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Serait-ce ce qu'on appelle le revers de la médaille ? D'après The Telegraph, Facebook, premier site de réseau social au monde, serait à l'origine d'un nombre grandissant de divorces outre-Manche. D'après une étude menée par un cabinet d'avocats, un divorce sur cinq serait ainsi concerné !

Mark Keenan, directeur de Divorce-Online, a mesuré le phénomène dans un cabinet d'avocats du Royaume-Uni et avoue avoir été « vraiment surpris de constater que 20% des demandes de divorces étaient liées à Facebook ». Alors comment expliquer que le site créé par Mark Zuckerberg soit aussi néfaste à la stabilité d'un couple ? Pour Mark Keenan, «  la raison la plus récurrente est la découverte de conversations d'ordre sexuel entre deux personnes qui ne sont pas supposées en avoir ».

Aux yeux des conjoints respectifs, les mails ou les messages déposés sur le profil de leur partenaire et qui témoigneraient de flirts (même fictifs) seraient considérés comme une faute majeure. La communauté Facebook rassemble aujourd'hui plus de 350 millions de membres, et si le site est sensé rassembler ou retrouver des personnes proches ou inconnues, il pourrait donc désormais aussi diviser... Les notifications « célibataire », « en couple », « relation compliquée » ou « marié » n'ont pas fini d'enflammer la toile.
Quand le Père Noël va-t-il passer chez moi ? C'est la question que tous les enfants se posent le soir du réveillon de Noël. Dans la plupart des pays, le Père Noël passe dans les maisons entre 21 h et minuit, mais on ne peut pas le prédire avec plus de précision puisqu'il est le seul à connaitre le trajet qu'il empruntera. Ce qui est sûr, c'est que le Père Noël ne visite les maisons qu'une fois les enfants endormis !

Et le Norad en sait quelque chose ! Le commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord le surveille depuis 1955 et perpétue cette année la tradition en permettant de suivre son parcours en direct sur un site internet dédié au travers de Google Maps.

Le Père Noël a donc quitté le Pôle Nord à bord de son traineau ce matin, et commencé à déposer ses 60 000 tonnes de cadeaux dans le monde entier. D'après les systèmes de surveillance de l'armée américaine, employant des radars, des satellites, des caméras et des avions de chasse, à l'heure où nous écrivons ces lignes, le Père Noël est à Kampot, au Cambodge, il a déjà livré 685 millions de cadeaux et ingurgité plus de 34 000 pâtisseries laissées par les enfants à son intention.

Pour suivre le périple du Père Noël et de ses neuf célèbres rennes, Tornade, Danseur, Furie, Fringant, Comète, Cupidon, Éclair, Tonnerre et Rudolph, rendez-vous sur cette page. Et à vous, que vous a-t-il apporté ?
Joyeux Noël. A l'occasion de l'envoi de ses voeux à la presse, Google a indiqué avoir versé la somme de 20 millions de dollars à des associations caritatives.

"Puisque les associations caritatives ont connu l'une des années les plus difficiles, nous avons affecté 20 millions de dollars pour aider ceux qui nous aident tous. Le cadeau que nous voulons vous offrir est leur cadeau." indique Google sur sa carte électronique.

Les heureux bénéficiaires sont majoritairement des associations américaines, africaines ou asiatiques. On notera tout de même la présence dans la liste de Reporters sans frontières, l'association de Robert Menard, qui lutte pour la liberté de la presse.

- Feeding America
- Boys and Girls Clubs
- Smile Train
- CARE, Mothers Matter
- World Wildlife Fund, Natural Capital Project
- Mobile Creches
- Prajwala
- HEAL Africa
- African Institute for Mathematical Sciences


- The Mango Tree
- National Center for Missing and Exploited Children
- Harlem Children's Zone
- Save the Children, Latin America focus
- Reporters Without Borders
- Witness
- Loud Against Nazis
- Global Voices


- Ushahidi
- Save the Children, Middle East and Eurasia focus
- Grupo Cultural Afro Reaggae
- Ashesi University College, Ghana
- Pratham
- Australian Indigenous Mentoring Experience
- Shin Shin Educational Foundation
- Tzu Chi Foundation
Le secteur de la télévision de rattrapage est en pleine ébullition outre atlantique. Alors que Hulu, la plate-forme vidéo de NBC, Disney et Fox réfléchit au payant, les rumeurs se multiplient concernant un projet similaire... signé Apple.

