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Le site Web américain de la firme a affiché pendant quelques dizaines de minutes une page proposant à la vente un "Mac Box Set" associant Mac OS X 10.6, iLife 09 et iWork 09, pour un prix global de 169 dollars. Indirectement, la mise en ligne de cette page, depuis retirée mais capturée par les lecteurs de MacRumors, confirme que le lancement de Snow Leopard n'est plus qu'une question de jours, mais aussi qu'Apple compte bien renouveler l'expérience de la vente en bloc de ses principaux logiciels.

On ne sait pas encore bien si la build 10A432, récemment distribuée aux développeurs, est bien la mouture finale du système, mais cette fugace apparition est un indice supplémentaire du lancement de Snow Leopard. Alors que les e-commerçants tels qu'Amazon prennent déjà les précommandes, Apple pourrait selon des rumeurs concordantes procéder à la mise en vente de son nouveau système dès la semaine prochaine. Les réservations pourraient quant à elles ouvrir très rapidement.
Le portail de découverte et de recommandation musicale iLike, qui vient de se lancer dans la vente directe de morceaux numériques, a confirmé mercredi soir son acquisition par le réseau social MySpace, propriété du groupe News Corp. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué mais serait, selon Techcrunch, proche de 20 millions de dollars.

ILike, qui revendique plus de 50 millions d'inscrits, offre différents services qui vont de l'écoute gratuite de musique en ligne au partage de listes de lecture en passant par la recommandation automatique basée sur les goûts des membres de son réseau. Disponible sur le Web, mais aussi sur mobile, ce site financé par la publicité a bâti sa communauté grâce à une série d'applications et d'extensions destinées à des lecteurs multimédia tels qu'iTunes ou Windows Media Player, mais aussi à des réseaux sociaux concurrents, au premier rang desquels Facebook.

MySpace, en perte de vitesse depuis plusieurs mois, confirme par cette acquisition son intention de revenir à certains fondamentaux - la musique a toujours été une composante essentielle du réseau - et le développement d'une nouvelle activité centrée sur les contenus, les services et le divertissement. En juillet, le réseau du groupe News Corp avait par exemple fait savoir qu'il entendait se développer dans le domaine du jeu vidéo.

Owen Van Natta, ancien directeur des opérations de Facebook, aujourd'hui en charge des destinées de MySpace, n'a d'ailleurs pas caché, dans une conférence téléphonique donnée à l'occasion de cette annonce, que la technologie d'iLike pourrait être bientôt étendue à d'autres domaines que la musique.

« Le site iLike.com continuera à fonctionner comme il l'a toujours fait - à ceci près que nous allons travailler dur pour le rendre encore meilleur dans les semaines et les mois à venir », promettent sur le blog de la firme ses deux fondateurs, Ali et Hadi Partovi. MySpace confirme que les deux hommes resteront en charge du développement d'iLike. Les deux cumulent un palmarès sur lequel il serait regrettable de ne pas capitaliser : le premier a fondé LinkExchange (publicité), tandis que le second est à l'origine de TellMe (synthèse vocale), deux sociétés depuis vendues à Microsoft pour 265 et 800 millions de dollars.

Reste à savoir ce que deviendront les liens qu'entretiennent aujourd'hui iLike et Facebook, sans lequel le portail n'aurait sans doute jamais pu totaliser 50 millions d'inscrits.
Placée en redressement judiciaire le 30 juin dernier, la société Violet n'a que jusqu'au 4 septembre prochain pour attendre qu'un éventuel acquéreur, prêt à la soutenir financièrement, se manifeste. Le cas échéant, la firme fondée par Rafi Haladjian pourrait mettre la clé sous la porte. Soucieux à l'idée que leurs lapins communicants pourraient se voir coupés des serveurs qui les alimentent en annonces, messages et flux RSS divers, quelques possesseurs du fameux Nabaztag ont alors lancé l'idée de racheter eux-mêmes la société.

Afin de réunir les fonds nécessaires à l'acquisition et à la remise à flots de Violet, estimés à deux millions d'euros, ils ont ouvert un site, savenabaztag.com, sur lequel ils invitent les internautes à formuler une promesse d'investissement. A l'heure actuelle, la somme des engagements se monte à 74.000 euros.

Objectif : racheter Violet, et faire diriger la société par un conseil d'administration dont les membres seraient élus par la communauté des actionnaires ainsi formées. Nous pensons que les gens qui connaissent le mieux les produits de la société sont vous, les consommateurs. Nous aimerions donc vous offrir la possibilité d'obtenir une part de la société en échange de votre argent, exactement comme si vous achetiez des actions d'une société cotée", expliquent Emmanuel Moll et Franck Nouyrigat, les instigateurs du projet.

