News

En Septembre 2008 en France, Google vient d'atteindre la barre des 91% de parts de marché, boosté par 6 mois de hausses consécutives. Yahoo poursuit sa forte baisse, tout comme Orange...

Par rapport au mois précédent :
- Google gagne 0,44 pt à 91,21% (+0,5%)
- Yahoo chute de 0,15 pt à 2,69% (-5,4%)
- Live Search perd 0,04 pt à 2,16% (-2,0%)
- AOL baisse de 0,08pt à 1,43% (-5,5%)
- Orange chute lourdement de 0,10 pt à 1,24% (-7,7%)

Ces chiffres ont été calculés par XiTi sur la période du 1er au 30 septembre 2008, à partir des statistiques de trafic de sites web francophones analysés par XiTi.

Comme je le rappelle à chaque fois, il ne faut pas oublier qu'en ce moment AOL.fr utilise la technologie de Google... donc en réalité la part de marché de Google est encore un peu plus grande que ce qui est indiqué !
Aux États-Unis, la société IAC Corp annonce une nouvelle version du moteur de recherche Ask.com. La société promet des résultats plus pertinents pour un moteur plus performant.

Pour cette nouvelle version, Ask.com embarque des technologies visant à améliorer les recherches sémantiques, l'extraction de contenu des pages et la place de ce dernier sur la page de résultats. De cette manière, les informations sont extraites d'une base de données structurée afin de retourner des résultats plus pertinents. Ainsi, plutôt que d'opérer une requête avec deux ou trois mots-clés, l'utilisateur peut poser directement une question et espérer une réponse quasi directe. La société envisage de déployer cette nouvelle version sur l'ensemble de ses sites Internet et affirme qu'il ne s'agit là que des premières nouveautés du moteur. Aussi, les performances du site ont été optimisées de 30%.

Jim Safka, chef des opérations chez Ask.com déclare : "nous étendons la profondeur et la largeur de notre base de données structurée pour apporter à l'utilisateur le résultat magique à leur requête" avant d'ajouter : "d'une manière générale, l'utilisateur opère trois clics de souris pour trouver ce qu'il recherche sur Internet. Ask.com réduit tout cela à un clic dur le moteur de recherche. ".

Safka explique que le moteur de recherche peut reconnaître l'adresse IP de l'ordinateur pour retourner des résultats localisés, par exemple pour une recherche sur les programmes télé de la soirée. Par ailleurs, Ask.com s'inspire légèrement de Yahoo! Answers en intégrant des extraits de sites professionnels pour obtenir des réponses à des questions précises.
Avant MySQL 5.1, la seule méthode pour nettoyer la liste des requêtes en exécution sur MySQL était de le faire à la main, ou bien avec un cron.

MySQL 5.1 introduit le programmateur d'événements (event scheduler) et vous pouvez maintenant exécuter des procédures stockées sans l'aide d'application externe.

Giuseppe applique cette nouvelle fonctionnalité à la chasse aux connexions inutiles et aux requêtes encombrantes.

- Using the event scheduler to purge the process list
le 06/10/2008 à 23:20
Linux fête ses 17 ans
En 1987, le professeur Andrew Tanenbaum, publia Minix, un système simple fondé sur le noyau UNIX spécialement conçu pour les étudiants en informatique. C'est sur ce système que Linus Torvalds développa ses compétences en programmation. Par la suite, Torvalds proposa à Tanenbaum quelques améliorations pour Minix mais ce dernier refusa de modifier son système. Finalement, Torvalds décida de créer son propre système basé sur Minix. Puis, au final, c'est véritablement un nouveau noyau qui sera distribué.

Ainsi, le 5 octobre 1991, sur le usegroup comp.os.minix dédié à Minix, Linus Torvalds publia un message dans lequel il invitait les lecteurs à tester un système alternatif reprenant les fondements de Minix. Il s'agit du premier coup d'envoi qui marqua le début de l'aventure Linux.

"Recherchez-vous un bon projet et un OS que vous pourriez modifier selon vos propres besoins?  Ne trouvez-vous cela pas frustrant que tout fonctionne sur Minix? Plus de nuit blanche à essayer de faire fonctionner un programme? Alors, ce poste est pour vous :-). Comme je l'ai écrit il y a environ un mois, je travaille sur la version libre d'un système similaire à Minix pour les ordinateurs AT-386. j'en suis finalement arrivé à un stade où le système est utilisable (à voir, selon vos besoins) et je souhaite publier ces sources pour une distribution plus importante. ".

