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Depuis le 19 mai et jusqu'au 30 juin, Google Maps et Routard.com proposent une chasse aux trésors grandeur nature et un jeu de pistes en ligne, avec pour objectif de faire découvrir le patrimoine français via un « tourisme participatif ».

L'opération se décompose en deux parties : la première prendra place le dimanche 30 mai à Paris, sous la forme d'une chasse aux trésors baptisée « Des Plumes à Paris ». Basée sur le tème des écrivains, elle sera composée d'énigmes, qu'il faudra résoudre à l'aide d'un smartphone équipé de Google Maps, ou bien d'un ordinateur portable. Les organisateurs promettent « 3 à 4 heures de balade et de recherches dans la capitale en passant par des rues, monuments, places, hôtels, cafés, restaurants, parcs, localisation de la maison d'une célébrité».

Pour espérer participer au challenge, il faut néanmoins résoudre une première énigme proposée sur le site de l'événement. Le gagnant de cette journée remportera un téléphone mobile équipé d'Androïd et un coffret « hôtel de charme » à utiliser en France.

La seconde partie de l'opération sera quant à elle lancée dans toute la France le 31 mai : il s'agira cette fois-ci d'un jeu de piste en ligne : « Grâce à un panorama géolocalisé des deux partenaires (principaux lieux recueillis par Routard.com tels que les parcs, places, monuments ou encore, des bons plans), ce concours permettra de découvrir le patrimoine français à travers les régions ». Le gagnant du jeu de piste recevra la même dotation que le vainqueur de la chasse aux trésors.

Une initiative qui s'annonce sympathique, même si on se doute bien que l'objectif de Google et du Routard est sans aucun doute de se rappeler au bon souvenir des Français à l'approche des vacances d'été. C'est peut-être l'occasion d'organiser son itinéraire touristique, même si, pour le coup, il n'y aura pas de smartphone Androïd à la clé.
Les développeurs de l'application AtMail annoncent sur leur blog officiel une mise à jour de leur solution de messagerie. Comercialisé auprès des entreprises ou des fournisseurs d'accès à Internet, AtMail reste gratuit jusqu'à cinq utilisateurs et peut facilement être déployé sur son propre hébergeur ou serveur dédié.Cette dernière mouture (6.1.8) peut désormais être personnalisée avec des thèmes. Pour cela, il suffira d'injecter une nouvelle feuille de style. Par défaut un nouveau thème (Granite) apparaît dans les options. Les développeurs ont également simplifié l'installation sur un serveur tournant sous Ubuntu 10.04. Le plugin WebSync, permettant de synchroniser les calendriers d'Outlook via le protocole CalDav a été otpimisé. Ce dernier permettra par exemple à un collaborateur d'utiliser AtMail au sein d'un groupe Exchange. Parmi les autres améliorations, notons une meilleure gestion de l'IMAP, du moteur de recherche ou encore la prise en charge des médias insérés en pièces jointes, par exemple la lecture en streaming des fichiers .wav.

AtMail 6.1.8 embarque désormais CardDav, un protocole en cours de finalisation basé sur WebDav et qui permet de partage un carnet d'adresses au sein d'un réseau. Retrouvez de plus amples informations sur cette nouvelle version ici. Vous pouvez également tester la démo ici et télécharger AtMail .
IBM vient de finaliser un partenariat sur le cloud avec Ariba, un site de commerce B2B. Peu d'informations ont filtré sur les détails financiers de l'accord, mais le but est clair : intégrer le service de mise en relation vendeur-acheteur d'Ariba avec l'outil de collaboration en ligne LotusLive d'IBM. Ariba a d'ailleurs revu son système Commerce Cloud pour l'occasion.

Ariba gèrera donc la partie commerciale, avec ses solutions en ligne de gestion des ventes, et LotusLive fournira ses outils d'email, de conférence, de réseau social et de collaboration dans le cloud. Le partenariat doit permettre aux vendeurs et aux acheteurs d'interagir, de répondre aux questions et d'échanger des informations en amont d'une éventuelle signature de contrat, via le service Discovery.

