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Le débat était engagé depuis quelques semaines au sein des institutions de l'Union européenne, mais cette fois, le Parlement européen vient d'adopter la déclaration 29. Ce texte met en place un système d'alerte rapide européen baptisé SARE contre les pédophiles et les auteurs de harcèlements sexuels.

La décision n°29 vise non seulement les comportements pédophiles mais peut s'avérer plus intrusif. Le texte pousse également, selon LeMonde.fr, à étendre ce principe à toutes les recherches sur un moteur Internet. Tous les FAI auraient alors l'obligation non seulement de conserver ces données liées à une connexion (adresse IP, heure, date...) mais également de les fournir en cas de besoin.

Malgré le retrait de certains euro-députés, la déclaration a réussi à recueillir les 369 signatures nécessaires à son adoption. Pour autant, l'initiateur du projet, l'italien Tiziano Motti (Démocrate Chrétien, centre droit, ndr) explique qu'il ne comptait viser que les sites permettant de publier du contenu et ne souhaitait pas que la mesure touche tous les moteurs de recherche.

Pour l'instant, la portée de la déclaration n° 29 ne concerne que les recherches à caractère pédophile et ne constitue qu'une position du Parlement européen. Pour autant, le risque existe que la directive européenne 2006/24/CE étende ces mesures à l'ensemble du Web.
Dans un communiqué officiel, la société Verisign, spécialisée dans les infrastructures de réseaux et notamment pour la gestion des domaines .com et .net, annonce une croissance de 6% sur un an des enregistrements des noms de domaines de premier niveau (TLD). Ces douze derniers mois ce serait en effet 11 millions de nouveaux dépôts qui auraient été enregistrés pour franchir la barre des 193 millions.

Les noms de domaines en .com et .net continuent d'avoir le vent en poupe et affichent de leurs côtés une hausse de 2,7% par rapport au dernier trimestre 2009 et de 7% sur un an. A ce jour l'on en dénombrerait 99,3 millions. Depuis le mois de janvier, 8,1 millions de domaines .com et .net ont été déposés, avec une moyenne de 2,7 millions par mois. Parmi ces derniers, 72% ont été renouvelés, un taux en légère hausse par rapport à la même période l'année dernière (71,2%).

Concernant les extensions régionales (CCTLD), c'est l'Allemagne (.de) qui se place en pôle position devant la Chine (.cn), le Royaume-Uni (.uk), les Pays-Bas (.nl) et l'Union Européenne (.eu). Selon l'AFNIC, il y aurait aujourd'hui 1 756 118 domaines .fr enregistrés contre 1,5 million en septembre 2009.
A partir du premier juillet, plus de RapidPoints : l'hébergeur allemand RapidShare arrêtera son programme de fidélité dès la fin du mois de juin. « Cette décision est une réaction aux affirmations selon lesquelles le programme récompenserait le téléchargement illégal de contenus copyrightés » commente le site du service. « Nous pensons qu'il est nécessaire de passer par cette étape, car nous ne voulons pas que les utilisateurs de RapidShare soient exposés à un tel soupçon généralisé et injustifié. »

Les fameux RapidPoints sont, en effet, des récompenses cumulées par les utilisateurs Premium du site : à chaque fois qu'un utilisateur non-inscrit télécharge un fichier proposé par un utilisateur inscrit, ce dernier gagne des points dont il peut se servir pour allonger la durée de son abonnement, ou encore créer un autre compte.

Le site indique néanmoins que les points gagnés ne seront pas perdus, et pourront être utilisés jusqu'au 6 juillet. L'abandon des RapidPoints entraîne par ailleurs la suppression du programme RapidDonation, qui permettait aux utilisateurs de faire des dons pour des associations en offrant leurs points.

