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Les clients Free qui disposent de la dernière Freebox en date ont désormais la possibilité de programmer des enregistrements à distance de programmes télévisés, via la console de gestion de leur compte accessible en ligne sur le site de l'opérateur. Cette fonctionnalité est ouverte à tout détenteur de la dernière Freebox HD. Elle offre les options suivantes : enregistrement immédiat, avec programmation de la durée d'écoute, enregistrement différé, ou enregistrement depuis la grille des programmes.

En fonction de la chaine dont on capturera le signal, il sera possible d'opter pour un enregistrement en définition standard, haute définition ou flux compressé, dite version "bas débit".

Pour les abonnés dont la ligne serait suffisamment robuste, Free affirme en outre qu'il est possible de réaliser deux enregistrements simultanés sur un seul boîtier TV. Enfin, le fournisseur d'accès précise que cet enregistrement peut être effectué sur le disque dur intégré à la Freebox, ou sur un périphérique de stockage externe relié en USB. Les souscripteurs à l'offre optionnelle Multi TV (4,99 euros) auront quant à eux la possibilité de choisir le boitier sur lequel l'enregistrement doit être réalisé.

« Free enrichit une nouvelle fois son offre de services sans modifier le prix de son forfait (29,99 euros/mois) », se félicite l'opérateur, qui fait depuis peu l'objet d'une nouvelle procédure en justice initiée par l'UFC Que Choisir, au motif que son offre "tout compris" révèle parfois quelques surprises inattendues. En attendant, les abonnés Free éligibles au service de télévision via ADSL devraient apprécier.
Décidément les URL raccourcies ont le vent en poupe et tous les grands acteurs de la Toile semblent vouloir s'y intéresser. Il faut dire que ces systèmes permettant de comprimer une longue adresse Internet se révèlent particulièrement pratiques sur les réseaux communautaires qui, pour une raison encore mystérieuse, n'autorisent qu'un nombre limité de caractères.

Au mois de juillet, Flickr a intégré l'interface de programmation de Twitter en autorisant l'internaute à publier un message sur le site le micro-blogging accompagné d'un lien de type www.flic.kr/xxx redirigeant vers une photo hébergée sur Flickr. La semaine dernière il a été révélé que le géant communautaire Facebook avait également son propre système à partir du domaine fb.me. C'est ainsi qu'un lien direct vers une photo hébergée sur Facebook est automatiquement transformé puis raccourci. Il est également possible de se rendre sur le profil d'une personne plus simplement (ex: fb.me/barackobama).

Enfin hier soir c'est Google qui a annoncé la mise en place du domaine goo.gl. Pour l'heure ce dernier est réservé à la fonctionnalité de partage de la barre d'outils Google sur Internet Explorer et Firefox. Sur le blog officiel de la société, les développeurs expliquent : "le système de compression d'URL de Google n'est pas un service à part entière. Il n'est donc pas possible de l'utiliser directement pour diminuer tous ses liens (...) Si le service se révèle utile, il se pourrait que nous le rendions disponible auprès d'une plus large audience". L'on imagine ainsi qu'une extension sera mise à disposition du navigateur Chrome.

L'entrée de grands acteurs du web sur le marché de l'URL raccourcie est plutôt un bon signe, notamment en ce qui concerne la sécurité de l'internaute. En effet, la Toile connaît une croissance du spam se propageant justement sur les réseaux communautaires par URL raccourcies. C'est ainsi que les acteurs majeurs d'aujourd'hui tels que bit.ly ont directement implémenté sur leur serveur différents dispositifs de protection.
"L'imitation est peut être la forme la plus sincère de flatterie mais voler du code, un design et des éléments de l'interface graphique, ce n'est tout simplement pas cool". Tels sont les propos de Dave Thompson, un porte-parole de la start-up Plurk. Particulièrement populaire en Asie, Plurk est un service de micro-blogging similaire à Twitter qui présente la particularité d'être disposé sous la forme d'une chronologie personnelle.

