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Un système pour les connecter toutes. Eric Schmidt, patron de Google, s'est rendu à Berlin cette semaine pour présenter à l'ensemble de l'industrie de l'électronique grand public Google TV, le système d'exploitation que destine le numéro un mondial des moteurs de recherche à l'écran de télévision. Ce service de TV connectée, qui doit permettre d'accéder à l'ensemble des ressources du Web, sera lancé dès le mois d'octobre aux Etats-Unis. L'Europe devra pour sa part patienter quelques mois de plus : Eric Schmidt a en effet indiqué que Google TV ne serait pas commercialisé sur le Vieux Continent avant 2011.

Dévoilé en mai dernier, le projet Google TV ambitionne de doter les téléviseurs ou les boîtiers multimédia d'une couche logicielle leur permettant de se connecter et d'interagir avec les services Web - à commencer, bien sûr, par les produits maison tels que YouTube, qui a déjà dévoilé son interface dédiée à l'écran de TV.

« Vous ne voudriez pas d'un ordinateur qui n'ait pas un navigateur Internet aujourd'hui. Bientôt, vous ne voudrez plus d'une télévision sans navigateur », a promis Brittany Bohnet responsable du projet Google TV. Au centre du dispositif, on trouvera donc le navigateur maison, Chrome, installé sur la base du système Android et enrichi de tous les services développés par Google : recherche vocale ou sous-titrage automatique. Difficile de ne pas imaginer qu'à terme, Google TV s'ouvre également au kiosque d'applications Android Market ou à des interactions avec les téléphones munis du même système d'exploitation.

Pour distribuer Google TV, le moteur de recherche s'appuiera sur des partenaires issus du monde du hardware, au premier rang desquels Logitech, via un enregistreur numérique, et Sony, qui implémenta le système directement au sein de certaines de ses gammes de téléviseurs. LG et Samsung, qui planchent eux aussi sur le dossier des TV connectées, auraient également fait part de leur intérêt.

Comme il l'a fait dans le domaine de la téléphonie mobile avec Android, Google ambitionne ici de proposer une plateforme ouverte, sur laquelle chacun pourra venir greffer ses innovations ou ses propres services, rassurante en ceci qu'elle n'enferme aucun des partenaires dans une logique exclusive. Une démarche aux antipodes de celle retenue par Apple qui, autour de son Apple TV, construit un environnement fermé dans lequel les contenus n'arrivent qu'après négociations d'accords au cas par cas. Reste à voir comment Google tirera profit de la position centrale qu'il souhaite occuper.
Si au premier semestre de cette année les sites de Yahoo! Sport ont enregistré une forte progression, pour cette rentrée 2010, Yahoo! France replace la femme au devant de la scène. En effet, ce matin Brigitte Cantaloube a levé le voile sur Yahoo! Pour Elles, un portail féminin ciblant les 25-45 ans.

En rappelant que l'année 2009 fut marquée par le lancement d'une nouvelle page d'accueil Yahoo.fr, Brigitte Cantaloube souligne que cette dernière a affiché une progression de 18% avec 7 millions de visiteurs uniques chaque mois. Les modules personnalisables mais également le nouvel agencement auraient ainsi contribué à ce succès qui se traduit notamment par un taux de clics multiplié par cinq pour la consultation des articles choisis par l'équipe éditoriale.

Cependant le site affichant la plus forte croissance depuis le début de l'année reste certainement Yahoo! Sport, un phénomène observé non seulement en France mais également aux Etats-Unis. Il faut dire qu'au mois de février se sont ouverts les Jeux Olympiques de Vancouver. Puis la coupe du monde de football a pris le relais au mois de juin. D'ailleurs, ce mois-ci, Yahoo! Sport FR aurait enregistré 3,4 millions de visiteurs uniques dont 1,3 million le 22 juin, c'est-à-dire au lendemain de la défaite des Bleus. Brigitte Cantaloube se satisfait également du succès des rédacteurs ayant rejoint l'équipe éditoriale du portail. Le bloggueur Pierre Menes aurait ainsi recueilli 2 millions d'internautes en juin et plus de 3000 participations des internautes dans un billet publié le 22 du mois.

