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Au cours d'un entretien avec Michael Fraser, un "cambrioleur repenti", la BBC révelait le mois dernier que Facebook est considéré comme une porte d'entrée par les malfaiteurs recherchant leurs prochaines victimes. Il leur suffit en effet d'entrer en contact avec un internaute de leur quartier et de discuter avec ce dernier pour connaître la date de son départ en vacances.

Cependant il semblerait que les choses aillent dans les deux sens puisque c'est précisément Facebook qui aurait permis à une patrouille de police de l'état de Pennsylvanie d'arrêter le jeune cambrioleur Jonathan G. Parker. Agé de 19 ans, ce dernier s'était introduit dans la maison de sa victime pour lui dérober deux bagues serties de diamants. Seulement voilà, avant de rentrer tranquillement chez lui, le jeune Parker a pris le temps de se connecter à son compte Facebook depuis l'ordinateur de la victime... sans même s'en déconnecter. Il risque aujourd'hui jusqu'à dix ans d'emprisonnement.

Mais ne nous y méprenons pas et rappelons les bonnes paroles de la psychologue Tracy Alloway de l'Université de Stirling en Ecosse : Facebook nous rend plus intelligents.
le 18/09/2009 à 22:29
FORUM PHP : 9 ème édition
Le programme du forum PHP 2009 organisé par l'AFUP (association Française des Utilisateurs de PHP) vient d'être dévoilé en partenariat avec LeMug.fr (MySQL User Group).

Pour rappel, cette 9ème édition va se dérouler le 12 et 13 novembre 2009 à la Cité des Sciences de Paris.

Cette année, de nombreuses têtes d'affiches internationales vont faire le déplacement comme Michael "Monty" Widenius, Zoe Slattery, Anna Filina, Johannes Schlüter... ainsi que nos experts francophones.

Une occasion rêvée d'aborder les retours d'expériences  et aussi des aspects techniques.

Pour connaître exactement le contenu, consulter le communiqué officiel.

- La 9ème édition du Forum PHP dans les starting-blocks
le 18/09/2009 à 22:29
PHP 5.2.11
La nouvelle version de PHP 5.2.11 vient de sortir. A noter, une amélioration de la stabilité de la branche PHP 5.2.x de PHP avec de nombreuses corrections de bugs en aprticulier en ce qui concerne la sécurité. Inutile donc de vous rappeler l'importance d'effectuer des upgrade.

Pour connaître l'ensemble des évolutions, vous pouvez consulter le communiqué officiel.

- Communiqué PHP 5.2.11 (31 visites) Les évolutions de PHP 5.2.11
Quels sont à vos yeux les sites les plus dignes de confiance en matière de vie privée ? Après avoir interrogé 6000 internautes, l'institut Ponemon a publié son rapport annuel. Cette étude a été menée conjointement avec l'organisation Truste, spécialisée dans la sécurité de la vie privée des grandes sociétés.

L'année dernière, American Express était en tête de liste suivi par le site d'enchères eBay, IBM, Amazon et l'entreprise pharmaceutique Johnson & Johnson. Cette année c'est eBay qui se place en pôle position suivi de l'opérateur américain Verizon. Le service postal américain gagne 3 points et arrive en troisième place. La firme WebMD, spécialisée dans les informations sanitaires, passe de la treizième à la quatrième place en douze mois. En revanche, IBM recule de trois palliers et se retrouve au cinquième rang. Notons l'entrée de Yahoo! (9e) et Facebook (10e) dans ce top 10 alors qu'ils se plaçaient respectivement en 14e et 15e position en 2008.Environ une quarantaine de critères ont été pris en compte par les experts de Truste, notamment la clarté et l'accessibilité aux les clauses de confidentialité du site en question mais également les options de gestion du compte utilisateur, l'usage de cookies ou encore le partage des données personnelles.

Kevin Bankston, avocat de l'Electronic Frontier Foundation, une organisation chargée de protéger les libertés d'expression sur Internet, ajoute cependant un bémol. Il explique ainsi que cette liste a été établie en fonction du degré de confiance perçu par des personnes interrogées, ce qui ne signifie pas forcément que ces sociétés soient fiables et dignes de confiance. Le cabinet Ponemon confirme et ajoute : "il peut y avoir des différences entre la perception (d'une marque) et la réalité".
Après Radiohead ou Nine Inch Nails, c'est cette semaine au tour des Smashing Pumpkins de tenter la libre distribution de son prochain album sur Internet. Les 44 titres qui composeront le nouvel opus, Teargarden by Kaleidyscope, seront progressivement mis en ligne à partir de la fin du mois d'octobre. Les internautes pourront les télécharger gratuitement, sans même avoir à s'enregistrer. En parallèle, le groupe de rock alternatif commercialisera via les canaux classiques quatre albums physiques en édition limitée.

