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Après trois mois de compétition, les 90 grands gagnants du YouTube Symphony Orchestra ont finalement été présentés. Parmi eux, quatre Français (Accardostudent, Frenchie26, goldmund55, krokmiten77) sont conviés à jouer dans la prestigieuse salle du Carnegie Hall (New York), du 12 au 15 avril 2009, pour un concert exceptionnel en compagnie de Tan Dun (compositeur de "Tigre et dragon").

Le YouTube Symphony Orchestra est le premier concours en ligne permettant à des musiciens amateurs de soumettre leurs vidéos pour faire valoir leurs talents auprès des directeurs des plus grands orchestres des États-Unis. Lancée en décembre 2008, l'initiative aura accueilli près de 13 millions de visiteurs dans plus de 200 pays. Environ 3000 vidéos ont été proposées par les utilisateurs du monde entier. L'initiative est soutenue par le London Symphony Orchestra, Michael Tilson Thomas, Tan Dun, Le Carnegie Hall, et de nombreuses autres institutions de la musique classique.

Les vidéos des vainqueurs, originaires de plus de 30 pays et jouant 26 instruments différents, sont visibles ici.
La vie de fils de l'un des hommes les plus riches du monde n'a rien d'une sinécure... demandez aux enfants Gates ! Dans une interview accordée au magazine Vogue, Melinda Gates a en effet récemment expliqué qu'iPod et iPhone figuraient au rang des objets proscrits au sein du foyer. N'y aurait-il point de salut en dehors des baladeurs Zune et des téléphones Windows Mobile pour la progéniture Gates ?

"Il n'y a que très peu de choses qui sont bannies dans notre foyer", explique Melinda Gates, "mais iPod et iPhone sont deux choses que nous ne donnerons pas à nos enfants". Difficile, effectivement, lorsqu'on porte le nom du cofondateur de Microsoft, d'aller parader à l'école avec des gadgets siglés Apple. "Ca ne me déplairait pas d'avoir cet iPhone", avoue-t-elle pourtant s'être déjà dit en voyant le téléphone de certaines de ses amies.
Le domaine de la recherche sur Internet pourrait-il changer ? Le géant Google sera-t-il un jour détrôné au profit d'un nouveau moteur ? C'est en tout cas ce que souhaitent plusieurs de ses concurrents et plus particulièrement Microsoft.

En effet, la semaine, dernière, lors d'une conférence sur les stratégies financières de Microsoft devant Wall Street, le PDG Steve Ballmer a clairement déclaré que la société devait rattraper son retard face à Google et Yahoo!

A ce jour nous connaissons deux stratégies potentielles pour Microsoft : établir un partenariat avec Yahoo! afin de profiter de sa plateforme et de ses diverses technologies (SearchMonkey, BOSS...) ou reprendre de fond en comble le moteur de Live Search et, au moyen d'une stratégie marketing, le promouvoir comme un nouveau moteur de recherche.

Si Microsoft n'a toujours pas réussi à convaincre Yahoo! d'un rapprochement entre les deux sociétés, nous apprenons que l'équipe de Live Search débute une phase de test interne du moteur Kumo.com. Depuis cet été, plusieurs rumeurs tentaient d'établir un lien entre un renouvellement stratégique de Live Search couplé à ce nouveau de domaine.

Dans un email adressé à l'ensemble des employés Satya Nadella, vice-présidente du département Recherche et Développement chez Microsoft, précise : "malgré les efforts des moteurs de recherche 40% des requêtes ne trouvent pas de réponses (...) 46% des sessions de recherche durent plus de 20 minutes (...) nous pensons que nous pouvons apporter une meilleure expérience de recherche".

Voici à quoi ressemble Kumo.com à l'heure actuelle. Il semblerait que Microsoft entende développer plusieurs types de raccourcis afin de filtrer d'avantage les résultats pour retourner simplement les plus pertinents.
Peut-être les plus "sociables" d'entre vous surfent-ils sur la Toile avec le logiciel Flock. Ce navigateur, qui permet d'interagir avec différents réseaux communautaires tels que Flickr, Facebook, MySpace et Cie, utilise actuellement l'architecture de Mozilla Firefox.

Le magazine Techcrunch rapporte que l'équipe de développement envisage de déployer une version basée sur le projet Chromium sponsorisé par Google et, en ce sens, tirer partie des nouveautés du navigateur Chrome. Au coeur du problème, plusieurs sources aurait affirmé que l'équipe de Mozilla ne prenait pas en compte des besoins de l'équipe de Flock et qu'il était plus facile de développer un projet basé sur la plateforme de Chromium.

