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Adobe a annoncé aujourd'hui qu'il allait enrichir son service Photoshop.com de nouvelles offres de stockage et de nouvelles fonctions sociales au cours du mois de novembre.

Jusqu'à présent le service d'hébergement de photographies permettait de stocker et d'éditer des photos mais les fonctions de partage étaient pour le moins limitées. L'envoi de photos sur le service et leur partage devraient toutefois bientôt être facilités. L'application AIR Uploader permettra aux utilisateurs de synchroniser les photos stockées sur leur ordinateur avec le service. Une fonction permettant d'importer ses contacts depuis Gmail, Hotmail ou encore Yahoo! Mail fera également son apparition, permettant de partager plus facilement ses photos. Il sera aussi possible de suivre ses contacts pour être notifié en cas d'ajouts.

Alors qu'un compte gratuit donne droit à 2 Go de stockage, le catalogue d'offres payantes propose dorénavant de nombreuses options. L'offre de base se décline en capacités de 20, 40 et 100 Go, commercialisées respectivement pour 20, 40 et 100 dollars. Les offres Plus qui donnent accès à des modèles d'albums et à des tutoriaux sont quant à elle disponibles dans les mêmes capacités pour respectivement 50, 70 et 130 dollars.
Alors que Microsoft vient de lever le voile sur Windows 7, certains restent encore nostalgiques des anciens systèmes développés par la firme de Redmond. En effet, après avoir cessé le support utilisateur de Windows 3.x à la fin 2001, Microsoft a stoppé la distribution des licences du système le 1er novembre dernier.

En mai 1990, Microsoft publie Windows 3.0. Ce nouveau système d'exploitation est désormais capable de gérer 640k de mémoire vive et l'interface graphique du système est alors digne de concurrencer celle du Macintosh. L'apparition de la carte vidéo VGA permet une prise en charge des graphiques beaucoup plus poussée qu'au sein des versions précédentes. Windows commence à attirer de plus en plus de développeurs avec un support natif des programmes largement amélioré. En mars 1992, Windows 3.1 - au nom de code Janus - introduit plusieurs polices pré-installées ainsi qu'un outil de traitement de texte. A ce jour, on estime qu'environ 10 millions de copies de Windows 3.0 ont été vendues à travers le monde.

La BBC rapporte les propos de Andy Rathbone, auteur du livre Windows 3.x pour les Nuls : "cela fait longtemps que je n'ai pas reçu d'email pour la version 3.11 de Windows, mais je ne serais pas surpris si certaines personnes l'utilisaient encore" avant d'ajouter : "avec un pilote SVGA pour une résolution de 1024x768, Internet Explorer 5,WinZIP, VfW et Video Player, il est encore très utilisable. Le bureau se chargeait en quelques secondes".
En attendant la mouture finale de Fedora 10, attendue aux alentours du 25 novembre prochain, les impatients pourront se tourner vers une version d'évaluation, publiée cette nuit, de cette distribution Linux. Cette "pré-release", ou Release Candidate (RC), qui fait son apparition seulement un mois après la sortie de la première bêta du logiciel, permet de se faire une idée des nouveautés implémentées par les responsables du projet et servira à recenser les derniers bugs et problèmes divers pouvant subsister.

Au programme de Fedora 10, nom de code Cambridge, on trouve bien sûr la mise à jour des différents utilitaires et composants systèmes, à commencer par le noyau Linux 2.6.27.4, KDE 4.1.2, Xorg Server 1.5.2 et Gnome 2.24.1. Au niveau du fonctionnement général du système, les développeurs indiquent avoir eu à coeur d'accélérer le démarrage, avec pour objectif de parvenir à l'écran d'identification de l'utilisateur en trente secondes ou moins. Le gestionnaire de démarrage graphique rhgb (Red Hat Graphical Booter) a été remplacé par Plymouth, l'une de ses alternatives.

Avec Fedora 10, un nouveau gestionnaire de connexion, permet de partager simplement une connexion Internet (filaire, WiFi et même 3G) par le biais d'un réseau WiFi ad-hoc, fait son apparition. Fonctionnalités d'impression et prise en charge des webcams ou télécommandes infrarouges ont également été améliorées. La toute nouvelle version 4.6 du gestionnaire de paquets RPM, hérité de la distribution Red Hat dont Fedora est la version communautaire libre, fait ses premières armes sur cette distribution. Enfin, le système de fichiers ext4 est supporté.