"Mon désir est que nous publions les morceaux un par un à partir des alentours d'Halloween, jusqu'à ce que les 44 soient en ligne. Chaque morceau sera absolument gratuit, pour tous et partout. Il n'y aura pas de contraintes. Gratuit veut dire gratuit, ce qui veut dire que vous n'aurez pas à vous inscrire à quoi que ce soit, donner une adresse email ou faire un sacrifice quelconque. Vous pourrez venir et prendre la ou les chansons que vous voulez, autant de fois qu'il vous plaira", explique Billy Corgan, le chanteur des Smashing Pumpkins, sur le site du groupe.

Cette décision intervient plusieurs mois après que Billy Corgan avait expliqué qu'il ne souhaitait plus réaliser d'album au sens traditionnel du terme. « Nous en avons fini avec ça. Les gens ne les écoutent plus. Ils les chargent sur leur iPod, sélectionnent deux titres et passent sur le reste. Les modèles d'écoute ont changé, alors pourquoi nous crèverions-nous à faire des albums ? », affirmait-il en décembre dernier.

D'autres ont déjà tenu ce raisonnement, avec un certain succès. Radiohead et Nine Inch Nails ont montré que la distribution gratuite en ligne ne dissuadait pas les fans d'acheter un CD physique à partir du moment où ce dernier offre une valeur ajoutée. NiN, groupe emmené par un Trent Reznor coutumier des déclarations fracassantes (« piratez notre album »), a ainsi vendu, fin 2008, 750.000 exemplaires en une semaine d'un album qui, pourtant, pouvait être téléchargé gratuitement sur son site.

A l'heure où l'industrie du disque se plaint d'une inexorable baisse des ventes, les Smashing Pumpkins vont donc tenter de faire mentir celui qui, dans la chanson Bullets with Butterfly Wings, affirmait que ce qui a été perdu ne pourra jamais être sauvé (« Then someone will say what is lost can never be saved »)...
Le géant des algorithmes n'a pas qu'un tour dans son sac. Google, champion des moteurs de recherche, vient d'annoncer le rachat de la société reCaptcha. Cette dernière est à l'origine du système anti-spams, basé sur la reconnaissance, par les humains, de caractères plus ou moins lisibles, numérisés dans des livres anciens.

Et d'une pierre, deux coups. En rachetant cette société fondée à l'université Carnegie Mellon (USA), Google va bénéficier d'une armée d'internautes « bénévoles » pour améliorer son système de reconnaissance optique. ReCaptcha fournit aux sites souscripteurs une image de mot que les outils de reconnaissance otique n'arrivent pas à lire. Les internautes sont ainsi amenés, en validant leur commentaire, inscription ou autres, à recopier les mots qu'ils déchiffrent afin de prouver qu'ils ne sont pas des « robots » (MAJ : l'un des mots est connu du système, l'autre non). ReCaptcha, qui est chargé de numériser, avant 2010, 130 ans d'archives du New York Times, entraine ainsi ses outils de reconnaissance optique à lire comme des humains (reste à bien protéger ces données des spammeurs). Le service fournit ainsi 30 millions d'images par jour à pas moins de 100.000 sites.

Une stratégie qui n'est pas nouvelle, puisqu'avec Google Answers et Image Labeler, Google employait déjà les mêmes méthodes. Le premier service est une base de connaissances où ce sont les internautes eux-mêmes qui proposent des réponses aux requêtes. Tandis qu'Image Labeler, est un jeu où les internautes sont sollicités pour décrire une image et lui associer des mots-clef. Mais, contrairement à Google Answers, où les contributeurs peuvent gagner quelques dollars, Image Labeler ne paye pas. Pas folle l'abeille. Dommage, car, comme le démontraient les initiatives de Nathan Eagle, chercheur au Santa Fe Institute, ce type de « nanojob » pourraient bien devenir légion.
Microsoft annonce ce soir la mise en ligne de la première version d'essai privée de ses Office Web Apps. Derrière cette appellation, dorénavant officielle, on retrouve les versions Web, utilisables donc depuis un navigateur Internet, de Microsoft Word, Microsoft Excel et Microsoft Powerpoint. La version web de Microsoft OneNote devrait en effet être disponible un peu plus tard. Pour l'instant limitée aux marchés américain et japonais, la version Tech Preview des Microsoft Office Web Apps fonctionne avec les navigateurs Internet Explorer 7.0/8.0, Firefox 3.5 et Safari 4.0.