Dans un billet publié sur le blog officiel, M.Thompson explique que le service de Microsoft, baptisé MSN Club, est une copie exacte de Plurk et embarquerait 80% du code source de ce dernier. Par ailleurs, "Plurk n'a jamais été approché ni n'a collaboré avec MS sur ce service". L'équipe de Plurk souhaite pour sa part mettre au grand jour cette affaire sans pour autant savoir quelle procédure suivre. A Taiwan, la part de marché de Plurk serait dix fois plus importante que celle de Twitter et le service s'impose en Asie comme l'alternative la plus prisée.

Ce n'est pas la première fois qu'une start-up influence les travaux d'un grand portail. Récemment Yahoo! a lancé Meme, un service rappelant fortement Tumblr, un autre site de micro blogging. A l'heure actuelle, le site club.msn.cn est temporairement fermé. L'on ne manquera pas de souligner l'ironie de cette affaire de plagiat dans un pays où les réseaux de distribution pirate du système Windows sont particulièrement développés. Retrouvez de plus amples informations ici.
Le désormais fameux "lipdub" des jeunesses de l'UMP, mis en ligne vendredi dernier et déjà vu plusieurs centaines de milliers de fois, n'aurait pas tout à fait été réalisé dans les règles du droit d'auteur. Dans un communiqué, les responsables des « Jeunes Populaires » avouent en effet mardi avoir été saisi d'une requête par les ayant-droits du titre utilisé pour la bande son, la chanson "Tous ceux qui veulent changer le monde". Cette nouvelle affaire intervient quelques mois après que l'UMP a été condamné pour avoir utilisé sans consentement préalable une chanson du groupe MGMT lors de certains de ses événements. Le parti avait alors accepté de verser quelque 30.000 euros à une association caritative en guise de dédommagement.

A moins de vivre en complète autarcie, vous n'avez pu passer à côté de ce lipdub - qui n'a d'ailleurs de lipdub que le nom puisqu'il ne s'agit pas d'un plan séquence - dans lequel on voit les jeunes UMP chanter un titre de Luc Plamondon et Christian Saint Roch, entourés de différentes personnalités de l'UMP. Chat échaudé craignant l'eau froide, les Jeunesses Populaires ont pris soin d'obtenir l'accord des auteurs avant de réaliser leur vidéo. « Avant le lancement du lipdub le vendredi 11 décembre, Luc Plamondon et Christian Saint Roch, auteur et compositeur de la chanson, et leurs éditions Plamondon Publishing et Vibrations ont accordé aux Jeunes Populaires les droits de reproduction et de diffusion » associée au morceau, expliquent les Jeunes Populaires.

Problème, la bande son utilise une version remixée du morceau, réalisée par Marie-Mai qui, en tant qu'interprète, dispose également de droits moraux et entend bien les faire valoir.

« En raison d'un malentendu sur la version du morceau utilisée comme fond sonore dans le lipdub entre la création de 1976 et celle remixée d'aujourd'hui, les Jeunes Populaires ont été saisis d'une demande concernant les droits moraux de Marie-Mai, artiste interprète de la version remixée », explique le mouvement, qui ajoute qu'un « accord devrait intervenir dans les prochaines heures consistant notamment dans le versement d'une somme au profit d'une association reconnue d'utilité publique ».

Bis repetita placent ? Vous pourrez retrouver la vidéo ce lipdub dans notre dernière revue de Web.
Le magazine Zataz rapporte que la semaine dernière, les gendarmes de la ville de Marseille ont arrêté le fondateur du site Internet Allonews. Spécialisé dans la vente d'accès usenet, Allonews permettait ainsi le partage de fichiers et notamment de contenus illégaux comme des films ou de la musique. Après avoir perquisitionné le domicile de l'administrateur, les gendarmes ont passé en revue plusieurs documents bancaires et administratifs et saisi 100 000 euros.

