News

Pourquoi charger Windows ou tout autre système d'exploitation complexe lorsqu'on souhaite simplement envoyer un email ou surfer quelques instants sur le Web ? Partant du principe qu'une interface simplifiée suffit largement à certains usages, plusieurs fabricants intègrent à leurs ordinateurs portables et cartes mères des systèmes d'exploitation miniatures qui ne chargent que quelques logiciels indispensables et offrent de ce fait un accès immédiat, ou presque, à Internet. Mandriva leur emboite le pas avec la sortie de son InstantOn, un mini système d'exploitation basé sur Mandriva 2010 qui permet de se connecter en moins de dix secondes à Firefox ou Thunderbird.

« Conçu pour être à la fois simple et ergonomique il propose un choix d'applications répondant aux besoins de tous : un navigateur (Mozilla Firefox), un programme de lecture de courriels (Mozilla Thunderbird) et un navigateur de fichiers (avec la possibilité de lire de la vidéo, de l'audio et des photos) », explique l'éditeur. On pourra l'installer aux côtés de Windows ou d'une distribution Linux. InstantOn assure la prise en charge des contrôleurs WiFi et 3G gérés par Mandriva 2010.

Proposé au téléchargement pour 9,90 euros, InstantOn peut également être obtenu sur clé USB pour 15 euros supplémentaires. En parallèle, Mandriva propose aux fabricants une version OEM, qu'ils pourront personnaliser à leurs couleurs et équiper des logiciels de leur choix.
le 20/12/2009 à 22:29
Atelier de Génie Logiciel
L'atelier de Génie logiciel (AGL) peut s'appliquer à l'écosystème PHP.

L'AGL est un ensemble d'outils qui vont vous permettre de monter facilement des projets importants. Le concept AGL permet d'intégrer la conception UML et la modélisation, tout en étant sous licence Open-source.

Le blog Nalis vous montre l'approche et surtout fait un tour d'horizon des points qui sont utiles pour bien commencés comme :
- Spécification et maquettage
- Conception
- Modélisation
- Environnement de développement
- Référentiel de source
- Génération de documentation
- Bugtracker
- Interactions

- Atelier de Génie logiciel (AGL) Web PHP et open-source
le 19/12/2009 à 22:28
YUI 3.0.0
Depuis quelques semaines, la version stable de YUI de Yahoo, vient de sortir. Il s'agit d'une librairie javascript qui vous sera utile pour l'ensemble de vos développements.

Le site Kitpages propose quelques tutoriaux en français pour prendre en main facilement cette librairie

Un bon moyen à découvrir.

- Introduction YUI 3.0.0
- Premiers pas YUI 3.0.0
- Node et NodeList avec YUI 3.0.0
Les jeux sont faits. L'Arcep a annoncé vendredi matin son intention d'accorder la quatrième licence 3G à Free, qui deviendra donc, sauf surprise, le quatrième opérateur mobile français, au côté d'Orange, SFR et Bouygues, dès qu'il aura pu répondre aux exigences de couverture minimale du réseau définies pour l'octroi de ce précieux sésame. Comme ses concurrents, le groupe Iliad sera donc acteur aussi bien sur le terrain des télécommunications fixes que sur celui du mobile. Un marché qu'il entend bien secouer, comme il l'a fait dans le domaine de l'ADSL avec le lancement de la première formule triple play à 29,90 euros par mois.

« L'arrivée de ce nouvel acteur devrait avoir un effet favorable sur la dynamique du marché de la téléphonie mobile, et, plus généralement, devrait être un facteur positif pour le développement des services de communications électroniques », estime l'Arcep dans un communiqué. « Free Mobile envisage de proposer au consommateur des offres claires et innovantes à des tarifs compétitifs de nature notamment à faciliter l'accès à l'Internet mobile ».