En somme, après une lutte contre les sites illégaux exploitant son nom et le récent allégement de peine dont il a bénéficié en Allemagne, RapidShare continue sa quête pour redorer son blason et prouver qu'il est autre chose qu'un repaire de pirate. Un travail qui risque de prendre encore quelques temps...
le 21/06/2010 à 22:10
Hyla Tpl 0.7.0, un moteur de template
Hyla_Tpl, le moteur de template léger et rapide est sorti en version 0.7.0. On retrouve pas mal de nouveautés avec entre autre :
- Possibilité de définir une valeur par défaut à une variable
- Ajout de la fonction import permettant de charger un fichier tpl depuis la vue
- Possibilité de définir des variables directement depuis le template, très utile pour les templates inclus depuis la vue
- Nouvelles méthodes
- Performances améliorées

Pour cette nouvelle version, Hyla Tpl possède maintenant un nouveau site qui lui est dédié : http://tpl.hyla-project.org/ sur lequel se trouve tout ce qu'il faut pour développer avec Hyla Tpl et notamment :
- Une introduction avec un descriptif des différences entre Hyla Tpl et la PhpLib et un comparatif de performance
- Une documentation complète
- Des exemples interactifs
- L'actualité de Hyla Tpl centralisée

- Le tout nouveau site
- Des exemples d'utilisation
Un temps imaginé outre-Rhin, l'Allemagne vient d'annoncer qu'elle ne mettrait finalement pas en place de système de type Hadopi. La ministre fédérale de la justice du pays considère que ce mécanisme constitue une « sévère interférence avec la liberté de communication ». Elle estime, au passage, que la France emprunte « un mauvais chemin. »

Dans les pages de Libération, les responsables allemands expliquent clairement qu'il est inutile d'appliquer les mécanismes du monde analogique au numérique. Ainsi, le gouvernement allemand a eu des mots très durs sur ce système en estimant ne pas vouloir « créer un hôpital pour ces business models, leur temps est écoulé ».

Pour autant, l'Allemagne compte adopter certaines mesures « à la française ». C'est notamment le cas du « défaut de sécurisation de sa ligne Internet ». Un internaute a même déjà été condamné à payer une amende de 100 euros après avoir téléchargé illégalement une oeuvre musicale.

Ce qui ressemble à une franche opposition de l'Allemagne face à un système de type Hadopi est le signal clair que plusieurs vues s'affrontent, notamment devant l'Union européenne. Les futures discussions sur les droits numériques au niveau des autorités communautaires risquent donc d'être plutôt vives.
La société Automattic présente une nouvelle version de sa plateforme de publication en ligne Wordpress. Baptisée Thelonious, en hommage au pianiste de jazz américain Thelonious Sphere Monk, cette version 3.0 a été développée en six mois par 218 contributeurs.

Lors de l'installation de la plateforme sur votre hébergeur, il sera désormais possible de choisir un nom d'utilisateur plutôt que le traditionnel « Admin ». A partir d'une seule installation, Wordpress prend désormais en charge la création de plusieurs blogs par exemple pour un réseau de blogueurs. Les mises à jour des thèmes, des plugins et de la plateforme sont désormais centralisées et simplifiées avec par exemple la désactivation automatique d'une extension lors de l'installation d'une nouvelle version. Les développeurs ont également implémenté la prise en charge des services de liens raccourcis comme bit.ly ou is.gd. Ces derniers pourront automatiquement être générés depuis la fenêtre de composition.

Jusqu'à présent il n'était possible de publier qu'un billet, une page ou un lien. Désormais Wordpress simplifie la création de publications personnalisées (Custom Post Types). Directement à partir de l'interface d'administration d'autres options sont présentées par exemple pour rédiger une fiche produit, un formulaire de contact, une liste de personnes traditionnellement présentées sur les pages A propos ou une lettre d'information. Notons également plus de souplesse pour le menu de navigation ; en plus des catégories il est possible d'ajouter des liens ou des mots-clés et de créer des sous-menus.

