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le 20/11/2009 à 18:34
GreenSQL
GreenSQL est un parfeu (Firewall) applicatif SQL pour bases de données MySQL ou PostgreSQL.

Cet API est distribué sous licence GPL et va vous protéger de nombreux types d'attaques comme :
- SQL Injection
- Cross-Site Scripting
- Cross-Site Requests Forgeries

Son fonctionnement est basé en mode reverse-proxy, c’est à dire que la requête SQL sera transmise à GreenSQL qui va analyser pour ensuite la transmettre à MySQL si celle-ci est valable.

Différentes versions existent pour faire fonctionner GreenSQL sur de nombreuses distributions : CentOS, Debian, Fedora, Mandriva, RHEL 5, SLE 5, Opensuse, Ubuntu.

- Site officiel GreenSQL
- Test performance GreenSQL
- Version demo GreenSQL
le 20/11/2009 à 18:34
PHP TV au forum PHP
L'équipe PHP TV était présente au Forum PHP 2009.

Elle vous propose toutes les conférences audio de la salle Amphi et des 2 salles supplémentaires.

L'AFUP publie en même temps les slides, disponibles sur le site du Forum.

Bien sur PHP TV a monté un mini studio sur place pour réaliser des interviews avec l'ensemble des conférenciers dont la première vidéo à être publiée est celle de Anna Filina « Motiver ses développeurs ».

- Conférences du Forum PHP 2009
- Motiver ses développeurs - Interview de Anna Filina au Forum PHP 2009
Lors du sommet de la PDC09, Microsoft a levé le voile sur les travaux en cours de réalisation pour la prochaine version de son navigateur web. Alors que Mozilla, Apple, et Google travaillent sur leur moteur JavaScript afin d'accélerer le chargement d'une page, Microsoft annonce pour sa part qu'Internet Explorer 9 prendra en charge l'accélération matérielle pour le rendu de l'ensemble des éléments d'un site.

C'est donc la carte graphique, et non plus le processeur, qui sera chargé du rendu du texte et des images en utilisant l'interface de programmation de Direct2D et DirectWrite. Ces dernières ont été introduites au sein de Window 7 et Windows Server 2008 R2 puis portées sur Vista. Le passage du CPU au GPU permet notamment une meilleure gestion de l'anticrénelage (lissage de police).

Au travers d'un test SunSpider, le logiciel se révèle largement plus rapide qu'Internet Explorer 8 en affichant des performances globalement comparables à ses concurrents. "Ceci dit nous souhaitons toujours travailler sur les performances JavaScript (...) notre but c'est de déployer un bon niveau de performance pour de vrais sites Internet et pas seulement pour les benchmarks", ajoute l'équipe de développement sur son blog officiel.

Les développeurs web seront ravis d'apprendre qu'IE9 prendre finalement en charge les propriétés de style border-radius. Le navigateur serait d'ailleurs compatible avec la plupart des éléments du CSS3 et du HTML5. Retrouvez une vidéo de présentation en anglais ici.
Microsoft a mis à disposition une première bêta pour son plugin Silverlight en version 4. Dans sa version actuelle Silverlight, qui permet d'exécuter en local des applications Internet riches, prend déjà en charge l'accélération matérielle du décodage des vidéos et de l'affichage des animations. Cela permet notamment la lecture en haute définition sur des ordinateurs modestes ; une performance sur laquelle Adobe souhaite également travailler pour son lecteur Flash.

La prochaine version mise davantage sur la dimension multimédia avec la possibilité de communiquer avec la webcam de l'ordinateur ou le microphone pour, par exemple, la conception d'une application de messagerie instantanée ou enrichir un module de support utilisateur. Les applications seront également en mesure d'enregistrer des vidéos au format brut sans pour autant nécessiter une interaction, cela permet notamment d'interagir avec cette dernière par exemple pour lui appliquer des effets. Notons que le contenu au format H.264 pourra être protégé par des DRM grâce à la technologie PlayReady initialement conçue pour être embarquée au sein des baladeurs numériques et fonctionnant sans connexion Internet. Microsoft y a aussi rajouté un système d'impression. Le démarrage d'une application sous Silverlight 4 serait deux fois plus rapide qu'avec la version actuelle. Notons que Microsoft annonce une compatibilité avec le navigateur Chrome.

