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le 03/09/2010 à 22:02
Que voulez-vous faire avec PHP ?
Kevin Schroeder s'est posé la question « Que voulez-vous faire avec PHP ? »... La majorité des personnes interrogées vous diront que vous pouvez tout faire.

Cependant Kevin est rentré un peu plus dans le sujet pour proposer une petite série d'articles sur cette question.

Aujourd'hui, il s'agit du chapitre 4 qui traite de la manipulation des flux et montre comment manipuler à la volée les propriétés des flux. Cette partie est illustrée par un petit exemple qui peut être réutilisé.

Pour information, les chapitres précédents traitent les points suivants :
- Chapitre 1 : Mise en place et réseau
- Chapitre 2 : Protocoles binaires
- Chapitre 3 : Codage de caractères
- Chapitre 4 : Manipulation de flux

- You want to do WHAT with PHP? Chapter 1
- You want to do WHAT with PHP? Chapter 2
- You want to do WHAT with PHP? Chapter 3
- You want to do WHAT with PHP? Chapter 4
le 03/09/2010 à 22:02
Performance xcache sur Lighttpd
Le Blog Bollysite a publié un petit tutorial pour obtenir de meilleures performances de votre serveur web Lighttpd avec xcache.

L'article explique les bases de la gestion de cache avec PHP et fait ressortir l'importance de la mise en cache pour un site internet.

Il propose par ailleurs une petite bibliothèque qui utilise les fonctionnalités Xcache pour stocker la sortie rendue de la page.

- PHP xcache performance tuning tutorial on Lighttpd
L'application officielle de Twitter disponible sur iTunes vient de bénéficier d'une mise à jour, la 3.1, qui optimise son fonctionnement sur iPad et permet d'en apprécier toutes les fonctionnalités sur la tablette d'Apple.

L'interface de l'application intègre un ingénieux système de superposition des différentes fonctions : ainsi, l'ouverture d'une page Web après avoir cliqué sur un lien contenu dans un tweet s'ouvre par-dessus celui-ci sans le recouvrir totalement, et il suffit d'un effleurement de doigt pour la faire disparaître. Un procédé des plus intuitifs qui permet d'exploiter tout l'espace proposé par la tablette sans jamais perdre de vue l'essentiel.

En somme, si cette application officielle optimisée pour iPad a su se faire attendre, elle se révèle plutôt agréable et confortable à utiliser et risque de faire de l'ombre à certaines applications tierces déjà bien installées. Elle est disponible gratuitement sur iTunes.
La firme Microsoft chercherait à grappiller quelques parts de marché sur le territoire chinois. Le géant compte ainsi investir une centaine de millions de dollars, soit environ 78,5 millions d'euros dans des entreprises chinoises. Une méthode bien différente de celle de Google.

Microsoft serait donc en quête d'un partenaire en Chine. Simon Leung, Chef des activités de Microsoft en Chine et à Hong Kong a confié au Wall Street Journal sa stratégie, sans pour autant définir de calendrier précis. L'américain devrait donc se rapprocher d'entreprises chinoises spécialisées dans le Cloud computing mais également dans les jeux.

Aucune information plus précise, ni aucun nom n'ont été dévoilés par Microsoft. La firme devrait seulement sélectionner prochainement ses partenaires potentiels.

Pour autant, on notera que la stratégie de Microsoft est radicalement différente de celle de Google. La firme s'était opposée au pouvoir de Pékin. Google s'était alors porté en défenseur d'un Internet libre face aux censures. La sanction avait alors été radicale.

Enfin, Microsoft sait pertinemment que le marché chinois n'est pas non plus une vaste plaine vide. Baidu possède déjà 70 % de parts de marché et Google, 24 %. De même, le gouvernement a annoncé récemment qu'il comptait élaborer son propre moteur de recherche en coopération avec China mobile et l'agence de presse Xinhua.
Microsoft vient d'obtenir les droits sur un brevet déposé il y a précisément 5 ans et visant à optimiser l'extinction d'un système d'exploitation. Le document en question décrit un processus capable de fermer l'interface utilisateur ainsi que les applications en cours d'exécution. Microsoft mentionne également une interface via laquelle l'utilisateur est en mesure de forcer la fermeture des logiciels.