Si cette information est clairement à rapprocher de l'annonce récente du rachat de Sterling Commerce par IBM, l'environnement Commerce Cloud apportera le même type de services : une solution unifiée de mise en relation et de gestion des transactions, avec les outils de collaboration d'IBM. Ariba annonce par ailleurs un réseau de 300 000 entreprises avec son service Discovery, dont 80% du classement Fortune 500.

Un outil puissant selon le directeur du marketing, Tim Minahan, qui explique par l'exemple : « Si un acheteur cherche une entreprise spécialisée dans le moulage par injection dans le Midwest, il trouvera les 10 ou 15 sociétés qui répondent à ses critères, comme la conformité à la norme ISO-9000. Il pourra aussi voir leurs performances, ou le nombre d'appels d'offres auxquels elles ont été conviées à participer, ainsi que combien elles en ont remportés. »
Mozilla lève finalement le voile sur ses projets pour l'iPhone d'Apple. Contrairement à Opera l'application ne se présentera pas sous la forme d'un navigateur mais plutôt comme un outil de synchronisation. Basé sur la technologie de Firefox Sync (Weave), Firefox Home, s'il venait à être accepté par Apple, permettra de retrouver directement sur l'iPhone son historique de navigation, ses favoris ou encore ses derniers groupes d'onglets ouverts.

Firefox Home se présente comme un moteur de recherche universel et ressemble alors à l'Awesome Bar de Firefox. Il suffira donc de taper les premières lettres d'un site Internet pour retrouver ce dernier parmi son historique ou ses favoris. Notons que le mobinaute accédera à cette page directement depuis l'application.
Microsoft a dévoilé ce matin les résultats de la première édition de son baromètre « Enjeux Numériques ». L'étude, consacrée à la façon dont les Français perçoivent le respect de la vie privée sur Internet, dévoile une inquiétude évidente, mais également une désinvolture certaine.

Ainsi, si 75% des Français s'avouent inquiets concernant la façon dont leur vie privée est divulguée sur Internet, 48% d'entre eux considèrent qu'il est néanmoins facile de contrôler les informations personnelles qui transitent sur le Web. Ce pourcentage monte même jusqu'à 70% chez les 15-24 ans. Mais curieusement, seul 4% des internautes français pensant maîtriser leur image font régulièrement des recherches sur eux-mêmes sur Internet. 53% ne l'ont même jamais fait.

Une situation que le sociologue Jean-Claude Kaufmann désigne comme un « paradoxe de confiance » : « alors qu'Internet est un monde étrange faisant plutôt peur pour qui n'y va guère, il devient au contraire très vite un univers familier pour qui y installe ses niches et ses cheminements. Dès que les internautes entrent concrètement dans la web familiarité et la confiance, ils oublient que la Toile est immense et que sa mémoire est profonde ; leurs inquiétudes disparaissent comme par enchantement ». Ainsi, les internautes les plus confiants vis-à-vis de leur maitrise d'Internet seraient également les plus enclins à dévoiler des données personnelles les concernant. Et à faciliter leur ciblage.

Pour Brice Teinturier, le directeur adjoint de TNS Sofres, cette observation ne s'avère cependant pas complètement négative : « En révélant que les internautes les plus confiants et les plus aguerris divulguent sans complexe des données exploitables par le ciblage publicitaire, cette étude démontre qu'in fine, les Français ont à ce jour une compréhension partielle des enjeux de l'identité numérique ». C'est certes mieux que pas de compréhension du tout, mais à l'heure où la confidentialité sur les réseaux sociaux, ainsi que le droit à l'oubli font de plus en plus débat, les internautes Français semblent pécher par excès de confiance.