Cet été, Allonews avait été accusé de piratage par la SACEM, l'organisme chargé de gérer les droits d'auteurs en France. Le site avait été contraint de cesser ses activités. "Nous avons agi rapidement", explique la SACEM à Zataz, avant d'ajouter "le pirate utilisait sept identités différentes pour se cacher. Quelques mois de plus et il aurait totalement disparu.".

Les autorités ont également découvert la diffusion de contenus à caractère pédopornographique ce qui risque de coûter cher à l'administrateur d'Allonews. En effet, ce dernier pourrait encourir jusqu'à trois ans de prison et une amende de 45 000 euros d'amende en plus de trois autres années de prison pour la diffusion de contenu illégal.
La Software Freedom Law Center (SFLC), une organisation chargée de défendre les intérêts des projets de logiciels libres, vient de lancer des poursuites à l'encontre de 14 sociétés high tech parmi lesquelles nous retrouvons Samsung, Western Digital Technologies ou le commerçant Best Buy. En effet ces sociétés ont été accusées d'avoir violé la licence GPL en embarquant la technologie de BusyBox au sein de leurs appareils.

La SFLC explique ainsi : "réputé comme étant le couteau suisse de Linux, BusyBox est un composant classique d'un nombre important d'appareils électroniques. Parmi ces derniers nous retrouvons le lecteur de DVD et Blu Ray Insignia de Best Buy ou la télévision LCD 52 pouces de Westinghouse ainsi que plusieurs dizaines d'autres de produits que la défense continue de vendre sans la permission des ayants-droits du logiciel".

Aaron Williamson, conseiller de la SFLC, explique que plusieurs tentatives de résolution à l'amiable ont été engagées avec chacune des sociétés sans succès. Depuis 2007, l'organisation a déjà trainé en justice six firmes dont Verizon et Cisco pour violation de licence open source. Retrouvez la plainte dans son intégralité ici (PDF).
Depuis plusieurs semaines, nombreux sont les abonnés ADSL Orange qui constatent sur leur ligne de très faibles débits, à certains moments de la journée, lorsqu'ils essaient de se connecter à certains services tels que YouTube, Megavideo ou RapidShare, mais aussi bon nombre de sites et portails hébergés outre-Atlantique.

Problème technique, filtrage volontaire ? Jusqu'ici, l'opérateur s'est bien gardé de communiquer de façon officielle auprès de ses clients sur le sujet. Pendant ce temps, la grogne monte du côté des abonnés qui, de blog en forums, clament leur incompréhension face à ces débits indignes des promesses d'une ligne ADSL haut débit.Le 56k remis au goût du jour ?

A la rédaction, ceux qui utilisent à leur domicile une ligne ADSL Orange confirment le problème, et nos lecteurs ne sont pas en reste si l'on en croit les nombreux courriers reçus ces derniers jours. « Passé une certaine heure, il faut 10 min pour charger une vidéo de 2min », témoigne par exemple Judebox. Seuls les abonnés Orange constatent ces ralentissements : le problème ne vient donc pas des sites concernés.

Renseignement pris mardi auprès des services communication d'Orange, on admet que certains clients « connaissent depuis quelques semaines des ralentissements sur Internet notamment lors de la visualisation de contenus en streaming sur des sites comme YouTube » mais l'on n'avance pas la moindre explication. « Les difficultés rencontrées par nos clients sont actuellement en cours d'investigation. Nous nous engageons à résoudre ces problèmes dans les meilleurs délais », se contente-t-on de promettre.

Pour l'instant, Orange n'en dira pas plus, et ne tient pas à confirmer ou infirmer l'une des hypothèses circulant sur Internet, qui suggère que ces ralentissements proviennent d'un problème au niveau des liaisons entre Cogent et OpenTransit, l'opérateur de transit à l'international d'Orange / France Telecom.

