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le 30/10/2008 à 23:06
Y!OS 1.0
Y!OS est la nouvelle plateforme de Yahoo Open Strategy.

Il a pour but de regrouper une plate forme sociale, communautaire et une plateforme application. Mais ces applications permettent aux développeurs de créer des applications Web qui sont disponibles tout au long de Yahoo.

Cette plateforme se compose des éléments suivants :
- Environnement de développement
- API et Web Services
- Distribution d'infrastructure et de la découverte
- Runtime environnement et de l'équarrissage

Bien sur, un SDK a été prévu en PHP.

- Yahoo! Application Platform
- Introducing Y!OS 1.0
Réuni aujourd'hui autour de la question du projet de loi « Création et Internet », le Sénat a finalement pris la décision de ne pas suivre l'avis de la commission des affaires économiques, qui suggérait que la suspension de l'abonnement à Internet prévue dans le cadre du dispositif de riposte graduée soit remplacé par une amende. Déposé par le sénateur Bruno Retailleau, l'amendement correspondant a en effet été rejeté jeudi après-midi par 297 voix contre 15.

"Cet amendement, qui n'a rien de révolutionnaire, propose une riposte graduée, tout en substituant une amende à la coupure de l'abonnement. Avec l'amende, nous créons la sanction et nous la modulons : quand un auteur fait l'effort de mettre son oeuvre sur une plate-forme de téléchargement légal, l'amende doit être plus forte que lorsqu'il n'a pas fait cet effort. On a ainsi un équilibre entre encouragement à l'offre légale et incitation contre les offres illégales. Le produit de cette amende serait réaffecté à la filière puisque celle-ci subit un préjudice économique", a résumé Bruno Retailleau en séance.

Dans l'esprit de la commission des affaires économiques, la mise en place d'une amende offrait également l'avantage de ne pas pénaliser les Français qui ont un abonnement couplant Internet, téléphone et télévision, dans la mesure où il pourrait se révéler délicat de couper l'un sans altérer le bon fonctionnement des deux autres ; mais aussi de rendre inutile la création d'un fichier listant tous les contrevenants, dont l'idée déplait à la Cnil. Enfin, l'amende serait bénéfique au développement de l'offre légale puisqu'elle inciterait l'internaute à se tourner vers les offres légales, ce qu'il ne risque pas de faire s'il n'a plus d'accès au Net.

"En instaurant des peines pécuniaires, on changerait de logique : le répressif l'emporterait sur le pédagogique", a pour sa part argué Christine Albanel, ministre de la culture et de la communication. "Nous avons eu de très longues discussions avec tous les fournisseurs d'accès qui nous ont dit que la coupure de la seule liaison internet était possible, même si elle avait un coût. Dans les cas résiduels, la loi prévoit d'autres possibilités, notamment l'installation de logiciels empêchant le piratage", a-t-elle ajouté.

Amende ou suspension, l'une de ces sanctions est-elle de nature inégalitaire ? L'amende le serait pour Christine Albanel, dans la mesure où tous n'ont pas les mêmes revenus, mais la suspension ne le serait pas moins pour Bruno Retailleau : "vous pourrez y échapper si vous êtes technophile (...), si vous avez plusieurs ordinateurs à votre domicile, ou encore si vous avez accès à internet sur votre lieu de travail". "Je salue la qualité de ce débat, qui montre que le Parlement joue pleinement son rôle. Nous avons certes un désaccord mais ce n'est pas la lutte ouverte que nous avons connue lors de la loi DADVSI entre ayants droits et fournisseurs d'accès, voire entre musique et cinéma !", a fait remarquer Christine Albanel. "Il reste que les familles s'inquiètent d'une punition collective infligée pour les actes d'un seul de ses membres...", a discrètement souligné une sénatrice avant que le président de séance fasse procéder au vote.
La bataille fait rage entre Neversoft et Harmonix, respectivement développeurs des jeux vidéo Guitar Hero et Rock Band, mais ce dernier aurait remporté une importante victoire. Les deux studios se font la guerre depuis de nombreux mois en obtenant l'exclusivité de certains des plus grands musiciens de tous les temps. Le premier est ainsi privilégié par Metallica tandis qu'AC/DC est l'apanage du second.