Avant de renvoyer vers les notes de version, on signalera enfin que le gestionnaire de paquets RPM Fusion, réunion des dépôts non officiels Freshrpms, rpm.livna.org et Dribble, ouvre ses portes à l'occasion de la sortie de cette RC de Fedora 10.
Si tu ne vas pas dans les clubs banchés, les clubs branchés iront à toi ! Arrivant sur un marché de la musique déjà passablement encombré (iTunes, WinAMP, MusicMe, Deezer, MusicMakesFriends, Last.fm, Songza, JiwaMusic, etc ... ), la société Awdio a néanmoins une idée originale pour se distinguer de ses concurrents : le live.

Revisitant le concept des compilations de bar lancées par Claude Challe à la fin des années 90, Awdio propose en effet aux internautes d'écouter en streaming et en direct une multitude de sources musicales issues d'une centaine de partenaires : concept stores, bars musicaux, clubs branchés et autres salles de concert à travers le monde. En France, Awdio rediffuse ainsi les ambiances musicales de lieux parisiens tels que l'Hotel Coste, l'Alcazar, le Murano ou encore le Cargo de Nuit, situé à Arles en Provence.

"Avec 100 établissements, 3000 artistes et près de 6000 heures de programmes diffusés chaque mois, Awdio constitue virtuellement la plus grande salle de concert au monde" explique Vittorio Strigari, co-fondateur d'Awdio aux côtés du designer Ora-ïto.

Pour y parvenir, la société a installé chez ses partenaires des "AwdioBox", boîtiers multimédia capables d'encoder le son à sa source puis de le rediffuser par internet sur son site www.awdio.com. Gratuits pour les internautes les écoutant en direct, ces flux seront également accessibles dans le cadre d'un forfait premium (9,90 euros / mois), pour une écoute à la demande des playlists.

Un nouveau service gratuit et légal qui devrait en tout cas faire le bonheur des internautes mélomanes à l'heure où le Parlement s'apprête à durcir la législation contre le téléchargement pirate.
L'équipe de développement de Yahoo! Live a annoncé que le service de vidéo en streaming, lancé le 7 février dernier, fermera ses portes le 3 décembre prochain.

Issu du Brickhouse, le département de recherche de Yahoo!, le service Yahoo! Live s'inscrit dans la lignée de Justin.tv ou uStream en permettant à l'internaute de configurer sa webcam en quelques clics et de créer sa propre chaine de flux vidéo en direct. A la sortie du produit, l'équipe de développement avait annoncé de plus grandes ambitions comme par exemple "la diffusion en temps réel d'un concert". Cependant, Yahoo! Live n'a jamais gagné une forte popularité : en pleine journée, le service ne rassemble à peine que quelques centaines d'utilisateurs au niveau international.

Keith Thornill, développeur du projet, annonce sur le blog officiel :

"Notre mission au Brickhouse est de développer rapidement des idées de produits ayant une valeur ajoutée globale pour Yahoo! Dans cette optique nous testons nos nouveaux services et parfois nous devons faire le choix difficile de les laisser tomber pour se diriger vers d'autres horizons et développer de nouveaux produits [...] C'est donc dans une grande tristesse que je vous annonce la fermeture de Yahoo! Live, ce projet du Brickhouse orienté dans la diffusion vidéo communautaire, le 3 décembre prochain."

Ce n'est pas la première fois qu'un projet du Brickhouse est mis aux oubliettes. Au mois d'août dernier, le réseau social Yahoo! Mash - alors en phase bêta - fut abandonné. Au regard de la stratégie d'ouverture dévoilée par Yahoo! il ne serait pas surprenant d'apprendre que la firme de Sunnyvale décide de mettre un terme à Yahoo! Kickstart, le réseau communautaire semi-professionnel. À l'heure où nous écrivons ces lignes, le site est d'ailleurs inaccessible.

