News

Nouveau triplé américain en tête du top 30 des sites Internet les plus visités en France en juillet 2010. Selon les chiffres publiés jeudi par Médiamétrie / Nielsen Netratings, Google, Facebook et le réseau MSN (Microsoft) totalisent en effet le plus grand nombre de visiteurs uniques au sein d'un bassin d'audience désormais estimée à 37,5 millions d'individus âgés de 11 ans et plus.

Leader incontesté, Google aurait touché 34,132 millions d'internautes au cours du mois, devançant de près de dix millions de visiteurs uniques son dauphin, le réseau social Facebook qui, lui, arrive une courte tête devant le réseau constitué par la marque MSN. Derrière ce trio de tête, Orange incarne le premier acteur français, avec 19,5 millions de visiteurs uniques, à quelques encablures seulement du portail vidéo YouTube. Le site Pagesjaunes, Free.fr et le portail SFR complètent la liste des sites français présents dans le top 10.

Si l'on raisonne en termes de groupes, et non de simples sites, France Télécom et PagesJaunes prennent respectivement les 4e et 5e positions sur le Web français, devant la galaxie de sites du groupement PPR, celle du site TF1, Yahoo et l'opérateur Iliad.
le 26/08/2010 à 00:29
Gauffr : Identification unique
Gauffr est une application réalisée en PHP/MySQL/eZ components et va vous permettre de proposer une solution d'authenfication unique sous la forme d'une couche abstraction.

A partir de Gauffr, vous pourrez vous connecter avec les mêmes identifiants à DotClear, eZ Publish, MediaWiki... grâce à la présence d'une gestion de plug-ins et vous permettra d'ajouter d'autres projets PHP.

La prise en main se fait facilement grâce à une documentation complète. Aussi, vous pourrez suivre les connections avec la présence des LOGs.

- Gauffr site officlel
La mouture finale de Firefox 4 s'approche à grands pas, comme en témoigne la publication, lundi soir, d'une quatrième version bêta. Disponible pour Windows, Mac et Linux, en 39 langues, elle inaugure l'implémentation en standard de certaines fonctionnalités qui jusqu'ici n'étaient accessibles que sous la forme de plugins.

Dans le lot, on trouve notamment Sync, l'outil de synchronisation qui permet de stocker sur un serveur distant opéré par Mozilla ses paramètres utilisateurs, historique, mots de passe sauvegardés ou onglets ouverts, de façon à facilement les retrouver à partir d'une autre instance du navigateur, ouverte sur un second ordinateur ou terminal connecté (une application iPhone est par exemple disponible).

Panorama, anciennement TabCandy, est également intégré en standard à cette bêta 4. Développé par Aza Raskin, cet outil d'inspiration linuxienne accessible par l'intermédiaire d'une petite icône située dans le coin supérieur droit du navigateur permet d'accéder à une interface au sein de laquelle on pourra très simplement réorganiser ses onglets par glisser déposer. L'intérêt ici n'est pas tant de pouvoir choisir l'ordre dans lequel ces derniers sont organisés mais plus de pouvoir en mettre de côté certains ou les ranger par groupe, de façon à organiser ses sessions de navigation en ligne.

Sur le plan technique, Firefox 4 bêta 4, qui repose pour mémoire sur la version 2.0 du moteur de rendu Gecko, inaugure par ailleurs la prise en charge de l'accélération matérielle de certains éléments graphiques via Direct2D. Réservée à Windows Vista et Windows 7, cette option - encore en phase de test - n'est pas activée par défaut. Pour l'enclencher, il faudra modifier soi-même certains paramètres de configuration du navigateur (voir explications en anglais).

Cette bêta 4 signe également la prise en charge de la propriété buffered des vidéos distribuées en HTML5, de façon à améliorer les possibilités de mise en cache et donc de navigation au sein des contenus multimédias. Une nouvelle API (interface de programmation) censée améliorer l'efficacité du moteur de rendu JavaScript fait également son apparition.