Une édition spéciale The Beatles de Rock Band pourrait ainsi prochainement voir le jour. MTV et Apple Corp, respectivement éditeur du jeu et détenteur des droits du groupe anglais, ont effectivement indiqué avoir signé un accord exclusif dans l'optique de développer un projet musical global. MTV et Harmonix pourraient aussi décider de distribuer les morceaux des Beatles sous forme de téléchargement sur la plate-forme déjà en place. L'éditeur Activision propose quant à lui une édition spéciale Aerosmith de Guitar Hero.

Bien qu'il ne soit pas encore détaillé, ce succès est symbolique, pas seulement dans l'industrie du jeu vidéo, mais aussi et surtout sur le marché de la musique dématérialisée : c'est une première, la musique des Beatles pourrait bientôt être distribuée en ligne.

Notons qu'Apple Corp. n'est pas la société californienne qui fabrique baladeurs à succès, ordinateurs, et qui détient surtout l'une des plus importantes boutiques de musique en ligne. Les deux sociétés ont néanmoins déjà été en relation, l'iTunes Store ayant déjà vainement tenté d'obtenir le catalogue des Beatles en exclusivité, en marge de quelques procès.

Quoi qu'il en soit, cette annonce de la part de MTV augure l'arrivée prochaine des disques des Beatles sur les plate-forme de téléchargement légal. La remasterisation du répertoire du groupe a commencé il y a quelques années et Paul McCartney prévoyait la mise à disposition de ce dernier sur la Toile au cours de l'année 2008.
En dépit du climat délétère qui règne sur les places financières, France Télécom réalise pour le troisième trimestre de l'année un chiffre d'affaires conforme à ses attentes, s'établissant à 13,55 milliards d'euros, soit une progression de 2,3% à base comparable sur un an. L'opérateur se félicite de ce chiffre qui selon lui « reflète une solide performance dans un contexte économique général difficile » et remarque qu'en dehors de l'Espagne et de quelques pays émergents, il n'a constaté aucun impact direct sur ses activités.

Dans le domaine des services résidentiels, France Télécom revendique pour la France 8,08 millions de clients grand public au 30 septembre dernier, soit une progression de 1,167 million de nouveaux abonnés en un an un total qui représente environ 49,5% du marché hexagonal de l'ADSL. L'opérateur indique disposer, toujours pour la France, d'un parc de 6,226 millions de Livebox installées et compter 5,361 millions de clients à ses services de voix sur IP ainsi que 1,603 million de clients à la TV numérique (ADSL et satellite).

Dans le domaine du mobile, Orange affirme compter 24,524 millions d'abonnés mobiles en France au 30 septembre 2008, dont 1,686 million d'abonnés à des MVNO (opérateurs virtuels qui utilisent le réseau Orange). Ce sont également 16,557 millions d'abonnés à des offres au forfait qui ont été référencés.

Les services de données hors SMS représentent désormais plus de la moitié (53%) du total du chiffre d'affaires des services de données, et enregistrent une croissance de 26,5% sur les neuf premiers mois de 2008. "Ces évolutions reflètent la forte progression du nombre de clients aux services Haut Débit mobile qui s'élève à 9,9 millions au 30 septembre 2008 contre 6,3 millions au 30 septembre 2007 (+58% en un an)", commente France Télécom. Le groupe précise enfin que le chiffre d'affaires des ventes d'équipement est en progression de 24,5% sur les neuf premiers mois de 2008, tiré par les terminaux multimédia, en particulier de l'iPhone 3G dont le nombre de ventes au troisième trimestre 2008 s'élève à 216 000 unités.
La société Canonical LTD n'a toujours pas annoncé officiellement la sortie de la nouvelle version du système Ubuntu en version 8.10. Cependant, Intrepid Ibex est d'ores et déjà disponible au téléchargement.