En attendant, l'équipe de Yahoo! Live invite l'utilisateur à tester l'outil de géolocalisation Fire Eagle.
A la suite du vote au Sénat, en première lecture, du projet de loi création et internet, la Cnil précise son point de vue. Alex Türk, président de la Commission nationale informatique et libertés, a déclaré lundi avoir pris connaissance "avec étonnement" d'un article publié dans les colonnes du quotidien La Tribune. Dans cet article, était fait mention du contenu d'un avis rendu par la Commission le 29 avril 2008 sur l'avant-projet de loi, également qualifié d'Hadopi (Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet).

La Cnil précise qu'en vertu de la loi du 17 juillet 1978 et de l'interprétation de la commission d'accès aux documents administratifs, "la Cnil n'était pas en droit de rendre publique cette délibération sans l'accord du gouvernement." La Commission informatique affirme, par conséquent, s'être refusée à communiquer sur le sujet, y compris au rapporteur du Sénat en charge du projet de loi qui lui en avait fait la demande. La Commission ajoute qu'une "telle publication, produite en dehors du cadre juridique légal" met la Cnil en porte à faux."Dans l'avant-projet examiné en avril par la Cnil, affirme la Commission, l'Hadopi se voyait conférer la possibilité de demander aux fournisseurs d'accès de procéder au filtrage des contenus, ce qui constituait un risque d'atteinte à la liberté d'expression. Dans le nouveau texte soumis aux assemblées par le gouvernement, cette disposition a été modifiée puisqu'il est désormais prévu que seule l'autorité judiciaire puisse ordonner aux FAI de procéder au filtrage des contenus."

En outre, la Cnil estime que les règles de publicité de ses avis "devraient être revues de façon à assurer une parfaite information du Parlement." Pour mémoire, le projet de loi création et internet, tel que validé par le Sénat le 31 octobre dernier, intègre le principe polémique de riposte graduée. Plutôt que l'amende, les sénateurs ont privilégié la coupure de l'accès internet des individus qui auront effectué des téléchargements illégaux de fichiers audio/vidéo.
le 04/11/2008 à 23:56
10 Équivalences entre HTML et PHP
Tout le monde a étudié au HTML, et souvent vous comme moi, il peut-être utile de réaliser certaines fonctions que nous connaissons bien en HTML alors qu'il existe la même chose en PHP.

Le site « html blog » propose les équivalences suivantes :
- Vérification les adresses e-mail
- Générateur de mot de passe aléatoire
- Obtenez l'adresse IP
- Transformation XSL
- Force le téléchargement d'un fichier
- Chaîne de caractères d'encodage pour empêcher code nocif
- Envoi de mail
- Transfert de fichiers
- Liste des fichiers dans le répertoire
- Partager et s'amuser

- 10 code snippets for PHP developers
Le marché mobile ne connait pas encore la crise ! La France compte désormais 56,4 millions d'abonnés mobiles, ce qui représente un taux de pénétration de 88,7%. Sur le seul troisième trimestre 2008, le marché a gagné 370.800 nouveaux abonnés, soit une croissance nette trimestrielle de 0,7%, rapporte l'Autorité de régulation (Arcep) dans un communiqué daté du 3 novembre 2008.

Les opérateurs de réseaux, les historiques, Orange, SFR et Bouygues Telecom, conservent la part du lion. Quant aux opérateurs mobiles virtuels (MVNO), ils gèrent 2,6 millions d'abonnés à fin septembre (dont 145.400 gagnés sur le troisième trimestre), soit 4,9% du parc total.

La portabilité du numéro mobile progresse également. Depuis l'ouverture du processus en 2003, 2,7 millions de numéros ont été portés (le numéro de mobile initial est conservé lors d'un changement d'opérateur), dont 304.000 sur le seul troisième trimestre 2008. Si le multimédia mobile progresse avec la 3G, le message texte court (SMS) reste une valeur sûre avec 8,6 milliards de SMS envoyés fin septembre 2008, ce qui représente tout de même une moyenne de 52 SMS par client et par mois.