A ce stade, la fondation Mozilla espère logiquement recueillir les derniers retours utilisateurs avant de mettre la touche finale à Firefox 4, dont la sortie doit intervenir à l'automne. On pourra tester cette bêta 4 après téléchargement via ce lien.
Le service chargé la sécurité des personnalités russes vient d'être attaquée par des hackers. Plus précisément, le système de messagerie du Service fédéral russe de protection (FSO) a été visé afin de consulter ses archives électroniques.

A en croire le quotidien économique Vedomosti, ces archives de courriers du FSO auraient alors été accessibles pendant quelques heures lundi. Selon les premiers éléments de l'enquête, les hackers ont prouvé leur attaque en publiant sur des forums des liens permettant de lire ces documents.

De son côté, le FSO, repris par Le Monde, estime que la partie visitée par les hackers ne contenait pas des informations sur « le fonctionnement des organes d'Etat ». Pourtant, selon l'éditeur de sécurité Eset, cette intrusion aurait été possible car les codes d'accès par défaut des logiciels concernés n'avaient pas été changés. Reste à savoir quelles informations ont réellement été diffusées...
le 25/08/2010 à 00:17
iTunes s'ouvre aux films en VOST
Il était temps, diront les allergiques aux doublages approximatifs. L'iTunes Store, boutique de vente en ligne associée au lecteur multimédia d'Apple, propose depuis quelques heures des films américains en version originale accompagnée de sous-titres en français.

L'offre reste pour l'instant très limitée puisque seuls seize films sont proposés en VOST à l'heure où nous écrivons ces lignes. Dans la mesure où l'inauguration de cette nouvelle section est annoncée dès la page d'accueil de l'iTunes Store, il y a toutefois fort à parier qu'elle s'étoffera rapidement.

Les longs métrages accessibles en VOST sont proposés à des tarifs identiques à leurs équivalents VF, à savoir de 2,99 à 3,99 euros pour les films disponibles à la location (48 heures) et de 9,99 à 13,99 euros pour ceux qui peuvent être acquis définitivement.
Jeremy Allaire, PDG de la plate-forme de vidéo en ligne Brightcove, nous propose cette tribune libre dans laquelle il évoque les enjeux de la multiplication des terminaux et des moyens d'accéder aux contenus vidéo, ainsi que les risques de fragmentation qui en découlent.

Chaque jour, ou presque, je m'assois en face d'un éditeur en ligne ou d'un responsable marketing, et je suis frappé par le poids des enjeux auxquels ils doivent faire face. Pour ces professionnels des contenus et du numérique, l'explosion de l'usage des Smartphones et tablettes connectées est à la fois la plus préoccupante, la plus excitante et la plus redoutable des aventures. Je me suis aperçu qu'au cours de ces discussions, je suis souvent amené à leur faire les mêmes recommandations, et j'ai pensé qu'il pourrait être utile de les mettre par écrit pour les partager avec d'autres qui sont confrontés aux mêmes questions.

La guerre des plateformes exige une stratégie

Le plus grand changement auquel nous sommes confrontés aujourd'hui, c'est l'adoption des Smartphones et la généralisation de l'accès aux contenus et aux applications via leurs plateformes mobiles. Mary Meeker prédit que d'ici 2014, plus de la moitié de l'utilisation d'Internet dans le monde se fera depuis un mobile. Pour ma part je pense que cela se produira même plus tôt.

Le plus gros problème que cette évolution pose aux éditeurs de contenus et aux développeurs, c'est celui de la fragmentation et de la complexité généré par la guerre entre ces plateformes. cette guerre des plateformes relève moins de désaccords technologiques que d'enjeux économiques portant sur le développement des applications. Et la véritable question est finalement simple : qui pourra contrôler l'accès aux utilisateurs et les opportunités de monétisation qui en dépendent ?

Ce genre de lutte prend du temps, et la bataille se poursuivra encore pendant des années. Pour les éditeurs de contenus et d'applications, il n'y a pas aujourd'hui de choix facile ou d'alternative binaire, et vous pouvez être sûrs qu'il ne s'en dégagera pas dans un futur proche. Il en résulte un niveau de complexité et de fragmentation dans l'exécution des applications de contenus média qui me semble très inquiétant.