Silverlight 4 devrait également permettre d'amincir encore plus les frontières entre l'environnement local et Internet. C'est ainsi que nous retrouvons la prise en charge du multipoint, le copier-coller, le glisser-déposer ou encore un menu contextuel pour le clic droit. En effet, au sein de Visual Studio, la société a rajouté une palette d'outils de développement spécifiquement conçue pour Silverlight avec 60 nouveaux contrôles. Grâce à une harmonisation de la machine virtuelle de l'environnement .NET (CLR), un code compilé peut fonctionner aussi bien en local qu'au travers de Silverlight. L'intégration de Component Object Model (COM) permet à Silverlight de communiquer avec un logiciel installé ou certains éléments du système. Interrogé par nos soins, Laurent Ellerbach, directeur marketing de la division plate-forme et écosystème, explique : "Silverlight reste exécuté dans une sandbox, mais pourra au besoin requérir des droits utilisateurs plus élevés pour certaines de ces actions". De l'accélération matérielle à l'implémentation de COM, Silverlight, dont le nom de code était WPF/E, continue donc à se doter de fonctionnalités caractérisant le sous-système graphique Windows Presentation Foundation introduit au sein de Vista.

La version finale de Silverlight 4 est prévue pour le premier semestre 2010.
Alors que le 9 décembre prochain devrait marquer la scission entre AOL et Time Warner, le magazine AllThingsDigital rapporte que le portail Internet souhaiterait revendre son logiciel de messagerie instantanée. Fondé par la société Mirabilis en novembre 1996, ICQ fut ensuite racheté par AOL en 1998 puis modifié pour assurer une compatibilité avec le client AIM.

Quelque dix ans plus tard AOL aurait contacté deux banques d'investissement (Morgan Stanley et Allen & co) pour gérer la revente d'ICQ. Certaines sources rapportent qu'AOL souhaiterait en obtenir la somme de 300 millions de dollars. Aujourd'hui ICQ bénéficierait de 40 à 50 millions visiteurs uniques chaque mois et resterait en pôle position du marché en Allemagne, en Russie, en Ukraine ou encore en Israel. Reste à savoir qui sera repreneur du logiciel et surtout s'il s'agira d'un acteur relativement prévisible comme Yahoo, Microsoft ou Google. D'autres sociétés telles que Facebook pourraient en effet y voir une opportunité pour entrer sur le marché des géants.
D'après des bruits de couloir entendus lors du Digiworld Summit de l'Idate, relayés par le Figaro, l'Arcep pourrait annoncer dès le 17 décembre prochain que la candidature de Free à la quatrième licence 3G a été retenue. Seul concurrent en lice, l'opérateur serait alors en mesure de venir concurrencer les trois principaux acteurs de la téléphonie mobile que sont Orange, Bouygues et SFR.

Cette rumeur intervient seulement une semaine après que l'Arcep, en charge de l'appel d'offres, a jugé recevable le dossier déposé par Iliad, la maison mère de Free. Jean-Ludovic Silicani, président de l'Autorité de régulation des télécoms, avait indiqué que cette dernière rendrait vraisemblablement sa décision avant la fin décembre. Avec un seul dossier à examiner, le processus a peut-être été plus rapide que prévu.

En admettant que l'information soit avérée, il reste à voir comment Free saura se tirer des obligations de couverture qui incomberont au nouvel entrant sur le marché de la téléphonie mobile. On imagine que le développement des technologies Femtocell, bientôt déployées de façon optionnelle par SFR sur ses box, permettra à Free de compter sur son parc de plus de trois millions de Freebox pour rapidement densifier son réseau, mais de lourds investissements devront tout de même être consentis.

