News

Décidément, les histoires insolites autour de Twitter et Facebook se multiplient. Après un jeune homme innocenté par Facebook et une canadienne privée d'allocations maladie à cause de photos mise en ligne sur le site communautaire, voici un dirigeant de maison de disques arrêté... pour ne pas avoir utilisé Twitter !

Tout commence par une séance de dédicaces prévue par le chanteur Justin Bieber, nouvelle coqueluche des jeunes Américaines, dans un centre commercial de l'état de New York. Mais, quand plusieurs milliers de jeunes filles débarquent, l'événement est annulé, la police craignant pour la sécurité de ces demoiselles. Les autorités demandent donc à un dirigeant de Island Def Jam Records, la maison de disques de Justin Bieber, d'utiliser Twitter pour annoncer l'annulation de la séance de dédicaces.

Selon le quotidien local Newsday, le dirigeant en question n'aurait cependant pas suivi la recommandation de la police, ce qui lui aurait valu son arrestation pour plusieurs motifs, dont la nuisance, la mise en danger de mineurs, et l'obstruction à un organe de l'administration de l'état. "Nous avons demandé son aide pour faire partir la foule à l'aide d'un message Twitter. Mais comme il n'a pas coopéré avec nous, nous avons le sentiment qu'il a mis des vies en danger", a expliqué un porte-parole de la police.
"Fumer tue", c'est bien connu. Ce qu'on sait moins en revanche, c'est que "fumer annule"… la garantie de votre Mac. Plusieurs consommateurs américains ont récemment fait savoir qu'Apple avait refusé de prendre en charge les réparations d'ordinateurs qui étaient pourtant sous garantie. Certains d'entre eux avaient même souscrit une extension de garantie Apple Care.

La firme de Cupertino s'est contenté d'expliquer que ces ordinateurs étaient "contaminés" par de la fumée de cigarette et qu'ils ne pouvaient être réparés pour des "raisons sanitaires", à cause des "risques du tabagisme passif sur la santé" des techniciens.

Les clients ont alors argué que les termes du service Apple Care ne mentionnaient nulle part qu'un ordinateur utilisé dans un environnement fumeur annulait la garantie. Ce à quoi la firme de Cupertino a répondu que la nicotine était sur la liste des substances dangereuses de l'Occupational Safety and Health Administration (OSHA), et qu'elle ne pouvait donc demander l'intervention d'un technicien sur un ordinateur exposé à cette substance.

Après avoir récemment confié les diagnostics de bon nombre de ses produits à des ordinateurs, désormais seuls juges de leur prise en charge ou non, Apple restreint encore les conditions de garantie. Quand Apple interdira-t-il a ses clients d'exposer leurs produits au soleil ou à la pollution ? Sans surprise, la firme n'a pas souhaité communiquer sur cette affaire.
le 24/11/2009 à 22:26
Utilisation des API avec PHP
Jeez propose un article contenant une synthèse des applications les plus populaires sur internet. Ces API ont l'avantage de pouvoir se connecter avec vos scripts PHP.

Les applications très populaires sont :
- Akismet
- Amazon
- Blogging
- Compete
- Delicious
- Digg
- eBay
- Facebook
- Google
- Twitter
- Yahoo
- Youtube

Même si l'ensemble des développeurs connaissent les possibilités de connexion, il est toujours utile de pouvoir trouver facilement l'ensemble des liens disponibles.

- Using APIs With PHP? Here Are Your Classes
Si certains éditeurs de Linux voient d'un mauvais oeil l'arrivée de Google sur le marché, d'autres, à l'image de Canonical, s'empressent d'applaudir cette initiative. Interrogé par nos soins à ce sujet au mois d'octobre dernier, Mark Shuttleworth, fondateur d'Ubuntu, affirmait ainsi : "je pense que c'est très positif. Je trouve cela génial qu'une société aussi grosse choisisse d'investir dans Linux. Google est un acteur majeur.". Il semblerait d'ailleurs que le géant de Mountain View ait fait appel aux cerveaux de Canonical pour son projet Chrome OS.

