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Sur demande de la Délégation Interministérielle à la famille, le cabinet Ipsos a publié une étude sur l'utilisation des logiciels de contrôle parental en France. En tout, 600 familles ayant au moins un enfant entre 6 et 17 ans ont été interrogées du 24 au 29 avril dernier.

Au travers de cette étude il apparaît que 52% des ordinateurs familiaux sont équipés d'une solution de contrôle parental. Ironiquement, ce taux n'est que de 50% sur les ordinateurs des enfants. Globalement, 59% des logiciels seraient activés sur au moins l'un des deux ordinateurs.

Dans la plupart des cas (63%), l'application aurait été acquise auprès du fournisseurs d'accès à Internet. 22% des participants affirment que le logiciel était fourni avec le système d'exploitation. 10% des familles interrogées utilisent est un gratuiciel téléchargé sur Internet. Dans 69% des cas, l'enfant ne se plaindrait jamais ou rarement des interdictions mises en place par les parents. Sans surprise, ce sont les adolescents âgés entre 15 et 17 ans qui se montrent les plus réfractaires à ce système de filtrage.

De leur côté les parents sont globalement satisfaits du logiciel (à 94%). Parmi les fonctionnalités activées, notons l'enregistrement de l'historique de navigation, le blocage des sites par mots-clés ou encore l'interdiction de certaines applications ou des téléchargements.

Notons que 8% des parents ont l'intention d'installer un logiciel de contrôle parental sur le téléphone portable de leurs enfants. Retrouvez l'étude dans son intégralité ici.
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Avec la Beta publique ou plus récemment la Release Candidate, de nombreux utilisateurs utilisent Windows 7 gratuitement et légalement. En échange de ces licences gratuites, Microsoft obtient à grande échelle de précieuses informations télémétriques. Ces licences sont néanmoins temporaires et arriveront à expiration le 1er juin 2010, avec des redémarrages automatiques toutes les deux heures à compter du 1er mars 2010.

Mais la firme de Redmond compte remercier certains de ses testeurs. Les participants du Windows Feedback Program utilisant la Release Candidate se verront ainsi offrir la version commerciale de Windows 7, à condition qu'ils remplissent certaines conditions, d'après un email de Microsoft qui leur a été adressé. Il faudra effectivement s'être inscrit au Windows Feedback Program au travers du Community Preview Program de la Beta de Windows 7, avoir transmis des données au travers de ce programme pendant au moins 4 mois, avoir plus de 18 ans et... résider aux États-Unis. Les testeurs d'autres pays pourront quant à eux passer leur chemin.

Les européens pourront néanmoins se rabattre sur l'offre de mise à niveau gratuite, proposée aux acquéreurs d'ordinateurs sous Windows Vista qui auront effectué leur achat entre le 26 juin 2009 et le 31 janvier 2010. Ces dates pourront éventuellement changer en fonction de la date de sortie du successeur de Windows Vista.

L'expert Paul Thurrott avance d'ailleurs la date du 15 octobre pour le lancement de Windows 7, confirmant les déclarations de Microsoft qui évoquent une sortie pour les fêtes de fin d'année et approchant d'une précédente rumeur qui parlait quant à elle du 23 octobre.
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Nouveau rebondissement pour Napster, pionnier de la musique en ligne à bien plus d'un titre, qui lance aujourd'hui un service de streaming de musique par abonnement. Après avoir donné naissance à l'un des plus célèbres logiciels de peer-to-peer, après avoir lancé une boutique en ligne de musique avec puis sans DRM, avec le succès qu'on connait, la division musicale de Best Buy se relance et propose aux ressortissants américains d'accéder à son catalogue de 7 millions de morceaux.

Moyennant 5 dollars par mois, les abonnés peuvent télécharger 5 morceaux au format MP3 (donc sans verrou numérique) et écouter en streaming "haute qualité" l'ensemble du catalogue de manière illimitée. Napster a signé avec les quatre majors ainsi qu'avec des maisons de disques indépendantes et propose des radios dépourvues de publicité ainsi que des sélections musicales programmées par des experts.

"Il y a 10 ans, Napster a révolutionné la manière de découvrir et d'apprécier la musique," affirme Julie Owen, vice présidente de la division loisirs de la chaine de distribution Best Buy, en rappelant le passé sulfureux de Napster. "La marque pionnière bouleverse de nouveau les choses avec ce nouveau service qui donne un accès continu aux loisirs aux fans de musique".

Napster vient effectivement marcher sur les plates bandes de Microsoft, qui propose pour 15 dollars par mois dans le cadre de son offre Zune Pass du streaming illimitée et le téléchargement de 10 morceaux. Les deux offres sont d'ores et déjà disponible aux États-Unis.
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Le contrat de confiance ne fait que partiellement recette. A l'occasion de la publication de ses résultats financiers, le groupe Kesa Electricals est revenu sur l'offre d'accès à Internet lancée en France par sa filiale, Darty. Inaugurée fin 2006, et enrichie d'une offre très haut débit fin 2008, la formule comptait 210.000 abonnés au 30 avril 2009. Un score honorable, lorsqu'on sait la compétition que se livrent les différentes forces en présence, mais qui ne répond pas aux objectifs que s'était fixé l'opérateur.

