, au gré des efforts pour stabiliser la plate-forme : super-globales, références, CLI.

En 2008, force est de constater qu'il reste encore 60% d'utilisateurs de PHP 4 dans le monde, signe tangible de son succès. PHP 5 a beau déployer des trésors d'innovations, comme la POO, des performances surmultipliées, une sécurité très renforcée, un support XML d'avant-garde, il doit toujours se tenir dans l'ombre de son grand frère.

Désormais, PHP 5 devient le grand frère, et accompagnera PHP 6 dans son entrée sur la scène du Web. PHP 4 est mort, enterré, et l'entêtement à conserver PHP 4 en ligne va bientôt devenir aussi risible que d'être sur PHP 2 ou 3.

PHP 4 est mort, vive PHP 5 !

- RIP PHP 4
- PHP 4 is dead. An obituary. - Stefan Priebsch
- PHP 4.4.9 released
A 20h08, heure locale, a été donné aujourd'hui le coup d'envoi des Jeux Olympiques de Pékin. Un événement sans commune mesure en termes de retentissement médiatique, qui s'inscrit cette année dans un contexte très particulier, et devrait offrir, comme tous les quatre ans, son lot de sensations aux amateurs de performances sportives. Alors que résonnent dans le stade de Pékin les échos de la cérémonie d'ouverture, Clubic.com vous propose quelques adresses permettant de suivre en direct l'événement, même si vous ne disposez pas d'un téléviseur dans votre entourage immédiat.

France Télévisions et Canal +, qui détiennent les droits de diffusion des JO pour la France, proposent tous deux un flux en direct accessible sur Internet. Chez France Télévisions, on diffuse au moyen d'un lecteur faisant appel à la dernière bêta de la technologie Silverlight 2 de Microsoft, ce qui impose donc l'installation d'un plug-in dédié, et limite l'accès aux plateformes compatibles, mais permet à la chaîne d'offrir une véritable bibliothèque des contenus vidéo disponibles, classés par discipline, sans oublier l'indispensable direct. Zattoo permet de regarder les JO en live, quel que soit son OS

Du côté de Canal+, le flux en direct est diffusé au moyen du lecteur Windows Media Player de Microsoft. Là encore, il faudra donc disposer d'une plateforme compatible, et par exemple procéder à l'installation du plugin dédié si l'on utilise Firefox sous Windows.

Quel que soit son système - Windows, Mac OS ou Linux, on pourra par ailleurs se tourner vers l'application Zattoo, toujours en version bêta, qui permet de suivre, en direct, le flux diffusé par de nombreuses chaînes de télévision... à commencer par celles du groupe France Télévisions. Bien évidemment, la rédaction de Clubic.com décline toute responsabilité si les liens et applications évoqués ci-dessus venaient à porter préjudice à votre productivité ;-)
Si depuis des années, l'email reste l'activité favorite des internautes, le domaine de la recherche progresse de manière fulgurante. En effet, selon une analyse du cabinet d'études Pew Internet & American Life Project rapportée par le New York Times, près de la moitié des utilisateurs (49%) consulte un service tel que Google, Yahoo! Search et cie. Ainsi, le nombre des personnes utilisant un moteur de recherche a progressé de 69% entre janvier 2002 et mai 2008. En comparaison, la lecture des emails n'a augmenté que de 15% sur cette même période.

D'après cette étude les internautes ayant reçu une éducation universitaire et dont le revenu annuel est supérieur à $50 000 (soit 33 200€) par an sont les plus enclins à effectuer des requêtes. D'une manière générale, cette tranche de la population possède une ligne Internet depuis plus d'un an et se connecte sur la Toile en haut-débit. Ce sont les hommes qui s'adonnent le plus à cette activité. En 2002, ils représentaient 33% de ce groupe contre 53% aujourd'hui. La part des femmes est de 45%.

Les analystes expliquent cette progression par "un volume toujours plus dense des blogs, des sites d'actualités ou des archives d'images et de vidéos [...] Les utilisateurs se rendent non seulement sur les moteurs principaux mais aussi sur ceux conçus pour indexer le contenu d'un site particulier" . Greg Sterling, rédacteur pour le magazine Search Engine Land confirme : "Je dirais qu'il y a tellement de contenu en ligne qu'aucun autre outil n'est mieux adapté à gérer ce volume d'informations. Le moteur de recherche est devenu un outil essentiel pour presque tous les Internautes"

Déjà en 2005, le cabinet d'études avait observé une forte croissance dans ce même domaine entre juin 2004 (30%) et septembre 2005 (40%); un phénomène expliqué alors par le tapage médiatique autour de l'entrée en bourse de Google.
Même au royaume des pirates subsistent quelques règles... Trois journalistes français ont été exclu de la conférence Black Hat de Las Vegas, pour avoir usé d'outils de surveillance permettant la récupération d'informations sur les réseaux utilisés dans les salles de presse de l'événement. S'il est courant, lors de la Black Hat, d'essayer de mettre en défaut la vigilance des professionnels de la sécurité présents sur place, la presse est traditionnellement épargnée.

La Black Hat de Las Vegas reunit chaque année, au mois d'août, le gratin mondial de la sécurité informatique pour une série de conférences, ateliers et présentations techniques. Tirant son nom des "black hats", ces hackers spécialisés dans le vol d'information, elle voit se côtoyer durant quelques jours chercheurs en sécurité, éditeurs, administrateurs réseau, étudiants, sans oublier quelques hackers pure souche.

