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Mise à jour : l'arrivée de Mark Hurd chez Oracle a été confirmée lundi soir par l'éditeur. L'ex directeur général de HP occupera le poste laissé vacant par Charles Phillips, démissionnaire. Mark Hurd devient donc l'un des présidents d'Oracle, et siègera au conseil d'administration de l'éditeur.Article initial, 5 septembre, 10h

Amené à quitter ses fonctions à la tête de HP suite à la médiatisation d'un scandale impliquant notes de frais indues et relations personnelles avec l'une de ses collaboratrices, Mark Hurd pourrait prochainement rejoindre les bancs d'Oracle, la société que dirige son ami Larry Ellison. Le Wall Street Journal, premier à s'être fait l'écho de cette information, évoque un poste à responsabilités, dont la nature exacte n'a pas été déterminée.

En dépit de ses récentes frasques, Mark Hurd, 53 ans, reste une personnalité respectée dans la Silicon Valley, où l'on n'oublie pas que c'est sous sa direction que HP a repris la place de numéro un du marché mondial des PC, détrônant son compatriote Dell.

Larry Ellison avait réagi vertement à l'annonce de son départ, estimant que le comité de direction de HP commettait une erreur semblable à celle du limogeage de Steve Jobs chez Apple. Reste à voir quelle place le tempétueux PDG d'Oracle pourrait trouver au nouveau venu dans son organisation. Aujourd'hui, Ellison pilote l'ensemble des opérations, secondé par le duo Safra Catz et Charles Phillips.
Le 24 juillet dernier, l'équipe de Youtube invitait l'ensemble des internautes à publier une vidéo décrivant leur journée. Au total 80 000 vidéos furent soumises avec 197 pays représentés. Baptisé Life in a Day (un jour dans la vie), ce projet a pour but de créer le plus gros documentaire généré par les utilisateurs eux-mêmes, l'objectif étant de percevoir le même jour au travers de différents regards.

Une galerie interactive, présentée sous la forme d'un globe terreste vient d'être mise en place afin de visionner les premiers clips sélectionnés. Il est également possible de lire deux vidéos simultanément afin de comparer ces dernières.

Par la suite, l'éditeur Kevin Macdonald et le producteur Ridley Scott mettront en oeuvre ce documentaire qui devrait voir le jour lors du Festival du film de Sundance (Salt Lake City) en janvier 2011. Les internautes dont la vidéo a été sélectionnée pour la version finale du film seront invités au festival et crédités en tant que co-directeurs.

Retrouvez déjà les premières vidéos sélectionnées ici.
Après les multiples annonces autour de la hausse de la TVA sur les offres Triple-Play, une réunion entre les acteurs du secteur et le chef de l'Etat était programmée. Ce lundi soir, les professionnels du cinéma (pas les FAI) étaient donc reçus à l'Elysée. Si ces derniers ne verront pas la hausse de la TVA, les FAI seront bien taxés.

Pour rappel, une hausse de la TVA est prévue pour les abonnements de type Triple-Play. Plus précisément, l'assiette de taxation devrait être élargie. Pour information, actuellement 50 % de la facture d'un forfait Triple-Play est taxée au taux de TVA de 19,6 % (taux « normal »), le reste est soumis à une TVA réduite à 5,5 %. Suite aux demandes de l'Union européenne, la France est obligée de réduire cette part à 30 ou 40 % de la facture…

Lors de cette réunion, le chef de l'Etat a donc clairement expliqué que la filière cinématographique ne serait pas touchée par cette hausse. Selon Le Point.fr, Nicolas Sarkozy aurait annoncé «  ne rien vouloir faire contre le cinéma ». Canal+ échappera donc à l'augmentation de la TVA sur ses abonnements

Par contre c'est un autre son de cloche qui devrait toucher les FAI. Malgré les critiques de certains opérateurs comme Free ou SFR, ces derniers seront bien concernés par cette hausse d'imposition. La secrétaire d'Etat à l'Economie numérique à tenté d'expliquer ce matin sur la radio RMC les motifs qui poussent à la taxation des FAI : « On a un problème, on est attaqué par la Commission européenne sur la TVA à taux réduite. On n'est pas encore condamné mais on le sera si on continue de fonctionner ainsi. Des gens n'utilisent pas la télévision dans leur Triple-Play donc la taxation ne peut plus rester en l'état. Il va y avoir des évolutions ».

