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le 21/09/2009 à 22:35
phlyMail 3.7.18
PhlyMail est un webmail et une application PIM, réalisé en PHP.

Cette application (API) communique en Pop3/Imap et possède comme un webmail classique : un carnet d'adresses, un agenda, un gestionnaire de fichiers et un support SMS.

Cette nouvelle version est orientée modulaire avec des nouvelles fonctionnalités comme le RSS, le stockage de fichiers personnels... Ainsi, les contacts et les évènements peuvent être organisés par groupes.

- phlyMail 3.7.18
le 19/09/2009 à 22:34
Plici 2.0
Plici est une API réalisée en PHP/MySQL, dont la nouvelle version vient de paraître.

Elle comprend entre autres :
- Un éditeur CSS sur le principe de Firebug
- Des thèmes avec du jQuery
- Une interface administration complètement refaite et épurée
- Un système de cache
- Des thèmes compatibles W3C
- Un système de facturation plus rapide

A noter également que cette nouvelle solution de vente en ligne fonctionne aussi bien sur des serveurs dédiés et mutualisés.

- communiqué PLICI 2.0
Victime du succès de son Monopoly virtuel installé sur Google Maps, Hasbro a réinitialisé pendant la nuit les comptes des joueurs. Après plusieurs heures d'indisponibilité, le service vient de réouvrir et les joueurs qui avaient déjà commencé à bâtir leur empire immobilier devront reprendre leur entreprise à zéro. Rapidement testé par nos soins vendredi matin, le service n'est actuellement pas trop surchargé et il est même encore possible de mettre la main sur quelques belles rues et avenues, même s'il faudra repasser pour les Champs-Elysées parisiens ou les rues particulièrement longues, propices à la construction de nombreux bâtiments (telles que l'avenue de Clichy, désormais aux mains de votre serviteur !).

Rappelons que ce Monopoly City Streets prend pour scène Google Maps et permet aux joueurs d'acheter les rues de leur choix dans les principales villes de nombreux pays. Il faudra ensuite défendre ses propriétés des tentatives de rachat formulées par les autres internautes tout en augmentant la rentabilité à l'aide de bâtiments. Si une rue est encore disponible, il suffit de la sélectionner pour l'acquérir. Si elle appartient déjà à un autre joueur, on pourra formuler une offre de rachat, qui sera communiquée au propriétaire. Celui-ci dispose d'un délai de sept jours pour y répondre, délai au delà duquel votre proposition sera automatiquement acceptée.

Sur ses propriétés, le joueur pourra placer des bâtiments, allant du petit hôtel à la gigantesque tour, en passant par le stade ou le complexe de bureaux, qui en augmenteront la valeur locative. Les joueurs ont par ailleurs la possibilité de soumettre des bâtiments de leur cru, réalisés à l'aide de Google Sketchup. Contrairement au Monopoly traditionnel, il n'est pas nécessaire ici d'attendre que d'autres joueurs tombent sur ses propres propriétés pour gagner de l'argent : le "loyer" est versé quotidiennement, quoi qu'il se passe.

Des taxes font par ailleurs leur apparition. Le joueur qui détient plus de cinq rues se verra désormais ponctionner une partie de ses revenus, à hauteur de 3% par titre de propriété détenu. Le joueur qui possède 25 rues verra donc ses revenus amputés de 60%. Il est donc conseillé à ceux qui voudraient occuper le haut du classement de se concentrer tout d'abord sur les rues les plus importantes, afin de pouvoir dégager des profits maximum en les bardant d'hôtels plutôt que de faire la chasse à la moindre petite impasse disponible. Reste à voir comment les joueurs qui avaient déjà consacré du temps à la construction d'un empire immobilier réagiront à cette remise à zéro des compteurs.
Qu'il s'agisse de Google Chrome 3, Safari 4 ou Firefox 3.5, ces navigateurs commencent tous à prendre en charge les dernières spécifications du HTML 5. C'est ainsi que chacun des éditeurs met à disposition une page de test démontrant les possibilités de son logiciel, notamment en ce qui concerne l'aspect multimédia du HTML 5 avec par exemple le support de la balise .

Et quid d'Internet Explorer ? Ce navigateur restera-t-il à jamais la plaie des développeurs web ? Selon Mark Pilrim, expert en accessibilité chez Google, probablement pas, et c'est une bonne nouvelle. Ce dernier rapporte en effet qu'Adrian Bateman, responsable d'Internet Explorer chez Microsoft, a ainsi déclaré : "Nous soutenons l'inclusion des élements et au sein des spécifications (...) nous sommes en train de revoir les détails". Plus précisément, M.Bateman s'interroge sur la possibilité de rajouter des élements de métadonnées à la source vidéo ou audio. M. Bateman invite également la communauté à réfléchir sur la possibilité de rajouter un système de notification pour le flux du média qui pourrait ainsi simplifier la synchronisation avec une transcription sous forme de texte.

