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Après Parallels, c'est au tour de VMware d'annoncer sa mise à jour pour Mac OS X Leopard (10.5). La firme a effectivement annoncé la publication d'une mise à jour 1.1 pour son logiciel de virtualisation pour les machines Mac : VMware Fusion.

Cette mise à jour est gratuite pour tous les utilisateurs qui ont déjà acheté la première version du programme au prix de 79,99 dollars. La version 1.1 apporte la prise en charge officielle de Mac OS X 10.5 Leopard, améliore la prise en charge 3D avec quelques améliorations pour les programmes qui exploitent DirectX 9. Dans le même ordre d'idée, Unity, le module qui permet de réduire des applications Windows dans le Dock de Mac OS X a été amélioré, tout comme la prise en charge de la fonction Exposé sous Windows.

Les performances de manière générale ont été améliorées et le logiciel prend désormais en charge les partitions Boot Camp localisés (français). VMware propose aussi désormais son "VMware Importer", qui permet d'importer des machines virtuelles créées avec d'autres solutions comme Parallels.

La mise à jour de VMware Fusion 1.1 et la version beta du VMware Importer se trouvent sur cette page.
le 13/11/2007 à 20:10
Microsoft confirme Messenger 7.0 Mac
Alors que Windows Live Messenger est l'un des services de messagerie instantanée les plus populaires à travers le monde, son promoteur ne met guère d'efforts dans le développement de son client pour la plate-forme Mac. Connaissant les antagonismes entre Microsoft et Apple ce n'est ceci dit pas forcément étonnant. Bonne nouvelle toutefois, alors que le client Messenger pour Mac n'a pas évolué depuis un petit moment, et se trouve à des années lumières derrière la version PC en terme de fonctionnalités, Microsoft parle enfin d'une nouvelle version Messenger 7.0 pour Mac et dément par la même toute rumeur d'abandon de Messenger Mac.

Parmi les objectifs de cette version citons l'utilisation d'un protocole identique aux version Mac et PC du client Messenger mais aussi et surtout l'adjonction d'un framework permettant l'utilisation des fonctions audio et vidéo sur Mac Messenger. En effet, l'actuelle version de Messenger pour Mac ne prend en charge ni les vidéo conférences ni les appels audios...

Selon Microsoft, Messenger 7.0 pour Mac est actuellement en test auprès de quelques grands comptes dans une version préliminaire alors qu'il pourrait sortir officiellement en version finale peu de temps après le lancement d'Office 2008 pour Mac.
Le groupe Radiohead est revenu ce weekend sur les chiffres publiés par ComScore au sujet de la distribution sur Internet de son dernier album. Pour rappel, cette étude précisait que 62% des personnes ayant téléchargé l'album "In Rainbows" n'auraient pas déboursé le moindre centime pour l'obtenir.

Radiohead annonce que les chiffres avancés par ComScore sont "complètement inexacts "et "ne reflètent pas le véritable succès du projet". Le groupe ajoute : "il est impossible pour une firme extérieure d'obtenir des chiffres exacts liés à nos ventes".

De son côté, ComScore a quelque peu précisé sa méthodologie pour effectuer ces mesures. L'étude serait ainsi liée à un échantillon de deux millions d'internautes qui ont bien voulu souhaiter participer au programme de suivi de ComScore qui permet notamment de tracer les activités et les achats sur le Web.

Un communiqué et des chiffres officiels de la part de Radiohead permettraient d'y voir plus clair à ce sujet, malheureusement, le groupe se refuse à avancer le moindre chiffre, du moins pour le moment...