Parmi les évolutions majeures des systèmes Linux, notons l'apparition d'environnements graphiques notamment avec  Matthias Ettrich qui lança KDE en 1996, puis, en 1997, par Miguel de Icaza avec GNOME. Quelques années plus tard, les premiers systèmes commencent à être commercialisés, notamment auprès des entreprises telles qu'Oracle ou IBM.

Aujourd'hui Linux s'est démocratisé auprès du grand public avec quelques distributions optimisées telles que Ubuntu ou Mandriva. Plus récemment, l'arrivée des netbooks a popularisé l'idée d'un système Linux léger offrant les principales fonctionnalités pour des ordinateurs d'appoint.De minix à Ubuntu
Bien qu'il ai déjà entamé son (lent) déclin, Windows XP n'a toujours pas dit son dernier mot. Tandis que Windows Vista s'impose sur la majorité des machines actuellement commercialisées, certains fabricants comme Dell ou HP proposent toujours de livrer Windows XP, en particulier à leur clientèle professionnelle. Ces derniers s'appuient sur une clause des licences des éditions professionnelles et intégrales de Windows Vista qui les autorise à fournir Windows XP en complément de la dite licence, et ce jusqu'au 31 janvier 2009.

Mais d'après le magazine en ligne anglais The Register, les fabricants auraient obtenu un sursis de 6 mois supplémentaires, les autorisant à livrer Windows XP en complément des ordinateurs livrés sous Windows Vista Professionnel et Édition Intégrale jusqu'au 31 juillet 2009. D'après les sources du site, certaines entreprises souhaiteraient sauter la case Vista et passer directement de XP à Windows Seven, successeur de Vista.

Quoi qu'il en soit, Windows XP a officiellement quitté les rayons le 30 juin dernier, près de 7 ans après sa mise en circulation le 31 décembre 2001, un record dans la gamme Windows ! Le support reste toutefois assuré jusqu'en 2014.
Alors que le mois d'octobre est, ou sera l'occasion de mises à jour majeures pour certaines distributions Linux est sortie vendredi la version 4.1.2 de l'environnement de bureau KDE (K Desktop Environment), nom de code... "nom de code". Au menu, on trouve essentiellement des corrections de bugs ou des améliorations de performances : les nouveautés viendront en janvier prochain, avec la sortie de KDE 4.2.0.

Entre autres choses, la communauté en charge de KDE signale que la suppression de fichiers est maintenant jusqu'à 32 fois plus rapide. De nombreuses corrections ont par ailleurs été apportées à KHTML, le moteur de rendu HTML de KDE, ainsi qu'à Frostbyte, son interpréteur JavaScript. Kopete, l'application de messagerie instantanée, devrait maintenant ne plus connaitre d'erreur avec les protocoles ICQ, Yahoo et Gadu-Gadu. Okular, Gwenview et KGpg profitent également de corrections diverses censées améliorer leur stabilité. Pour plus d'informations, on consultera les notes de version de KDE 4.1.2.
Le 4 juillet 2005, le sénateur Michael Dreyfus-Schmidt avait soumis au Sénat une proposition de loi pour pénaliser les auteurs de phishing, cette pratique visant à attirer l'internaute vers un site frauduleux. Cependant, M.Dreyfus Schmidt s'est éteint le 7 septembre dernier et, selon le règlement de la Haute assemblée, ce texte ne peut être approuvé et devient donc obsolète.  En classant le texte sous l'appellation "usurpation d'identité numérique", M. Dreyfus-Schmidt souhaitait mettre à jour le code pénal en y ajoutant l'article 323-8:

"Est puni d'une année d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende, le fait d'usurper sur tout réseau informatique de communication l'identité d'un particulier, d'une entreprise ou d'une autorité publique. Les peines prononcées se cumulent, sans possibilité de confusion, avec celles qui auront été prononcées pour l'infraction à l'occasion de laquelle l'usurpation a été commise.".

Michael Dreyfus-Schmidt avait déclaré à Zdnet qu' : "il y a deux possibilités pour s'attaquer à ces phénomènes : soit l'on s'attache à certifier l'identité de quelqu'un avec une mesure technique, comme la biométrie, soit on utilise le droit" avant d'ajoute que la première "apporte une réponse de principe qui ne rentre pas dans un débat technologique complexe"

En 2007, l'APWG (Anti-Phishing Working group) avait classé la France au 5e rang mondial sur la liste des pays hébergeant des sites de phishing avec un taux de 2,7%. Dans les autres pays jugés potentiellement dangereux, les règlements sont déjà en vigueur. Ainsi, il est estimé que 28% des faux sites résident sur le sol américain. Le 9 juillet 2004, le pays a donc adopté le Anti-Phishing Act ainsi qu'un renforcement des peines quelques jours plus tard avec le "Identity Theft Penalty Enhancement Act". En juin 2005, la Grande-Bretagne à voté le Fraud Bill avec une peine de dix ans de prison pour tout escroc ayant tenté une usurpation d'identité numérique.