En effet, Chris Kenyon, vice-président des services OEM chez Canonical explique sur le blog officiel de la société : "dans un souci de transparence nous nous devons d'affirmer que Canonical contribuera à la partie ingénierie pour Google sous contrat". Plutôt que de devoir travailler entièrement sur la structure même de Chrome OS, Google souhaite en effet tirer parti des efforts déjà fournis par la communauté open source. Il devrait s'agir des travaux sur le développement de pilotes, par exemple. Canonical précise qu'Ubuntu restera un système d'exploitation généraliste sur lequel il sera toujours possible d'installer des applications natives.

L'on imagine que ce contrat vise principalement à renforcer l'équipe de développement de Chrome OS afin d'en accélérer son processus de développement en se basant sur les travaux open source publiés sur le répertoire Launchpad.
En arrêt maladie longue durée pour cause de dépression, une québécoise affirme que sa compagnie d'assurances a suspendu les indemnités qu'elle lui versait au motif qu'elle aurait remarqué des photos publiées par l'intermédiaire de Facebook sur lesquelles la jeune femme faisait la fête ou bronzait sur une plage. Constatant la fin des versements, Nathalie Blanchard, 29 ans, est alors entrée en contact avec son assurance, Manuvie, qui lui aurait répondu que la prestation pour invalidité dont elle bénéficiait n'avait plus lieu d'être, puisque la jeune femme donnait sur son profil Facebook tous les signes d'une vie épanouie.

D'après la chaine CBC News, qui rapporte l'incident, Nathalie Blanchard indique que son agent d'assurances aurait décrit des photos la montrant lors de sa fête d'anniversaire, ou prenant du bon temps dans un bar de Chippendales. La jeune femme, qui ne conteste pas ces événements, explique que son médecin lui a conseillé de prendre du bon temps et ajoute que ces bons moments ne signifient pas que ses problèmes de santé sont résolus. Elle se dit en outre choquée que son assureur ait exploré son profil Facebook et se soit contenté des quelques photos vues en ligne pour statuer sur son état.

L'assureur n'a pour l'instant pas commenté cette affaire. Dans un communiqué adressé à CBC News, il affirme toutefois qu'il prend pas de décisions concernant ses clients sur la seule base d'informations publiées sur des réseaux sociaux, tout en confessant les utiliser pour enrichir le dossier de ses clients. L'une des photos incriminées...
Opera, le navigateur venu du grand Nord, nous arrive aujourd'hui dans sa version 10.10 finale, après une première bêta publiée en octobre. La principale nouveauté de cette nouvelle mouture réside dans l'intégration de la technologie Unite, qui vise à conférer au navigateur la possibilité de jouer le rôle d'un serveur Web et, donc, de distribuer du contenu ou des informations. Elle est accompagnée par les application Opera Unite, qui permettent de l'exploiter.

Parmi ces applications, on trouve par exemple un module de partage de fichiers, un lecteur multimédia permettant d'accéder à distance à sa bibliothèque locale, un client de messagerie instantanée ou un utilitaire de partage de photos. On pourra par ailleurs héberger chez soi, par l'intermédiaire d'Opera, un site Web. Une autre application, baptisée Fridge, permettra quant à elle aux internautes de laisser des notes sur votre ordinateur. Pour utiliser Opera Unite, l'internaute devra créer un compte chez l'éditeur, qui dit avoir musclé ses proxys et serveurs pour mieux répondre à la demande.