PS : une chose est sure, on en parle beaucoup de cet album en ce moment sur le net :)
Fort de l'accord passé avec Eolas Technologies en août dernier, Microsoft s'apprête à mettre à jour son navigateur Web Internet Explorer de façon à ce que celui-ci permette l'exécution automatique d'objets multimédia dans les pages Web lorsque les contrôles correspondants ont été autorisés, sans qu'il soit nécessaire que l'utilisateur la valide manuellement. Initialement proposée dans Internet Explorer, cette fonctionnalité a été retirée par l'éditeur de Redmond en avril 2006, après qu'il eut été condamné à verser 521 millions de dollars à Eolas Technologies en 2003. C'est Pete LePage, senior product manager chez Microsoft, qui procède à cette annonce sur son blog.

Aujourd'hui, il arrive qu'Internet Explorer demande à l'utilisateur de valider manuellement le lancement de certains composants, nécessaires par exemple pour la visualisation de contenus multimédia en ligne. Il n'en a pas toujours été ainsi, mais il se trouve que la technologie qu'a utilisée Microsoft pour l'exécution automatique de cette tâche violait la propriété intellectuelle d'Eolas Technologies, d'où son éviction en avril 2006 et le retour à une confirmation manuelle.

L'accord conclu avec Eolas permet à Microsoft d'envisager le retour à une activation automatique et l'éditeur devrait délivrer dès le mois de décembre prochain une version bêta d'un composant sobrement baptisé "Internet Explorer Automatic Component Activation Preview", qui sera également intégrée aux versions bêta des SP1 de Vista et SP3 de Windows XP. La version finale devrait suivre dans le courant du mois d'avril 2008, distribuée sous la forme d'un correctif Windows Update.

"Il est important de noter que cette modification ne demandera aucun changement sur les pages Web existantes, et aucune action particulière pour les développeurs qui conçoivent de nouvelles pages. Nous revenons simplement à l'ancien mode de fonctionnement", explique Pete LePage.
Dévoilé début septembre, le service Photoshop Express d'Adobe devrait être rendu public sous la forme d'une version d'évaluation d'ici la fin de l'année, a indiqué en fin de semaine dernière l'éditeur lors de la conférence Digital Imaging conference. Photoshop Express se présente comme un service en ligne permettant l'édition directe d'images numériques. En dépit de ce nom, il ne proposera pas le riche éventail des fonctionnalités de Photoshop mais devrait se cantonner à des opérations comme la rotation, la découpe et l'application de filtres courants comme le flou, la netteté, la saturation ou la luminosité ou la correction des yeux rouges.

Adobe prévoit de proposer Photoshop Express sous licence à des services d'hébergement de photos en ligne tels que Shutterfly ou Photobucket, ce dernier utilisant déjà Remix, un outil d'édition de vidéos en ligne également fourni par Adobe.

Bruce Chizen, PDG d'Adobe, qui déclarait récemment que le modèle du "logiciel conçu comme un service" s'imposerait sans doute comme un standard dans les dix années à venir, semble bien décidé à ne pas rater ce tournant. L'éditeur vient justement de rendre accessible sans invitation son traitement de texte en ligne, BuzzWord, fruit de l'acquisition de Virtual Ubiquity. BuzzWord repose sur la solution de développement Adobe Flex, dont l'affichage utilise le lecteur Adobe Flash, pour permettre l'édition collaborative de documents en ligne.
Victoire pour l'UFC Que Choisir. L'association de consommateurs se félicite dans un communiqué publié jeudi dernier de la condamnation du fournisseur d'accès à Internet Free à verser quelque 400 euros d'indemnités à 21 de ses abonnés qui s'étaient plaints, pendant plusieurs mois, des difficultés rencontrées pour se connecter à Internet ou téléphoner via la ligne fixe associée à leur Freebox. La section grenobloise (38) de l'UFC Que Choisir avait alors entrepris de porter l'affaire devant la justice.

Avec succès, puisqu'un juge a finalement condamné Free pour non respect de l'obligation de résultat prévue par le code de la consommation. Le FAI devra verser entre 400 et 800 euros à chacun des 21 abonnés concernés au titre de compensation pour le préjudice moral subi. Le juge a notamment estimé que Free avait fait preuve d'un "manque de considération" et d'une "indifférence blâmable aux problèmes qu'ils rencontraient".