D'ici à la fin de l'année, Microsoft devrait proposer une version Beta accessible à tous de ses Microsoft Office Web Apps. Rappelons que les applications web de la suite bureautique Office seront gratuites. Pour l'heure, la technologie SilverLight n'est toujours pas utilisée dans les Microsoft Office Web Apps. De même, si Microsoft Excel et Microsoft PowerPoint permettent de créer et d'enregistrer des documents, Microsoft Word est cantonné à la seule lecture de ses derniers dans cette version Tech Preview.
Sur le blog du site Xaprb,com, Baron nous explique qu'il existe de nombreuses façons pour réaliser des requêtes.

Et à cette occasion, il nous montre une différence entre une clé primaire et une clé unique.

Il montre comment il a traité sa réponse par rapport à un cas précis ce qui est très utile pour les manipulations de bases de données comme MySQL et dans l'incorporation de scripts avec PHP.

- A fun use of SUBSTRING_INDEX and friends in MySQL
A peine plus d'un an après son lancement, le navigateur Google Chrome passe officiellement en version 3.0. La firme de mountain View annonce que pour cette nouvelle mouture 51 développeurs ont rassemblés leurs efforts, lesquels ont publié 21 bêtas, 15 mises à jours stables et corrigé précisément 3505 bugs.

En comparaison à la première bêta du logiciel, Chrome 3.0 afficherait des performances JavaScript 150% plus rapides ; une optimisation estimée à +25% par rapport à Chrome 2.0. Au fil des mois, la page d'accueil a subi quelques modifications, par exemple pour laisser l'utilisateur ré-ajuster les vignettes, les remplacer par une simple liste de liens ou créer ses propres raccourcis.

Chrome 3.0 embarque de nouvelles technologies du HTML 5 notamment la balise permettant l'ajout d'un clip vidéo au sein d'une page web et sa lecture sans nécessiter de plugin particulier. Les ingénieurs ont d'ailleurs mis au point un site via lequel il est possible de tester d'autres fonctionnalités du HTML notamment avec la prise en charge des balises et .

Notons finalement que la version 3.0 inclut également la possibilité de personnaliser l'apparence du navigateur avec un système de thèmes. En revanche, aucune information n'a été mentionnée quant à la date de publication des versions stables pour Mac OS X et Linux.
Revirement en vue dans le processus d'attribution de la quatrième licence 3G ? Nicolas Sarkozy se serait récemment dit "réservé" quant au choix d'un quatrième opérateur de téléphonie mobile. Une déclaration surprenante, dans la mesure où le Premier ministre François Fillon a donné le 1er août dernier le coup d'envoi de l'appel d'offre lié à cette nouvelle licence 3G.

« Je suis assez sceptique et réservé sur le choix d'un quatrième opérateur de téléphonie mobile. Car le prix le plus bas n'est pas forcément le meilleur », aurait déclaré en début de semaine le chef de l'état à l'occasion d'une réception privée organisée à l'Elysée. Rapportés par l'AFP, ces propos n'ont pas manqué de provoquer un certain émoi, notamment chez l'association UFC Que-Choisir qui s'est dite "un peu dépitée".

« On est un marché, le seul à ma connaissance, où on a eu une condamnation des trois opérateurs, qui se partagent 95% du marché, pour entente. Depuis cette condamnation, on n'a pas vu un bouleversement dans leurs politiques tarifaires », a déclaré à l'AFP Edouard Barreiro, de l'UFC. « On voit une relation entre le lobby très important des opérateurs, et leurs déclarations fracassantes à la Commission européenne, et les propos de Nicolas Sarkozy ».

Une thèse qui, s'il est avéré que Nicolas Sarkzoy a bien tenu ces propos, irait dans le sens des déclarations de Xavier Niel, PDG d'Iliad, candidat déclaré à l'obtention de la quatrième licence. Selon lui, une coalition "tout sauf Free" s'organiserait pour permettre à d'autres acteurs que les trois opérateurs actuels de s'associer pour entrer dans la téléphonie mobile.
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