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Deux ans après les versions Windows, puis Mac, les utilisateurs de Linux peuvent se procurer la fonction de discussion audio et video intégré à Gmail. Le Plugin est déjà disponible sur le blog officiel de Google.

Le blog du responsable du projet Justin Uberti explique le retard de cette version Linux à cause de « soucis d'ingénieries ». De même, les développeurs ont du tester une grande quantité de matériel, sans compter les essais de compatibilité des webcams et les tests de rendus audio avec PulseAudio...

Cette version Linux était une vive attente des utilisateurs du manchot qui se servent de Gmail. En détail, les distributions Debian sont supportées, en particulier les diverses versions d'Ubuntu. Le support des distributions basées sur RedHat devrait bientôt être assuré.
Considérant qu'il est aujourd'hui difficile de lancer une startup, et qu'un bon mentor vaut parfois mieux que toute la bonne volonté du monde, sept anciens employés de Google ont décidé qu'ils allaient apporter leur pierre à l'édifice. Ils ont donc décidé de créer un nouvel incubateur, AngelPad. Peu d'informations ont filtré pour l'instant, mais cela devrait bouger dans les deux semaines.

Dans un tweet aujourd'hui, le premier depuis le compte d'AngelPad, la date de lancement a été révélée : ce sera le 10 septembre avec l'ouverture d'un bureau à San Francisco, aux Etats-Unis.Selon le site web, encore à l'état de brouillon Wordpress pour l'instant, « AngelPad est un programme de mentorat fondé par une équipe d'anciens Googlers pour aider les startups dédiées aux technologies du web à créer de meilleurs produits, attirer de nouveaux fonds, et finalement réussir un business à succès. »

Le site explique aussi qu'AngelPad, c'est « des fondateurs et des angels qui travaillent ensemble. » Ou, en d'autres termes, un incubateur.
Entre deux rachats et autres annonces en terme de diversification, le tentaculaire Google trouve encore le temps d'améliorer son coeur de métier : son moteur de recherche. Après avoir achevé le ravalement de Google Images, le géant du Web expérimente depuis peu une nouvelle méthode de recherche.

"Google Live Search" a effectivement récemment été déployé auprès d'un nombre limité d'américains. Cette nouvelle fonctionnalité offre comme son nom l'indique des résultats en direct : les résultats apparaissent automatiquement sous le champ de recherche au fil de la saisie, sans jamais avoir à cliquer sur le bouton "Recherche". La page d'accueil reste identique et se transforme en page de résultats, le champ de recherche se déplaçant vers le haut dès les premières lettres saisies.

Elle permet donc d'entamer une recherche avec un premier mot clé, puis de l'affiner avec un mot clé supplémentaire le cas échéant, en un temps record. "Google Live Search" tire donc tout particulièrement parti de la fonctionnalité "Google Suggest", qui suggère quant-à-elle au cours de la frappe les recherches les plus populaires et les plus pertinentes à partir des termes saisis.

Ces deux fonctionnalités combinées permettent d'accélérer une recherche, tout en distrayant l'internaute avec un flux constant de résultats… et de publicité ciblée ! Une option "turn off streaming" permet néanmoins de désactiver le flux.
le 23/08/2010 à 20:42
Officiel : Google rachète Like.com
La plateforme dédiée au e-commerce Like.com affiche désormais un communiqué de son PDG en page d'accueil : Like.com a été acquis par Google. On en parlait la semaine dernière Google sur le point de racheter Like.com au conditionnel, le présent simple est désormais de rigueur : Google se paye une plateforme de e-commerce.

Dans son communiqué, le fondateur et PDG, Munjal Shah, outre qu'il décrit son enthousiasme à l'idée de rejoindre Google et qu'il explique sa vision de la startup, ne donne que peu de détails. Les termes de l'accord de rachat n'ont pas été dévoilés, ni par Like.com ni par Google. Pour autant, il semblerait que l'acquisition ne soit pas une simple façon d'étouffer une bonne idée dans l'oeuf pour éviter la concurrence. Munjal Shah évoque en effet l'intégration de son équipe dans le groupe Google, ce qui laisse supposer que les compétences ou la technologie de Like.com intéressent le géant.