Pour cette rentrée, Yahoo France a dévoilé un portail féminin baptisée Yahoo! Pour Elles. Sur les 33,8 millions d'internautes français, la moitié d'entre eux seraient des femmes. Plus qu'une adaptation de la version américaine Yahoo! Shine, Caroline Baldeyrou, responsable éditoriale de Yahoo! France, explique que les déclinaisons sont adaptées en fonction des sondages effectués dans chaque pays. Yahoo! Pour Elles est divisée en 9 rubriques avec un promesse de 150 publications quotidiennes. "Notre but est d'être dans le top 5 des médias féminins l'année prochaine", confie Brigitte Cantaloube. Cette ambition se traduira par la mise en place de services parallèles et notamment l'intégration de Yahoo! Questions/Réponses recueillant 6 millions de membres ou encore des réseaux Facebook et MySpace. Pour ce nouveau site Yahoo! a signé avec plusieurs partenaires spécialisés comme Cosmopolitan.fr, Marieclaire.fr, Glamour.fr ou encore Vogue.com.

Outre ce lancement, la grille de rentrée de Yahoo! France reste toutefois très évasive. Aucune précision n'a été apportée sur le calendrier de la migration du moteur de recherche vers la technologie de Microsoft. Ken Hart, directeur de la division Business Mobile pour Yahoo! Europe est également resté très bref sur le partenariat entre Yahoo! et Nokia.
Parfois, il arrive que le mail ne soit pas de rigueur pour envoyer un courrier : il ne reste plus, alors, qu'à ressortir les bonnes vieilles enveloppes et les timbres qu'on lèche consciencieusement avant de les coller et d'expédier le tout en espérant que le trajet de la missive se déroule sans encombre : une activité pas très geek, en somme !

Heureusement, le créateur du site Teevio est passé par là et propose Mapenvelope, un générateur qui permet d'intégrer de façon automatique un visuel de Google Maps/Earth dans une enveloppe à plier soi-même. Et comme il est possible de localiser une adresse sur la carte et d'intégrer un message personnel, le service peut s'avérer utile pour indiquer son adresse de façon originale à son correspondant, ou bien illustrer sa missive à l'aide d'une bizarrerie typique de Google Maps.Mapenvelope devrait donc mettre un peu de piment dans ce bon vieux moyen de communication qu'est la lettre, à condition de ne pas être allergique aux travaux manuels !
La Suisse fait un pas en arrière sur le terrain de l'identification des internautes et leur traque grâce à l'adresse IP. Le pays va désormais être connu pour sa législation protectrice des données. En cassant l'arrêt de première instance, la justice a estimé que des règles fédérales ont été violées et qu'une « prépondérance avait été donnée aux droits d'auteur face à la protection de la sphère privée ». Retour sur l'affaire « Logistep ».

Pour motiver sa décision, le juge a considéré l'adresse IP comme une donnée personnelle. Pourtant, tout avait débuté par la traque initiée par la société Logistep (le Trident Media Guard suisse) contre les internautes mettant à disposition des fichiers sur certains serveurs ed2k, appartenant notamment à Razorback. Sur le même fonctionnement que l'Hadopi, la société repérait certaines adresses IP pour les communiquer aux ayants-droit.

En premier lieu, la justice avait alors estimé que cette collecte était justifiée par le fait qu'il s'agissait d'une des meilleures méthodes pour endiguer le piratage. Une base légale discutable qui n'a pas tenu devant le tribunal fédéral. Ainsi des motifs très clairs ont été retenus contre la société Logistep : « il y a bien atteinte aux droits personnels des internautes puisque ces derniers n'ont pas connaissance de la récolte des données, ce qui constitue une atteinte importante à la sphère privée ».

En Suisse, les juges ont finalement tranché par une courte majorité (3 voix contre 2) en décidant de poursuivre pénalement Logistep et de demander l'arrestation de son directeur puisque l'activité de la société est jugée illégale.