Dans la mesure où le brevet a été déposé en 2005, Microsoft fait mention de Windows XP mais également de Mac OS X. L'idée était de simplifier et d'accélérer l'extinction du système. "Lorsqu'un utilisateur tente de quitter un système d'exploitation (...) certaines applications ont la capacité d'interrompre ou de bloquer indéfiniment le processus", explique Microsoft en ajoutant que l'OS ne retourne généralement que peu d'informations sur les raisons du blocage. "Eteindre son système d'exploitation devient frustrant, ennuyeux et prend beaucoup trop de temps".

Le diagramme ci-dessous présente alors le dispositif mis en place dans les versions ultérieures de Windows à savoir l'apparition d'une boîte de dialogue lorsqu'une application refuse d'être automatiquement fermée ou lorsque celle-ci ne répond plus. Retrouvez le brevet en question ici.
Demain, tous connectés ? La société française Withings, qui commercialise depuis le mois de septembre dernier un pèse-personne connecté à Internet en WiFi, vient de lever 3 millions d'euros auprès du fonds Ventech, grâce auxquels elle compte bien assurer son développement et accélérer la mise au point de nouveaux objets communicants. Elle annonce dans le même temps l'arrivée prochaine de deux nouveaux produits sur le marché, tournés autour des univers du bien-être et de la famille.

Si l'objet - une balance connectée à Internet, doublée d'une application iPhone et d'un serveur distant qui agrège les données émanant des pesées successives de l'utilisateur - peut paraitre anecdotique, Withings défend l'idée d'un véritable « Internet des objets », avec lequel le réseau dépasse la sphère informatique pour rejoindre des produits de la vie de tous les jours. Une démarche qui n'est pas sans rappeler celle qu'avait suivie avant son dépôt de bilan la société Violet, à l'origine du fameux lapin Nabaztag, même si dans le cas de Withings on cherche plus à enrichir un objet déjà existant qu'à créer un concept de toute pièce.

« Dès le début, on s'est donné comme objectif de revisiter des objets que les gens avaient déjà l'habitude d'utiliser », commente Eric Careel, président de Withings. « A part quelques rares geeks, les clients attendent aujourd'hui que la technologie leur simplifie la vie. La connexion d'un objet n'a de sens que si elle permet de simplifier son usage ».

Simplifier l'utilisation, enrichir les services rendus, telle serait donc la clé pour percer dans le domaine des objets communicants. La balance de Withings illustre cette vision, avec d'un côté l'accès à une interface en ligne permettant de suivre les courbes d'évolution de son poids et des différents indices associés et, de l'autre, la mise en place de partenariats avec des acteurs de l'univers du coaching sportif ou de l'alimentation. La société refuse toutefois de donner le moindre chiffre de ventes, se contenant d'indiquer que celles-ci se répartissent à parts égales entre l'Europe et les Etats-Unis, et prennent petit à petit dans le reste du monde.

Aux 2 millions d'euros initialement injectés par les fondateurs s'ajoutent donc 3 millions d'euros supplémentaires qui serviront à accélérer la sortie de nouveaux produits et développer la communication de la marque. Reste à trouver les usages susceptibles de profiter du caractère connecté. « Le bien-être est un marché plein d'avenir », promet Eric Careel.
En présentant son nouveau boîtier TV, Steve Jobs, le PDG d'Apple, précisait que l'appareil ne possédait pas de disque dur. Et pour cause, la nouvelle Apple TV mise complètement sur le streaming, une initiative qui s'accompagne d'un nouveau modèle économique. C'est ainsi qu'aux Etats-Unis, les épisodes de séries télévisées en HD seront désormais proposés pour 99 centimes contre 2,99 dollars.

Concurrent d'Apple sur le marché de la musique numérique et des livres électroniques, Amazon n'a pas attendu plus longtemps pour risposter et voilà que le cyber-marchand a également baissé ses prix. C'est ainsi que plus de 260 séries TV créées par ABC, FOX ou la BBC sont également proposées en version standard ou HD pour 99 centimes l'épisode. Amazon met également en avant une centaine de films à 2,99 dollars.