Dans l'Hexagone, le code pénal prévoit de sanctionner l'usurpation de fonction. Par ailleurs, tout escroc tentant de prendre le nom d'une personne tierce à des fins frauduleuses est passible d'une peine de 5 ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. L'objectif de M.Dreyfus-Schmidt était non seulement de simplifier la procédure, mais aussi de recentrer le texte sur l'usurpation d'identité numérique sur les réseaux informatiques c'est-à-dire en déterminant des critères d'identité pour les internernautes tels que les adresses e-mail ou les pseudonymes.

Si l'usurpation d'identité est lourdement sanctionnée, selon le site e-juristes.org, le phishing est caractérisé par plusieurs actes frauduleux et son auteur peut aussi être jugé pour spamming, escroquerie, abus de confiance, accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données, collecte frauduleuse de données nominatives ou encore contrefaçon de marque.
Alors que le concept de riposte graduée à la française se voit menacé au niveau européen, Nicolas Sarkozy en appelle directement au président de la Commission européenne, José Manuel Barroso. Dans une lettre, faxée vendredi soir et reproduite (PDF) par le site Ecrans.fr, il lui demande le retrait pur et simple de l'amendement 138, pourtant voté à une très large majorité par les députés européens le 24 septembre dernier.

Approuvé par 573 voix contre 54 dans le cadre des débats sur le « paquet télécom", l'amendement 138 prévoit qu'aucune restriction aux droits et libertés fondamentales des citoyens ne peut être apportée sans le recours à une autorité judiciaire, à moins que la sécurité publique ne soit menacée. Sous réserve que l'accès à Internet soit considéré comme un droit d'importance, dans la mesure où il participe à la liberté d'expression et d'information, cet amendement déposé par les députés Bono et Cohn-Bendit réduit les efforts français en matière de riposte graduée à néant.Sarkozy, Albanel : pas sur la même longueur d'ondes

Immédiatement, le cabinet de Christine Albanel, ministre de la Culture, tente de minimiser la portée de ce vote, et déclare que celui-ci ne compromet pas le concept de la riposte graduée. Il semblerait que le président de la République en ait jugé autrement.

"Il est notamment fondamental que l'amendement n°138 adopté par le Parlement européen soit rejeté par la Commission. Cet amendement tend à exclure la possibilité pour les Etats membres d'appliquer une stratégie intelligente de dissuasion du piratage", explique Nicolas Sarkozy, après s'être réjoui de l'adhésion des Etats membres de l'Europe au principe de dissuasion dans le cadre du piratage. "Pour écarter l'amendement, je sollicite votre engagement personnel et celui de la Commissaire en charge du dossier, qui connaît particulièrement la situation des créateurs", appuie-t-il encore. Pourquoi un tel appel si l'amendement 138 était sans risque pour la riposte graduée à la française ?

Le projet de loi "Création et Internet" devrait passer en première lecture au Sénat dans le courant du mois de novembre, et pourrait faire l'objet d'une procédure d'urgence permettant un vote définitif avant la fin de l'année, pour une entrée en vigueur début 2009. Du côté européen, le Conseil des ministres de l'Union aurait la possibilité de rejeter l'amendement 138, dans le cadre de son étude du paquet télécom, planifiée pour le 27 novembre prochain. Dans ce cas, il pourrait signer son retour lors de la seconde lecture du texte au Parlement européen, mais la France disposerait d'un laps de temps permettant de le faire voter sans se placer en porte à faux avec les positions de l'Europe, dont elle assure la présidence jusqu'au 31 décembre prochain.Un "autoritarisme" pointé du doigt

Abus de pouvoir ? "Nicolas Sarkozy dirige un pays qui a fondé et préside l'Union Européenne. Il devrait admettre que le droit communautaire s'applique aussi à la France et retirer son projet de loi. Mais il ne pense qu'à servir les lobbies du disque et du film qui veulent coûte que coûte faire un précédent en Europe, pour ensuite généraliser la riposte graduée. Le hic, c'est que face aux risques politiques, Viviane Reding, la commissaire en charge du dossier, a renoncé à piétiner le vote sans appel du Parlement européen. Dans sa lettre, Sarkozy demande donc à Barroso de tordre le bras à Reding. En effet, si la Commission ne supprime pas l'amendement, la France devra obtenir un vote contre l'intégralité du Paquet Télécom pour empêcher que l'amendement soit adopté par le Conseil. Ce serait mission impossible", commente l'un des cofondateurs du collectif La Quadrature du Net.