"L'opérateur avait bien présenté ses excuses à certains de ces clients lésés, mais ce n'est pas pour autant qu'il avait suspendu le prélèvement mensuel de l'abonnement ni répondu favorablement à leurs demandes de remboursement", explique l'UFC Que Choisir sur son site Web.

Free avait déjà été condamné fin juin par le tribunal de grande instance de Paris à indemniser trois abonnés pour des raisons similaires. Le tribunal lui avait alors rappelé qu'un opérateur est tenu à une obligation de résultats, et qu'il devait prendre en charge le coût des communications avec le support technique (hotline) en cas de déficience de son service.
Google a confirmé en fin de semaine dernière son intention d'investir le créneau de la publicité ciblée au sein des jeux vidéo. Comme Microsoft avec Massive, la firme de Mountain View a commencé par s'offrir une société spécialiste de ce domaine, AdScape, en février dernier, pour 23 millions de dollars. Google n'a pour le moment pas précisé ses plans en la matière mais certains affirment que le numéro un mondial de la recherche pourrait lancer une plateforme dédiée d'ici la fin de l'année.

Leader incontesté de la recherche en ligne, Google est à la recherche de nouveaux marchés sur lesquels étendre son emprise publicitaire comme en témoigne le récent lancement du projet Android, adressé à l'univers de la téléphonie mobile. Particulièrement lucratif, et touchant un très large bassin d'audience, le marché du jeu vidéo ne pouvait décemment être ignoré.

"Nous pensons que cet environnement riche est le parfait support pour délivrer des publicités pertinentes et ciblées qui en fin de compte profiteront aussi bien à l'utilisateur qu'à l'annonceur ou à l'éditeur de jeux vidéo", écrit un représentant de Google dans un communiqué adressé à l'AFP. "Nous sommes actuellement en train de conduire des tests pour déterminer la meilleure approche possible", ajoute-t-il.

Suite à l'acquisition d'AdScape, Google a déposé en avril dernier une demande de brevets relative à la la mise au point d'un dispositif qui permettrait d'établir le profil psychologique d'un internaute en fonction des actions qu'il accomplit dans un jeu ou univers en ligne tel que World of Warcraft ou Second Life. En analysant ses échanges avec les autres protagonistes de l'aventure, ses actions ou son attitude, il serait possible d'établir le profil psychologique d'un joueur sans interférer avec l'expérience de ce dernier, l'objectif étant d'exploiter ces informations pour faire correspondre les publicités affichées en jeu à sa personnalité. En mai dernier, Google précisait toutefois afin de faire taire les critiques naissantes qu'une telle demande ne signifiait pas qu'il avait forcément l'intention d'exploiter ce type de technologie.

Alors qu'aux Etats-Unis enfle une polémique relative à l'utilisation de "publicité comportementale" sur le réseau social Facebook, la publicité ciblée in game risque de provoquer l'ire des défenseurs de la vie privée. Du côté des joueurs, l'accueil est mitigé : certains s'indignent que les éditeurs trouvent le moyen de monétiser encore par la publicité des productions qui sont déjà vendues plusieurs dizaines d'euros pièce, tandis que d'autres estiment que ces réclames ajoutent encore au réalisme des jeux, en rappelant que les simulations sportives ont longtemps été ornées de fausses publicités...
le 12/11/2007 à 20:53
Alice n'est pas - encore - à vendre
A la suite d'articles concernant son éventuel désengagement du marché français, Telecom Italia, opérateur actif dans l'Internet résidentiel sous la marque Alice, a précisé ce week-end sa position. "Il n'y a actuellement aucun processus de vente en cours, ni de décision de vendre", a souligné Riccardo Ruggiero, administrateur délégué du groupe italien de télécommunications, dans un communiqué.