De ces offres, on ne sait pour l'instant rien, même si beaucoup ont en mémoire les déclarations de Xavier Niel, patron de l'opérateur, qui avait annoncé son intention de « diviser par deux » la facture d'un foyer moyen. Tenu au secret pendant la procédure d'attribution de la quatrième licence, Iliad devrait maintenant se montrer plus prolixe. L'autorisation officielle d'utiliser les fréquences associées lui sera délivrée en janvier 2010.

« Free Mobile prend également de nombreux engagements concernant l'accueil des opérateurs mobiles virtuels (MVNO), sur les plans commercial, contractuel et technique », affirme encore l'Autorité des télécoms. Cette ouverture à des opérateurs virtuels était l'un des critères pris en compte dans le processus d'attribution.

Pour le futur Free Mobile s'ouvre maintenant une nouvelle période : celle de la réponse aux obligations minimales de couverture fixées par l'Arcep. L'opérateur devra assurer lui-même la couverture de 25% de la population avant de pouvoir mettre en place avec l'un de ses trois concurrents déjà installés les accords d'itinérance lui permettant de lancer ses premiers forfaits.

« Free Mobile s'engage enfin à ouvrir commercialement son réseau mobile au plus tard deux ans après la délivrance de l'autorisation et à couvrir, d'ici huit ans, au moins 90% de la population par son réseau 3G », indique l'Arcep. Les premiers forfaits Free Mobile devraient donc en théorie voir le jour début 2012.

Dans l'intervalle, Free devra se défendre face à des concurrents peu enclins à le voir reproduire dans le mobile ce qui a fait son succès sur le terrain de l'accès à Internet. SFR et Bouygues ont ainsi déjà déposé un recours devant le Conseil d'Etat visant à dénoncer les conditions financières d'attribution de cette licence facturée 240 millions d'euros. En parallèle, l'opérateur du groupe Iliad aura également tout intérêt à tirer au clair les problèmes relatifs à son assistance téléphonique ou à certaines de ses pratiques commerciales, qui feront prochainement l'objet d'une procédure en justice.
Canonical, la société qui sponsorise le développement de la célèbre distribution Ubuntu, sera dès le mois de mars 2010 pilotée par une femme, Jane Silber, qui jusqu'ici occupait le poste de directrice générale et responsable des services en ligne. Le milliardaire Mark Shuttleworth a en effet annoncé jeudi qu'il lui confierait les rênes de la société qu'il a fondée et dirige encore pour se concentrer sur le développement, l'établissement de nouveaux partenariats et les relations avec les clients de Canonical.

« Je me concentrerai sur mes passions pour le développement et la conception », explique l'entrepreneur sud-africain, qui a personnellement signé certains des pans de code de la future Ubuntu 10.04. « Je veux qu'Ubuntu s'impose comme une plateforme ouverte de choix pour la plupart des usages, que ce soit sur netbook, portable, ordinateur de bureau, serveur, embarqué ou tout autre type appareil ». Selon lui, la communauté Ubuntu n'aurait donc aucune crainte à avoir. Il assure que la transition se fera en douceur, et qu'il conservera ses fonctions au sein du conseil d'Ubuntu.

« L'une des conséquences de changement sera la mise en place d'une démarcation plus claire entre le rôle de PDG de Canonical et celui de leader de la communauté Ubuntu », fait remarquer Jane Silber, à qui l'on doit notamment Ubuntu One, première incursion dans le domaine des services en ligne. En tant que société de services, Canonical devrait continuer à se concentrer sur le développement d'offres à destination des entreprises.

Après avoir vendu à VeriSign sa première société Thawte, spécialisée dans les certificats numériques, pour 500 millions de dollars, Shuttleworth s'est payé en 2004 une semaine dans la station spatiale internationale. A son retour sur Terre, il décide de lancer sa propre distribution de Linux. Une seule idée en tête : produire un système d'exploitation gratuit et de qualité pour tout le monde.