Bien que la nature des offres mobiles que pourrait mettre en place Free en cas d'obtention de cette licence ne soit pas connue, Xavier Niel semble avoir l'ambition de reproduire le modèle qui a fait le succès de sa société dans le domaine de l'Internet. Une démarche qui n'aura sans doute pas l'heur de plaire aux opérateurs en place, qui ont à de nombreuses reprises exprimé les craintes que leur inspiraient les projets du « trublion des télécoms ». Bouygues a déjà lancé une tentative de recours auprès du Conseil d'Etat, visant à contester le prix de cette quatrième licence (240 millions d'euros) ainsi que ses modalités d'attribution. Lui mettront-ils d'autres bâtons dans les roues ?
Le navigateur Internet Camino, ciblant les utilisateurs de Mac OS X, passe en version 2.0. Rappelons que Camino est développé par un groupe de volontaires de la fondation Mozilla. A la différence de Firefox, Camino vise une meilleure intégration au sein du système. Le logiciel est ainsi basé sur le kit de programmation Cocoa d'Apple et l'interface de programmation d'Aqua. Puisque Camino est entièrement natif, cela permet par exemple de communiquer avec les applications locales telles que le carnet d'adresses, le gestionnaire de mots de passe Keychain, ou le protocole Bonjour simplifiant la gestion du réseau. Bien entendu il reprend le moteur de rendu Gecko de Firefox en version 1.9.0.

Au sein de la version 2.0, il est désormais possible de réorganiser les onglets ouverts par glisser-déposer ou de visualiser l'ensemble de ces derniers grâce à la fonctionnalité Tab Overview. La navigation au clavier est complètement prise en charge, notamment pour la touche Tab. Outre une fonction de zoom pour l'ensemble des éléments d'une page web, l'internaute y observera l'intégration du système de notification Growl, par exemple à la fin d'un téléchargement. Le logiciel dispose également d'un dispositif permettant de filtrer l'affichage des animations Flash. Notons enfin que le navigateur utilise l'interface de programmation Google Safe Browsing afin de prévenir les utilisateurs contre les sites web potentiellement dangereux. Pour de plus amples informations rendez-vous ici.
Défaut d'information du consommateur, tarifs trop élevés, clauses de simili-illimité abusives ? Depuis le début de la semaine, la polémique enfle autour des forfaits "illimités" associés à leurs clés 3G par les opérateurs, après que trois clients Orange ont fait état de factures mensuelles astronomiques, allant jusqu'à près de 160.000 euros. L'association de consommateurs UFC Que Choisir puis l'Arcep ont tour à tour pris la parole jeudi pour demander que soit mieux régulé ce marché de l' "illimité".

« Les opérateurs ont une obligation morale de garantir au consommateur de disposer des moyens de maîtriser sa dépense », a affirmé Jean-Ludovic Silicani, président de l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep) à l'occasion d'un sommet organisé par l'Idate. « Si cette obligation morale n'est pas remplie par les opérateurs, l'Autorité n'hésitera pas à proposer qu'elle soit inscrite dans le droit, a-t-il ajouté », cité par l'AFP.

Du côté de l'UFC, on déplore l'emploi du terme illimité pour des formules avec lesquelles les volumes de données transférés peuvent être restreints contractuellement. L'association déplore également que les opérateurs utilisent, dans leur communication, le terme Internet, alors que certains usages et protocoles, accessibles depuis n'importe quelle ligne ADSL, sont proscrits (P2P, voix sur IP, etc.).

« Manifestement l'utilisation des termes "Illimité" et "Internet" induit les consommateurs en erreur. Par conséquent, l'UFC-Que Choisir demande à ce que les opérateurs n'utilisent plus les termes "Internet" et "Illimité" pour vendre des prestations qui ne sont finalement que l'accès en ligne à des services spécifiques et de manière limitée », s'insurge l'association dans un communiqué.