Rappelons que cette mise à jour dispose de la version 2.24 de l'environnement graphique Gnome ainsi qu'un nouveau client de messagerie instantanée baptisé Empathy fonctionnant avec les comptes Jabber, Google Talk ainsi que Windows Live Messenger ou Bonjour d'Apple. Le lecteur de médias Totem dispose désormais d'un plug-in permettant la lecture du contenu de la BBC. Le gestionnaire X.org passe en version 7.4 et promet une meilleure prise en charge des périphériques branchés à chaud. Par ailleurs, au travers du gestionnaire des droits d'administration, il sera possible de créer une session "invité" avec des privilèges limités pour un accès temporaire à certains programmes.

Vous avez la possibilité de vous rendre sur le site officiel pour trouver divers miroirs, ou d'utiliser les liens BitTorrent proposés sur cette page. Pendant le téléchargement, vous pouvez lire sur NetEco un entretien de Steve George, directeur support et services de Canonical LTD.
Mauvaise nouvelle pour Wikipedia. Près d'un an après le lancement de Knol aux Etats-Unis, Google vient d'annoncer la localisation de ce nouveau service sur le marché français.

"Nous avons lancé Knol parce ce que nous avons perçu une attente sur le web. Internet est une source gigantesque d'informations, mais une grande partie de la connaissance des internautes n'est pas en ligne." indique Cédric Dupont, chef de produit Knol sur le marché français. 

Accessible à l'adresse knol.google.com, le site permet de consulter des « knol » (Unit of Knowledge) mais se distingue de Wikipedia en mettant réellement en avant leurs auteurs. "Knol permet aux internautes de partager leurs connaissances avec une communauté » insiste Cédric Dupont.

Un positionnement à mi chemin entre l'encyclopédie en ligne et le journal citoyen qui devrait en tout cas permettre à Google de peser sur un segment dominé par Wikipedia mais où évoluent également Lycos avec IQ ou Yahoo avec son service de questions/réponses.
Le jour où Bill Gates distribuera sa fortune par le biais d'une loterie, il faudra sans doute participer à cette dernière pour avoir une chance de gagner, et ne pas simplement se fier aux "lottery scams" qui encombrent nos boites aux lettres électroniques. Afin de lutter contre ce phénomène endémique, Microsoft et Yahoo annoncent aujourd'hui la formation d'une alliance à laquelle participent également Western Union et l'African Development Bank. Au sein de cette nouvelle organisation - pour laquelle aucun nom n'a été trouvé - les quatre partenaires entendent rassembler le plus grand nombre de témoignages de victimes possible, de façon à assister les autorités dans leur lutte contre les escroqueries à la loterie sur Internet.

Le principe est simple, tellement simple qu'il marche. Qu'il s'agisse de la fortune de Bill Gates, d'un fonds de pension américain ou de la loterie nationale d'un état quelconque, l'internaute reçoit un email l'informant qu'il a gagné une grosse somme d'argent, et l'invite à prendre contact avec l'expéditeur pour voir comment récupérer son gain. Quelques échanges de mails plus tard, il lui sera demandé de débloquer une certaine somme d'argent ou de communiquer ses informations bancaires. Les raisons invoquées varient, mais il s'agit en général de régler les frais de dossier liés au transfert de la somme.

Si les geeks évoquent "l'interface chaise clavier" comme la principale faille de sécurité des ordinateurs actuels, les professionnels de la sécurité préfèrent parler d'ingénierie sociale. "Plus vous solidifiez un système informatique, et plus les attaques se rapprochent des utilisateurs", résume Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité chez Microsoft France. Et si les gens qui lisent la presse spécialisée sont sensibilisés depuis des années à ce type de menace, il n'en irait pas de même auprès du grand public. "On voit des gens venir frapper à la porte de Microsoft, et réclamer le prix qu'ils croient avoir gagné à la loterie de la fortune de Bill Gates", raconte ainsi B. Ourghanlian.

