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Après avoir publié la mise à jour 10.5.6 au mois de décembre, hier Apple a distribué aux développeurs une version de Mac OS X 10.5.7, un fichier qui pèserait, à l'état actuel, 440 Mo.

Outre la correction d'une soixantaine de bugs, Apple aurait concentré ses efforts sur la synchronisation de plusieurs applications phares embarquées avec le système d'exploitation telles que Mail.app, le Carnet d'Adresses, le panneau de configuration et le service en ligne MobileMe. La firme annonce aussi avoir résolu un problème connu sous Safari qui n'acceptait pas certains cookies.

Notez que Mac OS X 10.5.7 devrait embarquer de nouveaux pilotes graphiques et que plusieurs services ont été mis à jour à savoir : Time machine, le service d'impression, le système de partage d'écran, la connectivité AirPort ou encore le calendrier iCal.
Les grands noms du commerce en ligne s'inquiètent de l'augmentation du nombre de contrefaçons. Chez Priceminister par exemple, on aurait constaté en 2008 une explosion du nombre de produits high-tech contrefaits (+170% sur un an). Logiciels, MP3 et autres ne représenteraient pourtant que 37% de ce trafic.

Ce leader européen de l'achat-vente en ligne a présenté mercredi, en compagnie du directeur général des Douanes Jérôme Fournel et du président de l'Union des fabricants (Unifab) Marc-Antoine Jamet, une étude inquiétante pour le secteur technologique. Des marques telles qu'Apple (+328%), Microsoft (+295%) ou Nintendo (+133%) ont été particulièrement touchés cette année par ce manque à gagner. Priceminister fait même état des premières contrefaçons du téléphone BlackBerry. Parmi les plus touchés, on trouve également le secteur de la mode avec Nike, Chanel, Dolce&Gabbana, Burberry et autres qui représente près de deux contrefaçons sur trois.

Le site Priceminister se défend en rappelant qu'il a déjà investi plus d'un million d'euros pour mettre en place une garantie anti-contrefaçon et renforcer ses outils de surveillance. Reste qu'avec 9 millions de membres qui proposent 120 millions de produits sur un marché représentant 20 milliards d'euros en France, ces précautions semblent illusoires. Pourtant, Pierre Kosciusko-Morizet, le fondateur, veut continuer à y croire : "Nous avons une vraie responsabilité par rapport aux marques".

Désormais, il reste à espérer que la quinzaine de personnes qui composent (actu:256944 la nouvelle cellule de police Cyberdouanes], dédiée au commerce en ligne, suffira. Mais pour cela, les douanes devront certainement dépasser le seuil des 600.000 articles contrefaits saisis l'année dernière.
A la suite du fiasco né d'un changement avorté des conditions d'utilisation du service, Facebook joue la carte démocratique. Mark Zuckerberg a indiqué jeudi dans un billet que les changements significatifs apportés au réseau social seraient désormais ouverts aux commentaires des utilisateurs.

Par ailleurs, Facebook entame un dialogue avec ses membres sur la définition des principes fondamentaux d'utilisation du site ('Facebook Principles', d'un côté, 'Statement of Rights and Responsibilities', de l'autre. Ce dernier remplace les conditions d'utilisation du service ou 'Term of Use'). Les amateurs sont invités à commenter et à voter, ces 30 prochains jours."Si nous essayons de faire progresser le monde, d'être plus transparents et d'amener les gens à partager plus d'informations, disposer d'un processus ouvert est le seul moyen d'y parvenir", a déclaré à la presse Mark Zuckerberg.

Les 175 millions d'utilisateurs du réseau social seront-ils rassurés ? Début février, le changement controversé des termes d'utilisation de Facebook, dont la mention évoquant "une licence perpétuelle et mondiale" sur l'ensemble des contenus publiés, a obligé la jeune pousse à revenir aux conditions initiales.
le 26/02/2009 à 23:35
iMy : MySQL sur iPhone
Voici la nouvelle version d'une API sur iPhone.

Imy est un client MySQL et dispose de la capacité de générer des requêtes complexes sans jamais utiliser le clavier. IMY présente une interface similaire à MobileCan.

Les spécifications de iMy sont :
- Construire des requêtes complexes en utilisant le mot-clé dans la liste et la table et de champ vues  Enregistrer les requêtes pour une utilisation future  
- Exportation des résultats de la requête Google Spreadsheets
- Filtre les résultats de la requête
- Envoyer des E-mails directement à partir de résultats de la requête IMY
- Obtenir des statistiques du serveur, et de mettre fin à des processus
- Utilisation de trousseau pour stocker des mots de passe sécuritaire

- Site de iMy 1.2
Les six éditions de Windows 7 présentées au début du mois sont certes supposées fonctionner d'après Microsoft sur des netbooks, mais une septième édition réservée aux ordinateurs à bas prix est néanmoins prévue. C'est en tout cas ce qu'a annoncé Steve Ballmer, le résolument loquace PDG de Microsoft, en marge de nombreuses récentes annonces.