« Vous savez de là-haut tout défile sous vos yeux très vite et la distance entre la France et la Croatie, par exemple, est très infime. On se rend compte aussi à quel point les humains sont très dépendants les uns des autres. Nous nous trouvons vraiment au coeur d'un monde interconnecté et quelque part c'est ce que symbolise la philosophie du monde libre », nous confiait-il récemment non sans une once de lyrisme.
Désormais officiellement amené à recevoir la quatrième licence 3G du paysage mobile français, le futur Free Mobile n'a pour l'instant pas révélé quelle serait la nature des forfaits qu'il lancera lorsqu'il se sera acquitté des exigences de couverture minimales. Via l'avis d'attribution (PDF) publié vendredi matin par l'Arcep, on découvre toutefois quelques éléments d'information sur les offres qui accompagneront l'ouverture commerciale des services mobiles d'Iliad, via les engagements pris par l'opérateur. Dans le lot, il est notamment fait mention d'un forfait entrée de gamme assurant plus de trois heures de communication vers les lignes fixes et mobiles en France métropolitaine pour un montant inférieur à 20 euros par mois. Ce tarif, similaire à ce que proposent déjà certains opérateurs ou MVNO, est la seule mention chiffrée d'un éventuel tarif. En revanche, services et conditions d'abonnement sont plus largement évoqués.

Contrairement à ce que laissaient entendre certains commentateurs, Free ne se lancera pas dans le mobile avec un forfait unique comme il l'a fait dans l'ADSL. La décision de l'Arcep confirme que le futur opérateur mobile construira une offre graduelle basée, en ce qui concerne la voix et les services de type SMS, sur au moins trois forfaits : entrée et milieu de gamme, puis "offre d'abondance" pour une formule qui combinera vraisemblablement l'ensemble des usages mobiles, à commencer par l'accès à Internet. « Chacune des offres sera proposée sans engagement pour les abonnés qui souhaitent une carte SIM seule », affirme l'avis de l'Arcep.Free tentera-t-il le tout illimité à prix fixe ? Pour l'instant, rien ne permet de l'affirmer, mais dans la mesure où les trois acteurs déjà en place tendent à se rapprocher de ce modèle (cf. les récents forfaits Neo3 de Bouygues Telecom), il n'est pas impossible que l'illimité voix et data soit devenu un standard en 2012 lorsqu'Iliad investira le marché. L'opérateur devra donc trouver quelques arguments lui permettant de se différencier des offres déjà installées. « Free Mobile a identifié un certain nombre de restrictions dans les offres actuelles qu'il dit vouloir lever », indique l'Arcep dans sa décision.La voix sur IP accessible sur mobile ? Les limitations imposées par les opérateurs au niveau des usages en data mobile sont sans doute l'une des pistes que tentera d'explorer Free qui, selon l'Arcep, prône l'application du principe de neutralité des réseaux à l'univers mobile. « Free Mobile semble attaché à une neutralité sans précédent en termes de services offerts à ses clients », affirme l'Arcep, « et donnera accès sans discrimination à tous les services disponibles sur le Web (y compris la messagerie instantanée, la voix sur IP, etc.) ». Paiement mobile par SMS ou services de type sans contact (technologie NFC) feraient également partie des pistes envisagées pour développer une offre attrayante.Prépayé et clés 3G ? Dès le lancement, Free proposera un forfait prépayé ainsi qu'une formule d'accès à Internet reposant sur des clés 3G. Cette dernière présente selon l'Arcep « les limites classiques des offres de clés 3G mais est sensiblement plus généreuse que les offres existantes ».Et la qualité de service ? Parfois décrié dans le domaine de l'ADSL à ce sujet, Free a pris auprès de l'Arcep un engagement de qualité de service correspondant à un taux de réussite des connexions, au lancement commercial, de 96% pour toutes les classes de service qu'il prévoit d'offrir, ce taux étant défini comme le pourcentage de connexions établies dans un délai inférieur à une minute. C'est notamment sur ce dernier point que sera attendu le nouvel entrant.