Même si elle ne confirme pas clairement que les FAI seront touchés à 19,6 % de manière plus importante, le taux changera bien. Certains estiment donc que cette évolution devrait se traduire par une hausse de l'abonnement de l'ordre de 2 euros par mois. Pourtant, d'autres voix estiment que cette augmentation ne « couterait » aux FAI qu'une trentaine de centimes.

Reste donc à savoir comment les FAI répercuteront cette nouvelle TVA. En tout cas, deux thèse s'opposent d'un côté une hausse pure des forfaits (autour de de 35 à 38 euros) ou une fragmentation des offres vers du Double-Play, téléphone Internet d'un côté, télévision de l'autre...
Que peuvent bien vouloir dire ces agaçantes boules animées qui fuient systématiquement le pointeur de la souris sur la page d'accueil de Google depuis quelques heures ? Le numéro un mondial des moteurs de recherche a une nouvelle fois cédé à la tentation du Doodle : un logo spécial, qui habille sa page d'accueil pendant 24 heures mais cette fois, aucune explication n'est donnée quant à la célébration associée.

On découvre donc, sur les différentes versions du moteur, un agglomérat de boules de couleur qui s'agitent sur la page et finissent par se rassembler pour composer le logo Google si on ne les sollicite pas. L'animation réalisée en JavaScript, plutôt amusante même si les possesseurs de machines un peu anciennes pourront ne pas apprécier la plaisanterie, n'évoque à première vue aucun évènement particulier.

La mise en place d'un Doodle, devenue une habitude chez Google, s'accompagne normalement d'une commémoration. Parmi les derniers en date, par exemple, un polygone à 60 faces interactif est venu remplacer l'un des « o » de Google le 4 septembre dernier pour célébrer le 25e anniversaire de la Buckyball, molécule composée d'atomes de carbone autrement connue sous le nom de fullerène.

En l'absence d'explications officielles, certains se livrent au jeu des conjectures : Google célébrerait-il à sa façon son 12e anniversaire, puisque la création du moteur remonte au début du mois de septembre 1998 ? Autre possibilité déjà envisagée : ces boules animées seraient le prélude au lancement d'un nouveau service ou à une annonce officielle, qui interviendrait alors, sans doute, dans les heures à venir. Elles pourraient aussi rappeler les deux ans du navigateur Chrome, sorti début septembre 2008, dont la version 6.0 vient tout juste d'être mise en ligne.
PDG de l'agence de conseil en stratégie mobile Wayma, Pierre Gaymard nous propose cette tribune libre dans laquelle il revient sur les atouts du mobile dans le domaine du commerce électronique et invite les marques à envisager plus sérieusement l'intégration de ce nouvel écran dans leurs démarches de communication et de vente sur Internet.Le commerce en ligne affiche des croissances à deux chiffres depuis 5 ans et cela devrait continuer. En France, avec un montant total de transactions de 24,7 Mds € en 2009, la croissance est encore de 33% pour représenter 4,9% des ventes de détails et les prévisions de progression pour 2010 sont encore au-dessus de 30%.

La dématérialisation de l'acte d'achat est désormais bien dans les mœurs. Mais à constater cet engouement pour l'achat depuis un ordinateur, dont le taux d'équipement des foyers français avoisine les 75%, il y a matière à imaginer qu'à 96% de possession d'un téléphone mobile, les Français devraient rapidement exploiter les atouts du canal mobile pour réaliser une partie de leurs achats. Car les atouts sont bien là.L'instantanéité

Pourquoi attendre de se rendre au magasin pour trouver le cadeau d'anniversaire dont ma fille vient de me parler pendant que je l'emmenais à l'école. Et si j'oubliais... Et la réservation des billets pour le prochain week-end que nous venons de décider en déjeunant au restaurant avec ma femme. Et s'il n'y avait plus de place... L'impulsion, l'envie subite, le conseil avisé lors d'une rencontre, autant de situations qui justifient de pouvoir accéder, sans attendre, à une boutique en ligne. Avec le mobile, ce point de vente est dans sa poche, et doit savoir assouvir les besoins les plus urgents. Et c'est toujours ouvert !La personnalisation

Le mobile est individuel. Une plateforme interactive se paramètre. Comment trouver l'appareil photo de mes rêves, si je dois passer en revue l'ensemble du catalogue hi-tech de mon vendeur favori pour accéder à la rubrique concernée. Pourquoi devoir balayer tous les jours l'offre du discounter réputé en équipement de sport, et trouver ainsi ma nouvelle raquette de tennis aux meilleures conditions, alors que je peux programmer des alertes qui me tiendront au courant des offres dès qu'elles se présentent.La garantie des bonnes affaires

Le commerce en ligne a développé l'attrait pour les ventes flash. Impensable de manquer le séjour aux Seychelles à 50% parce que j'assiste au match de mon joueur préféré, encore moins la mise en vente des primeurs de Pauillac parce que je dois participer à une réunion. Le canal est continuellement à portée de main, et de plus, fort de la capacité de personnalisation évoquée plus haut, si je m'inscris à la bonne plateforme, je recevrai un message qui m'alertera à l'ouverture de la vente.