Une étude Ipsos, commanditée par Microsoft, soutient ce raisonnement. Conduite dans sept pays européens, dont la France, celle-ci souligne que les internautes sont sensibles à ces tentatives d'escroquerie qui sapent, au moins partiellement, leur confiance dans le commerce électronique et Internet. 43% des 686 internautes français interrogés dans le cadre de cette étude ne se sentiraient ainsi pas vraiment en sécurité face aux escroqueries susceptibles de leur coûter de l'argent. Un quart d'entre eux estime que ces messages ne sont pas forcément des arnaques en puissance, et 18% les ouvrent. Enfin, un sondé sur cinquante au niveau européen a répondu à ces messages, s'exposant à une escroquerie dont le montant va généralement d'une centaine d'euros à plus de sept mille...

Pour Marc Mossé, directeur des affaires publiques et juridiques de Microsoft, l'objectif de cette nouvelle alliance est d' "essayer de comprendre le fonctionnement des réseaux qui organisent ces campagnes de spam, pour arriver à tarir la source de ces escroqueries". Pour ce faire, chacun de ses membres ouvrira une adresse email destinée aux recueils des témoignages de victimes, et communiquera à son sujet, de façon à la faire connaitre du plus grand nombre.

Microsoft, positionné par les sondés au troisième rang des responsables de l'expansion de ce phénomène derrière les éditeurs en sécurité et les fournisseurs d'accès à Internet, admet que cette opération est bénéfique en termes d'image, mais insiste sur la nécessité d'apporter une réponse qui soit à la hauteur du préjudice subi par les victimes. Les informations recensées par l'Alliance devraient permettre à ses membres de constituer des dossiers étayés, qui pourront ensuite être transmis aux forces d'investigation et autorités publiques des différents pays où sévit le phénomène.

Bienvenue, l'initiative ne parait pas à première vue foncièrement différente de ce que proposent déjà la France et la Cnil avec Signal Spam, qui a déjà permis de recueillir plus de 12 millions de messages frauduleux. Il existe pourtant une nuance de taille : Yahoo, Microsoft et les autres invitent ici les vraies victimes à leur faire part de leur expérience. Autrement dit, il ne s'agit pas de référencer tous les spams qui circulent, mais plutôt les cas concrets, ceux qui ont donné lieu au dépôt d'une plainte.

Il reste en effet un problème de taille : bien que l'on attribue une part de responsabilité aux géants de l'Internet, ces derniers ne peuvent se substituer à l'internaute pour déclencher des poursuites, puisqu'il faut que la plainte émane de la victime. Pour contourner ce qu'il présente comme une carence de la loi, Microsoft explique avoir déjà argué d'un problème de contrefaçon pour pouvoir trainer un spammeur en justice. Yahoo a de son côté initié en mai dernier des poursuites contre un réseau de ce type, mais là encore pour contrefaçon de marque.

En France, la question pourrait être abordée dans le cadre de la réforme de la Loi dans la confiance pour l'économie numérique (LCEN), à laquelle le député Jean Dionis du Séjour suggérait en janvier dernier que l'on apporte un amendement permettant "aux opérateurs de réseaux d'agir en justice contre les auteurs de spams qui utilisent leurs réseaux". Cette alliance permettra-t-elle de faire avancer les choses ? Difficile, dans le contexte actuel, d'autant que manquent encore au rang des inscrits des firmes ô combien concernées par la question telles que les FAI, les banques, ou les prestataires de service de paiement tels que PayPal...
Alors que le Sénat entamera aujourd'hui l'examen du projet de loi « Création et Internet", la maison de disques Universal prend les devants, et évoque, via le Figaro, son intention d'abandonner les mesures techniques de protection qui pourraient se révéler bloquantes pour l'utilisateur final. Dans le cadre des accords de l'Elysée, signés en novembre 2007, les producteurs et maisons de disque avaient pris l'engagement d'abandonner ces verrous anti-copie au plus tard un an après le passage de la loi. Tous, ou presque, ont déjà entamé la levée partielle des DRM, comme Universal qui en septembre dernier annonçait la distribution de son catalogue au format MP3 sur la plateforme anglaise 7digital.