"L'annulation pure et simple d'un vote des représentants élus au suffrage universel direct par l'ensemble des citoyens européens ne serait rien de moins qu'un nouveau déni de démocratie de la part d'un chef d'État souhaitant avant tout servir les intérêts des quatre majors du disque et de ses amis de l'industrie musicale", fustige de son côté le député socialiste Jean-Louis Bianco.

Que fera José Manuel Barroso ? Contactée, selon Le Point, par la rue de Valois, Viviane Reding, commissaire européen en charge de la société de l'information - et donc voix de Viviane Redong, aurait refusé de s'engager ouvertement contre l'amendement 138, même si elle a déjà manifesté son soutien au concept de riposte gradée. Les députés européens risquent quant à eux de n'apprécier que moyennement l'éventuel rejet d'un amendement approuvé par 573 d'entre eux.Mise à jour, 15h : Martin Seylmar, porte-parle de la Commission européenne pour les questions touchant à la société de l'information et des médias, indique aujourd'hui à Clubic.com que l'institution a bien pris connaissance de la lettre envoyée par Nicolas Sarkozy. Il y rappelle que l'amendement 138 a été adopté à une large majorité, et que la Commission européenne respecte le choix fait par le parlement.

"Du point de vue de la Commission, cet amendement est un rappel important de principes légaux clé, inhérents à l'ordre légale de l'Union européenne, et tout particulièrement des droits fondamentaux du citoyen. Le texte de cet amendement est délibérément rédigé de manière à laisser aux Etats membres la latitude nécessaire à l'obtention d'un équilibre entre certains droits fondamentaux, en l'occurrence le droit au respect de la vie privée, le droit à la propriété et des recours efficaces et le droit à liberté d'information et d'expression", explique Martin Seylmar.

"La Commission comprend que ce problème est d'une importance politique certaine en France, où se prépare une loi qui propose l'instauration d'une nouvelle Autorité nationale de l'Internet qui pourrait avoir un rôle de surveillance et éventuellement de restriction de la connexion à Internet des Français", poursuit-il, avant d'inviter le gouvernement à discuter de cette question avec les 26 autres Etats membres.

Interprétation ? Par la voix de leur représentant, Martin Seylmar, Viviane Reding et José Manuel Barroso accusent réception du message, mais ne semblent pas enclins à donner suite à la requête. La bataille se jouera donc maintenant au niveau du Conseil de l'Union, puis de la seconde lecture du texte au Parlement européen.
le 03/10/2008 à 23:16
request_order arrive en PHP 5.3
request_order est une nouvelle directive de configuration pour PHP 5.3, qui permet de piloter ce qui est placé dans la variable $_REQUEST.
Elle diffère de variable_order car cette dernière pilote l'existence des variables, alors que request_order ne définit que le contenu de REQUEST. Cette directive pourra limiter l'effet néfaste de l'utilisation de $_REQUEST pour confondre $_GET et $_POST, alors que cette variable contient traditionnellement aussi $_COOKIES, qui conduit à des dénis de services particulièrement vicieux.

- PHP 5.3 and Delayed Cross Site Request Forgeries/Hijacking
le 03/10/2008 à 23:16
Devenir un Ninja PHP
Pour être maître Ninja PHP, il faut avoir un niveau très élevé, que beaucoup de développeurs et développeuses sont loin d'imaginer qu'il est possible d'atteindre.

Le blog PHPFour.com de Md Emran Hasan s'est penché sur cette situation.

Il soulève un point qu'il convient de signaler. Après de nombreux mois de développement pour une applications PHP pour le Web, lorsque vous pensez avoir vraiment terminé... peut-on dire que c'est vraiment la fin ?

2 points sont soulevés et qu'il faut connaître :
- Un aspect technique
- Un aspect communication

Le premier point concerne l'utilisation d'outils pour ouvrir le code aux autres, tel que le contrôle de versions et la norme de codage propre.

La deuxième concerne la communication autour de votre application et votre participation en apportant vos connaissances et leadership.

- Becoming a Kick-ass PHP ninja
LoadingChargement en cours