La liste des nombreuses déclinaisons du successeur de Windows Vista avait surpris, tant une version réservée aux mini-portables était attendue. Les netbooks actuellement commercialisés doivent effectivement se contenter du vieillissant Windows XP, le dernier système d'exploitation en date n'étant pas adapté à ces machines aux performances modestes. Microsoft compte toutefois tirer profit de ce marché en pleine expansion avec une version dédiée de son futur système d'exploitation. Ni le nom de cette version allégée de Windows 7 ni les fonctions auxquelles celle-ci n'aura pas droit n'ont cependant été révélés.

Steve Ballmer n'a décidément pas l'air de craindre la concurrence d'autres systèmes d'exploitation, de Linux ou d'Android dans ce cas particulier, et il pronostique une "forte part de marché" pour Windows 7 dans le domaine des netbooks. Microsoft peut en tout cas compter sur son influence auprès de la majorité des fabricants d'ordinateurs, qui livrent le plus souvent Linux sur des machines amputées de la moitié de leur mémoire vive et de leur disque dur. Deux tiers des clients de Dell privilégient ainsi les mini-portables sous Windows XP, certes plus chers mais surtout plus puissants que leurs homologues sous Ubuntu, qui profiteraient pourtant volontiers de spécifications techniques identiques.
Annoncé pour le deuxième trimestre 2009, le Service Pack 2 - ou SP2 - destiné à Windows Vista ainsi qu'à Windows Server 2008 devrait vraisemblablement arriver dans les temps, puisque Microsoft en distribue depuis mercredi aux testeurs MSDN et Technet une version RC - Release Candidate. Le développement du SP2 est donc finalisé, et il ne reste plus à l'éditeur qu'à corriger les éventuels bugs résiduels.

Cette version RC permet donc de découvrir la liste finale des corrections et fonctionnalités intégrés par Microsoft au SP2 de Vista. Celui-ci réunit pour mémoire la totalité des patchs logiciels distribués par Microsoft depuis la sortie du SP1, qu'il faudra au préalable avoir installé sur sa machine.

Ce SP2 améliore la compatibilité matérielle du système, et permet notamment la prise en charge des processeurs 64 bit de VIA. Au programme également : la gestion des dernières spécifications de la norme Bluetooth 2.1 ou la possibilité de graver des disques Blu-ray directement depuis Windows Vista.

Vista se dote par ailleurs de l'outil Windows Connect Now (WCN), censé permettre une configuration simplifiée des accès aux réseaux sans fil WiFi. Le SP2 est en outre censé améliorer la prise en charge le format de fichiers exFAT (Extended File Allocation Table), qui a fait son apparition avec le SP1. Toutes les éditions de Windows Server 2008 profiteront quant à elle d'améliorations sur le plan des performances, du stockage ou de l'impression. Ce SP2 vient par ailleurs accompagné de la version 4.0 de Windows Search, l'outil de recherche locale intégré à Vista.

La RC du SP2 de Vista devrait être accessible au grand public dans les jours qui viennent. Le détail des nouveautés pourra être consulté, en anglais, via ce lien.
Lors de son discours devant Wall Street mardi dernier, Steve Ballmer s'est exprimé au sujet du marché du système d'exploitation afin de mettre en perspective la position de Windows face à ses concurrents.

Pour le PDG de Microsoft, qui réfléchit ici en termes financiers, ni Apple, ni Linux ne se placeraient comme les principaux rivaux, il s'agirait au contraire des versions piratées du système. "Les licences de Windows sont au top du marché. En seconde position nous retrouvons des versions piratées [...] il s'agit d'un concurrent difficile à battre. Ils ont un bon prix et un sacré produit mais nous travaillons la-dessus".

En dehors du monde de Windows, Steve Ballmer estime que la principale menace viendrait de Linux et non d'Apple, une société qu'il n'hésite pas à minimiser en public. "Cette année, Apple a augmenté sa part de marché d'à peu près un point." explique-t-il. "Et un point de part de marché sur un chiffre total de 300 millions, c'est intéressant [...] mais selon nous, nous devons traiter à la fois Apple mais aussi Linux en tant que concurrents".

Selon les chiffres IDC rapportés par Eweek, Apple aurait vendu 9,91 millions de Mac sur l'année 2008, un chiffre à mettre en parallèle avec les 297,2 millions de PC commercialisés sur cette période.

Sur le marché de la téléphonie mobile, Steve Ballmer continue de minimiser la firme de Cupertino et le succès de l'iPhone. Il estime que la firme doit se méfier du système Android sponsorisé par Google. Le PDG de Microsoft explique qu'aux Etats-Unis "le numéro du marché des smartphones est Symbian, le numéro 2 est RIM, le numéro 3 est Microsoft, le numéro 4 est Apple. Pour l'instant Google est à peine visible mais nous devons le prendre très au sérieux".