Les principales sources de méfiances pour les internautes, vis-à-vis de la façon dont elles peuvent utiliser les données personnelles sur Internet, sont les pirates informatiques (79%), les entreprises (61%) et les pouvoirs publics (53%). Arrivent ensuite les collègues de travail (35%) et la famille (15%) qui suscitent bien moins d'inquiétude.

Marc Mossé, le directeur des Affaires Publiques de Microsoft France, a quant à lui souligné l'importance de la vigilance des internautes : « C'est au citoyen de maîtriser ses données et non à la technologie de choisir pour nous » a-t-il commenté, avant d'ajouter que les entreprises telles que Microsoft ont également un rôle à jouer dans le respect de la vie privée sur le Net. « Nous pensons qu'il est en effet possible de faire exister un modèle du web à la fois viable économiquement et respectueux des valeurs de la société, et cette question est posée à l'industrie. »
Hier, Yahoo! a annoncé vouloir renforcer davantage sa stratégie communautaire pour déployer cette dernière sur plusieurs sites du portail Internet. Au coeur de l'annonce, Blake Irvin, anciennement vice-président de Windows Live et aujourd'hui directeur des produits chez Yahoo, lève alors le voile sur un rapprochement avec l'éditeur Zynga.

En signant avec un partenariat de cinq ans avec Facebook pour l'intégration de Facebook Connect sur l'ensemble de son portail, Yahoo! souhaite reposer sur la popularité du géant communautaire. S'il choisit d'activer cette option, l'internaute est ainsi en mesure de lire le flux d'activité de l'un de ses contacts depuis le webmail. Une nouvelle fonctionnalité introduite hier permet également d'écrire sur le "mur" de l'un de ses contacts toujours depuis la page d'accueil de Yahoo! Mail. Le rapprochement avec Zynga devrait quant à lui se traduire par l'apparition de nouvelles applications tierces et notamment les jeux phares de l'éditeur : Farmville et Mafia Wars.

Outre l'aspect communautaire, Yahoo! devrait également donner un coup de jeune à son webmail dont l'interface actuelle fut premièrement dévoilée en bêta en septembre 2005. C'est du moins ce que l'on pourrait penser au regard de deux diapositives publiées hier par Blake Irving. A première vue, l'équipe chargée du développement de Yahoo! Mail semble avoir repensé l'ergonomie de l'interface en modifiant l'agencement du panneau latérale gauche et en re-introduisant des onglets verticaux vers les principales sections du service web.

A l'heure actuelle la stratégie mobile de Yahoo! est principalement centrée vers l'iPhone avec plusieurs applications comme Flickr, OneConnect, Messenger, Yahoo! Sports ou encore Yahoo! Finances. Yahoo! devrait cependant s'immiscer sur les terminaux sous Android et concurrencer les produits de Google. Outre un client email, une version de Yahoo! Messenger devrait notamment pouvoir permettre d'effectuer des appels vidéo.
A deux semaines de la Coupe du Monde de football, les membres des équipes d'Angleterre et d'Espagne ont été priés d'opérer un silence radio sur les réseaux sociaux, en particulier sur Facebook et Twitter.

Côté anglais, la demande a été faite par l'entraineur de l'équipe Fabio Capello, qui désire que des joueurs se concentrent sur leur jeu plutôt que de se laisser distraire par Internet.

Même chose du côté de l'équipe nationale espagnole : le sélectionneur Vicente del Bosque a indiqué à ses joueurs lundi dernier qu'ils n'auraient pas le droit de communiquer avec leurs followers pendant toute la durée du mondial.

Si la première raison à cette interdiction semble concerner la concentration des joueurs, il semble que ça ne soit pas le seul objectif, à en croire les déclarations de la Fédération d'Angleterre de football, qui a demandé aux joueurs de son équipe nationale de ne s'exprimer sur la compétition que par les « voies officielles ».

Les joueurs anglais et espagnols sont en effet des adeptes des réseaux sociaux, parfois à outrance : la BBC rapporte certains propos récents, tenus sur Twitter par des footballeurs, qui avaient créé la polémique.