Avec un lancement programmé pour le premier semestre 2012, Free Mobile risque toutefois d'être amené à réviser les positions avancées dans le dossier de candidature déposé auprès de l'Arcep. En deux ans, le marché mobile évoluera de façon sensible, et les opérateurs déjà installés prépareront sans doute une riposte adaptée aux ambitions affichées par Iliad. Reste à voir si le consommateur en sortira bien gagnant.
Une nouvelle bêta de Firefox 3.6 a été mise en ligne jeudi par la fondation Mozilla. Cette cinquième mouture de test, qui précède l'arrivée prochaine de la version définitive du logiciel, est l'occasion de corriger plus de cent problèmes divers, se félicitent les développeurs. Elle signe également l'arrivée de quelques nouveautés, parmi lesquelles la prise en charge des interfaces de programmation du HTML5 liées à la gestion de fichiers, la possibilité de paramétrer les interactions du navigateur avec certains logiciels tiers, mais aussi la faculté de faire tourner de façon asynchrone des scripts d'exécution, de façon à accélérer le chargement des pages.

Cette bêta 5 signe en outre l'intégration totale de l'outil de personnalisation Personas, l'apparition d'un système d'alerte pour des plugins qui ne seraient plus à jour, la lecture en plein écran des vidéos interprétées nativement par le navigateur et une meilleure prise en charge des polices WOFF (Web Open Font Format).

Petit à petit, la fondation Mozilla et la communauté des développeurs qui planchent sur Firefox 3.6 peaufinent donc le logiciel, dont la version finale embarquera pour mémoire d'autres avancées telles que la gestion des accéléromètres implémentés sur certaines machines portables ou l'accélération matérielle de certains éléments. Pour de plus amples détails, on pourra consulter l'entretien de Mike Beltzner, directeur du développement de Firefox, réalisé début décembre. Firefox 3.6 bêta 5 pourra enfin être téléchargé et installé en français depuis ce lien pour Windows, Mac OS et Linux.
Après plus de trois ans d'instruction, le procès opposant Google et son programme de numérisation de livres aux éditions du Seuil (groupe La Martinière) ainsi qu'au Syndicat national de l'édition (SNE) et à la Société des gens de lettres (SGL) s'est finalement soldé vendredi par une défaite du numéro un mondial des moteurs de recherche.

Google France a finalement été condamné par le tribunal de grande instance de Paris à 300.000 euros d'amende pour avoir reproduit sans autorisation des extraits de livres. Le moteur est par ailleurs soumis à une astreinte de 10.000 euros par jour en cas de maintien en ligne des extraits concernés après un délai d'un mois.

L'affaire débute en 2006, lorsque le groupe La Martinière découvre que Google a numérisé et mis en ligne des extraits d'ouvrages publiés par ses soins et soumis au droit d'auteur, sans son consentement préalable. "Il est inacceptable que quelqu'un puisse prendre vos livres et les numériser sans le demander", déclarait alors Hervé de La Martinière, son président.

Pour la défense de son client, l'avocat de Google aurait notamment cherché à faire valoir que « Google recherche de livres n'est pas une bibliothèque, mais un outil de recherche documentaire » ne mettant en ligne que de courts extraits pour lesquels il ne serait pas nécessaire de reverser des droits d'auteurs, en vertu notamment du droit de citation.

Le tribunal de grande instance de Paris ne s'est finalement pas rangé à cet avis. Dans son jugement, il indique que Google a « commis des actes de contrefaçon de droits d'auteur » en reproduisant et en rendant accessible en ligne sans consentement préalable des ayants droit des extraits de livres. Le moteur de recherche a annoncé son intention de faire appel.
Le député UMP Jacques Myard a récemment proposé de "nationaliser le réseau" Internet, comme "les chinois l'ont fait". Au micro de Radio Courtoisie, la radio ouverte à "toutes les droites", il a effectivement déclaré que "la vérité est qu'aujourd'hui le réseau Internet est totalement pourri", "absolument pas sécurisé" et à la merci d'"une menace terroriste".

