News

Chris Shiflett publie le calendrier de l'Avent PHP, avec des astuces d'experts PHP pour tout le monde.

- Marco Tabini: CSS and Other People
- Sean Coates: Dæmonize Your PHP
- Luke Welling: Managing Bob
- Ben Ramsey: PHP’s Not Just a Language

- CSS and Other People
- Dæmonize Your PHP
- Managing Bob
- PHP s Not Just a Language
le 18/12/2009 à 22:22
MariaDB compatible langages
La popularité de MariaDB est très importante depuis de nombreux mois, entre autre dans la communauté MySQL.

La configuration s'effectue facilement, mais communiqué MariaDB avec d'autres langages comme Python peut bloquer certains développeurs.

Le site Live journal a publié un article et un source montrant la possibilité d'interfacer le langage Python avec MariaDB.

- MariaDB Buildbot configuration file published
Selon le cabinet d'études marketing iSuppli, après avoir été démocratisé par les ordinateurs et par les smartphones, l'Internet va prochainement s'inviter dans les automobiles.

Alors que ce sont à peine 970 000 voitures "connectées" qui seront mises sur le marché cette année dans le monde, ce chiffre devrait avoisiner les 62,3 millions en 2016. "Alors que les smartphones deviennent de plus en plus populaires et grand public, les consommateurs demandent désormais un accès à Internet dans les automobiles. Les constructeurs automobiles commencent déjà à répondre à cette demande en ajoutant différents modules Internet dans leurs voitures", précise iSuppli.

Et c'est visiblement aux Etats-Unis que les constructeurs sont le plus en avance, l'institut d'études - américain - tablant sur 28,3 millions d'autos reliées à Internet outre atlantique en 2016, contre 520 000 cette année. Mais la plupart des systèmes existants, comme le module embarqué "Ford Sync", ne fonctionnent qu'en utilisant la connexion Internet associée d'un smartphone. L'une des seules exceptions à cette règle concerne le système intégré dans les BMW série 7 en Allemagne. Ainsi que le développement de routeurs "3G vers WiFi" intégrés dès 2008 dans certaines voitures de marque Chrysler, aujourd'hui disponibles dans les Cadillac et Volkswagen. Prévisions du nombre d'autos connectées par année

Mais pour que les applications Internet pour automobiles soient populaires, elle ne devront pas gêner le conducteur pendant sa phase de conduite, sous peine de s'attirer les foudres des autorités locales. "Il y aura des restrictions dues à la distraction des conducteurs. Des interfaces plus intuitives devront être développées pour impacter au minimum le conducteur", précise iSuppli. Côté usage, la société prévoit un bel avenir pour les systèmes d' "infotainment" ainsi que pour les systèmes de navigation GPS qui pourront exploiter cette connexion Internet pour de nombreux services (info trafic, radars, réservations d'hôtels ou de restaurants, ...). Pour le plus grand plaisir des opérateurs mobiles qui pourraient facturer à prix d'or l'utilisation de tels services ?
La cour fédérale de Californie du Nord a tranché en faveur d'Apple. Après avoir entendu les deux sociétés, le tribunal a donné raison à la firme de Cupertino, qui réclamait une injonction permanente à l'encontre de Psystar. La société a été reconnue coupable d'enfreindre le droit d'auteur et de violer le Digital Millenium Copyright Act (DMCA). Après avoir commercialisé 768 malheureux ordinateurs sous Mac OS X, elle a donc interdiction de vendre ou distribuer le système d'exploitation, de contourner ses mesures de protection ou d'inciter à le faire.

Le logiciel Rebel EFI, qui permet d'installer plusieurs systèmes d'exploitations sur l'ordinateur de son choix, y compris la version originale de Mac OS X, a toutefois été épargné par cette injonction permanente. Le tribunal n'a pu statuer à son sujet car Psystar n'a pas décrit précisément à quoi cet utilitaire sert. Il n'a donc pu déterminer s'il tombait sous la coupe de cette injonction, qui est limitée par la loi à un même type d'infraction.

L'injonction ne mentionne donc pas Rebel EFI, mais le juge a toutefois mis en garde Psystar qu'il le commercialiserait à ses "risques et périls". Le cas de l'utilitaire n'est donc vraisemblablement que partie remise…
Réunis à Bercy sous l'impulsion de Christine Lagarde et de Christian Estrosi, une trentaine de marques et de fédérations professionnelles ont signé mercredi matin la « Charte de Lutte contre la contrefaçon sur Internet », un texte qui vise à encadrer les relations entre commerçants électroniques et fabricants pour mieux lutter contre la revente en ligne de produits contrefaits. Au nombre des signataires, on ne trouve pour l'instant que deux plateformes d'e-commerce : 2xmoinscher et Priceminister.