En juillet dernier, l'attaquant britannique Darren Bent avait ouvertement accusé sur le site de microblogging le président du club de Tottenham Hotspur, Daniel Levy, de bloquer son transfert à Sunderland. Bent a depuis fait ses excuses, et a arrêté de gazouiller en février dernier. Autre exemple : l'attaquant brésilien du Real Madrid, Kaká, qui a annoncé récemment la fermeture du compte Twitter de son épouse, un peu trop critique envers l'entraîneur de son mari.

En somme, le Mondial de football se déroulera sur le terrain et pas sur les réseaux sociaux. Reste à savoir si, pour ces équipes, les buts remplaceront les tweets.
Sept des membres de la nouvellement créée « Association pour le Téléchargement sur Internet et la Libre Diffusion » (Atild) ont envahi mercredi les locaux d'une autre association, l'Alpa, ou Association de Lutte Contre la Piraterie Audiovisuelle, pour protester contre la procédure judiciaire dont Dimitri Mader, dit Zac, fait l'objet. Ce jeune homme, âgé de 21 ans, encourt aujourd'hui un maximum de trois ans de prison et 300.000 euros d'amende pour avoir créé et administré l'une des principales boards dédiée au téléchargement illégal en France, le désormais fameux Wawa-Mania. La toute jeune Atild, qui milite quant à elle pour la remise à plat du droit d'auteur mais dit ne pas vouloir cautionner le téléchargement illégal, a fait du cas « Wawa » l'un de ses chevaux de bataille.« C'était facile, ils nous sous-estiment complètement... »

Interrogée, l'Atild ne cache pas ses ambitions : « l'idée est clairement de faire le plus de bruit possible et que les médias parlent de nous », explique Aurélien Boch, président de l'association, également impliqué dans les activités de la ligue Odebi. Histoire qu'un début de relai soit assuré, le groupe s'est arrangé pour qu'un journaliste du Nouvel Obs assiste à la scène.

Mercredi, sept personnes se sont donc introduites dans les locaux de l'Alpa, puis ont suspendu aux fenêtres des banderoles promouvant l'Atild et affichant son soutien à Dimitri Mader, lequel est susceptible d'être placé en détention provisoire jusqu'à son procès s'il ne réunit pas 20.000 euros de caution.

« C'était facile, ils nous sous-estiment complètement », raconte Aurélien Boch, qui insiste sur le caractère « non-violent et pacifique » de l'opération. Pour se voir ouvrir les portes de l'Alpa, il indique avoir contacté l'association en se faisant passer pour l'éditeur d'une solution qui permettrait de récupérer l'adresse IP des membres actifs sur les plus grands forums d'échange français.

« Ils se sont montrés très intéressés. J'ai donc rapidement obtenu un rendez-vous avec leur numéro deux, ce qui m'a permis de repérer les locaux et de voir que l'opération était faisable. On a alors convenu d'un second rendez-vous pour le 26 mai, pendant lequel je devais leur faire une démonstration de mon soi-disant logiciel », explique-t-il. Conduite à cette occasion, l'opération se serait soldée par l'arrivée des forces de l'ordre, qui n'auraient gardé les membres du groupe qu'une heure, le temps d'une vérification d'identité. Pour l'instant, aucune plainte n'aurait été déposée.

Pourquoi s'attaquer à la relativement discrète Alpa plutôt qu'à une maison de disques ou à une organisation de gestion des droits d'auteur ? « C'est l'Alpa qui a chargé Dimitri », explique Aurélien Boch. « Et puis l'Alpa, c'est un peu l'antithèse de l'Altid, une démarche complètement opposée à la nôtre. C'est simple, eux sont payés par les majors, alors que nous sommes financés par les gens qui téléchargent ».