Prétextant les attaques informatiques chinoises récurrentes et "la mainmise américaine" sur l'Internet, il invite donc à "prendre conscience de la nécessité de nationaliser ce réseau, et d'avoir la capacité de mieux le maitriser, les chinois l'ont fait…". "Peut-être nous avons tous dans notre réseau internet des chevaux de Troie qui vont se réveiller peut-être dans un an, peut-être dans 18 mois, peut-être demain matin. C'est un réel problème," bredouille-t-il.

Avec la coopération des fournisseurs d'accès locaux et désormais de multinationales comme Google ou Microsoft, le réseau Internet chinois est sous contrôle du gouvernement qui censure ce qui lui plait, par mesure de "protection".

Face au tollé médiatique provoqué par ces déclarations, le cabinet de Jacques Myard a publié un communiqué de presse qui tempère ces propos. Il estime qu'"Internet est certes un moyen d'information désormais incontournable, mais bien souvent aussi un moyen de désinformation". Si on cherchait la petite bête, on dirait que ce communiqué en est la preuve ! Il prétend justement que le fonctionnement d'Internet est "totalement aux mains de l'ICANN, faux nez du gouvernement américain", alors qu'il a récemment été ouvert à l'Union Européenne….
Ca n'aura échappé à personne, la neige tombe à point nommé en plein mouvement social des transports en commun franciliens. L'immobilisme des réseaux routier et ferroviaire cède cependant à l'agitation sur le réseau Internet. Ca bouchonne sur Sytadin pendant que Météo France reste de glace.

De nombreux usagers des transports en commun ont dû gratter le pare-brise de leur voiture ce matin… après s'être assuré de pouvoir prendre la route. Croulant sous la demande, les sites internet d'info trafic et de prévisions météorologiques ont ainsi connu à leur tour des ralentissements, voire des périodes d'indisponibilité.

C'est notamment le cas du site internet Sytadin, qui a frôlé jeudi son record historique d'audience avec près de 512 000 visites, malgré une période d'indisponibilité de deux heures, contre une moyenne d'environ 120 000 visites quotidiennes les jours ouvrables.

L'activation du "mode dégradé" du service n'a pas suffit à éviter la mise à pied de l'hébergement du ministère des transports. La rubrique "Mon Sytadin", le calcul des temps de parcours ou encore la carte des vitesses étaient inaccessibles jeudi, au profit de la carte des bouchons en temps réel, des flash info, de la liste des chantiers et des fermetures nocturnes.Le site internet de Météo France a quant à lui été confronté à une "situation inédite" et a très largement dépassé son record : il a enregistré 2,9 millions de visites pour 2,2 millions de visiteurs uniques jeudi, contre une moyenne de respectivement 1 et 0,8 million.

Jean-François Stranart, responsable des services en ligne de Météo France nous explique que le site internet est "sensible à la météo" et que "les pics d'audiences correspondent d'ailleurs aux périodes de chutes de neige". Chacun des serveurs reçoit 50 000 connexions simultanées immédiatement après la diffusion des bulletins télévisés, au terme desquels les internautes souhaitent obtenir des précisions. Des serveurs sont venus renforcer l'infrastructure pour les prochains jours.Météo France a elle aussi mis en place une parade pour ces périodes de forte affluence. Elle dispose d'une "plateforme de débordement" et bascule sur un "site de secours" en cas de saturation. Ce dernier n'affiche qu'une carte de vigilance météorologique.

Les "indisponibilités ponctuelles" du site de Météo France font les choux gras de ses concurrents. Un porte parole de Meteo Consult parle d'"opportunité", puisqu'il récolte une partie de l'audience de Météo France quand ce dernier n'est pas accessible. 745 000 visiteurs uniques auraient d'après lui consulté Meteo Consult jeudi, un chiffre qui pourrait dépasser 1 million vendredi. Le 10 décembre par exemple, une journée comme une autre, le site comptabilisait 266 000 visiteurs uniques. Avec 4 500 téléchargements jeudi, l'application iPhone a quant à elle pratiquement égalé le record du lancement.
LoadingChargement en cours