Chez Orange, on rassure comme on peut, en expliquant notamment que les clients concernés par ces factures à 5 ou 6 chiffres étaient sur des offres professionnelles. Les particuliers n'auraient donc rien à craindre. En outre, on rappelle que des dispositifs d'alerte interviennent dès que certains paliers sont dépassés pour éviter que l'utilisateur ne passe sur une facturation hors-forfait. Pour les victimes du hors-forfait, ils seraient toutefois bien insuffisants, et ne donnant aucune idée des montants qu'engendre un dépassement exprimé le plus souvent en Mo.

Dans un communiqué, l'opérateur dit regretter que « des factures d'un montant exorbitant aient été envoyées automatiquement à certains clients de ses offres 3G + pour les professionnels » et annonce qu'il va prendre des mesures pour les 4000 clients concernés : blocage de la facture puis prise de contact dès que la facture dépasse 200 euros, et rapprochement des dispositifs d'alerte de ceux qui sont en vigueur pour les particuliers, censément plus précis.

Des mesures bienvenues, mais qui ne suffiront peut-être pas apaiser des tensions déjà soulevées au niveau européen à plusieurs reprises, aussi bien au niveau des coûts engendrés par le roaming data que par le défaut en terme d'informations prodiguées au consommateur...
Découvrez notre première prise en main (à deux mains gauches) des jeux Freebox en vidéo. Le fonctionnement de quelques-uns des jeux conçus spécifiquement pour la Freebox, du portage libre de Doom et de quelques jeux émulés y est présenté. De quoi découvrir si ce service tant attendu est à la hauteur des espérances...

Free met enfin un terme à l'arlésienne en lançant ce matin les jeux vidéo sur Freebox. Le tout dernier firmware 1.6.1 déployé pour la Freebox HD laisse effectivement apparaitre un nouvel univers "Jeux" sur l'écran d'accueil du décodeur. Celui-ci permet comme prévu aux abonnés à l'offre ADSL Free Haut Débit de jouer gratuitement à des jeux vidéo sur leur télévision, en utilisant la télécommande de la Freebox HD à l'horizontale.

On distingue trois types de jeux, à commencer par une sélection de classiques du jeu occasionnel tels que Démineur, Solitaire, Morpion, Bomberbox ou encore Sokobox.

Cette liste de jeux développés en interne spécifiquement pour la Freebox peut être enrichie de centaines de jeux rétro émulés. Les ROM (image de cartouche de jeu vidéo) de jeux Gameboy de Nintendo, Master System ou Game Gear de Sega sont effectivement prises en charge. Il suffit de les copier sur une clé USB, un disque dur externe ou encore sur le disque dur interne par transfert FTP.

Dans le même ordre d'idée, la Freebox peut également faire fonctionner les portages d'anciens jeux PC. Le moteur de Doom et celui de Duke Nukem 3D sont effectivement intégrés. Il appartient en revanche au freenaute de se procurer les fichiers de ces jeux et de les copier sur le disque dur de la Freebox.

Le jeu vidéo sera enfin l'occasion pour Free de lancer sa propre boutique d'applications. Un kit de développement (SDK) est à la disposition des développeurs qui peuvent ainsi concevoir leurs propres jeux "au profit de la communauté" ou pour les vendre au travers d'une boutique qui devrait ouvrir début 2010.

Un simple redémarrage du décodeur Freebox HD (par le biais du menu ou en la débranchant électriquement puis en la rebranchant) permet de profiter des jeux vidéo dès à présent. Si le trublion de l'internet est bien le premier à lancer un tel service, il devrait toutefois bientôt être rejoint par SFR, qui lance imminemment un service de jeux vidéo à la demande.
Ce soir, Google a tenu une conférence de presse très attendue au sujet de son prochain système d'exploitation baptisé Chrome OS. Annoncé au début du mois de juillet, Chrome OS est basé sur un kernel de Linux auquel viendra se greffer une interface fenêtrée relativement minimaliste. Le système est premièrement destiné aux netbooks.