La Justice a donc mis en lumière l'opposition entre les activités d'entreprises privées et la défense des internautes. Un système différent de la France dans le sens où l'Hadopi n'existe que grâce à la loi et à ses décrets.
Après la perquisition dans les locaux de l'hébergeur des sites The Pirate Bay et Wikileaks, la police a donné plus d'informations quant à ses motifs. Ce mercredi, des médias suédois annonçaient qu'une perquisition était en cours dans les locaux de l'hébergeur suédois PRQ. Cette opération entrerait dans le cadre d'une vaste coordination entre 14 pays d'Europe.

Les pays concernés par ces perquisitions sont la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne, la Croatie, la Suisse, l'Autriche, la République Tchèque, la Norvège, la Hongrie et la Suède, selon le site Torrentfreak.

A la base, un réseau belge appelé « La Scène » aurait été le point de départ de l'enquête, en Belgique. Par la suite, ce sont pas moins de 48 grands sites à travers l'Europe qui seraient visés.

Enfin, le site Zataz rapporte que sept hommes âgés de 20 à 30 ans ont été interpellés en Belgique. Ils sont accusés de participation à une organisation criminelle, piraterie, fraude informatique et hacking. Les sites visés sont classés Topsite et diffusent du contenu illégalement par le fait qu'ils sont en contact avec des « groupes créateurs de contrefaçons ».

Par cette manière, les services de police souhaitent mettre un doigt sur la source du téléchargement illégal de contenus protégés par le droit d'auteur.
Mise à jour : comme prévu, l'audience de FDN devant le Conseil d'Etat s'est déroulée mercredi, à partir de 17 heures, en présence de représentants du ministère de la Culture. L'évènement n'était pas public, mais l'on pourra en retrouver un déroulé chronologique par le biais du compte Twitter de Turblog. La décision finale sera quant à elle rendue mercredi prochain, soit le 15 septembre.Publication initiale, 12 août 2010

Pendant que les FAI qui ont pignon sur rue s'interrogent sur les compensations financières associées à l'identification des internautes convaincus de téléchargement illégal, un acteur bien plus discret attaque les problèmes posés par la loi Hadopi de façon bien plus frontale, en tentant de faire invalider auprès du Conseil d'Etat l'un des décrets d'application qui signent son entrée en vigueur, au motif d'un vice de forme récurrent.

Pour FDN (French Data Network), fournisseur d'accès associatif, les décrets qui décrivent le fonctionnement de la Commission de Protection des Droits de la Hadopi ont été rédigés en omettant un point de détail crucial : l'avis de l'Arcep, qui constitue pourtant un prérequis indispensable dès qu'un projet de loi ou un décret touche à l'univers des télécommunications selon le Code des postes et communications électroniques. FDN explique donc avoir introduit un recours en référé auprès du Conseil d'Etat. Si la démarche s'avérait fructueuse, il pourrait obtenir l'invalidation des décrets concernés, ce qui en théorie pourrait compromettre la mise en branle de l'Hadopi mais conduirait plus vraisemblablement à la publication d'un nouveau décret.

FDN n'en est pas à son coup d'essai en la matière. En réalité, son premier recours remonte au mois de mai dernier. Il attaquait alors le décret qui définit quelles sont les informations qu'est en droit de demander la Hadopi aux FAI. Le référé visait alors à ce que l'affaire soit tranchée sur le fond, une procédure susceptible de prendre plusieurs mois et qui n'interdit pas l'entrée en activité de la Haute Autorité.

Dans la mesure où cette dernière se dit prête à débuter ses requêtes d'identification en septembre, FDN estime qu'il y a urgence à trancher la question et a donc lancé ce second recours, en optant cette fois pour un "référé suspension", qui impose une réponse immédiate, ou presque, de la part de l'entité objet de la procédure.