Pour y faire face, toute organisation publiant du contenu doit adopter une stratégie pour :

Le Web sur PC.
Face à la rivalité entre Flash et HTML5, la meilleure chose à faire est d'adopter les deux. Flash reste en effet le format d'exécution vidéo le plus efficace en termes de compatibilité et de distribution sur PC.

Le Web mobile.
Il y a encore peu, Web mobile signifiait le Wap, ou ces affreux sites HTML légers auxquels vous pouviez accéder depuis un Blackberry. Aujourd'hui cela signifie un site tactile, optimisé pour les résolutions des Smartphones et tablettes et le comportement des utilisateurs mobiles. La croissance du web mobile repose sur le web tactile. Sur ces plateformes, HTML5 est en train d'émerger comme la seule plateforme unifiée pour les applications de contenus.

Les Applications iOS.
Si vous voulez avoir votre part du phénomène marketing et commercial hautement rémunérateur orchestré par Apple, il faut que vous intégriez l'écosystème iTunes. Donc vous avez besoin de développer des applications natives et créatrices de valeur, et de tabler sur une combinaison de publicité et de paiements à l'intérieur de vos applications et contenus. Idem pour les Applications Android.

L'avenir promet d'être complexe, et de nouvelles plateformes d'applications mobiles font leur apparition parallèlement à la prolifération des modes de consommation média (par exemple iPhone vs. iPad, ou télévision connectée vs. tablette vs. PC).

Adapter la monétisation au support

La prolifération des terminaux bouleverse également beaucoup d'idées sur la monétisation des contenus et des médias. De 2000 à 2009, le mantra a toujours été « l'information veut être libre ». Mais les applications de contenus disponibles sur les Smartphones et autres tablettes, en offrant une expérience personnelle, presque intime, semblent en mesure d'ouvrir le portefeuille des gens à une échelle bien supérieure à celle anticipée. Payer pour une application de contenus sur son mobile est instantané, intime et pratique. Et c'est de plus en plus banal.

La Télévision Connectée n'est pas de la télé

Les terminaux mobiles sont aujourd'hui au cœur des ces transformations. Mais la guerre des plateformes se porte déjà sur un nouveau front, celui de la Télévision Connectée. Dans cette confrontation, l'enjeu central n'est pas la diffusion de programmes TV, mais bien les applications connectées.

En réalité, la Télévision Connectée est juste un nouveau contexte d'accès à l'information, aux communications et à l'interactivité. Maintenant que des centaines de millions de consommateurs sont équipés de Smartphones et autres ordinateurs de poche, il est inévitable de vouloir transposer ce type d'expériences à de grands écrans. Qui nierait qu'il est bien plus confortable d'utiliser toutes ces fonctionnalités bien assis dans son fauteuil, devant son écran plat ?

Bien sûr, nous consommerons des programmes vidéos sur des chaînes linéaires, mais je prédis que nous passerons au moins autant de temps connectés à Facebook, à passer un appel vidéo, jouer en ligne ou encore à faire notre shopping. C'est pour cette raison que la guerre des applications se livre déjà dans le salon, et elle y préside non pas au futur de la télévision, mais bien au futur des usages d'internet, des communications et du commerce.
La Télévision Connectée est le nouveau round de la guerre des plateformes : HTML5 contre Flash, Applications contre TV sur internet, Apple contre Google contre les fabricants de consoles et de télévisions.

Bonne chance, et essayez de ne pas faire partie des victimes collatérales.
Les ventes de serveurs dans le monde ont enregistré leur plus importante hausse depuis 2003 au cours du second trimestre. Autre nouvelle : Hewlett-Packard (HP), qui a opéré une stratégie d'investissement dans le secteur, a désormais dépassé son rival IBM à la première place des vendeurs de serveurs.

Les ventes de serveurs ont augmenté de 11% sur le second trimestre, pour atteindre 10,9 milliards de dollars américains. C'est le deuxième trimestre consécutif de croissance pour le marché des serveurs, et la plus importante hausse depuis 2003, selon IDC.

« La croissance que nous enregistrons est principalement dominée par le segment » des systèmes coûtant moins de 25 000 dollars, explique Jean Bozman, vice-présidente d'IDC pour les serveurs. Malgré cette forte hausse, les ventes mondiales sont toujours en-dessous des pics historiques enregistrés en 2008, à cause de la chute à deux chiffres de 2009, selon Bozman, qui cite comme cause principale la récession économique.