En effet, le système de Google ne serait pas simplement une menace sur le marché du téléphone mais aussi du PC et Steve Ballmer explique que nous devrions aussi voir des ordinateurs portables basés sur Android et sur Linux. "Google sera un concurrent sur le système d'exploitation comme il ne l'a jamais été" déclare-t-il.

Depuis quelques années Steve Ballmer semble prendre en considération la croissance du logiciel libre et si Windows XP a sauvé la mise à Microsoft sur le marché du netbook, de nouvelles menaces se profilent. Le taïwanais Asus a par exemple annoncé qu'un groupe d'ingénieurs travaillaient sur une version d'Android pour ses EeePC. Windows 7 sera-t-il à la hauteur ?
Nous découvrions récemment que la marque Alice allait perdurer malgré son acquisition par Iliad et en dépit de nombreux licenciements. L'ex-fournisseur d'accès à Internet de Telecom Italia va donc continuer à exister en parallèle à Free mais, comme le présageait l'adoption récente par Alice d'un équipement équivalent à celui de son proche cousin, les deux offres risquent fort de devenir identiques.

Iliad a en tout cas annoncé aujourd'hui un rapprochement des deux offres. En bénéficiant à compter d'aujourd'hui de 27 nouvelles destinations incluses dans l'offre de téléphonie illimitée, portant le total à 87 (contre 97 pour Free) et de 70 nouvelles chaînes dans le bouquet TV qui en compte désormais 140 (contre 150 pour Free), l'offre AliceBox est effectivement très proche de l'offre Freebox. Les nouveaux abonnés peuvent pour leur part profiter des débits maximums permis par le nouveau modem, à savoir 28 Mbps en réception en zone dégroupée et 22 Mbps en réception en zone non dégroupée. Les débits en émissions ne sont pas précisés.

Les spécificités d'Alice, telles l'option AliceBox 4 heures mobiles, le service de téléchargement légal et illimité Alice Music ou encore le service client gratuit, sont quant à elles maintenues. La durée d'engagement de 12 mois n'est plus appliquée aux nouveaux abonnés, qui peuvent résilier leur abonnement à tout moment en échange de frais de fermeture de ligne.

Iliad semble vouloir conserver les deux marques sans préciser ses objectifs futurs. Les deux marques bénéficient d'une image différente et complémentaire, permettant à Iliad d'attirer plus d'abonnés au travers de ses deux filiales.
Accusé d'avoir utilisé sans autorisation l'un des titres du groupe MGMT lors d'un des déplacements de son secrétaire général, Xavier Bertrand, ainsi que sur deux vidéos diffusées sur Internet, l'UMP aurait proposé un euro symbolique en guise d'indemnisation. Une compensation jugée bien insuffisante par l'avocate du groupe américain, qui a qualifié cette offre de « méprisante », et « peu respectueuse du droit des auteurs et des artistes ».

Interrogé mercredi sur RTL, Xavier Bertrand a tenu à éclaircir la situation : "La semaine dernière, l'UMP que je représente en tant que secrétaire général, a proposé de discuter - nous en avons parlé avec l'avocate aujourd'hui encore - une somme qui sera une juste indemnisation, mais certainement pas un euro symbolique", a-t-il déclaré.

L'erreur, et la proposition d'indemnisation qui l'a suivie, serait imputable à l'agence Blue Advertainment, responsable de la communication de l'UMP, rapporte l'AFP. Dans un courrier adressé à l'avocate de MGMT, celle-ci aurait reconnu avoir commis une erreur non intentionnelle, et proposé cet euro symbolique de dédommagement.

De son côté, l'UMP se défend en expliquant que la musique utilisée lors de sa convention l'a été dans les règles, puisqu'une déclaration a été effectuée auprès de la Sacem, l'organisme chargé de la collecte et de la répartition des droits d'auteurs sur les oeuvres musicales. Une démarche bienvenue mais insuffisante : « La déclaration à la Sacem dont j'ai connaissance, d'un montant de 53 euros, ne concerne que le premier meeting et ne règle en aucun cas la question de l'autorisation d'exploitation nécessaire », a affirmé à l'AFP l'avocate, selon qui le parti avait déjà été mis en demeure par Universal, maison de disque de MGMT, fin janvier.

A quelques jours de l'ouverture à l'Assemblée nationale des débats relatifs à la future loi Création et Internet, dont l'objectif est d'enrayer le téléchargement illégal des oeuvres de l'esprit sur Internet, l'affaire prend une tournure médiatique qui n'est pas la bienvenue pour la majorité, principal soutien d'un texte déjà lourdement critiqué.
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