Personnalisation et instantanéité, tous les ingrédients sont réunis sur le mobile pour permettre au consommateur de pratiquer des achats. Les Japonais l'ont bien compris, les études révèlent qu'ils sont déjà 36% de mobile shoppers, loin devant les Américains (6%) et les Européens (2%). Le développement est bien devant nous !

Mais il est un atout supplémentaire, que les marques qui investissent des budgets lourds dans les canaux de communication plus traditionnels, doivent envisager d'exploiter rapidement. Il s'agit ni plus ni moins que de la cohabitation du mobile avec les medias publicitaires.

- Qu'on pense à la presse, bien souvent lue en déplacements (transports en communs, terrasse d'un café, salle d'attente, etc.), et donc dans un contexte de consultation similaire au mobile,

- qu'on s'intéresse à l'affichage, où le contexte de mobilité s'impose comme une évidence,

- ou qu'on réfléchisse à la télévision ou à la radio è selon l'Observatoire du téléphone mobile TNS/AFOM de décembre 2009, le premier lieu de fréquentation des services mobiles est à son domicile !

Autant de "passerelles" vers le mobile qui doivent faire prendre conscience aux marques qu'une stimulation à grande échelle à 20h00 sur TF1 ou bien à travers une campagne nationale d'abribus, peut efficacement se traduire en ventes si cette même sollicitation sait trouver son prolongement vers une plateforme mobile transactionnelle. Je suis informé d'une offre, j'achète le produit. Pourquoi attendre pour transformer !

L'Internet mobile progresse. Médiamétrie a récemment évalué à près de 12 millions le nombre de mobinautes en France, ce qui représente près de 20% de la population équipée en téléphonie mobile. Poussée par les habitudes d'achats en ligne sur le web, et une fois admis par les utilisateurs que les paiements s'effectuent à partir des mêmes plateformes sécurisées que sur leurs sites préférés, il n'y a pas à douter que la progression du m-commerce sera bien plus rapide que celle de l'Internet fixe.

Plus qu'un canal de communication, le mobile devient un canal de distribution. Plus tôt les Marques s'y inscriront, plus vite elles seront en mesure de satisfaire les m-acheteurs !
Sur son site, l'Assemblée nationale annonce qu'un débat sur la répartition des droits d'auteur aura lieu le 15 septembre prochain. Les ayants-droit viendront donc défendre leur vision de la répartition et de la perception collective des « droits d'auteur et droits voisins ».

La Commission des affaires culturelles compte entendre les représentants du secteur, tout comme la Sacem qui aura droit à une réunion, en seconde partie de conférence. Même si on ne connaît pas la teneur des débats, quelques pistes peuvent néanmoins être dégagées.

D'un côté, la rémunération de certains cadres de sociétés de redistribution avait été épinglée par la cour des comptes. Figuraient alors, dans les comptes de la Sacem, une transaction de 200 000 euros versés à un ex-cadre dirigeant en guise d'indemnité de licenciement. De même, le rapport ciblait la lourdeur administrative engendrée par les multiples entités appartenant à la Sacem.

Enfin, l'Assemblée nationale pourrait également voir comment les ayants-droit comptent réagir face à l'arrivée d'Hadopi. Si une redistribution des cartes à lieu, suite au lancement de mesures censées réduire le piratage, l'Assemblée pourrait demander aux sociétés de revoir leur politique et de dégager des mesures concrètes d'encouragement vers les offres légales.
Sur son blog dédié à la sécurité, Microsoft a récemment mis en garde contre un nouveau malware qui cible particulièrement les utilisateurs d'Internet Explorer, Google Chrome et Firefox sur Windows. L'attaque est générée depuis un site malveillant. Le processus commence avec une détection du navigateur utilisé par la victime. Par la suite la page web génère une fausse page d'alerte de sécurité en calquant cette dernière sur la version originale.