L'idée, selon l'éditeur, est tout simplement d'éliminer le besoin qu'a aujourd'hui l'internaute de faire appel à des services tiers pour des tâches courantes telles que la conversation ou le partage de fichiers. « Ce que nous faisons vraiment, c'est réinventer la façon dont les consommateurs interagissent avec le Web », affirme Jon von Tetzchner, CEO d'Opera Software. « En donnant à nos appareils la faculté de délivrer du contenu, nous devenons des citoyens égaux sur le Web. En ces temps où l'on a cédé à des tiers le contrôle de nos données personnelles, Opera Unite donne la liberté de choisir comment nous allons partager les données qui nous appartiennent ».
Orange a profité vendredi de la présentation de la dixième édition de ce qu'il appelle "La collection" pour détailler un nouveau décodeur TV, auquel pourrait un jour succéder un nouveau media center, l'Orange Box. La "collection" est effectivement le laboratoire d'innovations de l'opérateur, dont certaines ne sont jamais commercialisées.

Un nouveau décodeur TV début 2010

Le nouveau "décodeur TV évolutif" adopte le design de la Livebox 2 et apporte quelques évolutions en réponse à la concurrence. Il devrait ainsi être mis à disposition des abonnés rapidement, à commencer par 4 boutiques dès le mois de décembre 2009, avant d'être proposé sur le tout le territoire.

Ce modèle est compatible avec trois modes de diffusion de la télévision et peut ainsi être relié à une antenne TNT ou satellite en plus de l'IPTV par internet. À l'instar des décodeurs de ses concurrents Free et SFR, il permet le contrôle du direct (pour différer la diffusion de quelques minutes) et l'enregistrement d'une chaine sur son disque dur amovible pendant la diffusion d'une autre. On retrouve également la prise en charge du standard DLNA qui permet d'accéder aux photos, fichiers musicaux et vidéos partagés sur le réseau local, un besoin auxquels les Freebox et Neufbox répondent déjà.

Une prochaine mise à jour apportera enfin la prise en charge du service "Home Library" qui permet d'accéder aux contenus stockés sur son disque dur amovible, à domicile depuis le réseau local mais aussi en déplacement via internet. L'interface proposera quant à elle d'accéder à de multiples services en ligne comme l'actualité, la météo, l'horoscope ou encore Flickr, Dailymotion et YouTube. Le Wi-Fi en revanche est toujours aux abonnés absent.

L'obtention de ce décodeur TV sera gratuite avec dépôt de garantie de 50 euros. La fonction de contrôle du direct est elle aussi gratuite, tandis que l'enregistrement sur son disque dur amovible de 160 Go est facturé 5 euros par mois.

Un prototype de media center

Le concept de l'Orange Box a quant à lui "convergence" pour maitre mot et l'objectif de "ramener la génération internet à la TV". Il reprend toutes les fonctionnalités du décodeur TV et y adjoint quelques enrichissements. Sur le plan technique, il repose notamment sur une solution Intel.Non content d'abriter un lecteur Blu-ray, il offre aussi un navigateur internet compatible avec Flash 10, de quoi profiter de la quasi-totalité des sites internet. Il offrira en outre un service de jeux vidéo à la demande, auxquels on pourra jouer au moyen de la télécommande fournie, qui intègre accéléromètre et pointeur comme celle de la Nintendo Wii.

L'Orange Box n'est pour l'heure qu'un concept et l'opérateur ne s'est pas risqué à annoncer une date de commercialisation, ni même à garantir qu'il le serait un jour.
Un mois quasiment jour pour jour après le lancement de Windows 7, Microsoft adapte enfin Windows Home Server, son système d'exploitation pour serveur domestique. En plus de l'habituel lot de corrections et d'améliorations, le Power Pack 3 apporte surtout la prise en charge de nombreuses fonctionnalités de Windows 7.

Les bibliothèques de Windows 7, destinées à accueillir les données personnelles des utilisateurs, sont désormais supportées. Un utilisateur pourra ainsi stocker facilement des données sur un dossier partagé d'un Windows Home Server. Il devient en outre possible d'automatiser les sauvegardes d'un ordinateur sous Windows 7 sur un tel serveur, en programmant la sortie et le retour à la veille à cet effet, pour une sauvegarde quotidienne nocturne par exemple.