La technologie, c'est la recherche visuelle. Car outre vendre des chaussures et articles de mode, Like.com a aussi développé un algorithme qui permet de retrouver ces chaussures d'une façon originale : un clic sur un modèle permet d'en trouver des dizaines d'autres ressemblants. Une technologique qui permettrait à Google de retrouver un peu d'innovation dans la recherche, son coeur de métier.

L'histoire de Like.com est intéressante comme nous l'expliquions la semaine dernière, car le projet est né de la mort de Riya, un autre produit, qui devait être racheté par Google en 2005. Le géant de Moutain View s'était finalement ravisé, et les fondateurs de Riya avaient dû se rabattre vers Like.com. Ce dernier a permis de lever 50 millions de dollars en investissements depuis 2006, et a un chiffre d'affaires de l'ordre de 50 millions depuis.

Le site n'a pour autant pas vraiment décollé en terme de trafic, et il y a fort à parier que Google n'a pas l'intention de se reconvertir en accessoiriste de mode. De là à penser que le géant s'intéresse plus à la recherche visuelle, il n'y a qu'un pas. Google ne s'est-il pas essayé à ces technologies récemment ?
Selon les premières constatations, la commission européenne compterait rejeter les plaintes des FAI français contre Free. Ces dernières remontent à l'époque de l'octroi de la 4ème licence mobile 3G. L'opérateur Free (Iliad) avait alors dû débourser « seulement » 240 millions d'euros (pour 5 Mhz au lieu de 15). Trop peu selon ses concurrents.

La Direction de la concurrence de la Commission européenne vient de rejeter par la voie administrative le recours des opérateurs Telecoms français. Le litige porte sur la 4ème licence 3G remportée par Free. Il faut dire qu'à l'époque où Orange, SFR et Bouygues Telecoms avaient obtenu ces licences, ils avaient déboursé pas moins de 619 millions d'euros.

Du coup, les opérateurs critiquaient le fait que Free n'ait à payer que 240 millions d'euros. A en croire le quotidien La Tribune, cette demande serait déboutée par l'Europe puisqu'elle ne compte pas y donner suite.

Pour autant, cette décision n'est pas définitive. La Commission aurait même demandé à entendre les réponses des trois plaignants. Cette réduction des tarifs pourrait, selon eux, s'apparenter à une aide de l'Etat susceptible de fausser la concurrence. Pour appel, en 2002, Orange et SFR avaient déjà obtenu que le prix de leur licence soit aligné sur celui accordé à Bouygues. Aucun des opérateurs, n'à, à l'heure actuelle commenté la situation.
L'équipementier chinois ZTE vient de dévoiler ses résultats financiers. Le groupe annonce un chiffre d'affaires record de 4,524 milliards de dollars. Une augmentation de 10,89 % par rapport à la même période l'an passé affirme le géant chinois. Si son chiffre d'affaire diminue en Asie, ZTE annonce aussi de nouveaux contrats, notamment en Europe.

La firme chinoise ZTE explique ses résultats financiers dans un communiqué : « le chiffre d'affaires international de ZTE a enregistré une hausse de 19,58% par rapport à l'exercice précédent, s'élevant à 2,246 milliards de dollars ». Pour autant, ZTE témoigne aussi d'une diminution du chiffre d'affaires sur le marché asiatique. Cette baisse serait alors due à des « inspections de sécurité imposées par le gouvernement indien sur le matériel de télécommunications étranger importé ».

