News

le 14/08/2009 à 20:09
Les fragments
Le site « MySQL performance blog » propose en ce mois d'août une série de 4 articles touchant les fragments.

La première partie concerne son approche et pourquoi c'est aussi complexe de l'utiliser.
La deuxième partie parle du top 10 des améliorations XtraDB, même s'il est très difficile de définir un classement exact et surtout scientifique.

XtraDB est une des parties qui a le plus d'impact et qui est le plus applicable à toutes les charges de travail.

- 1ere partie : Why you don t want to shard.
- 2eme partie : XtraDB: The Top 10 enhancements
le 13/08/2009 à 20:07
iGoogle s'enrichit de widgets sociaux
Bien décidé à ne pas se faire rattraper par Facebook ou Twitter, Google vient d'annoncer le lancement d'une série de "social gadgets" pour sa page d'accueil personnalisable iGoogle.

Majoritairement accessibles depuis les Etats-Unis, ces widgets sociaux permettent par exemple de partager un lien avec ses amis, de jouer à de petits jeux en ligne (Scrabble, échecs, mots croisés, ..), de consulter son programme télé et son horoscope ou encore de publier son humeur.

"Vos amis seront capables de voir ce que vous partagez ou publiez dans ces gadgets sociaux, soit en les ayant eux même installés, soit sur leur page d'accueil, au travers d'un flux d'informations baptisé 'mises à jour'. Ces mises à jour peuvent inclure des photos récemment partagées, votre bande dessinée préférée ou encore vos projets pour la fin de semaine." explique Marissa Mayer, Vice Président de produits de recherche chez Google.

De nouvelles fonctions qui ne sont donc pas sans rappeler Twitter et surtout Facebook, dont le news feed est certainement l'une des principales innovations en permettant aux internautes de suivre, pratiquement en temps réel, l'activité de leur réseau.

Avec pas moins de 25 millions de visiteurs uniques par mois et un écosystème de 60 000 widgets, iGoogle pourrait donc changer de dimension en se transformant en véritable plate-forme sociale, à l'image des récentes mutations de WindowsLive de Microsoft ou encore de la page d'accueil de Yahoo ou AOL.
Les majors du disque espèrent relancer l'intérêt des consommateurs pour le téléchargement d'albums complets en mettant à nouveau leur grain de sable dans la mécanique pourtant bien huilée de la distribution en ligne, après avoir vainement tenté d'imposer les verrous numériques (DRM). Si neuf singles sur dix sont désormais achetés en ligne, la tendance s'inverse effectivement pour les albums complets. Sony, Universal, Warner et EMI développent donc conjointement un nouveau format censé apporter aux internautes la pochette, le livret, les paroles ou encore le clip dont ils seraient privés par rapport à un album traditionnel.

Les majors semblent cependant avoir oublié que l'iTunes Store par exemple n'a pas attendu ce nouveau format pour accompagner ses albums de ces bonus, en faisant appel à des formats largement démocratisés. Apple aurait toutefois lui aussi décidé de développer un nouveau format, nom de code Cocktail, regroupant à l'instar du format CMX l'intégralité d'un album dans un seul fichier. La question de la compatibilité de ces nouveaux formats avec les logiciels et dispositifs répandus, point décisif s'il en est, n'a pour l'heure pas été abordée. En s'aventurant de nouveau sur ce terrain glissant, les majors ont assuré qu'elles n'imposeraient pas ce format : "il y aura d'abord quelques sorties pour voir ce que les gens aiment," a indiqué un porte-parole d'une maison de disque.

Si l'interopérabilité de ce nouveau format CMX est sans nul doute un point crucial pour sa réussite, les majors ont vraisemblablement un effort à faire du côté du prix du vente d'un album. En 2008, un album était vendu en moyenne 9,40 euros sur le marché physique contre 8,60 euros sous forme dématérialisée, soit une réduction de quelques pourcents seulement pour une prestation moindre. Le prix de vente ne semble pourtant pas être au coeur des préoccupations des majors dans ce nouveau combat.
le 13/08/2009 à 20:07
Le PHP est l'avenir
Le langage PHP s'est très répandu grâce à sa souplesse. Il peut s'adapter et évoluer facilement, comme peut évoluer l'internet en général.

Le succès du PHP est entre autres choses dû, comme nous l'explique le blog PHPDev, à une évolution constante et à ses nombreux paquets.

Bien sûr, l'avenir n'est jamais défini, mais il faudra compter en tout cas sur la présence du langage PHP.

- PHP is the Future
Apple a publié mardi soir une mise à jour de son navigateur pour environnements Mac et Windows, Safari, qui passe en 4.0.3. Au menu de cette nouvelle version, le fabricant évoque une meilleure prise en charge des pages Web qui utilisent la balise vidéo du HTML 5, une stabilité améliorée lorsque le navigateur est équipé de plugins tiers, ainsi que la correction d'un problème qui pouvait empêcher l'utilisateur de s'identifier sur iWork.com.

Apple annonce également la correction d'un bug susceptible de faire s'afficher le contenu Web en niveaux de gris et non en couleurs. Enfin, Safari 4.0.3 intervient pour corriger un certain nombre de problèmes liés à la sécurité, dont le détail pourra être consulté sur le site d'Apple. L'une des vulnérabilités permettait notamment de faire apparaitre un site malveillant dans la liste des sites préférés de l'utilisateur.
Comme chaque deuxième mardi du mois, Microsoft vient de procéder à la mise en ligne de ses mises à jour mensuelles de sécurité. Le géant des logiciels propose ce mois-ci une impressionnante vague de correctifs. Microsoft a en effet mis en ligne pas moins de neuf bulletins de sécurité pour un total de 19 failles de sécurité documentées ! Sur les neuf mises à jour, huit concernent les systèmes d'exploitation Windows, une s'adresse aux composants Web Office (OWC).