Ce message fut publié au sein de la liste de diffusion officielle du consortium W3C. Reste à savoir quand l'équipe de Redmond mettra à jour son logiciel. Internet Explorer regroupe 66,97% du marché ; en ce sens il joue un rôle déterminant dans l'adoption des spécifications du HTML 5.
En juillet dernier, Microsoft avait déposé une plainte à l'encontre de plusieurs firmes et individus parmi lesquels nous retrouvons Funmobile et Mobilefunster. Ces derniers avaient été accusé de spim ou (spam par messagerie instantanée) en organisant des attaques visant à récupérer plusieurs informations personnelles ou en tentant de rediriger l'internaute vers un site frauduleux. La firme de Redmond s'attaque désormais au malvertising et annonce avoir lancé de nouvelles actions en justice auprès de la cour supérieure de Seattle contre cinq nouvelles sociétés.

Dans un message publié sur son blog officiel, Tim Cranton, conseiller général de Microsoft, explique que le malvertising est un terme utilisé pour décrire une publicité sur Internet camouflant du code malicieux. "Par exemple, ces publicités peuvent rediriger les internautes vers un site promouvant un faux logiciel de sécurité, aussi connu sous le nom de scareware", explique-t-il. M. Cranton ajoute que le malvertising peut également infecter directement l'ordinateur de la victime avec des chevaux de Troie. La plainte a été déposée à l'encontre de Soft Solutions, Direct Ad, qiweroqw.com, ITmeter INC et ote2008.info

Microsoft espère que ces actions permettront de diminuer l'ampleur de la menace, l'on pourrait cependant s'interroger sur l'utilité de tous ces néologismes...
Au lendemain des accords qui ont été signés entre Microsoft et Yahoo! l'on attend désormais que le moteur de recherche de Microsoft - Bing - remplace celui de Yahoo! sur son portail Internet. Pourtant, à en croire Burke Culligan, directeur chez Yahoo!, Google pourrait également y trouver sa place.

Cette déclaration aurait été formulée au cours d'une conférence organisée par la Deutsche Bank dans laquelle M. Culligan explique ne pas être opposé à laisser l'internaute choisir le moteur de recherche qu'il souhaite utiliser. "Pour l'instant nous ne le faisons pas mais à long terme ce sera envisageable (...) nous voulons apporter la meilleure expérience qui soit à l'utilisateur et quelque part, si cela se révèle être l'expérience recherchée, alors nous nous ouvrirons à cette posssibilité".

Pour Yahoo! il s'agirait certainement de la plus grosse décision dans sa stratégie d'ouverture au travers de laquelle il est d'ores et déjà possible de consulter depuis la page d'accueil Yahoo.com ses emails de Gmail, Hotmail ou AOL ou d'y configurer ses réseaux communautaires favoris.

Quid du partenariat avec Microsoft ? Ce dernier stipule en effet que Bing deviendra l'algorithme de recherche exclusif sur les sites de Yahoo! Lorsque Microsoft fournira l'interface de programmation de Bing, Yahoo! conservera le contrôle de l'expérience utilisateur sur son moteur de recherche. Il se pourrait donc que Yahoo laisse l'internaute configurer le moteur de son choix sur sa page d'accueil. D'ailleurs, cet accord de dix ans signé entre Yahoo! et Microsoft n'a pas empêché la firme de Sunnyvale de travailler sur une nouvelle ergonomie pour son moteur de recherche.

L'accord historique entre Carol Bartz et Steve Ballmer serait-il menacé ? Qu'en penseront le département de la justice américaine et la Commission Européenne ? Peut-être aussi que les propos de Burke Culligan sont une projection éventuelle après l'échéance du partenariat en question.
Microsoft semble bien décidé à tirer un trait sur Windows Vista. Si le véritable tarif de son successeur reste relativement élevé, les offres promotionnelles se succèdent. Après avoir proposé une offre de précommande écoulée en quelques heures seulement et vraisemblablement appâté par le succès irréfutable de Snow Leopard (meilleur lancement d'un Mac OS X), Microsoft propose ainsi les éditions Familiale Premium et Professionnelle de Windows 7 aux étudiants américains au prix unique de 30 dollars.

Cette offre vient effectivement tout juste d'être lancée aux États-Unis où elle prendra fin le 3 janvier 2010. Elle sera étendue dès le 30 septembre au Royaume-Uni pour 30 livres (soit 50 dollars, un surcout sans nul doute dû aux sempiternels frais de traduction…), puis à partir du 22 octobre dans d'autres pays, dont la France, où la logique voudrait qu'elle soit proposée à 30 euros, bien que l'éditeur soit resté muet à ce sujet.