Pour faire (très) simple, lorsqu'un abonné Orange tente de se connecter à un site hébergé outre-Atlantique, il envoie sur le réseau un signal qui va d'abord emprunter le réseau national d'Orange, puis passer dans les tuyaux d'OpenTransit pour se diriger vers l'international. A un endroit ou à un autre (Londres, New-York, etc.), le signal quitte le réseau administré par Orange pour passer sur celui d'un autre opérateur. Dans certains cas, il s'agit de Cogent, très présent outre-Atlantique. En temps normal, le passage d'un réseau à l'autre se fait de façon transparente, en vertu des accords que passent les opérateurs les uns avec les autres.Une possible bisbille au niveau du peering

Après avoir remarqué un ralentissement des débits, certains, comme Jean-Marc, ont entrepris de suivre leur connexion (commande tracert) pour comprendre où le bât blessait. Dans bien des cas, ils remarquent, comme nous avons pu le vérifier nous-même depuis, que l'étape la plus longue d'un appel vers les serveurs américains de YouTube se situe au niveau de l'interconnexion entre le réseau d'Orange et celui de Cogent.

Les deux opérateurs seraient-ils en bisbille ? Pas impossible. Sur une liste de diffusion spécialisée (FrNOG), des professionnels du réseau constataient début octobre des problèmes de trafic entre Opentransit et Cogent. Sur les forums de Linuxfr, un utilisateur va plus loin, en indiquant que tous deux se "tirent la bourre" pour renégocier leurs accords d'interconnexion. Contacté par nos soins, Cogent n'a pour l'instant pas commenté cette hypothèse.Quelle solution pour les abonnés Orange ?

Jean-Marc, qui décidément a creusé la question, note que pour certains sites comme YouTube, le fait de ne plus utiliser les serveurs DNS fournis par Orange permet dans certains cas de régler le problème. Il suggère donc aux internautes pénalisés de tenter leur chance avec les DNS de Google ou ceux d'OpenDNS. Ce palliatif, utile pour quelques cas isolés, ne règlera toutefois pas le fond du problème.

D'autres conseillent aux mécontents de faire remonter systématiquement tous les problèmes de débits rencontrés vers les services techniques de l'opérateur, voire de tout simplement se tourner vers la concurrence. Quelques-uns, enfin, profitent de ces temps où l'on débat de plus en plus souvent de la neutralité du réseau pour rappeler qu'Orange pose dans ses dernières campagnes de publicité TV l'idée d'une différence entre d'un côté "Internet" et de l'autre « Internet par Orange »...
Une promotion en chasse une autre ? Vous êtes plusieurs à nous avoir signalé, la semaine dernière, l'arrêt de la commercialisation du Pack Familial, proposé par Microsoft depuis le lancement de Windows 7. Cette formule, qui permettait d'acquérir trois licences de Windows 7 édition familiale pour 149 euros, laisse donc la place à une autre offre mise en place début novembre et associée cette fois à l'achat d'un ordinateur neuf.

Chez les revendeurs partenaires de l'éditeur, une option propose en effet lors de l'achat d'un PC équipé de Windows 7 d'acquérir une licence supplémentaire sous forme d'édition « mise à jour » pour 49,99 euros. L'objectif est ici de permettre à celui qui s'achète un nouvel ordinateur de mettre à jour celui qu'il possédait déjà à l'aide de Windows 7. Les DVD fournis (32 et 64 bits) peuvent être utilisés sur la machine de son choix, pour une mise à jour de Vista vers 7 (éditions familiales), sans limitation particulière.

En parallèle, Microsoft maintient jusqu'au 3 janvier la formule destinée aux étudiants, leur permettant d'acquérir une licence pour 35 euros s'ils remplissent les conditions nécessaires.

Un ensemble de mesures bienvenues pour le consommateur qui peut ainsi se procurer le dernier système Microsoft en date à un tarif somme toute raisonnable, mais qui gagnerait sans doute à être plus clair. On se souvient par exemple des frustrations engendrées par le dispositif de précommande de Windows 7 cet été, où seules 76.000 licences étaient proposées à tarif préférentiel...