Confiée aux bons soins de Bernard Brichand, député-maire de Cannes et président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC) et de Pierre Sirinelli, professeur à l'université Paris-1 spécialiste des questions liées au numérique, cette charte (PDF) « définit les modalités de coopération et les moyens à mettre en œuvre par les parties prenantes pour lutter efficacement contre la vente de produits contrefaisants sur Internet », selon le communiqué émis mercredi par Bercy.

En pratique, elle prévoit la mise en place de mesures de détection et de suppression automatique des annonces relatives à des produits contrefaits, ainsi que la mise en place chez tous les signataires de correspondants dédiés à cette problématique. Egalement au programme : une mission d'information, auprès des vendeurs comme des consommateurs, des procédures facilitées de signalement d'objets contrefaits, ainsi qu'un engagement à mieux contrôler les vendeurs situés hors des frontières françaises ou européennes.

« Certaines dispositions sont incompatibles avec l'activité d'une plateforme internationale de marché en ligne et affecteraient notamment le commerce légal de biens authentiques qui est un élément essentiel de la liberté des consommateurs », fait remarquer dans un communiqué eBay qui, bien qu'impliqué dans le processus de réflexion associé à cette charte, ne l'a pas signée.
Parce qu'il est parfois frustrant de commenter l'actualité tout en s'astreignant à une certaine réserve, la rédac' vous propose régulièrement des billets d'humeur qui nous permettent d'offrir un regard plus personnel sur l'actualité de l'univers high-tech, au travers d'articles parfaitement subjectifs qui ne reflètent finalement que l'avis de leur auteur. Alors que la Commission Européenne et Microsoft viennent enfin de s'entendre sur l'inclusion d'Internet Explorer 8 dans Windows 7, nous revenons sur la guerre des navigateurs web...C'était un des feuilletons Microsoft de l'été dernier : Windows 7 allait il inclure d'autres navigateurs qu'Internet Explorer 8 ? Avec un casting de choix : dans le rôle du méchant empereur dominant la galaxie sans partage, le vil Internet Explorer. Dans le rôle des gentils rebelles résistant encore et toujours à l'envahisseur, Opera Software et la fondation Mozilla, rejoints par Google. On le sait, Microsoft est dans le collimateur de la Commission Européenne. Déjà saisie pour l'inclusion jugée abusive de Windows Media Player, elle avait accouché d'une souris : l'édition N de Windows, une version sans Media Player, sans obligation de vente et, au final, sans le moindre impact. Cette fois ci, c'est l'inclusion d'Internet Explorer 8 dans Windows 7 qui est reprochée, suite à une plainte des trois compétiteurs cités plus haut. Après avoir considéré le retrait pur et simple d'Internet Explorer 8 dans les versions européennes de Windows 7, Microsoft est heureusement revenu en arrière avec un compromis : un écran d'accueil permettant de télécharger le navigateur de son choix.

Problème : la première version présentait les navigateurs par ordre alphabétique, mettant Safari (Apple) en tête de liste. De quoi énerver les concurrents. Finalement, alors que Windows 7 est sorti en Europe, sans écran de sélection et avec Internet Explorer 8, l'affaire est désormais réglée. La Commission Européenne a accepté la proposition de Microsoft et une mise à jour obligatoire proposera l'interface tant décriée… présentant désormais les navigateurs de façon totalement aléatoire.

On pourrait estimer la partie gagnée, mais au fond, est-ce vraiment important ? Même si Internet Explorer reste le navigateur web le plus utilisé au monde, il demeure en perte de vitesse, ce que montrent toutes les études de part de marché. C'est d'ailleurs la progression de Firefox qui a fini par réveiller Microsoft alors qu'Internet Explorer 6 stagnait : la fondation Mozilla avait su exploiter les faiblesses d'Internet Explorer de manière intelligente et proposer une alternative sérieuse qui a grignoté les parts de marché de Microsoft de manière significative. Preuve que c'est possible, même sans l'aide de la Commission Européenne. Depuis, Microsoft a fait évoluer Internet Explorer mais les versions 7 et 8 sont loin d'avoir fait l'unanimité. En face, en revanche, la concurrence s'aiguise, et Google peaufine un Chrome de plus en plus séduisant.Google Chrome : un concurrent de plus en plus gênant ?Chrome a vu le jour il y a à peine un an. Le butineur impressionnait à l'époque par sa rapidité et l'épuration rafraichissante de son interface mais accusait quelques lacunes : pas de gestionnaire de signets digne de ce nom, un gestionnaire de téléchargement posant problème avec certains sites, et aucune possibilité de personnalisation par des extensions ou des thèmes. En un an, Google Chrome a rattrapé son retard sur ces points. La version 4, actuellement en bêta, prend désormais en charge l'ajout d'extensions en plus des thèmes ajoutés à la version 3. Pour enfoncer le clou, Google Chrome s'attaque désormais à Mac OS X et à Linux.