En parallèle, la société annonce avoir signé un contrat de 254 millions de dollars afin de construire le réseau mobile en Hongrie. Selon des informations du Financial Times, cet accord touchera pas moins de 4,5 millions de clients de l'opérateur Telenor. Après l'Espagne (pour du Wimax) et les Pays-Bas, ZTE s'attend donc à passer de nouveaux contrats en Europe avec d'autres opérateurs dans les mois à venir.
PocketGear, qui s'autoproclame « Plus grand App Store du monde », vient de réaliser un second tour de table auprès de Trident Capital, BlackBerry Partners Fund (financé par RIM et Thomson Reuters), et le PDG de Google, Eric Schmidt, par le biais de son fonds personnel TomorrowVentures.

Si le couronnement de PocketGear comme premier App Store mondial parait bien présomptueux face à l'iTunes Store et autres Android Market, App World, etc, il vend néanmoins des applications pour quasiment tous les téléphones. Android, BlackBerry, Windows Mobile, Palm, Nokia, Symbian et téléphones Java sont concernés. Un seul ne permet pas d'acheter ses applications sur PocketGear l'iPhone d'Apple.

PocketGear dispose d'un catalogue de 140 000 applications gratuites et payantes, et aurait vendu, selon ses propres chiffres, un total de 2,5 milliards de dollars en logiciels mobiles. Ce qui en ferait effectivement le premier App Store du monde en terme de ventes, devant l'iTunes Store et son milliard de dollars.

S'il y a effectivement un marché important - et en croissance constante - pour les applications mobiles multi-plateformes, PocketGear veut se placer comme magasin de référence unique pour les consommateurs. Excepté ceux estampillés d'une Pomme, évidemment, puisque l'iOS d'Apple est fermé à ces contributions extérieures pour verrouiller le marché de l'iTunes Store. Fondé en 2008, PocketGear voit désormais son investissement passer à 19,8 millions de dollars, le précédent tour de table ayant été assuré par Noro-Moseley Partners et Wakefield Group (apparemment disparu de la circulation il y a un an, après la fermeture de son site web et le départ de ses principaux dirigeants).
Benjamin Carlu est co-fondateur et PDG de Flipstory.com, une jeune startup parisienne spécialisée dans les flipbooks. Ces livres retracent en une soixantaine d'images une vidéo de 5 à 30 secondes, comme celles que l'on retrouve sur Youtube. Quelques mois seulement après son lancement définitif, Flipstory annonce l'arrivée de ses flipbooks au Brésil, en partenariat avec une chaîne de produits culturels locale.

Bonjour Benjamin. Flipstory est une jeune startup française. Pouvez-vous revenir pour nous sur sa création et son histoire ?

Flipstory a été créée il y a exactement un an. Nous avons pris le temps de développer la technologie, pour lancer une beta publique en novembre dernier, et finalement rendre la version définitive publique en mars, après quelques essais. Aujourd'hui, plus de 2 500 flipbooks ont été vendus, principalement par le biais de l'interface web.

Notre technologie permet d'intégrer notre créateur de flipbooks dans n'importe quel site Internet. Typiquement, un site comme Photoservice.com, qui imprime des albums photos, pourrait décider d'intégrer notre technologie en marque OEM. Nous nous sommes lancés après avoir attendu que notre technologie soit parfaitement au points. Nous avons réalisé plusieurs essais pour ça, d'où la période de beta assez importante. Aujourd'hui, nous y sommes, et nous allons finaliser notre première intégration avant la fin du mois vraisemblablement. C'est l'un des plus gros détaillants en produits culturels au Brésil, du type Fnac, qui va intégrer notre technologie. Je ne peux pas donner de nom pour l'instant, toutes les étapes techniques n'étant pas finalisées, mais ça devrait venir avant la fin du mois d'août.

Pourquoi avoir lancé un produit aussi "low-tech" sur le marché hi-tech ?