"La seule chose que nous avons indiquée est que nous n'excluons aucune option au regard de ce que sera notre stratégie internationale dans le futur", a ajouté l'administrateur. Tablant sur "la croissance organique soutenue" de sa filiale française, Telecom Italia envisage d'atteindre l'équilibre de son EBITDA (résultat opérationnel avant amortissements, dépréciations et provisions) en 2008 "tout en maintenant un important niveau d'investissement sur la France".

L'avenir d'Alice reste incertain. Sur le marché ADSL français, Telecom Italia France (882.000 abonnés haut débit au 30 septembre 2007) reste largement dominé par Orange (6,9 M d'abonnés ADSL), Neuf Cegetel (3,12 M) et Free (2,77 M).
le 10/11/2007 à 13:03
PHP 5.2.5 disponible
L'équipe de développement PHP annonce la disponibilité immédiate de PHP 5.2.5. Cette version améliore la stabilité de la série 5.2.x, avec plus de 60 corrections de bogues, dont plusieurs concernent la sécurité. Tous les utilisateurs de PHP sont encouragés à mettre à jour leur version.
Plus de détails sur la version 5.2.5 sont disponibles dans le fichier d'historique ChangeLog de PHP 5.

Les corrections de sécurité de PHP 5.2.5 sont :
- Correction de dl() pour qu'il n'accepte que des noms de fichiers. Rapporté par Laurent Gaffie.
- Correction de dl() pour limiter la taille de l'argument à MAXPATHLEN (CVE-2007-4887). Rapporté par Laurent Gaffie.
- Correction pour que htmlentities et htmlspecialchars n'acceptent pas de séquences multi-octets partielles. Rapporté par Rasmus Lerdorf
- Correction d'un dépassement de capacité possible dans les fonctions fnmatch(), setlocale() et glob(). Rapporté par Laurent Gaffie.
- Correction de la directive php.ini "mail.force_extra_parameters" qui ne doit pas être modifiable dans le fichier .htaccess, à cause d'implications de sécurité. Rapporté par SecurityReason.
- Correction du bogue #42869 (Injection d'identifiant de session dans les formulaires non-locaux).
- Correction du bogue #41561 (les valeurs configurées avec php_admin_* dans httpd.conf peuvent être remplacées avec ini_set()).

Pour les utilisateurs qui passent à PHP 5.2 depuis 5.0 et 5.1, un guide de migration est disponible dans la documentation, détaillant les changements entre ces versions et PHP 5.2.5.

- Téléchargement PHP 5.2.5
- Changelog PHP 5.2.5
YouTube enrichit cette semaine son service d'hébergement vidéo d'une nouvelle fonctionnalité permettant d'envoyer vers ses serveurs plusieurs vidéos simultanément. En parallèle, il annonce que la taille maximale des fichiers pouvant lui être adressés passe désormais de 100 Mo à 1 Go, même si la durée des vidéos ne pourra toujours pas excéder 10 minutes.

"Nous voulons vos gros fichiers", s'exclament les responsables de YouTube sur leur blog. En passant la limite de 100 Mo à 1 Go, ils espèrent ainsi faciliter la tâche des amateurs qui réalisent eux-mêmes leur vidéoen leur évitant d'avoir à les compresser pour qu'elles soient acceptées au moment de l'envoi. La durée reste toutefois limitée à 10 minutes, notamment pour éviter que l'on n'utilise le service pour diffuser des longs métrages ou des programmes TV soumis au droit d'auteur.

L'interface habituelle d'upload à partir d'une page Web conserve la limite à 100 Mo et il faudra se tourner vers le YouTube Uploader, un utilitaire tout juste proposé par YouTube. C'est lui qui, justement, permet d'expédier simultanément plusieurs vidéos vers ses serveurs : pratique pour charger toute une série de contenus sans avoir à relancer manuellement le processus à chaque nouveau fichier. Pour l'instant, seule la version Windows est proposée, mais YouTube assure qu'une déclinaison Mac arrive très prochainement.
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