Pour ce faire, il faudra selon eux commencer par réunir suffisamment de promesses pour être en mesure d'aller solliciter une banque, puis élaborer une stratégie d'entreprise, avant de récupérer les fonds et d'enchérir. Les intéressés sont donc invités à se manifester rapidement.
Nombreux sont ceux qui utilisent Google au quotidien, mais combien d'entre vous sauraient exactement reproduire le logo du numéro un mondial des moteurs de recherche ? C'est la problématique à laquelle a été confrontée le 16 août dernier Rachael, une candidate à la version américaine du jeu Qui veut gagner des millions, avec la question suivante : "Laquelle de ces affirmations est vraie dans le cas du logo standard de Google ?".

Quatre choix lui ont été proposés : les deux O sont jaunes, les deux G sont bleus, le L est rouge, ou le E est vert.

Avant de lever le suspense, insoutenable, nous vous proposons à notre tour de jouer, mais avec six propositions plus complexes cette fois, issues du site guessthelogo.com, afin que vous puissiez vous aussi tester votre mémoire visuelle. Bien évidemment, on essaiera de répondre à la question sans ouvrir la page concernée !

Rachael a quant à elle décidé de faire appel au vote de public. 49% des présents se sont exprimés en faveur des deux G bleus, alors que 24% ont misé sur le O jaune. Pour 50.000 dollars, la candidate a choisi de suivre l'avis du public... et elle a bien fait !
Serena et Blair de "Gossip Girl" feront finalement bientôt leur apparition sur YouTube. Time Warner a effectivement noué un partenariat avec Google consistant à diffuser des extraits de ses programmes sur le célèbre site de partage de vidéo, sur les traces du modèle du service de vidéo à la demande Hulu, plus rentable. Les journaux télévisés de CNN, les dessins animés de Cartoon Network et les séries de Warner Brothers enrichiront bientôt le catalogue. Ils rejoindront ainsi la série "Entourage" et d'autres programmes de la chaîne HBO, propriété de Time Warner, déjà disponibles sur YouTube, exclusivement à partir du sol américain.

Contrairement au premier accord qui avait finalement capoté, c'est cette fois le studio qui se chargera de la monétisation de ses contenus et qui versera une partie de ses revenus à YouTube, comme le font les autres partenaires. C'est en revanche le propre lecteur vidéo de Time Warner qui serait cette fois utilisé, une première pour le service en ligne de Google. Les premières vidéos sont attendues avant la fin de l'année mais ne devraient être accessibles que depuis une connexion américaine.

Time Warner rejoint ainsi Sony Pictures, Disney, MGM ou encore la major Universal Music au rang des partenaires qui proposent des extraits de leurs contenus. Toujours déficitaire depuis son rachat par Google en 2006, YouTube reste confronté à la féroce concurrence d'Hulu, qui diffuse quant à lui des programmes dans leur intégralité.
Dans une décision de justice rendue mercredi, une cour de Manhattan (ville de New York) a contraint Google à transmettre aux avocats de la partie adverse les coordonnées, adresse IP et courrier électronique, d'un internaute accusé d'avoir tenu des propos diffamatoires par l'intermédiaire d'un blog hébergé sur Blogger, un service qui appartient au moteur de recherche.

Baptisé "Skanks in NYC" (skank signifie ordure), le site abordait, en des termes peu amènes, différents aspects de la vie de la plaignante, Liskula Cohen, un mannequin de 37 ans qui a, à plusieurs reprises, fait la couverture de grands magazines féminins.

Sous le pseudo Anonymous, le blogueur responsable du site la comparait avec une sorcière, évoquant une vie dissolue ("trainée"), un corps fané qui n'avait pu être appétissant que dix ans auparavant, etc. Sans surprise, l'intéressée n'a que moyennement apprécié les qualificatifs dont elle faisait l'objet. En août 2008, ses avocats entrent en contact avec Google ainsi qu'avec l'éditeur présumé du site, qui rapidement disparait de Blogger.

L'affaire aurait pu en rester là. Considérant que le préjudice subi méritait réparation et désireuse de connaitre l'identité , Liskula Cohen décide d'aller plus loin, et porte début janvier l'affaire en justice afin d'obtenir de Google les informations nécessaires à l'identification de cet anonyme, ouvrant ainsi la voie à des poursuites à l'encontre de ce dernier.

Dans un premier temps, Google refuse. Bien que le blogueur anonyme ait argué du fait que les propos tenus via Blogger relevaient de la simple conversation, avec son lot d'invectives et de rodomontades, la cour a finalement décidé qu'il y avait bien diffamation.

Suite à cette décision, qui pourrait faire jurisprudence, le moteur de recherche dit n'avoir eu d'autre choix que d'obtempérer, et a donc livré les adresses email et IP de l'anonyme, qui s'est révélé être une connaissance lointaine de Liskula Cohen. Au micro d'ABC, la plaignante a dit ne finalement pas vouloir porter plainte pour diffamation, mais ses avocats ont tenu un son de cloche différents à d'autres médias.