Microsoft explique que : "les similarités de ces fausses pages sont si précises que même un oeil averti peut tomber dans le panneau". Cependant, outre les fautes de frappe, ces fausses pages contiennent tout de même un lien vers une soi-disante mise à jour ou solution de sécurité. Bien entendu, la victime cliquant sur ce lien télécharge d'emblée un malware baptisé Rogue:MSIL/Zeven. Une fois le logiciel malveillant installé sur la machine, l'utilisateur se retrouve avec un énième faux antivirus doté de vrai fausses fonctionnalités pour scanner ses disques durs, configurer les paramètres de sécurité ou effectuer des mises à jour.

L'application malveillante feindra ensuite de trouver un virus et demandera à la victime d'acheter la version complète pour enlever cette menace. S'ouvre alors un site Internet dont l'interface fut vraisemblablement calquée sur celle de Microsoft Security Essentials ; un moyen bien connu pour récupérer les informations bancaire. Bref un vrai travail de faussaire ! Pour de plus amples informations et trouver une solution en cas d'infection rendez-vous ici.
La police suédoise serait sur une enquête au long cours. Depuis des informations de la police belge, les services de la couronne enquêteraient sur des cas de téléchargements illégaux de fichiers. Ils seraient alors remontés vers le site The Pirate Bay.

C'est pourquoi les médias du pays, repris par le Monde.fr annoncent qu'une perquisition est en cours dans les locaux de l'hébergeur suédois PRQ, à Solna en Suède. Cet hébergeur est connu pour abriter certains serveurs de TPB, mais également de Wikileaks, le site qui s'est fait le spécialiste de la fuite d'informations.

La police serait donc à la recherche de fichiers de films de type screeners. De même, l'envergure de l'opération serait transnationale puisque d'autres perquisitions auraient été organisées aux Pays-Bas et en Hongrie. Sept personnes seraient actuellement interpellées sans qu'aucune saisie n'ait été faite.
Vous connaissiez les pages Facebook créées par les marques pour promouvoir leurs produits, vous connaissiez les pages des « célébrités » en tout genre souhaitant communiquer plus facilement avec leurs fans ou leurs partisans, voilà désormais que les institutions françaises sautent le pas ! En effet, l'AFP rapporte que la préfecture de Haute-Saône est la première en France à s'être ouvert un compte sur le réseau du géant communautaire.

Le préfet Eric Freysselinard aurait ainsi déclaré que la nouvelle page sera un "outil de communication pour les services de l'Etat". L'objectif est donc d'afficher davantage de transparence auprès du plus grand nombre. Et d'ajouter : "On ne peut pas s'en passer".

Reste à savoir si les autres institutions lui emboîteront le pas et surtout si cette communication 2.0 portera réellement ses fruits. Pour l'heure la page n'a reçu l'approbation que d'une cinquantaine de personnes et aucun fil de discussion n'a été créé.
Combien dépensent les grandes sociétés pour déployer leurs campagnes publicitaires sur Google Adwords ? Voilà ce qu'a obtenu le magazine Advertising Age en se procurant un document confidentiel de Google détaillant les dépenses effectuées au mois de juin 2010.

En tête du palmarès nous retrouvons l'opérateur américain AT&T, le troisième plus gros annonceur outre-Atlantique. AT&T aurait déboursé 8,08 millions de dollars, une somme qui, selon Ad Age, coïnciderait avec la sortie de l'iPhone 4 d'Apple. Avec 6,67 millions de dollars, nous retrouvons en seconde place Apollo Group, la société finançant l'Université de Phoenix en Arizona. Cette dépense s'expliquerait de son côté par la promotion de l'établissement scolaire à l'heure de la rentrée universitaire.

Le mois de juin marque également le début de la haute saison estivale ; il n'est donc pas surprenant de retrouver l'agence de voyage Expedia en troisième place avec un budget alloué de 5,95 millions de dollars. Les plateformes e-commerce Amazon et eBay sont respectivement en cinquième et sixième position avec 5,85 et 4,25 millions de dollars dépensés sur Google Adwords. Ce mois-ci marqua également le pic de la crise subie par la compagnie pétrolière britannique BP. Alors que la société ne dépense généralement que 57 000 dollars par mois, elle aurait cette fois mené une campagne de communication de grande envergure sur Google en rachetant plusieurs mots-clés. Au total, 4,23 millions de dollars ont été dépensés par BP.

Toujours selon Ad Age, General Motors, Walt Disney, Kodak et BMW auraient pour leurs parts dépensé moins de 500 000 dollars tandis qu'Apple et Intel ont fixé leur budget à un peu moins d'un million. Notons que les 10 plus gros annonceurs ne comptent que pour 5% des revenus de Google au mois de juin. Crédits Ad Age
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