Au delà du simple coup médiatique, l'Atild appelle à la tenue de négociations entre les différents sites d'échange qu'elle fédère (la board Wawa-Mania compterait aujourd'hui 840.000 utilisateurs enregistrés et son forum accueillerait jusqu'à 6.000 connexions simultanées) et les représentants des ayants-droit. « On a lancé un appel et pour l'instant, on n'a pas eu une seule réponse. Tout s'arrêtera dès qu'on sera avec eux autour de la table », affirme le président de l'association. En attendant, elle se dit prête à remettre le couvert avec d'autres actions du même genre, à la Sacem peut-être, voire chez l'une des grandes majors du disque. Il n'est pas dit que ces dernières apprécient l'ultimatum.
La Commission Informatique et libertés vient d'émettre un sérieux avertissement à Acadomia. La Cnil reproche non seulement à une filiale du site de soutien scolaire de s'être constitué illégalement un fichier de données sur les enseignants mais également de ne pas avoir modéré ses informations.

A en croire le protecteur des libertés sur la Toile, Acadomia s'est constitué une belle base de données sans aucune autorisation. Les deux fichiers visés regrouperaient des informations sur 52.618 candidats à des cours particuliers, idem pour 179.763 candidats non recrutés mais aussi pour 131.704 enseignants « démissionnaires ». Pour couronner le tout, le fichier contiendrait également des renseignements sur 350.000 clients.

Le fait est que ces fichiers sont nominatifs, ne contiennent aucune limitation dans la durée de leur conservation et comporteraient des informations sur la santé, le casier judiciaire et la situation familiale des candidats. Dans un communiqué, la Cnil confie que ces commentaires étaient clairement grossiers. Morceaux choisis : « gros con », « vraiment trop conne », « mère salope », « gros crétin », « saloperie de gamin », « parisien frustré », « sent le tabac et la cave », « seul bémol : il pue ». Voilà pour la prose.

Au regard du nombre de manquements constatés et de leur gravité, la Cnil a donc prononcé à l'encontre de la filiale d'Acadomia responsable du traitement informatique, AIS 2, un avertissement. Elle a également informé le parquet des manquements susceptibles de constituer des infractions pénales.

Outre les 212 occurrences du terme « conne » présents dans ces fichiers, l'histoire prêterait à la dérision si le site n'avait pas déjà été mis en garde par la Cnil. Le 22 avril dernier, Acadomia aurait été averti des manquements à la loi Informatique et libertés portant sur la collecte abusive de numéros de sécurité sociale, la création d'une liste noire de candidats enseignants et la collecte de données relatives à la santé. Reste à savoir si ces données seront communiquées aux intéressés.
Le Royaume-Uni retourne sa veste. Le vice-premier ministre tout fraichement élu Nick Clegg vient de faire une déclaration qui va à l'encontre des dernières informations concernant le hacker McKinnon. Il vient d'annoncer qu'il n'avait « pas plus que le premier ministre ou le ministère de l'intérieur », le pouvoir de renverser la procédure d'extradition du hacker vers les Etats-Unis.

Petit rappel des faits. Gary McKinnon a déjà avoué avoir cherché des preuves d'existence d'extra-terrestres sur les ordinateurs des organes de renseignement américains et de la Nasa. Du coup, il risque jusqu'à 70 ans de prison dans les geôles de l'Oncle Sam (contre 4 au Royaume-Uni). Pour sa défense, l'intéressé plaide le syndrome d'Asperger (une forme d'autisme) afin d'empêcher une extradition qui dure en longueur mais qui ne saurait tarder.

Nick Clegg, le vice premier ministre a donc répété sur la une chaîne de radio de la BBC qu'il s'agissait d' « une affaire très complexe sur le plan légal ». Pourtant, le même homme politique avait ardemment défendu le hacker l'an dernier. Clegg estimait qu'il était du ressort du gouvernement d'alors de « faire en sorte que Gary McKinnon soit jugé au Royaume-Uni ». Voilà donc un bel exemple qui explique la maxime : « To talk, you talk. To walk, you walk. »
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