Parce qu'on s'est tout simplement aperçu qu'il n'y avait pas de produit qui alliait la vidéo et le toucher. Il n'y a aucune possibilité de matérialiser une vidéo, autrement qu'en la gravant sur DVD. Dans le même temps, nous avons vu une explosion des albums photo, et nous avons cherché un produit qui pourrait se ramener à ça. Finalement, on se rend compte que la majorité des petites vidéos en ligne peuvent très bien se rapporter à un objet un peu rétro comme le flipbook. Ca convient parfaitement. Pour l'impression des images statiques, toutes les technologies et moyens de distribution sont en face. Il manquait la même chose pour la vidéo.

Notre problématique est en fait la suivante : on se rend compte que les gens aiment les vidéos, et que la plupart des téléphones ou appareils photo / vidéo sont capables de filmer. Mais finalement, peu de gens les regardent après, alors que les photos, c'est assez rapide à consulter sur un écran ou un album. Beaucoup de nos utilisateurs sont contents de pouvoir retrouver un format papier à poser sur la table, qui plus est assez ludique.

Ca reste malgré tout un produit hi-tech. Il y a un algorithme puissant de transformation d'image. Et techniquement, nous gérons plus de 90% des codecs dans notre serveur. Ces codecs ne sont pas forcément difficiles à lire, et nous gérons très bien 99% d'entre eux sur les appareils courants, et les logiciels de montage grand public intégrés aux systèmes d'exploitation. Mais notre problématique n'est pas que la lecture. Nous devons aussi extraire les images, et les vérifier pour qu'il n'y ait pas d'erreur flagrante ou d'image noire correspondant à un fondu par exemple. L'algorithme s'en charge, même si nous avons une petite vérification humaine à la fin pour être sûr qu'il n'y a pas d'erreur significative.

Ce qui est plus difficile, c'est l'intégration de nouveaux codecs. Nous sommes en train d'implémenter le WebM de Google, par exemple, et il y aura toujours de nouveaux appareils, avec de nouveaux codecs... Il nous faut une à trois semaines pour les intégrer, en fonction de la phase de test. C'est un vrai travail, mais pour l'instant nous n'avons pas de retour d'utilisateur qui soit décevant.

Vous lancez votre premier partenariat au Brésil... Pourquoi pas en Europe ?

D'abord, il faut préciser que nous sommes présents en Europe. Nous fabriquons les flipbooks en France, et nous les expédions dans toute l'Europe pour un prix total de 7,99 euros. Nous nous dirigeons vers une version anglaise à la rentrée, et un site allemand avant la fin de l'année. Cela nous permettra essentiellement de toucher les pays du nord de l'Europe, et nous évaluons dans le même temps les marchés italien et espagnol pour voir ce qui est envisageable.

Pour le Brésil, le choix nous semble stratégiquement intéressant. Nous tentons à chaque fois de partir de l'approche que font les gens de la vidéo et du partage de la vidéo. Nous avons rapidement vu que le Brésil était un pays latin, catholique, et avec une dimension familiale et une culture du cadeau très implantées. Le Flipbook est idéal dans ce contexte, car c'est le Youtube pour les grands-parents. C'est un usage qui nous a étonné : nous pensions certes que la famille aurait un impact important dans nos activités, mais c'est la majorité des usages.

De plus, le Brésil est un marché très dynamique, avec beaucoup d'internautes, et beaucoup d'achats en ligne. Nous avions une vision partagée avec notre partenaire, donc nous avons préféré nous lancer avec lui. De toute façon le coût et les délais d'acheminement sont trop importants pour fabriquer en France et expédier les produits, donc le partenaire gèrera lui-même la production. Il est très bien implanté, il connait parfaitement le marché... Les avantages du partenariat ne sont pas négligeables. Et nous gardons notre énergie pour continuer à développer l'algorithme depuis la France.

Prochaine étape ?

Les lancements de la rentrée, comme je vous le disais. Ensuite, nous envisagerons peut-être une levée de fonds. Nous n'en avons pas encore réalisé, nous sommes financés sur fonds propres pour l'instant. Mais à moyen terme, c'est une réflexion que nous devrons avoir, notamment si nous envisageons des implantations aux Etats-Unis ou en Asie. Pour nous, c'est encore en cours de réflexion stratégique.