Les blogs créés via Wordpress 3.0 s'habillent d'un nouveau thème graphique par défaut intitulé Twenty Ten. Ce thème offre diverses options de personnalisation par exemple l'ajout d'une image de fond ou la modification de la photo en tête de page pour chaque billet publié.

Comme toujours la mise à jour est fortement recommandée, la célébrité de Wordpress en faisant une cible idéale auprès des hackers. Voici ci-dessous la présentation officielle de Wordpress 3.0 en anglais. Retrouvez aussi trois vidéos thématiques en français abordant la gestion des thèmes dans Wordpress 3.0, le mode multi-utilisateurs et la personnalisation avec les extensions. L'on compte déjà plus de 175 000 téléchargements.
PriceMinister vient d'être racheté pour 200 millions d'euros par le Japonais Rakuten, dirigé par Hiroshi Mikitani. Réussite de l'e-commerce français, PriceMinister n'a pour autant pas pu se développer à l'international. Une perspective qui change selon Pierre Kosciusko-Morizet, PDG de PriceMinister, interrogé par Clubic.

Bonjour Pierre Kosciusko-Morizet. Après deux tentatives de sortie tentées, notamment en Bourse, le rachat par Rakuten résonne-t-il comme un « Enfin » ?

En fait il y a une réelle tentative de sortie seulement : en avril 2008, nous voulions introduire PriceMinister en Bourse. Le reste, c'est parce qu'à ce moment - comme souvent quand on tente une introduction en Bourse - beaucoup de groupes nous avaient contacté. Ce qui est marquant, c'est que cette fois, nous n'avons absolument rien tenté. Nous avons été contactés par plusieurs groupes en avril 2010, mais cela ne nous semblait pas le bon moment pour les actionnaires, d'une part parce que les marchés ne sont pas très haut, et ensuite parce que nous doublons notre bénéfice par rapport à l'année dernière, donc une belle tendance qui nous permettait de ne pas être pressés.

Nous n'avions l'idée de discuter avec personne, mais nous avons vraiment eu beaucoup de contacts. C'est là que nous nous sommes rendus compte que quelque chose se passait, et dans le lot, un contact très qualitatif a émergé : celui avec Rakuten. C'est une belle offre financièrement, et un projet vraiment intéressant. C'est exceptionnel car nous avons l'opportunité d'offrir une sortie à nos actionnaires, qui peuvent revendre leurs actions, et de permettre aux manageurs d'avoir plus de moyens et de continuer leur travail. Je pense d'ailleurs qu'à titre personnel, mon métier de patron de PriceMinister va être plus intéressant qu'avant, alors que dans la plupart des cas de cession, on se retrouve un peu pieds et poings liés par le nouvel actionnaire. Là, ce sont surtout de nouvelles opportunités.

En plus, nous avons la chance de pouvoir réaliser des synergies de modèle, d'outils, mais pas de synergies de personnes. Comme Rakuten n'est pas présent en Europe, il n'y aura pas de doublons de postes, donc pas de problématique de réduction des coûts par la réduction de ces doublons. Ensuite, Rakuten va nous permettre de développer de nouveaux outils pour nos membres. Je pense qu'ils ont un excellent modèle, mais en France, nous sommes fascinés par les modèles américains, basés sur les enchères. Notamment à cause de leur côté ludique. Mais le modèle de Rakuten, qui se rapproche du notre, avec des coûts fixes et une mise en vente gratuite, représente l'avenir à mon avis. Il y a moins le côté marrant des modèles américains, mais c'est plus puissant en terme d'expérience et de satisfaction utilisateur. A nous de le démontrer, mais je crois qu'à terme, ce sont les entreprises qui proposent le meilleur service client qui fonctionneront le mieux.

Vous conservez votre poste pour au moins cinq ans. Est-ce que ça va vous permettre de réaliser le développement européen que PriceMinister n'a jamais vraiment pu faire auparavant ?