Jusqu'ici limité à certains accords commerciaux, le sans DRM pourrait donc devenir la règle dans un avenir proche chez Universal. "Nous allons mener plusieurs expérimentations d'ici à la fin de l'année pour tester l'impact d'une telle mesure et voir si l'absence de verrous fait grimper le nombre de téléchargements", a déclaré Pascal Nègre au Figaro.

"Si le consommateur, sensibilisé par la loi, arrête de pirater, nous n'aurons plus besoin de protéger nos oeuvres. Le choix ne se fera plus entre le payant et le gratuit mais entre le payant et le risqué", explique le PDG d'Universal France. "Après ces tests et si la loi est votée, il y aura une généralisation à l'ensemble du catalogue et des plates-formes", confie-t-il encore, sans aller jusqu'à expliquer quelle serait la stratégie du numéro un des majors en cas d'échec.

La chose n'est pas précisée, mais il parait plausible que "l'abandon des DRM" soit à entendre comme la suppression des verrous numériques sur les fichiers audio achetés à l'unité sur les plateformes de vente en ligne. Le principe de DRM (Digital Right Management), qui correspond donc à la "gestion de droits numériques" et non forcément à de simples verrous, devrait quant à lui perdurer pour les services de type abonnement, au sein desquels il est prévu que l'internaute perde accès à la musique téléchargée lorsqu'il cesse de payer.
Une étude du cabinet RSA met en perspective les points de connexion WiFi dans les villes de Paris, Londres et New York. Cette année, Londres mène toujours la danse, mais la capitale française aurait enregistré une croissance fulgurante et afficherait un taux de sécurité bien plus élevé.

Le déploiement de hotspots à Londres semble ralentir progressivement. Alors que la métropole affichait un taux de croissance de plus de 160% entre 2006 et 2007, cette année RSA aurait dénombré 12 276 hotspots, soit une progression de 72%. En comparaison, la ville de New York City comptabiliserait 3000 hotspots pour une croissance de 45%. Cependant, avec une progression de...543%...la capitale de l'Hexagone paraît cependant en bonne voie pour détrôner la suprématie londonienne. Sur Paris, RSA aurait dénombré 4481 points de connexion.

RSA affirme qu'il y eut un effort considérable en termes de sécurité sur l'année 2008. À New York City, 97% des points de connexion seraient sécurisés contre 76% l'année dernière; c'est légèrement mieux qu'à Paris (94%) et bien mieux qu'à Londres où 20% des hotsposts ne seraient pas protégés. Cependant, le type de protection doit aussi être pris en compte. Wired Equivalent Privacy (WEP), l'ancien standard de chiffrage, a été de nombreuses fois discrédité au profit du WiFi Protected Access (WPA et WPA2). Ici, avec 72% des réseaux protégés en WPA (hors points de connexion publics), Paris arrive en tête du peloton devant New York City (49%) et Londres (48%).

Sam Curry, vice-président, du département Sécurité d'Accès et d'Identité chez RSA insiste : "nous encourageons vivement les administrateurs de réseaux à abandonner le WEP comme système de sécurité et à mettre à jour leur infrastructure au WPA sans attendre. Par ailleurs, il est important que les points d'accès professionnels soient sécurisés - même si le réseau lui-même ne peut-être accédé qu'au travers d'un VPN chiffré.".

RSA a aussi analysé la part des réseaux domestiques dans ces trois capitales. À Londres, les points d'accès WiFi personnels semblent être monnaie courante puisqu'ils représentent 55% des tous les accès de la ville (6730). Ce taux atteint 18% à New York et 21% à Paris. Une fois de plus, c'est à Paris que les réseaux domestiques sont le plus sécurisés (98% dont 75% en WPA) devant New York City (97% dont 61% en WPA) et Londres (90% dont 48% en WPA).

M. Curry conclut : "dans la mesure où les points de connexion continuent de se développer au niveau de la rapidité, de la bande passante et de la sécurité, il s'agit d'une bonne nouvelle tant pour les professionnels que pour les consommateurs. En revanche, les conséquences potentielles d'une personne ou d'un programme accédant des données privées ou sensibles ne peuvent tout simplement pas être ignorées. Nous espérons que l'adoption d'une connexion chiffrée se développera dans les années à venir".
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