Dans la liste des bulletins, on retiendra que Microsoft corrige une vulnérabilité du composant .NET Framework qui aurait pu servir à lancer des attaques DoS. La gestion des fichiers de type Windows Media pouvait permettre l'exécution de code à distance alors que le service WINS (Windows Internet Name Service) voit plusieurs de ses vulnérabilités corrigées. Celles-ci auraient pu permettre l'exécution de code à distance. Le service Telnet voit également une de ses failles colmatées qui aurait pu permettre l'obtention d'accréditation par un utilisateur malintentionné. Dans la foulée des failles du protocole RDP, permettant le fonctionnement du bureau à distance sont également corrigées pour empêcher l'exécution de code à distance.

Vous l'aurez compris, les diverses failles et vulnérabilités corrigées aujourd'hui par Microsoft sont sévères. Nous vous recommandons donc de mettre à jour votre système sans plus attendre en vous rendant sur Windows Update.
Quelques internautes français ont eu ces derniers jours la surprise de recevoir un courrier électronique les invitant à se connecter à une nouvelle version, dite "Lite" ou allégée de Facebook, accompagnée d'un lien qui finalement n'était pas fonctionnel. Pressé de question, le réseau social aux 250 millions de membres a expliqué lundi qu'une version allégée de Facebook était bien en cours de test, mais que cette dernière était destinée en priorité aux internautes des pays émergents.

« Nous sommes en train de tester Facebook Lite dans des pays où nous observons un grand nombre de nouveaux utilisateurs qui souhaitent débuter avec une expérience utilisateur simplifiée », indique la société. « Assez similaire à l'expérience de l'usage de Facebook sur mobile, Facebook Lite est une version simplifiée et à chargement plus rapide de Facebook qui permet aux gens de faire des commentaires, d'accepter les demandes d'amis, d'écrire sur les murs d'autres personnes, et de regarder les photos et les statuts. »

Selon Facebook, cette version Lite serait donc principalement conçue pour répondre aux attentes d'utilisateurs situés dans des pays où le haut début n'est pas aussi largement répandu qu'en Occident. Un Facebook plus léger, plus facile à appréhender, que des nouveaux venus sur le Web pourraient très rapidement s'approprier.

Certains voient toutefois dans cette nouvelle mouture de Facebook une façon de répondre au succès grandissant d'un service tel que Twitter, qui se concentre bien plus sur la conversation immédiate que sur l'exposition de soi. Une hypothèse déjà évoquée en début de semaine, lorsque Facebook a annoncé le rachat de son concurrent Friendfeed.
Une étude réalisée par l'université du Hertfordshire, pour le compte de l'association UK Music, révèle que 61% des 18-24 ans téléchargent régulièrement. En moyenne, chacun possèderait plus de 8000 titres musicaux.

Fondée en 2008, UK Music, qui représente les intérêts de l'industrie musicale britannique (artistes, labels, éditeurs , producteurs, BPI et sociétés collectives) a souhaité savoir dans quelles proportions les jeunes téléchargent. L'association n'a pas dû être déçue. Sur les 1.808 personnes interrogées dans la tranche des 18-24, 68% indiquent utiliser quotidiennement leur PC pour écouter de la musique. 83% d'entre eux téléchargent chaque jour ou chaque semaine et 86% n'hésitent pas à partager de la musique.D'autres parts, 85% ont déclaré qu'ils apprécieraient un service en « libre-service complet » en échange d'une taxe fixe mensuelle (licence globale). De plus, 89 % préfèrent posséder leur musique que de dépendre d'un service externe.
le 12/08/2009 à 20:02
ATMAIL 6
AtMail est une API découpée en 2 parties et réalisée en PHP avec le Zend Framework.

La première partie est un Webmail PHP
La deuxième partie est un serveur Email sous Linux.

L'ensemble de l'API va vous permettre de gérer vos comptes mail de manière efficace, et sera une alternative par rapport à Gmail ou Exchange.

- atMail 6
Les opposants au concept de brevet logiciel apprécieront l'ironie de la situation : un tribunal du Texas vient de faire interdire la commercialisation du traitement de texte vedette de Microsoft, Word, aux Etats-Unis, au motif que le logiciel viole un brevet couvrant les techniques de lecture d'un document XML détenu par la firme canadienne i4i. Cette injonction, assortie d'une condamnation à verser 290 millions de dollars de dommages et intérêts au plaignant, intervient alors que Microsoft vient justement d'obtenir la validation d'un brevet relatif à XML.

Le plaignant explique avoir fondé sa plainte, déposée en 2007, sur un brevet soumis en 1994 et accepté par l'USPTO en 1998. « L'injonction prononcée aujourd'hui interdit à Microsoft de vendre ou d'importer aux Etats-Unis tout produit Word qui a la capacité d'ouvrir des documents .xml, .docx ou DOCM contenant du custom XML », se félicite le cabinet d'avocats représentant i4i dans un communiqué. Microsoft, qui dispose d'un délai de 60 jours pour faire appliquer cette décision, a d'ores et déjà annoncé qu'il ferait appel de ce verdict.
LoadingChargement en cours