Ce n'est pas uniquement moi : tout le comité de direction reste au moins cinq ans. Nous voulons désormais développer PriceMinister en Europe, et c'est aussi le but de Rakuten, qui n'a personne ici à part nous. Nous allons passer par de la croissance organique, en ouvrant des filiales dans les pays étrangers, et également des acquisitions. La différence avec la situation précédente, c'est que nous avons désormais les moyens, alors qu'avant il nous aurait fallu passer par la Bourse pour avoir de l'argent.

La France est un petit pays, et une fois qu'on est leader, c'est très bien - et nous sommes très contents d'avoir cette position sur le marché français - mais pour aller dans d'autres pays, il faut repartir de zéro à chaque fois. Un leader en France n'a pas du tout la même assise financière qu'un leader au Japon ou aux Etats-Unis, où les marchés sont énormes. Nous n'avions pas suffisamment de moyens pour ouvrir des filiales dans cinq pays à la fois et investir massivement. Surtout que lorsqu'on a une perspective d'introduction en Bourse, on ne peut pas se permettre de dégrader la rentabilité. La moitié de moi qui est manager est vraiment ravie, car cela va nous permettre d'accélérer le développement. Seuls les moyens pour aller vite nous manquaient, et quand on passe par la Bourse pour obtenir ces moyens, c'est un peu un cercle vicieux, car on obtient de l'argent, mais il faut éviter de le dépenser vis-à-vis des actionnaires.

Rakuten est clairement une opportunité aujourd'hui. J'ai entendu ou lu que nous n'avions pas vraiment le choix, mais nous n'étions pas obligés. Nous sommes rentables, nous nous développons bien, et nous avons beaucoup de trésorerie pour de petites et moyennes acquisitions. Cela nous intéresse plus de réaliser l'accord avec Rakuten, mais ça ne signifie pas que nous n'avions pas le choix. Avec 25% d'Ebit (résultat opérationnel, NDLR), on a le choix de faire ce qu'on veut.

Puisque vous parlez chiffres... Il y a eu beaucoup de fantasmes autour des chiffres de PriceMinister, notamment parce qu'ils n'ont jamais été publiés...

C'est vrai que puisque nous avons choisi de ne pas donner les chiffres, beaucoup de gens ont essayé de les imaginer. Mais ce n'étaient pas les bons. Pour les vrais chiffres, il faut distinguer notre chiffre d'affaires et notre volume d'affaires. Quand on dit « Untel réalise un chiffre d'affaires de 800 millions d'euros », pour PriceMinister, ça correspondrait à un volume d'affaires, car c'est le montant de produits achetés par les gens. Or nous avons une marge de 10%, donc c'est notre chiffre d'affaires qui est à comparer aux autres. Or ce chiffre d'affaires est de 50 millions d'euros pour 2010, contre 39 millions en 2009. Si on considère que cela correspond aux commissions que nous prenons, donc 10% de ce qui est acheté, ça donne un ordre de grandeur du volume d'affaires.

Donc nous n'avons pas un bénéfice inexistant, comme j'ai pu lire dans certains articles. Quand ces journalistes parlent du résultat net sans savoir ce que c'est, c'est un peu dommage, car même si ça prendrait deux heures à expliquer, on peut tout de même se rendre assez facilement compte que ce n'est pas sérieux de penser qu'un géant de l'e-commerce japonais comme Rakuten rachèterait 200 millions d'euros un site qui ne réalise pas de bénéfice. Nous avons 12 fois la rentabilité de RueDuCommerce. Je ne connais pas beaucoup de sociétés en France qui ont une meilleure rentabilité, à part Vente-Privée.