Au sein de la Black Hat se trouve le Wall of Shame - Mur de la Honte, parfois surnommé Wall of Sheep pour Mur des moutons - où sont exposées les informations personnelles de ceux qui se seraient laissé aller à profiter du réseau ouvert aux participants sans soigneusement protéger leurs accès : une façon plutôt efficace de contraindre ces spécialistes de la sécurité à respecter les conseils qu'ils prônent à longueur d'année. Chacun doit donc faire preuve de vigilance... sauf ceux qui se connectent depuis la salle de presse, considérée comme une zone protégée des appétences des experts.

Dominique Jouniot, Mauro Israel et Marc Brami, du magazine Global Security Mag, auraient pourtant entrepris de se mettre à l'écoute de certaines connexions transitant par le réseau des salles de presse de la Black Hat. Non sans succès, puisqu'ils seraient allé, quelques minutes plus tard, soumettre leurs découvertes aux administrateurs du Wall of Shame, une façon selon eux de stigmatiser les comportements parfois légers de la profession. Le hic est que les journalistes concernés, employés par les publications CNet et eWeek, n'ont que très moyennement apprécié que certains de leurs confrères "sniffent" les identifiants leur permettant de se connecter à leurs outils de travail en ligne.

Brian Prince, d'eWeek, se demande ainsi dans un article intitulé "Comment je me suis fait hacker à la Black Hat" comment a-t-il pu envoyer en clair son mot de passe sur le réseau. "Il n'y a pas de bonne réponse à cette question. Je peux juste dire que l'application que j'employais ne m'imposait pas l'utilisation d'un VPN SSL (1) pour un contrôle à distance", commente-t-il.

De leur côté, les trois fautifs expliquent n'avoir cherché qu'à sensibiliser leurs confrères à l'importance de ne jamais laisser la moindre faille dans sa politique de sécurité, et qualifient l'incident de "plaisanterie". Les responsables de l'évènement semblent toutefois n'avoir que moyennement goûté la boutade, et les trois journalistes concernés pourraient se voir interdire l'accès aux futures Black Hat ainsi qu'à la rencontre DefCon, après avoir été immédiatement exclu de l'édition 2008.

A l'heure où se multiplient points d'accès ouverts et amateurs de wardriving (2), cette anecdote sera une nouvelle fois l'occasion de rappeler qu'il convient de ne se connecter aux sites et services sensibles, tels qu'un système d'information d'entreprise ou un site de banque, que depuis un réseau un minimum sécurisé.

(1) VPN, pour Virtual Private Network, une sorte de "tunnel" entre deux points du réseau. SSL, pour Secure Sockets Layers, un protocole de chiffrement des données envoyées par le navigateur.

(2) Wardriving : procédé visant à repérer des réseaux WiFi ouverts pour en utiliser la connexion ou en détourner des informations.
La nouvelle génération des services Internet est largement basée sur les manipulation de flux RSS. Nombre de services permettent de créer des badges personnalisés au sein desquels se mêlent les derniers billets de votre blog ou les dernières photos que vous avez mises en ligne. Aujourd'hui, Microsoft présente FrameIt, un service Internet permettant de styliser vos flux RSS afin de pouvoir les afficher dans un cadre photo numérique doté d'un accès WiFi. S'il n'est pour l'instant disponible qu'en anglais, le service est ouvert au public en phase bêta. Une fois connecté avec votre identifiant Windows Live, vous serez invité à suivre une présentation de démonstration.

FrameIt reformate l'apparence du contenu d'un flux (textes ou images) grâce à une mise en forme stylisée. Aussi, il est possible de faire converger plusieurs sources de médias vers un nouveau flux unique. Par défaut, FrameIt vous invite à intégrer directement Live Spaces ou SmugMug mais le choix de la source est personnalisable. Plusieurs thèmes graphiques sont proposés et classés par catégorie (actualité, éducation, galerie photos, divertissement...).
Conformément aux plans annoncés par Microsoft, le PowerPack 1 destiné au système d'exploitation Windows Home Server est aujourd'hui proposé au téléchargement dans sa version française, ainsi qu'en allemand et en espagnol. Rappelons que cet ensemble de mises à jour, d'environ 22 Mo, offre la prise en charge des postes clients sous Windows Vista édition 64 bits mais aussi la sauvegarde des dossiers partagés sur le serveur. Il améliore en outre l'accès à distance, et permet une meilleure gestion de l'énergie. Enfin, Microsoft indique avoir procédé à la correction du fameux bug de corruption des données qui affectait jusqu'ici Windows Home Server, ainsi qu'à celle de nombreux autres problèmes mineurs. Les intéressés procèderont au téléchargement via ce lien.
le 07/08/2008 à 20:57
Utiliser GNUPG avec PHP
Pour chiffrer des données, il y a la bibliothèque mcrypt, intégrée dans PHP, et il y a aussi GnuPG, un outil pour signer et chiffrer des messages. Lui aussi est maintenant intégré à PHP, et fonctionne sous forme d'extension. C'est une option facile pour intégrer de la cryptographie dans vos scripts.

- Using GnuPG with PHP
- GnuPG home
ext/gnupg
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