Nous envisagerons aussi sans doute dès la rentrée des partenariats avec des petits sites de partage. Des forums, typiquement liés à la famille, aux mariages, ou aux naissances, peuvent être d'excellentes cibles. C'est plus spécialisé que les grosses plateformes de partage type Dailymotion ou Youtube. Mais à terme, ce sera sans doute un objectif. Nous envisageons tout-à-fait d'aller sur de plus gros hébergeurs. Mais nous avons encore du travail avant, notamment sur la question du partage des revenus professionnels dans les partenariats. Et dans ce cadre, les forums plus spécialisés sont une bonne solution, d'autant qu'ils nous permettent de mieux cibler notre clientèle.

Je vous remercie.
« Nous déménageons chez Facebook, » annonce fièrement le blog de Hot Potato, un service américain de géolocalisation. Le site, qui n'est disponible au grand public que depuis novembre, est ainsi racheté par le plus grand réseau social mondial, Facebook, qui devrait l'intégrer dans sa nouvelle offre de géolocalisation baptisée Facebook Places.

Aucun montant n'a été indiqué par Hot Potato, ni par Facebook. Le site de Mark Zuckerberg a néanmoins déclaré être « heureux de confirmer que nous avons récemment acquis Hot Potato, un site qui aide ses utilisateurs à commenter des événements en direct et à partager ce qu'ils font avec leurs amis. Nous admirions déjà depuis un certain temps » l'approche de la géolocalisation par Hot Potato. Une acquisition qui devrait permettre d'amener « des innovations chez Facebook. »

Facebook montre ainsi son intention de s'approprier pleinement ce marché émergent, avec un service qui permet, outre la géolocalisation à la Foursquare, de partager des informations type « Ce que j'écoute », ou « Je pense que... » Mais face au leader et précurseur de la géolocalisation, Foursquare, la force de la nouvelle entité Facebook Places / Hot Potato est évidemment de disposer d'une base de membres inscrits de 500 millions d'internautes dès son lancement.
RIM a aujourd'hui officialisé en France la disponibilité de la deuxième version du BlackBerry App World, la boutique d'applications des smartphones BlackBerry.

"BlackBerry App World 2.0" introduit donc quelques nouveautés attendues, tout particulièrement du côté du tarif et du paiement des applications payantes. L'équivalent de l'App Store d'Apple pour les BlackBerry accueille notamment le moyen de paiement le plus courant sur Internet, à savoir la carte de crédit (Carte Bleue, Master Card ou VISA), en plus du paiement PayPal qui faisait jusqu'à présent cavalier seul.

Le tarif minimal d'une application payante est en outre abaissé à 0,99 dollar, au lieu de 2,99 précédemment. Cette baisse risque d'être à double tranchant, avec de nombreuses applications qui devraient baisser, mais aussi beaucoup d'autres qui pourraient abandonner la gratuité sans toutefois atteindre le seuil autrefois plutôt élevé.

Les achats sont d'ailleurs désormais rattachés à un compte BlackBerry ID, désormais obligatoire, plutôt qu'à un terminal. Un tel compte recense sa bibliothèque personnelle d'applications, ainsi que ses moyens de paiement de manière chiffrée.

L'organisation du catalogue a enfin été améliorée et s'approche dorénavant de celle de l'App Store d'Apple ou de l'Android Market de Google, avec un top 25 des applications gratuites et payantes, une liste des applications les plus récentes, de celles récemment mise à jour, ainsi qu'une hiérarchie de catégories et de sous catégories.

"BlackBerry App World 2.0" est donc d'ores et déjà disponible. La mise à jour devrait être proposée, si ce n'est déjà fait, au lancement de la première version, ou son téléchargement peut-être effectué spontanément à l'adresse suivante.
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