En attendant de voir si l'affaire va plus loin, d'aucuns se sont déjà émus de cette décision qui a contraint Google à divulguer l'identité d'un internaute. Certains estiment que la décision est juste, dans la mesure où tout internaute reste responsable de ses actes et de ses écrits en ligne, qu'il affiche ou dissimule son identité.

A l'inverse, d'autres redoutent que cette affaire menace l'anonymat "légitime", celui auquel on recourt pour dénoncer des abus et qui de façon générale est l'une des garanties de la liberté d'expression sur Internet. Ceux-là arguent du fait que toute opinion, surtout lorsqu'elle est négative, doit pouvoir être exprimée en ligne sans crainte de représailles.

En France, le projet de Déclaration des Droits Fondamentaux Numériques déposé fin juin par un groupe de travail dirigé par Hervé Morin (Nouveau centre), actuel ministre de la Défense, propose que le droit à l'anonymat numérique gratuit « soit reconnu à toute personne, sous réserve de ne pas porter atteinte à l'ordre public et aux droits et libertés d'autrui ».
Un clone de The Pirate Bay fonctionne déjà, trois jours seulement après la publication par un résistant anonyme d'une copie du tristement célèbre site de partage, dont l'avenir est incertain. Les intentions de son repreneur, qui doit donner une conférence de presse la semaine prochaine, sont effectivement encore floues.

L'auteur de la copie de sauvegarde non-officielle de The Pirate Bay avait aspiré l'intégralité du site et publié les 870 000 torrents obtenus dans une archive de 21 Go, "au cas où le nouveau TPB ne plairait pas". Un dénommé Alex, membre d'un autre tracker BitTorrent, n'a pas attendu le dénouement de la conférence de presse du nouveau propriétaire pour ressusciter le site, qui ne pourra plus accueillir de nouveau torrent mais servira toutefois d'archive. Quand bien même le tracker de The Pirate Bay était amené à rendre les armes, les torrents de TPB bénéficient déjà du nouveau tracker libre OpenBitTorrent. Seuls les commentaires des utilisateurs, ressource pourtant précieuse, ont disparu dans la bataille.
Orange enrichit aujourd'hui son bouquet de télévision en réponse à la concurrence agressive dans ce domaine de ses deux principaux concurrents. Si Free et SFR ajoutent régulièrement de nouvelles chaines par douzaines, Orange se contente quant à lui d'ajouter une chaine et un service de vidéo à la demande thématique, répartis en deux bouquets.

Proposé pour 10 euros par mois sans engagement, le bouquet sport s'étoffe de la chaine maison Orange Sport et rejoint ESPN Classic, Sport+, Motors TV, Yacht & Sail, Girondins TV, OM TV et OLTV. La chaine est également disponible hors bouquet pour 6 euros par mois, associée cette fois à un engagement d'un an.

Le bouquet jeunesse, comprenant déjà Piwi, Foot school TV, Babu TV et Kidsco et commercialisé 6 euros par mois sans engagement (contre 4,90 euros jusqu'à présent), s'enrichit pour sa part d'un service de vidéo à la demande comprenant plus de 200 épisodes de dessins animés dont Titeuf, Pokemon, Tom & Jerry ou encore Sam Sam. Ce service de VOD est également disponible indépendamment du bouquet, mais le prix et les conditions de location n'ont pas encore été communiqués.
le 20/08/2009 à 20:25
Détecter les visages dans une photo
De nombreux sites internet de réseaux sociaux  proposent facilement de repérer un visage et d'en afficher un nom sous la forme de TAG.

Cette opération peut être réalisée avec PHP et l'extension de « OpenCV  Facedetect ».

Sous la forme d'un tutorial, le site Corpocrat Blog en décrit les différentes étapes.

- Automatic Face Detection in Photos with PHP
Tandis que les professionnels et les particuliers enregistrés au sein des programmes MSDN et Technet ont maintenant accès à la RTM de Windows 7, le grand public n'a plus que jusqu'à jeudi, 20 août, pour télécharger gratuitement la RC, ou Release Candidate du futur système d'exploitation de Microsoft à des fins de test. Rappelons que la version finale de Windows 7 sera officiellement lancée le 22 octobre prochain.

Passé le 20 août, il restera possible d'installer la RC de Windows 7 et d'obtenir une clé d'activation, mais les images nécessaires à l'installation des versions 32 et 64 bits ne seront plus proposées au téléchargement.

La version RC expirera officiellement le 1er juin 2010. À partir du 1er mars 2010, votre PC s'arrêtera toutes les deux heures. L'utilisateur devrait toutefois être prévenu par Windows deux semaines avant que ces arrêts commencent à se produire. Sans surprise, il sera alors invité à migrer vers une version complète et commerciale du système.

Accédez au téléchargement de la RC de Windows 7.
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