Les étudiants devront quoi qu'il en soit montrer patte blanche, en passant commande à l'aide de l'adresse email de leur établissement ou, à défaut, en joignant un justificatif de scolarité. Ils recevront une licence de mise à jour, et devront donc posséder une licence de Windows XP ou de Windows Vista, bien qu'il soit possible d'effectuer une installation complète, notamment dans le cas d'une mise à niveau d'une édition Familiale vers une édition Professionnelle (mais pas dans l'autre sens).
Aux Etats-Unis, l'industrie musicale s'est regroupée afin d'obtenir de plus amples revenus sur les ventes effectuées au travers des plateformes de téléchargement comme iTunes. C'est ainsi que l'American Society of Composers, Authors and Publishers (ASCAP), le groupe Broadcast Music Inc et d'autres lobbys de l'industrie réclament le paiement de droits de diffusion pour des chansons utilisées au sein des épisodes de séries télévisées disponibles au téléchargement. Il en va de même pour les extraits de 30 secondes.

Les représentants de l'industrie musicale estiment en effet que ces extraits de 30 secondes, proposés à l'internaute avant l'achat d'un titre ou d'un album, devraient être facturés de la même manière qu'une diffusion classique à la radio ou dans un lieu public. Cette demande a été formulée auprès de la chambre du Congrès.

David Israelite, président et PDG de l'Association nationale des éditeurs musicaux, explique à Cnet US : "lorsque vous regardez un épisode de série à la télévision, par câble ou par satellite, il y a des droits de diffusion qui sont prélevés". Il ajoute : "en revanche, si ce même épisode est téléchargé au travers d'iTunes, il n'y en a pas".

De son côté, Jonathan Potter, directeur de la Digital Media Association, estime qu'un téléchargement ne s'apparente pas à une diffusion publique et que l'épisode en question est censé être téléchargé et visualisé dans un espace privé. "Ils s'attaquent à Apple en affirmant que la société gagne des montagnes d'argent mais ils devraient plutôt se satisfaire qu'Apple et les autres acteurs du marché génèrent des millions, voire des dizaines de millions en droits d'auteurs ».

Le mois dernier, une étude du cabinet NPD révélait qu'iTunes détenait un quart du marché global de la musique aux Etats-Unis. En janvier Apple annonçait l'abandon des verrous numériques (DRM) pour les titres des grandes maisons de disques (Universal Music Group, Sony BMG, Warner Music Group, EMI). Cette initiative fut mise en place en avril dernier et marqua également la fin du prix unique de 99 centimes au profit de trois palliers : 0,69 centimes, 0,99 centimes et 1,29 euro - ce dernier étant généralement attribué aux dernières publications.
Entre pratiques commerciales peu scrupuleuses et projets de loi visant à réglementer l'utilisation qui est faite d'Internet, plusieurs associations craignent que l'on finisse par compromettre le principe de Neutralité du Net. Dans une lettre ouverte, intialement publiée par la Quadrature du Net, elles interpellent le Parlement européen et l'invitent à défendre coûte que coûte l'idée d'un réseau dans lequel le Web est le même pour tous, indépendamment de problématiques économiques ou commerciales.

La neutralité du Net, c'est cette idée selon laquelle le tuyau qui délivre les informations doit rester strictement indépendant des contenus qu'il véhicule. L'opérateur qui décide de s'en tenir à cet impératif de neutralité ne doit donc en aucune façon privilégier, brider ou filtrer tel ou tel contenu, que la motivation soit commerciale ou politique. On le retrouve d'ailleurs dans le Code des postes et des communications électroniques, qui demande à ce que les opérateurs veillent « au respect de la plus grande neutralité possible, d'un point de vue technologique, des mesures qu'ils prennent ».

Le risque ? Il serait que l'on débouche sur un Web où l'opérateur A pourrait brider l'accès aux services et sites de l'opérateur B, voire bloquer en tournemain l'accès à un l'un de ses concurrents, ou au contraire favoriser outrageusement ses partenaires.

Inacceptable pour les signataires de cette lettre ouverte, qui commence par défendre l'idée que la neutralité du Net « a été un indispensable catalyseur de la concurrence, de l'innovation et des libertés fondamentales dans l'espace numérique ». Elle stimulerait par ailleurs « le cercle vertueux d'un modèle de croissance fondé sur le développement d'un réseau de communication commun qui permet de nouveaux usages et de nouveaux outils ».

Aujourd'hui, ils estiment ce principe menacé par des opérateurs et producteurs de contenus « qui voient une opportunité de créer de nouveaux modèles économiques basés sur la discrimination, le filtrage et la priorisation des informations circulant sur le réseau », et souhaitent que dans le cadre du Paquet télécoms, le Parlement européen prenne des mesures fermes « afin de garantir un Internet libre, ouvert et innovant, et à ainsi sauvegarder les libertés fondamentales des citoyens européens ».

Diffusée en anglais, au niveau européen, la lettre a recueilli la signature des représentants d'association comme l'April, l'Isoc, UFC Que Choisir ou Framasoft. Elle intervient quelques mois après que Google, Skype et Yahoo ont fait réaliser sur le Vieux continent un sondage lié à cette question. Directement concernés par la question, ils étaient alors arrivés à la conclusion que 90% des mille personnes sondées tenaient à ce que leur fournisseur d'accès ne restreigne pas leur accès au Web.

On trouvera la lettre d'origine ainsi que la liste des signataires sur le site de la Quadrature du Net, ainsi qu'une traduction en français chez l'April.
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