Sundar Pichai, vice-président du développement des produits chez Google, commence par revenir sur le parcours du navigateur Google Chrome introduit au mois de septembre 2008. Il précise ainsi : « Google Chrome est la fondation de tout ce que nous faisons ici » avant d'ajouter : "40 millions d'utilisateurs utilisent Chrome en tant que navigateur principal sur leurs machines". Grâce à son moteur JavaScript Chrome serait 39 fois plus rapide qu'Internet Explorer. La version pour Mac est toujours en développement et sera bientôt publiée, même chose en ce qui concerne Chrome pour Linux, lequel est d'ailleurs la fondation principale pour Chrome OS. L'OS démarrerait en 7 secondes et la connexion lors de l'identification de l'internaute prendrait 3 secondes.

A l'image du navigateur, Chrome OS est basé sur trois idées : la rapidité, la simplicité et la sécurité. Notons ainsi que l'ensemble des applications au sein de Chrome OS seront des applications web. "Il n' y a pas besoin d'installer quoique ce soit, ce n'est qu'un navigateur modifié », explique M. Pichai. Puisqu'il s'agit de services en ligne toutes les données sont hébergées à distance, la prise en charge du HTML5 permettant pour sa part des opérations de mise en cache. En cas de perte du netbook l'internaute devrait être capable de racheter une autre machine, s'identifier et retrouver instantanément l'ensemble de ses applications favorites lesquelles sont listées au sein d'une page spéciale configurable par l'utilisateur.

Une fois ouverte, l'application sera donc placée au sein d'un onglet dédié mais pourra également être présentée dans un petit panneau en bas à droite de l'écran. En ce sens, Google reprend l'idée du module de chat ou de la liste de tâche implémentés au sein de Gmail. M. Pichai explique que les développeurs ont intégré un système de bureaux virtuels, c'est à dire la possibilité d'avoir plusieurs fenêtres principales et donc plusieurs listes d'onglets ouverts.

Lorsque l'utilisateur branche un appareil photo numérique, le système ouvrira une petite fenêtre listant les images, lesquelles pourront ensuite être placées dans différents onglets. Google avoue par ailleurs que la suite bureautique hébergée de Microsoft est particulièrement performante, pour cette raison, si l'internaute reçoit par email un fichier au format Excel, ce dernier s'ouvrira au sein d'Office Online. En cas de plantage, le système serait capable de lancer de lui-même un processus d'auto-réparation.

Notons cependant que le système d'exploitation n'est compatible qu'avec des netbooks dotés d'une mémoire SSD. Par ailleurs il ne sera pas possible d'installer Chrome OS sur une machine existante, l'utilisateur devra premièrement investir dans un netbook sur lequel Chrome OS se trouve pré-installé. La firme de Mountain View est actuellement en discussion avec différents partenaires pour prendre en charge un plus grand nombre de cartes réseau.

Pour l'industrie, le pari d'un OS made in Google semble gagné d'avance. En effet, quelques jours après l'annonce de Chrome OS, Sundar Pichai, vice-président du développement des produits chez Google, précisait que la firme de Mountain View avait déjà signé plusieurs partenariats de distribution OEM avec différents fabricants. Parmi ces derniers nous retrouvons Acer, Adobe, ASUS, Freescale, Hewlett-Packard, Lenovo, Qualcomm, Texas Instruments et Toshiba. D'ici la fin de l'année prochaine, les premières machines équipées de Chrome OS devraient voir le jour, "juste avant Noël", précise Sundar Pichai.

L'engouement général n'est d'ailleurs pas pour plaire à tout le monde, à commencer par certains autres éditeurs de Linux. C'est ainsi que Mandriva avait réagi directement à l'annonce de Google en rappelant dans un communiqué que la société est un "leader européen des éditeurs de distributions open source. (S)a dernière version Mandriva Linux Spring 2009 va bien au-delà des exigences des utilisateurs actuels de netbooks (...) et s'adapte à tous, particuliers et entreprises. " . Interrogée par nos soins à ce sujet, Anne Nicolas vice-président de l'ingénierie chez Mandriva, expliquait : "Ils savent faire passer leur technologie simplement en communiquant. Ils ont beaucoup de produits très populaires. On se doit d'occuper le terrain et de réagir".

Google a également publié le code source de Chrome OS auprès des développeurs sur le site officiel de Chromium.
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