Le Wall Street Journal rapporte qu'Amazon n'a pas demandé l'accord d'Hollywood pour procéder à cette baisse des prix mais que cette initiative ne devrait cependant pas amoindrir la part financière reversée aux studios. Rappelons qu'au mois de février dernier, Amazon s'était également aligné sur son concurrent dans le domaine des livres électroniques, quelques jours seulement après l'annonce de l'iPad et de l'application iBooks.
Google avait décidé de se lancer dans la production d'un journal d'informations en vidéo. C'est désormais chose faite avec « Beat », une minute trente de condensé des sujets les plus tapés sur le moteur de recherche.

Sur ce format, Google se contente de reprendre les actualités les plus recherchées aux Etats-Unis. Pour cause, la firme n'a jamais annoncé des versions pour d'autres pays. Ce Google Beat est donc l'équivalent de Google Trends ou de Google Insights for Search.

Une chaîne dédiée a été mise en place sur YouTube, l'émission est présentée par une employée de la firme, Anne Espiritu.
le 02/09/2010 à 21:53
Sauvegarde : Mozy débarque en France
Mozy, la filiale d'EMC annonce l'ouverture de son service de sauvegarde sur Internet au marché français. Pour rappel Mozy existe depuis 2005 et propose deux formules pour les particuliers et les professionnels. L'espace en ligne se couple à un logiciel via lequel il sera possible de personnaliser les sauvegardes de ses fichiers.

Disponible pour Windows (XP, Vista, 7) et Mac OS X, MozyHome offre 2 Go de stockage gratuitement. Une option facturée à 4,99 euros par mois (ou 54,89 euros par an) propose un espace illimité. Une fois enregistré sur le site Internet, l'utilisateur peut télécharger l'application et entrer la licence obtenue par email. Outre un chiffrement permanent des fichiers, Mozy est capable de s'adapter au débit de la bande passante. Lors du transfert les données sont chiffrées en SSL 128-bit puis en Blowfish 448-bit dans les centres de sauvegarde. Destiné aux professionnels, MozyPro ajoute la prise en charge des lecteurs réseau et des serveurs sur Windows et Mac.

Pour de plus amples informations rendez-vous ici.
Les polémiques autour de l'ACTA refont surface. Alors qu'un nouveau round de négociation est annoncé à Tokyo pour le 23 septembre prochain, les Etats-Unis refusent toujours de lever totalement le voile sur le contenu du texte. De même, certains Etats pourraient se désolidariser de la position prônée par l'ACTA.

L'ACTA (ou Anti-Counterfeiting Trade Agreement) soulève toujours autant d'interrogations quant à son contenu. Ce traité vise à réguler, entre autres, la protection du droit de propriété intellectuelle au niveau mondial. Ces négociations rassemblent les ayants-droits des Etats-Unis, du Canada, de Nouvelle-Zélande, d'Australie, de Singapour, de Corée du Sud, du Maroc, du Mexique, de Suisse mais aussi de l'Union européenne.

Parmi les thèmes abordés, l'Internet figure en bonne place avec des ambitions d'établir des sanctions internationales pour contrefaçon ou pour téléchargement illégal de contenu protégé.

Une culture du secret entoure donc ce texte (.pdf) depuis ses débuts. En avril dernier, une partie de la Commission européenne avait provoqué un débat afin d'obtenir plus de visibilité sur le calendrier des pourparlers mais également sur le contenu du texte. Malgré cela, les seules informations furent disponibles grâce à des fuites organisées de versions incomplètes ou presque obsolètes.

Selon certaines informations, ce sont les Etats-Unis qui seraient derrière cette volonté de garder secret le traité. Citant un eurodéputé autrichien, le site euractiv révèle que la volonté de transparence ne serait pas au goût de Washington.

Le nombre d'opposants continue donc s'accroitre. Même certains Etats actuellement en négociation comme l'Australie pourraient ne plus vouloir signer le texte final...
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