La demande pour les serveurs de bas et moyen niveau (ce moyen niveau étant défini par IDC comme les serveurs coûtant entre 25 000 et 250 000 dollars) a été soutenue, avec un revenu en hausse de 32% pour le premier, et 16% pour le second, par rapport à la même période l'an dernier. Mais la demande pour les serveurs de très haut niveau, qui coûtent plus de 250 000 dollars, n'ont pas suivi la même pente, avec une chute de 27,2% et un septième trimestre consécutif de baisse.

Les grands gagnants du trimestre sont HP, numéro 1, et Dell, numéro 3. Leurs revenus tirés des serveurs ont bondi respectivement de 26 et 37%. IBM, qui est retombé à la deuxième place du classement, a vu ses ventes sur les serveurs baisser de 3,2%, à 3,2 milliards de dollars (contre 3,5 milliards pour HP).
Spotify a récemment déployé une mise à jour améliorant tout particulièrement la gestion des listes de lecture. La nouvelle version permet enfin pour ce faire la création de dossiers et de sous-dossiers.

Cet apport est d'autant plus bienvenu que l'avènement des fonctionnalités sociales incite les utilisateurs à s'abonner aux nombreuses listes de lecture de leurs amis et de leur famille. Cette fonctionnalité est néanmoins réservée au client pour ordinateur, en attendant la mise à jour des différentes applications mobiles, dans lesquelles ils ne sont tout simplement pas pris en compte.

Spotify se fait également plus visuel en affichant désormais la photo des abonnés aux listes de lecture, pour repérer d'un coup d'œil lesquels de ses amis y ont eux aussi souscrit, ainsi qu'en affichant des visuels des artistes et des albums dans les résultats de recherche.

Windows 7 est enfin à l'honneur puisque Spotify prend désormais en charge la fonction Snap (partiellement seulement), qui permet pour rappel d'organiser ses fenêtres en les attrapant par leurs barres de titre, la Jump List , qui affiche les derniers morceaux joués dans le menu contextuel de l'icône de la barre des tâches, ainsi qu'un contrôleur s'affichant au survol de cette même icône.

La mise à jour a donc été déployée pour Windows et Mac OS et le logiciel se met à jour automatiquement au lancement.
La semaine dernière, Facebook lançait aux Etats-Unis Places, son service de géolocalisation appliqué à son réseau social. Une nouvelle fonction du site que beaucoup n'ont pas pu s'empêcher de rapprocher de Foursquare, l'un des principaux acteurs du marché. Et si ce dernier devrait proposer prochainement des fonctionnalités sur Places par le biais des APIs fournies par Facebook, il n'en reste pas moins dubitatif concernant le service.

En effet, Dennis Crowley, le PDG de Foursquare, n'a pas mâché ses mots concernant l'intérêt de Facebook Places après l'avoir essayé : « J'ai eu la chance de tester Places et ce n'est pas si intéressant. C'est un service assez ennuyeux, avec peu d'incitation pour les utilisateurs à revenir et à indiquer à leurs amis où ils se trouvent » a-t-il déclaré dans une récente interview donnée au Telegraph.Des déclarations qui n'ont rien de vraiment étonnant puisqu'elles émanent du concurrent direct de Facebook Places. Le chef de file de Foursquare admet cependant le fort potentiel du service qui se cache dans l'énorme communauté du site : « La seule chose intéressante dans Places, c'est son public potentiel de plus de 500 millions de personnes à travers le monde Mais ça peut également être une bonne chose pour les autres services de géolocalisation, comme Foursquare, que Facebook enseigne le check-in à la foule . »

Dennis Crowley espère donc tirer profit des déçus de Facebook Places pour faire gagner des adeptes à Foursquare. Les inscriptions au site ont d'ailleurs atteint des sommets juste après l'annonce du lancement de Places, preuve que Foursquare profite de l'effet buzz. Reste à savoir si le phénomène va durer, en particulier face à l'arrivée prochaine des nouveaux services proposés par les partenaires de Facebook.
LoadingChargement en cours