Disponible à la vente, en boite ou préinstallé sur les ordinateurs neufs depuis le 22 octobre dernier, Windows 7 détenait à la fin novembre environ 4% des parts du marché des systèmes d'exploitation d'après les chiffres publiés par NetApplications (issus de statistiques Web). Pour l'instant, l'éditeur ne communique aucun chiffre sur les ventes. Gageons qu'il en dira plus après la lucrative période des fêtes.
A vos calendriers. C'est vendredi 18 décembre au matin que l'Arcep, l'Autorité de régulation des télécoms, va attribuer ou non à Free Mobile la tant convoitée quatrième licence 3G française.

Près de dix ans après Orange, SFR et Bouygues Telecom, c'est Iliad, propriétaire du FAI Free, qui pourrait se lancer dans la téléphonie mobile en exploitant ses propres réseaux.

Après un premier appel d'offres infructueux organisé en 2007 et mettant en jeu une licence 3G exploitant un bloc de fréquences 15 Mhz au prix de 619 millions d'euros, l'Arcep a lancé en août dernier un nouvel appel d'offres pour une licence 3G "Lite" exploitant un bloc de fréquences 5 Mhz pour 240 millions d'euros. Et comme deux ans auparavant, seul Free Mobile a déposé un dossier de candidatures.

Et après avoir pris soin de l'examiner en détail, l'ayant jugé "recevable" en novembre dernier, l'Arcep va désormais trancher ce vendredi. Si Free Mobile venait à l'obtenir, le nouvel opérateur s'est engagé à lancer de premières offres commerciales aux environs de la mi 2011. L'offre de Free Mobile devra couvrir 25% de la population en deux ans, l'opérateur devant parallèlement financer la construction de son réseau, dont son prix estimé est d'environ un milliard d'euros.
Sur les 35 milliards d'euros qu'entend lever le gouvernement grâce au grand emprunt, 4,5 milliards iront au développement de l'économie numérique, a révélé lundi matin Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse. Les deux chantiers prioritaires seront la démocratisation des accès haut débit à Internet et la numérisation du patrimoine.

« Notre premier effort doit être d'assurer la couverture du territoire en haut débit. L'initiative privée ne peut y suffire, l'exigence d'aménagement du territoire impose l'intervention d'un schéma de déploiement du très haut débit arrêté par l'Etat », a déclaré le président de la République. « Il s'agit de faire pour le haut débit ce que notre pays a fait avec un peu de retard dans les années 1970 pour le téléphone ». Le plan d'action précis devrait être dévoilé dans les jours à venir.

750 millions d'euros issus de cette enveloppe globale dédiée au numérique seront réservés à la mission de numérisation, a-t-il par ailleurs indiqué, affirmant à ce sujet que « Nous allons monter un grand partenariat public-privé, tout en gardant la maîtrise de notre patrimoine ». Là encore, les modalités de mise en oeuvre exactes ne sont pas encore connues. Christine Albanel, ex ministre de la Culture, a justement été mandatée début décembre par Matignon pour élaborer les premiers axes de travail de ce chantier.

Le reste des 35 milliards d'euros du grand emprunt sera réparti comme suit : 11 milliards pour l'enseignement supérieur, dont 5 pour la création d'un campus en région parisienne, sorte de Silicon Valley à la française qui réunira les 10 grandes écoles de Paristech (HEC, Polytechnique, etc...) mais également l'Université Paris XI (Orsay) ou encore l'école normale supérieure de Cachan. 6,5 milliards iront à l'industrie et aux entreprises, avec un focus particulier sur les domaines liés au transport (automobile, ferroviaire, aéronautique, navale). 8 milliards d'euros iront à la recherche, et 5 seront destinés au développement durable.
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