Le Wall Street Journal indique en effet que CBS et même Disney, pourtant actionnaire de Hulu, seraient sur le point de signer avec Apple, afin d'alimenter un futur service de vidéo à la demande intégré à iTunes.

A mi chemin entre Canal+ et Hulu, le service d'Apple permettrait un accès illimité à un large choix de séries télévisées moyennant un abonnement mensuel sur l'ensemble des terminaux d'Apple : Mac, iPod et autres iPhones.

Une rumeur qui pourrait également relancer les spéculations sur une véritable "Apple TV", hybridation entre l'actuel boîtier AppleTV (sans écran) et les derniers écrans Cinema Display (jusqu'à 30 pouces) commercialisés par la firme de Cupertino.
Les décrets d'application nécessaires à la mise en oeuvre effective de la loi de lutte contre le téléchargement illégal sur Internet, dite Hadopi, pourraient bien ne pas être publiés avant le mois de février. La Cnil, Commission nationale de l'informatique et des libertés, serait, selon La Tribune, responsable de ce nouveau retard. Sollicitée, conformément à la loi, sur l'un de ces décrets d'application, elle aurait pour l'instant refusé d'émettre un avis, exigeant comme préalable l'examen d'un autre des textes préparés par le gouvernement. Sans cet avis, l'entrée en vigueur de la loi est temporairement bloquée. En théorie du moins.

Lorsqu'un projet touche aux données personnelles, il est prévu que la Cnil communique son avis au gouvernement sur le texte. Le rôle n'est ici que consultatif et un avis négatif n'empêche pas l'entrée en vigueur, mais il est indispensable que le dit avis soit remis avant parution des décrets d'application.

Sollicitée au sujet du décret d'application conférant à l'autorité administrative chargée d'encadrer le processus de riposte graduée le droit de constituer un dossier listant les contrevenants et leurs coordonnées, la Cnil aurait refusé de prononcer cet avis. Le 10 décembre dernier, elle aurait fait parvenir au gouvernement une lettre justifiant sa décision et demandant que lui soit communiqué un autre décret d'application, celui qui touche aux sanctions appliquées aux personnes convaincues de téléchargement illégal.

Le décret permettant la constitution du répertoire des pirates détectés par l'Hadopi est donc bloqué jusqu'à ce que le gouvernement ait fait parvenir à la Cnil le second texte exigé par cette dernière. Celle-ci aura alors deux mois pour formuler un nouvel avis. A moins qu'il ne choisisse de passer outre, en considérant que la lettre de la Cnil a bien valeur d'avis sur le plan juridique, une manoeuvre risquée pour un projet déjà riche en chausse-trappes.
Ayant écopé d'une facture de 159.212 euros obtenue suite à l'utilisation d'une clé 3G Orange, Jean Spadaro estime avoir été victime de "publicité mensongère". C'est du moins le motif qu'il invoque dans une plainte déposée lundi auprès du tribunal de Fontainebleau, dont l'AFP indique avoir eu connaissance. Pour ce médecin urgentiste de 47 ans, jamais Orange ne lui a correctement expliqué que le caractère "illimité" du forfait souscrit avec sa clé 3G ne portait que sur le temps de connexion et non sur le volume de données transférées.

« Quand j'ai commencé à leur dire que j'allais médiatiser cette affaire, ils m'ont envoyé des mails pour m'informer de deux avoirs distincts de 22.622 euros et de 136.529 euros venant en déduction de la facture », explique l'intéressé à l'AFP. « Moi je souhaite un remboursement et un dédommagement », justifié selon lui par l'application de frais de rejet lors du blocage du prèlevement automatique du montant de son abonnement.

Il « faut donc qu'Orange cesse tout simplement d'utiliser des termes qui consistent à tromper les clients en oubliant de les informer ou en les informant mal », explique Jean Spadaro dans sa plainte.

Un avis désormais partagé par le régulateur des télécoms. "Les opérateurs ont une obligation morale de garantir au consommateur de disposer des moyens de maîtriser sa dépense", déclarait mi novembre Jean-Ludovic Silicani, président de l'Arcep. "Si cette obligation morale n'est pas remplie par les opérateurs, l'Autorité n'hésitera pas à proposer qu'elle soit inscrite dans le droit".
Les prochaines voitures haut de gamme Ford munies du système intégré de communication vocale et de divertissement Sync pourront bientôt se changer en véritable point d'accès mobile, a annoncé lundi le constructeur américain. Celui-ci compte en effet proposer au sein de certaines de ses automobiles un dispositif au sein duquel on pourrait enficher une clé 3G. La connexion ainsi permise serait alors partagé entre les différents passagers de la voiture via une liaison WiFi standard, dont l'accès serait protégé par une clé WPA2.