Windows Media Center n'est pas en reste puisque Windows Home Server pourra archiver les enregistrements TV en les transcodant à la volée si nécessaire en vue d'une lecture sur un ordinateur ou sur un baladeur numérique. Windows Search[ passe enfin en version 4, avec tout ce que ça implique, de l'amélioration des performances au support des fichiers chiffrés.

Windows Home Server Power Pack 3 sera donc publié demain dans plusieurs langues dont le français. Il requiert le précédent Power Pack et s'installera automatiquement par le biais de Windows Update le cas échéant.
La publication d'un exploit révèle la présence d'une vulnérabilité qui touche les versions 6 et 7 du navigateur de Microsoft, Internet Explorer, lorsque la prise en charge de JavaScript est activée, sous Windows 2000, XP, et Server 2003. L'éditeur en sécurité Symantec confirme l'existence de cette faille et prévient que si le code malicieux mis en ligne n'est que moyennement efficace, il pourrait donner naissance à de nouvelles menaces, plus virulentes cette fois.

D'après Vupen Security, cette vulnérabilité réside au sein du composant Microsoft HTML Viewer (mshtml.dll) et se situe plus précisément au niveau de la façon dont ce dernier interprète les feuilles de style (CSS pour Cascading Style Sheet), ces fichiers qu'utilisent les webmasters pour régir la mise en forme d'une page HTML.

Le pirate qui souhaite exploiter cette vulnérabilité n'aurait qu'à piéger en conséquence une page Web. Il parviendrait alors à faire s'exécuter le code de son choix sur la machine de la victime. En attendant que Microsoft corrige cette faille, les utilisateurs qui craignent pour leur sécurité sont invités à désactiver JavaScript au sein de leur navigateur, ou à se tourner vers un autre logiciel qu'Internet Explorer. Microsoft n'a pour l'instant pas commenté cette découverte. On ne sait donc pas si la correction attendra la prochaine livraison mensuelle de correctifs publiés par l'éditeur, prévue pour le 8 décembre prochain, ou si elle fera l'objet d'un correctif exceptionnel.
Fort de ses 52 millions de membres, le réseau social à dimension professionnelle Linkedin entend renforcer son pouvoir d'attraction grâce à la mise en place d'interfaces de programmation (API), qui visent à permettre aux développeurs de concevoir des applications capables d'exploiter les données stockées par le service. En ouvrant ainsi les portes de ses bases de données et en renforçant les possibilités d'interaction avec ces dernières, Linkedin entend bien séduire de nouveaux utilisateurs professionnels, attirés par ces nouvelles applications.

La dizaine d'API actuellement disponible sert essentiellement à gérer les contraintes d'identification au service, de mise à jour ou d'envoi d'informations, ainsi que les possibilités de communication entre les membres, mais aussi la recherche de profils particuliers. D'autres devraient suivre dans un avenir proche, indique Linkedin, selon qui une quinzaine de minutes suffit pour obtenir un code fonctionnel.

Cette annonce intervient quelques jours après deux autres promesses majeures : la possibilité de relier son profil à son compte Twitter, pour que le premier soit mis à jour dès que l'on utilise le second ; et l'intégration à Office 2010 via les "connecteurs" qu'est en train de mettre en place Microsoft.

Comme Facebook, comme Twitter, Linkedin fait le choix de l'ouverture, de façon à renforcer sa présence en ligne et dans les différents environnements logiciels utilisés par les internautes. L'une des premières applications à tirer parti de l'extension de cette stratégie devrait être le client Twitter TweetDeck, disponible sur iPhone comme sur PC ou Mac, qui permet d'accéder depuis une interface unique à différents réseaux sociaux. Linkedin sera désormais du nombre.
LoadingChargement en cours