Merci beaucoup, Pierre.
Oracle vient d'annoncer la version 11g de Business Process Management Suite (BPMS 11g), qui intègre le panels de technologies de l'éditeur, suite aux rachats de Collaxa et de BEA Systems - et de Fuego par l'intermédiaire de BEA. Elle doit amener aux dirigeants, aux analystes et aux personnels non techniciens une solution complète de gestion des process (BPM). Composante de l'offre Oracle Fusion Middleware 11g, BPMS 11g donne accès à l'utilisateur au contrôle des process de bout en bout, en améliorant l'intégration aux systèmes, aux workflows, et aux contraintes humaines.

« Tous les types de process sont pris en charge au travers d'un produit unique, d'un moteur de process unique, et d'un environnement de langage unique, » explique David Shaffer, vice-président Management produit chez Oracle Fusion Middleware Solutions. « Jusqu'à maintenant, les gens devaient utiliser différents outils en fonction de s'ils souhaitaient gérer des process centrés sur les gens, les systèmes ou les process. »

Les composants clés sont Process Composer, un outil en ligne pour modéliser et déployer des composants et services de process, Enterprise Monitor, qui scrute et donne des données sur la performance des process, et Process Spaces, un environnement de collaboration où les utilisateurs peuvent se voir attribuer des accès différents selon leur rôle et le process.
Les opérateurs mobiles viennent d'annoncer qu'ils vont saisir le Conseil d'Etat. Le motif est clair, l'association qui regroupe les opérateurs (AFOM) conteste que les téléphones mobiles multimédias soient taxés au titre de la copie privée. De même, les barèmes seraient fixés « trop arbitrairement ».

Pour rappel, la rémunération pour copie privée a été instaurée par la Loi Lang du 3 juillet 1985 afin de compenser les pertes qu'engendre la copie par les particuliers. Les montants récoltés sont répartis également entre sociétés d'auteurs, sociétés d'artistes-interprètes et producteurs audiovisuels. Une partie de cette manne a généré pas moins de 20 millions d'euros, uniquement par les opérateurs Telecoms.

L'AFOM engage donc une action devant le Conseil d'Etat contre une décision prise en janvier 2009 assujettissant « la grande majorité des terminaux mobiles à la redevance pour copie privée (RCP), et non plus seulement une partie bien définie de ce type de produits ». Dans un communiqué, l'association explique qu'une compensation équitable des ayants droits est nécessaire mais elle « réfute l'inclusion des téléphones mobiles dédiés à la seule lecture d'œuvre, alors que seuls les supports dédiés à l'enregistrement doivent être pris en compte. »

Il faut dire que les relations entre représentants des industries et membres de la Commission Copie privée ont toujours été à l'orage. Cette fois, il semble que leurs rapports se soient envenimés jusqu'à ce que les opérateurs saisissent le Conseil d'Etat.

Pour rappel, la taxe appliqué par la Commission Copie privée concerne les mémoires Flash mais également les supports CD et DVD, clés USB, disques durs externes et multimédias mais également les smartphones avec fonction lecteur audio. Il semble, cette fois, que cette commission ait été trop gourmande.
L'Electronic Frontier Foundation, l'organisation internationale soucieuse de la vie privée des internautes, dévoile aujourd'hui un plugin pour le navigateur Firefox. Baptisé HTTPS Everywhere ce plugin, comme son nom l'indique, établit une connexion SSL permanente sur plusieurs gros sites Internet.

Cette extension a été développée en partenariat avec le projet Tor qui se présente comme "un réseau de tunnels virtuels qui permet d'améliorer la protection de la vie privée et la sécurité sur Internet". Les développeurs mettent aussi à disposition en téléchargement des outils open source permettant aux développeurs de sécuriser les infrastructures de communication des entreprises.

Cette extension de Firefox fonctionne avec plusieurs sites Internet qui prennent en charge une connexion SSL sans pour autant l'activer par défaut, c'est notamment le cas de Wikipedia, Facebook ou Twitter. L'EFF explique également comment créer des règles pour surfer en mode protégé sur les sites Internet de son choix, pourvu que ces derniers soient compatibles. Pour de plus amples informations rendez-vous ici.
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