« Nous aurions préféré ne pas avoir à utiliser la procédure de référé. Elle entraîne une surcharge de travail pour le Conseil d'État qui a d'autres choses à faire, mais la Hadopi et le gouvernement ne nous ont pas laissé le choix en la matière, en créant une urgence, ils créent le besoin du référé », explique Benjamin Bayart (photo), président du FDN, sur le blog de l'association. La décision devrait donc intervenir dans les jours à venir, vraisemblablement avant la fin du mois.
Aujourd'hui Google a annoncé une mise à jour de son moteur de recherche. Après avoir peaufiné l'interface utilisateur et implementé les informations en temps réel générées par les réseaux sociaux, le moteur est désormais doté d'une nouvelle technologie baptisée Google Instant.

Selon Jonathan Effrat, chef de produit du département de la recherche chez Google, une requête classique effectuée sur Google.fr dure généralement 24 secondes, à savoir 9 secondes pour entrer les mots-clés puis 15 secondes pour obtenir une réponse satisfaisante au sein des résultats. Avec Google Instant, l'objectif est de diminuer le temps alloué à la recherche en rafraichissant instantanément les résultats au fur et à mesure de la saisie d'une requête. En plus de générer automatiquement des résultats à la manière du moteur Spotlight de Mac OS X, la technologie est doublée d'un système de remplissage automatique en anticipant la nature de la recherche avec l'ajout de mots-clés grisés. Cette nouvelle technologie permettrait alors d'économiser entre 2 et 5 secondes par requête.

Plusieurs facteurs ont été pris en compte pour l'élaboration de Google Instant. Tout d'abord les internautes ne disposant pas d'une connexion suffisement rapide pour afficher les résultats instantanément seront automatiquement redirigés vers la version classique du moteur. Notez que l'utilisateur est en mesure d'activer ou de désactiver la fonction manuellement. Par ailleurs le contenu jugé inapproprié sera automatiquement masqué. Ainsi si l'internaute commence à taper une requête de type sexagénaire, la saisie des premières lettres ne devrait pas retourner des liens vers du contenu pornographique. Enfin, au travers des tests effectués en interne, le rafraichissement permanent des résultats n'aurait pas été jugé intrusif mais se serait révélé relativement naturel à l'usage.

Pour générer ces résultats en temps réel, Google a renforcé son infrastructure et mis a contribution plusieurs équipes. En Israël les ingénieurs ont planché sur le système de remplissage automatique tandis qu'à Zurich, les travaux se sont portés sur la qualité des résultats générés.

Pour l'heure, Google Instant fonctionne sur Chrome, Firefox, Safari et Internet Explorer 8. M.Effrat explique que l'équipe est actuellement en train de travailler sur la prise en charge d'Opera, un travail estimé à quelques semaines. L'équipe réfléchit aussi l'implémentation de cette technologie sur les autres formulaires de recherche comme celui du navigateur Chrome ou encore Google Mobile (un peu plus tard cette année).
le 08/09/2010 à 23:36
Importateur projet 4.1
Importateur projet est une application en PHP, permettant d'importer certains types de fichiers comme actuellement :
- WBS Gantt chart Pro
- Microsoft Project

Grâce à la lecture de ces fichiers, vous allez pouvoir utiliser ces documents dans vos différents projets.

Cette nouvelle version apporte des correctifs et l'ajout d'un Tweak.

- Importateur projet 4.1
C'est un casse-tête juridique qu'a livré la Quadrature du Net. A l'heure où l'Hadopi annonce qu'elle compte étendre sa consultation sur les logiciels de sécurisation jusqu'au 30 octobre, des failles de la loi pourraient profiter aux internautes. Prenez un café, l'explication commence.

Lors de ses présentations à la presse, la présidente de la Commission de Protection des droits de l'Hadopi, Mireille Imbert Quaretta, expliquait que le raisonnement juridique de l'infraction était d'une grande « complexité ». C'est le cas puisqu'un internaute ne sera pas accusé pour avoir téléchargé mais pour avoir fait preuve de négligence caractérisée dans la sécurisation de son accès Internet.