Sur un an, l'offre Dartybox n'aurait en effet séduit que 70.000 nouveaux clients. En octobre dernier, Darty confiait que son point d'équilibre se situait aux alentours de 300.000 abonnés, et comptait l'atteindre avant la fin de son exercice fiscal 2010. Il reste donc un an à la DartyBox pour conquérir quelque 90.000 nouveaux abonnés.

Depuis la fin 2008, Darty propose aux côtés d'une offre ADSL triple play standard à 29,90 euros par mois, une formule dite DartyBox THD pour laquelle elle fait appel aux réseaux de Numericable / Completel. Manquerait-il à la filiale de Kesa un réel élément différenciant ? Bouygues Telecom, qui connait lui aussi des débuts difficiles dans le marché de la fourniture d'accès à Internet, va tenter sa chance avec la mise en place d'un forfait quadruple play, Idéo.
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le 18/05/2009 à 22:56
PHPfonctions
PHP Fonctions est un nouveau site parlant de PHP.

Ce site internet, est un site communautaire et a pour but de proposer et partager des fonctions PHP. Chaque développeur ou développeuse peut soumettre ses propres fonctions en PHP.

Par ailleurs il est possible de voter pour une fonction, de les commenter et de s'abonner au flux RSS du site internet.

Il s'agit d'une bonne initiative, complémentaire aux autres sites proposant des API et scripts en PHP.

- Site officiel PHPfonctions
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Régulièrement, le rappel des bonnes pratiques en PHP revient à la une de l'actualité.

Aujourd'hui, un petit script réalisé Rafael Rocha m'a alerté car il va vous permettre de démarrer facilement l'utilisation et l'incorporation des CLASS avec PHP.

Ce script converti des tables MySQL en une class PHP comme ceci vous obtenez une class de base prête à être utiliser.

- Convert MySQL tables to PHP class
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le 16/05/2009 à 23:52
Alliance Open Database
Monty Widenius (Fondateur MySQL) et Peter Zaitsev Percona (Chef de projet MySQL) lancent la création d'une alliance 'Open Database' MySQL.

Le but avec l'alliance Open Database est de fournir un centre d'échange pour le développement de MySQL, afin d'encourager un véritable environnement de développement ouvert à la participation de la communauté, et de veiller à ce code de MySQL soit toujours de très haute qualité.

L'Open Database Alliance comprendra de nombreuses sociétés qui travailleront ensemble pour fournir le logiciel, le support et les services pour MariaDB.

- http://opendatabasealliance.com/
- Communiqué Open Database Alliance
- Projet MariaDB
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le 15/05/2009 à 23:42
Google en panne, Facebook attaqué
La rançon de la gloire ? Google a enregistré une panne une heure durant jeudi. Facebook, de son côté, a été l'objet d'une nouvelle attaque ciblant les données de ses utilisateurs.

Interrogé par le New York Times, un porte-parole du réseau social a évoqué "une attaque de phishing (vol d'identité) concertée". Celle-ci ne se serait pas généralisée et aurait impacté "un petit pourcentage" des membres du réseau. Facebook a affirmé avoir bloqué les liens vers les sites de phishing identifiés, nettoyé les messages frauduleux et réinitialisé les identifiants des utilisateurs victimes de cette attaque.

Pour Google, référence des moteurs de recherche et des liens sponsorisés, une erreur de routage serait à l'origine de la paralysie de ses services (moteur, messagerie, applications, interfaces de programmation...) hier vers 17h, heure française. Dans un billet publié à l'issue de la panne, Urs Hölzle, vice-président en charge des opérations chez Google, a indiqué : "Une erreur dans l'un de nos systèmes nous a obligé à rediriger une partie de notre trafic internet vers l'Asie, ce qui a créé un embouteillage. En conséquence, environ 14% de nos utilisateurs ont enregistré un ralentissement de nos services, voire des interruptions." Hölzle a ajouté : "vous pouvez être assurés que nous allons travailler encore plus dur pour que cela ne se reproduise pas."
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La Cour d'appel de Paris a finalement donné raison hier à Orange, qui reprend dès aujourd'hui la commercialisation de sa chaine de télévision sportive en exclusivité avec ses offres d'accès à internet. Elle infirme ainsi le premier jugement du Tribunal de commerce de Paris, qui l'avait privé de cette exclusivité et contraint à proposer sa chaine de foot à ses concurrents, en réponse aux plaintes de Free et SFR.

La Ligue de football professionnel (LFP), à qui l'exclusivité a cette année rapporté 668 millions d'euros, est ainsi soulagée. Orange a effectivement négocié sa part des droits sur la ligue 1, l'autorisant à diffuser un match sur Orange Sport le samedi soir, pour 203 millions d'euros.

Les magistrats estiment que "le seul fait que le consommateur doive souscrire un abonnement ADSL Orange pour obtenir un accès à la chaine Orange Sport ne répond pas à la définition de la contrainte," contrairement à ce que prétendent Free et SFR. Ils soulignent de plus que SFR est le seul à proposer la chaine brésilienne TBGI.

Free et SFR avaient annoncé d'avance leur intention de se pourvoir en cassation. La fin de l'exclusivité de l'iPhone, prononcée par le Conseil de la concurrence en fin d'année, n'est quant à elle pas remise en cause.
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