Si Shawn Hardin, PDG de Flock, estime qu'il est encore trop tôt pour annoncer une nouvelle direction, il précise tout de même que la version 2.1 utilisera toujours l'architecture de Firefox. Cependant, il avoue : "ces derniers mois, la course aux navigateurs a été relancée avec des innovations trépidantes et séduisantes ". M. Hardin déclare par ailleurs que le navigateur Flock aurait été téléchargé 7 millions de fois avec un taux de satisfaction de 92%.

La semaine dernière, Apple a lancé la bêta de Safari 4, un navigateur reprenant plusieurs fonctionnalités du navigateur de Google et d'Opera avec notamment le placement des onglets au-dessus de la barre de navigation ou une page de démarrage présentant les sites les plus visités sous forme de vignettes. L'équipe de développement de Chromium travaille actuellement sur une version Mac OS X et Linux, ce qui pourrait faciliter le développement de projets parallèles tels que Flock.
le 02/03/2009 à 23:51
50 outils Twitter
Twitter est devenu un site incontournable pour chaque site qu'ils veulent partager ses pensées et rester en contact avec les gens mais aussi pour le marketing, la publicité...

Smashing magazine fait un tour d'horizon des outils, API, dicdacticiels disponibles pour l'intégrer facilement.

Bien sur une petite liste de tutoriaux, de liens et de références, plug-ins sont présentés pour vous aider à utiliser Twitter. Les outils présentés touchent PHP, Jquery, Ajax...

- 50 Twitter Tools and Tutorials For Designers and Developers
Aux Etats-Unis, à la fin du mois dernier, Google a sauté le pas et décidé de placer des liens publicitaires au sein de son moteur de recherche Google News. Le portail d'actualité collecte automatiquement les titres et les extraits d'articles émanant de plus de 4.500 publications anglaises et 500 françaises. Jusqu'à présent Google avait évité de placer des liens AdWords afin de ne pas créer de nouvelles tensions avec les éditeurs. En effet, en 2005, l'AFP accusait la firme de Mountain View de contrefaçon pour afficher l'intégralité de ses dépêches ainsi que ses images. Cette nouvelle pratique ne passera donc pas inaperçue.

Selon le magazine les Echos, même si le portail ne présentait aucune publicité, il générait tout de même du trafic vers le moteur de recherche principal et 100 millions de dollars ou 0,5 % du chiffre d'affaires total de la firme de Mountain View. En contre-partie, Google News apporte entre 10% et 20% du trafic Internet de la majorité des sites d'information français.

Philippe Jannet, président du Groupement des éditeurs en ligne (Geste) explique ainsi : "nous ne sommes pas opposés à ce que le moteur de recherche intègre de la publicité sur Google News. Mais à condition qu'il y ait une répartition du chiffre d'affaires généré avec les journaux. Car ce service n'existerait pas si nos articles n'y étaient pas présents".

Eric Schmidt, PDG de Google, a expliqué à plusieurs reprises que la société soutenait les éditeurs et Pascal Pouquet, directeur adjoint des nouveaux médias du groupe Figaro, s'étonne de cette initiative. "Nous avions eu des discussions avec Josh Cohen de Google lors de sa visite récente en France et il nous avait pourtant dit qu'il ne souhaitait pas tirer de chiffre d'affaires directement de Google News", rapporte-t-il aux Echos.

Sur son blog officiel Google précise simplement : "nous continuerons de déterminer les manières d'afficher des publicités qui soient pertinentes pour l'utilisateur ainsi que pour l'éditeur".
Sept nouvelles langues - turc, thaïlandais, hongrois, estonien, albanais, maltais et galicien - ont fait leur apparition sur Google Traduction, le service de traduction en ligne du numéro un mondial des moteurs de recherche, ce qui porte à 41 le nombre total de langages pris en compte.

Accessible depuis le navigateur Web, ou éventuellement intégré à ce dernier par l'intermédiaire d'un plugin, Google Traduction propose depuis plusieurs années la traduction automatique de tout ou partie d'une page Web. Ce moteur automatique, fonctionnant à l'aide d'algorithmes et de modèles statistiques, offre sans surprise des résultats inférieurs à une vraie traduction, mais permet de saisir la teneur d'un texte ou d'une page Web rédigée dans une langue qu'on ne connait pas.

Conscient que ce type de service est une bonne façon de fidéliser les internautes, Google a récemment entrepris d'adapter son outil de traduction à d'autres pans de son activité. Le lecteur de flux RSS Google Reader propose ainsi depuis la fin d'année 2008 une traduction des contenus à la volée.