La Quadrature du Net a alors suivi ce raisonnement et tenté de comprendre quelles pouvaient être les failles du système. Sur le principe, l'association rappelle que « l'existence de logiciels de sécurisation labellisés ne remettrait pas en cause l'envoi d'avertissements, recommandant pourtant justement l'utilisation d'un moyen de sécurisation. »

Une contradiction évidente puisque d'un côté l'Hadopi demande à ce qu'une ligne soit protégée par un logiciel. De l'autre, la labellisation de ces logiciels n'est toujours pas à l'ordre du jour, les consultations devant se terminer le 30 octobre prochain.

Autre point crucial, prouver l'infraction. Le lien entre la faute (le téléchargement) et le dommage (la contrefaçon) est très loin d'être prouvable. Le décret n° 2010-236 du 5 mars 2010 énonce que la communication des informations d'un accusé peut se faire dans ces conditions suivantes : « dans un délai de huit jours suivant la transmission par la commission de protection des droits des données techniques nécessaires à l'identification de l'abonné dont l'accès à des services de communication au public en ligne a été utilisé à des fins de reproduction, de représentation, de mise à disposition ou de communication au public d'oeuvres ou d'objets protégés sans l'autorisation des titulaires des droits ».

Le terme « a été » signifie donc que la constatation a déjà été faite et donc que la faute a déjà été prouvée sans preuves. Une telle position pourrait bien être défendue devant les tribunaux par ceux qui tomberaient sous le coup de la riposte graduée. Pour autant, la Quadrature précise que ses arguments devront être testés quand les premiers e-mails d'avertissement seront envoyés.
Si les services de géo-localisation fleurissent de parts et d'autres du web mobile, ces derniers pourraient prochainement constituer une nouvelle source de revenus pour les annonceurs. En effet, selon le cabinet d'analyse ABI Research, les sociétés pourraient dépenser jusqu'à 1,8 milliard de dollars dans ce domaine en 2015.

Selon Neil Strother, directeur chez ABI Research, la technologie n'en est qu'à ses débuts : "ce n'est que le commencement et il n'y a pas de bonnes approches dans la publicité géo-localisée". Il ajoute : "pour l'heure il s'agit d'un marché très fragmenté avec plusieurs expérimentations". D'un côté nous retrouvons en effet les liens sponsorisés des moteurs de recherche générés selon la position enregistrée par le GPS du smartphone, de l'autre côté la société Foursquare a développé différents partenariats avec plusieurs enseignes populaires outre-Atlantique afin de proposer certaines réductions pré-négociées récompensant la fidélité d'un consommateur s'enregistrant régulièrement au même endroit sur l'application mobile. Apple n'est pas en reste puisque la firme de Cupertino a levé le voile sur sa propre agence baptisée iAd.

Pour la publicité géo-localisée nous retrouvons l'exploitation de trois technologies dont la principale est le GPS du terminal. Si le téléphone en est dépourvu, la localisation sera effectuée par triangulation en analysant les réseaux WiFi aux alentours. Certaines campagnes publicitaires se basent également sur les identifiants de l'antenne GSM à laquelle le téléphone s'est connecté.

Au coeur d'une polémique la publicité géo-localisée est souvent pointée du doigt pour son aspect intrusif. Viviane Reding, chargée de la société de l'information et des médias à la Commission Européenne, avait déclaré en avril 2009 : "les lois européennes régissant la vie privée sont très claires : on ne peut utiliser les informations personnelles d'un individu sans son consentement préalable". Elle ajoute d'ailleurs que des actions pourraient être entreprises contre les états de l'Union ne se pliant pas à cette obligation. Chez Google, on explique que s'il veut des résultats pertinents, l'internaute doit accepter de partager quelques unes de ses informations afin de bénéficier de certaines technologies. Outre la géo-localisation, une publicité pourra prendre en compte le sexe, l'âge et/ou les passions des internautes pour leur retourner à chacun des offres promotionnelles mieux adaptées à leurs besoins.
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