Globalement, le marché du forfait a augmenté de 2,2% sur le trimestre (+805.000 abonnés) avec un revenu moyen par abonné de 44,30 €/mois (62% par rapport au T2), alors que le segment de la carte prépayée a peu 2,3% (-434.000 abonnés), avec un revenu moyen/abonné de 15,4 €/mois (+6,6%). En valeur, au T2 08, le marché du forfait mobile français a généré un CA de 4,79 milliards d'euros celui du prépayé, 756 millions d'euros.
Ceux qui attendaient la sortie de nouveaux ordinateurs iMac, ou l'arrivée d'une nouvelle génération de Mac Mini, risquent d'en être pour leurs frais : un porte-parole d'Apple a tenu à mettre fin à toute spéculation, en indiquant que la gamme de produits destinée aux fêtes de fin d'année était déjà arrêtée, et qu'il n'y aurait donc aucune nouvelle annonce avant 2009.

Comme toujours lorsqu'il s'agit d'Apple, les rumeurs allaient bon train. Certains n'hésitaient pas à pronostiquer l'arrivée de nouveaux iMac pour le 10 novembre, dans la mesure où ces derniers n'ont pas été mis à jour depuis l'introduction des configurations à base de processeurs Penryn, ou de stations de travail Mac Pro mises au goût du jour. Pour ces dernières, Apple pourrait toutefois choisir d'attendre qu'Intel étoffe sa gamme de processeurs Core i7. Enfin, dans la mesure où il n'a pas été mis à jour depuis 2007, le Mac Mini faisait partie des candidats les plus plausibles à une refonte générale.

"Notre ligne de produits pour les vacances (de fin d'année, ndlr) est arrêtée", a déclaré Bill Evans, porte-parole d'Apple, au site MacWorld. Même si Apple ne prévoit pas de lancer de nouveaux produits d'ici la fin de l'année, la firme n'est pas restée inactive ces derniers mois, puisque les gammes MacBook, MacBook Pro, iPod et Cinema Display ont toutes été mises à jour.
La publicité serait-elle la solution au problème du piratage ? Il semblerait en tout cas que ce soit le cas pour le réseau social MySpace et pour son nouveau partenaire Auditude, spécialiste de la rentabilisation de vidéos. Les deux sociétés annoncent aujourd'hui un partenariat pour faire des vidéos piratées une source légitime de revenus publicitaires.

Comment ? En faisant appel à une technologie d'Auditude qui identifie les contenus soumis aux droits d'auteurs publiés sans autorisation par les utilisateurs et en les accompagnant de publicités ciblées, dont les recettes sont partagées avec les ayants-droit. La société présente cette solution comme une alternative à la répression du piratage, qui impose aux producteurs de mener une traque qui demande du temps, de l'argent et de longues procédures judiciaires.

Ainsi avec cette méthode, en plus de légitimer d'une certaine manière le piratage qui représente une part non négligeable de leur fond de commerce, les deux sociétés assurent l'entrée de plus de revenus sur les comptes des producteurs partenaires mais aussi et surtout sur les leurs. « Tout le monde est gagnant », souligne très justement le responsable marketing de MySpace Jeff Berman.

Le piratage prend dès lors une toute autre allure pour MTV Networks qui n'a pas tardé à signer un accord avec les deux sociétés pour bénéficier de ce système. Le piratage dont les chaines MTV et Comedy Central notamment sont bénéficiaires victimes, apporte désormais des revenus. La monétisation des contenus piratés s'enrichit qui plus est d'une fonction permettant de proposer des liens promotionnels tel que des options d'achat. La MPAA (Motion Picture Association of America), pourtant très virulente à l'égard du piratage, a quant à elle validé la technologie.

MySpace est le premier site à en bénéficier mais le directeur général d'Auditude, Adam Cahan, indique que sa technologie permet de surveiller la diffusion de contenus soumis aux droits d'auteurs presque n'importe où sur la Toile. Sans se risquer à lancer un pronostic sur le résultat, il constate par exemple que le candidat démocrate à la présidence des États-Unis Barack Obama écrase en quantité de clips publiés son rival républicain John McCain. Au sujet du piratage, il conclut : "Nous nous adaptons à ce que font les internautes en les utilisant comme des canaux de distribution," a-t-il déclaré auprès de l'AFP. Visionnaire ?
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