En août dernier, Google a également ouvert un centre de traduction en ligne, sorte de place de marché destinée à réunir internautes en quête d'informations et traducteurs professionnels.
Le fan sub, nouvelle bête noire des studios ? Plusieurs sites spécialisés dans la conception, l'hébergement et la diffusion de fichiers de sous-titres destinés aux séries américaines rapportent avoir reçu ces derniers jours un courrier d'avertissement émanant de Warner Bros. Producteur de séries telles que The Big Bang Theory, Terminator : The Sarah Connor Chronicles, Chuck ou Smallville, le studio en appelle au droit d'auteur, et met en demeure les sites concernés de cesser séance tenante la diffusion des fameux ".sub" et ".srt".

« En mettant à la disposition du public sans autorisation des contenus protégés par la propriété intellectuelle, tels que des traductions des dialogues des oeuvres Warner Bros., vous portez atteinte à nos droits. Ceci engage votre responsabilité civile et vous expose à d'éventuelles poursuites judiciaires civiles. En outre, la violation de ces droits est constitutive d'infractions pénales », indique l'émetteur du courrier, qui se présente comme le département anti-piraterie de Warner Bros.

Le fansub, ou sous-titrage par les fans, n'a rien d'un phénomène nouveau. Initialement, les fansubbers se chargeaient d'assurer eux-mêmes le sous-titrage de vidéos, souvent japonaises, pour lesquelles il arrivait qu'aucune traduction officielle ne soit proposée. Le modèle a depuis été transposé, avec un succès toujours grandissant, aux séries américaines. L'avènement des Lost et autres Heroes a fait qu'une bonne partie des internautes n'a pas la patience d'attendre la diffusion en France de la nouvelle saison de sa série préférée.

Pendant que certains enregistrent et redistribuent les séries américaines dès leur diffusion outre-Atlantique, d'autres se chargent de réaliser les sous-titres correspondants, et les diffusent sur des sites spécialisés. Jusqu'ici, la communauté française du fansub n'avait jamais été directement inquiétée, notamment parce que les principaux sites qui la composent se contentent de distribuer les sous-titres, laissant à d'autres le soin de recenser les liens permettant de télécharger les vidéos.

Certains prennent au sérieux les menaces formulées par Warner, à l'image de Frigorifix.com, dont le site est toujours en ligne, mais ne propose plus aucun fichier au téléchargement. Chez SeriesSub, on refuse pour l'instant de commenter la question. U-Sub, qui n'a pas reçu le courrier de Warner, dit continuer, "pour l'instant", comme par le passé. Forom.com a quant à lui supprimé les sous-titres des séries produites par Warner.

« Il n'y a aucun doute sur le copyright de toute traduction et adaptation d'un dialogue protégé par la loi sur les droits d'auteur. C'est exactement la même législation que pour toutes paroles ou texte de chanson », rappelle TheLovers sur les forums de u-sub. Si les principaux concernés, équipes de traduction ou éditeurs de sites, s'accordent à reconnaitre prendre quelques libertés avec le droit d'auteur, tous défendent toutefois l'intérêt de sous-titres qui contribuent grandement au succès des séries concernées.

Les chaines de télévision ont d'ailleurs compris qu'il était dans leur intérêt de proposer le plus rapidement possible les contenus dont elles achètent les droits. Ainsi TF1 propose-t-elle en vidéo à la demande des épisodes sous-titrés de Heroes moins de 24 heures après la diffusion aux Etats-Unis.
Six mois après le dépôt d'une première plainte contre France Telecom au sujet de sa stratégie dans les contenus, le groupe Vivendi a annoncé lundi qu'il aller déposer une plainte auprès de la commission européenne contre France Telecom (Orange) pour abus de position dominante dans la boucle locale (ADSL).

"Nous estimons qu'il y a abus de position dominante de France Télécom, avec les tarifs pratiqués en matière d'abonnement et d'accès à la boucle locale, ce que l'on appelle aussi le dégroupage" a expliqué Jean-Bernard Lévy, président du directoire de Vivendi, lors d'une conférence téléphonique rapportée par l'AFP.

Facturé 9,29 euros hors taxe aux opérateurs alternatifs, cet accès à la paire de cuivre est dans le collimateur d'opérateurs alternatifs comme Iliad depuis déjà quelques années et pourrait encore baisser sous l'action de l'ARCEP, qui souhaite relancer la concurrence sur un segment encore contrôlé à plus de 50% par l'opérateur historique.
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