L'idée, déjà présentée par Orange sous forme d'expérimentation lors du dernier Salon de l'Auto de Paris, consiste donc simplement à intégrer au tableau de bord de la voiture un point d'accès sans fil classique, relié à Internet par l'intermédiaire de cette clé 3G. La connexion à Internet ainsi créée pourra en outre permettre d'alimenter l'ordinateur de bord en informations fraiches, fait valoir Ford, qui pour ce projet a collaboré avec Microsoft.

« La rapidité avec laquelle la technologie évolue, particulièrement dans le domaine du sans fil, fait de l'obsolescence un réel problème », remarque Doug VanDagens, directeur des services connectés chez Fors, dans un communiqué. C'est pour cette raison que le constructeur n'aurait pas intégré, en dur, la liaison à Internet, préférant opter pour une connexion via USB qui permettra un jour de connecter une éventuelle clé Wimax ou 4G. Dans un tel cas de figure, les frais de la connexion restent logiquement à la charge de l'abonné, qui aura tout intérêt à disposer d'un forfait qui n'a pas d'illimité que le nom.
Non, il n'y a pas que l'iPhone et Windows 7 qui permettent la prise en charge des écrans tactiles multipoints, comme a à coeur de le démontrer depuis plusieurs mois le « Interactive Computing Lab » de l'Ecole Nationale d'Aviation Civile (Enac), qui publie cette semaine les résultats de ses travaux visant à assurer la gestion du multitouch sous Linux via le serveur X.org.

Conduites dans le cadre de recherches visant à déterminer dans quelle mesure des interfaces multipoints pourrait être intégrée dans un cockpit, ces recherches ne signifient pas que l'embarqué dans le domaine de l'aéronautique va se tourner vers Linux, mais propose une solution viable pour profiter des interactions permises par les écrans tactiles compatibles hors de l'univers Mac ou Windows.

Dans la vidéo de démonstration ci-dessous, qui fait appel à un Slate PC, la tablette tactile de Stantum, tourne Fedora 12 équipée de la dernière version en date de X.org (X11R7.5). Une fois le système équipé des pilotes adéquats, ainsi que d'un client dédié à la gestion du multipoint, il devient possible de profiter au sein du système de fenêtres d'interactions à deux doigts, voire plus, qui fonctionnent sur les applications du bureau.

Si vous disposez d'un ordinateur équipé d'une dalle NTrig, d'un Acer T230H ou d'un Asus EeePC T91MT, vous devriez pouvoir reproduire l'expérience à domicile à l'aide des pilotes et instructions proposés par les auteurs de ces travaux.Merci à Woops pour l'info !
L'Empire contre attaque. Condamné en fin de semaine dernière par le Tribunal de Grande Instance de Paris à 300 000 euros d'amende pour avoir reproduit sans autorisation des extraits de livres des éditions LaMartinière, le groupe américain a confirmé ce mardi son intention de faire appel dans les prochaines semaines.

"En France ou aux Etats-Unis, Google ne montre pas, ne serait-ce qu'une seule page, des ouvrages sous droits d'auteur sans avoir demandé l'autorisation expresse des titulaires des droits. En effet, seuls de très courts extraits sont accessibles, permettant aux internautes de trouver un ouvrage en lien avec leurs requêtes." se défend Philippe Colombet, Directeur du programme Google Livres en France.

"Ce jugement, s'il était confirmé, risquerait de pénaliser de facto les internautes français en les privant de l'accès à une partie du patrimoine littéraire français. Il pourrait aussi pénaliser les éditeurs d'une opportunité de promotion de leurs ouvrages et de développement de leurs ventes. " commente le représentant du groupe américain.

Rappelant que seules 15% des connaissances produites par l'humanité sont disponibles sur Internet, le groupe entend donc poursuivre ses programmes de numérisation et de recherche de livres auxquels participent 'ailleurs plus d'une trentaine de bibliothèques et près de 30 000 éditeurs.
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