Faut-il y voir un signe d'agacement dans la récente polémique lancée par Asa Dotzler, directeur des communautés autour du développement de Firefox chez Mozilla ? Réagissant aux propos d'Eric Schmidt, le CEO de Google, autour des risques de conservation de données personnelles sur les moteurs de recherche, Asa Dotzler en est arrivé à une conclusion choc : Bing, le moteur de recherche de Microsoft, respecterait davantage votre vie privée que Google ! Et Asa d'expliquer la marche à suivre pour faire de Bing son moteur par défaut sous Firefox. Cette sortie médiatique largement reprise sur le web est elle fortuite ? Après tout il ne s'agit que de l'avis personnel d'un représentant de Mozilla exprimé dans le cadre d'un blog. Néanmoins, elle est peut être révélatrice des relations entre Google et Mozilla. On ne peut pas nier que l'intégration de Google dans Firefox est une manne financière considérable pour Mozilla. En s'ouvrant à Linux et Mac OS X, et en se dotant d'extensions, Google Chrome attaque Mozilla Firefox de manière plus frontale que jamais. La route est encore longue pour Google, ne serait-ce que pour dépasser la part de marché de Firefox. Néanmoins, un an après sa sortie, Chrome est déjà devant Opera, et taquine Safari. Bientôt la fin de l'entente cordiale ?
En complément de leur proposition de loi visant à mieux garantir le droit à la vie privée à l'heure du numérique, les sénateurs Yves Détraigne et Anne-Marie Escoffier demandent que l'on étende aux sociétés américaines du Web les dispositions des textes qui encadrent la protection des données personnelles, à commencer par la directive européenne du 24 octobre 1995 qui modifie la fameuse loi "Informatique et libertés" du 6 janvier 1978.

« Il est pour le moins curieux que, pour des atteintes commises en France, les sociétés américaines soient régies par le droit français dans le domaine de la contrefaçon et par le droit américain en matière de protection des données », font remarquer dans un communiqué les deux sénateurs. Ils ajoutent que puisque les juridictions américaines appliquent leur droit national pour des sites implantés hors de leurs frontières, il serait légitime que la France en fasse autant.

« En conséquence, les sénateurs préconisent de modifier l'article 4 de la directive de 1995 afin de soumettre les acteurs de l'Internet aux juridictions et au droit français dans le domaine de la protection des données », affirment-ils, en précisant que leur position bénéficie du soutien de la Cnil, du gouvernement et de Viviane Redding, désormais en charge des questions relatives à la protection des données au niveau européen.
ComScore a publié mercredi la mise à jour mensuelle de son étude du marché des moteurs de recherche aux États-Unis. Après avoir frôlé les 10% de parts de marché plusieurs mois d'affilé, Bing compte désormais pour 10,3% des 14,4 milliards de recherches effectuées outre-Atlantique au mois de novembre. Les américains ont d'ailleurs effectué 1% de recherches supplémentaires par rapport au mois d'octobre.

Bing est en outre le moteur de recherche qui enregistre la plus forte progression ce mois-ci, avec une hausse de 0,4%, au détriment de Yahoo qui recule quant à lui de 0,5% à 17,5% de parts de marché. Les résultats sont moins roses sur le marché mondial puisque Bing ne représente que 3,26% des recherches mondiales d'après Net Applications, contre 3,1% pour LiveSearch en son temps.

Google reste inébranlable et approche des deux tiers de parts de marché à 65,6%, en hausse de 0,2%, pour un total de 9,5 milliards de recherches.
le 17/12/2009 à 22:15
PHP 5.2.12
L'equipe de PHP 5 vient d'annoncer la sortie de PHP 5.2.12. Cette nouvelle version comporte un certaines nombres de corrections de bugs et de points de sécurités.

Il est important de mettre à jour cette version sur vos serveurs de productions.

- PHP 5.2.12
le 17/12/2009 à 22:15
Kontrollkit
Kontrollkit est une API pour MySQL. Anciennement connu sous le nom de Monolith Toolkit.

Le but de ce projet est une collection de scripts pour faciliter vos manipulations journalières avec MySQL DBA

Cette collection outils va vous permettre d'exécuter différentes choses :
- Sauvegardes (parallèle, simple),
- Réplication
- Du Wrapper
- Logs
- Analyse et optimisation de vos tables
- etc

- Kontrollkit
LoadingChargement en cours