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le 17/10/2007 à 20:28
6 architectures classiques
Stuart Herbert a catalogué 6 architectures Web classiques : il y a les incontournables hébergements partagés, dédiés et 2 tiers (un serveur PHP et un serveur MySQL).

Puis, il y a les fermes de serveur Web, les clusters de base de données, et enfin les architectures trois-tiers.

Cette approche résumée des architectures donne une vision globale, et vous permettra de vous situer dans l'échelle des sites. La majorité des sites se satisferont des trois premières options.

- Six Classic Ways To Group Your Web Servers
La mobilité est décidemment une priorité pour Google. Après avoir porté ses services Gmail, Picasa, iGoogle ou encore Maps sur téléphones mobiles, Google a discrètement mis en ligne une version mobile de sa suite bureautique collaborative Google Docs.

Repérée par Blogoscoped et accessible à l'adresse http://doc.google.com/m, le nouveau service permet de retrouver les applications de traitement de texte, tableur ou logiciel de présentation mais également de lancer une recherche parmi les différents documents.

Contrairement à l'application web, concçue en ajax, les mobinautes doivent se contenter d'une version HTML pour consulter ou modifier des documents qu'ils peuvent toutefois télécharger sur leur terminal si ce dernier est équipé d'une visionneuse compatible avec les formats .doc, .xls ou .ppt.

Plutôt fonctionnel, le nouveau service permet en tout cas d'élargir les fonctionnalités de smartphones et autres iphones, dépourvus d'applications bureautiques, en attendant un hypothétique "Gphone", dont la rumeur annonce une commercialisation imminente à destination des développeurs.
Nous vous avions déjà parlé de VODMajors ou de TotalVOD, deux sites permettant de chercher un film parmi les nombreuses offres de vidéo à la demande disponibles sur la toile et de comparer ces offres entre elles. Depuis quelques jours, un nouvel intervenant a fait son apparition dans le domaine.

Splarte propose un service tout à fait similaire - à la fois moteur de recherche et comparateur de prix - mais ajoute quelques fonctionnalités innovantes, comme la recherche parmi les émissions proposées en catch-up TV (ou session de rattrapage en français), ou parmi des sites comme notre partenaire JeuxVideo.fr, l'Equipe TV ou l'INA.

Splarte affirme couvrir l'ensemble de la VOD à l'heure actuelle, et propose actuellement quelque 83183 vidéos issues des catalogues de 40 partenaires, comme TF1 Vision, CanalPlay, mais aussi Game One ou LCI. Le module de recherche, particulièrement important dans le cadre d'un tel service, est ici simplifié au maximum, mais remplit correctement sa tâche, aidé en cela par des filtres par thématiques et par mots-clé (nom d'artiste, réalisateur, acteur...).

Son responsable, Benoit Balagny, précise enfin que la moitié des vidéos indexées par son site sont visibles gratuitement. Dommage alors de ne pas avoir mis en avant ces vidéos par un onglet spécifique... Quoi qu'il en soit, ce genre de sites, qui font le pari de la pérennité de la VOD, paraît relativement utile étant donné le nombre d'offres important qui concerne la vidéo à la demande.
Le numéro un mondial des réseaux sociaux, MySpace (News Corp) et Skype (eBay), éditeur d'un logiciel de VoIP à succès, ont annoncé mercredi la signature d'un accord de partenariat. Dès novembre 2007, les millions d'utilisateurs de MySpace pourront utiliser la solution Skype d'appels gratuits de PC à PC intégrée au site communautaire.

La solution "MySpaceIM with Skype" intègre le logiciel client de messagerie instantanée MySpace (plus de 25 millions d'utilisateurs installés annoncés) et la fonction gratuite d'appels voix de Skype. Dans un premier temps, le nouveau service sera disponible dans une vingtaine de pays "où MySpace dispose de communautés 'localisées'", indiquent les partenaires dans un communiqué. Outre la fonction gratuite d'appel Skype (choix des contacts inclus), MySpaceIM pour Skype permettra aux utilisateurs d'utiliser les services payants comme Skype Out ou SkypeIn, ainsi que la messagerie vocale et le transfert d'appel.

"Skype dispose d'une importante base d'utilisateurs dans le monde, qui va maintenant pouvoir se connecter à notre propre communauté", a souligné Chris DeWolfe, co-fondateur et CEO de MySpace. "Notre réseau n'a pas de frontières géographiques, et les appels VoIP constituent la prochaine étape 'naturelle' pour tous nos utilisateurs qui désirent communiquer entre eux".

Lancé en 2003 aux Etats-Unis, MySpace déclare 110 millions d'utilisateurs actifs par mois (+72% sur un an selon comScore), Skype affiche 220 millions de membres enregistrés à travers le monde.
Comme chaque année, Reporters Sans Frontières analyse dans son Classement mondial de la liberté de la presse les manquements aux libertés de la presse pays par pays. Pour 2007, RSF dresse un constat peu glorieux. "Depuis le 1er janvier 2007, treize journalistes et quatre collaborateurs des médias on perdu la vie dans l'exercice de leur fonction. Au 20 mars 2007, 141 professionnels des médias sont toujours emprisonnés pour avoir simplement voulu nous informer", indique en préambule de son rapport l'association créée en 1985.

Pour 2007, RSF remarque qu'Internet occupe une place de plus en plus importante dans les atteintes à la liberté d'expression. Les médias ne seraient plus seuls à subir la censure, rejoints par les blogueurs dans de nombreux pays où l'on réprime la "cyberdissidence". "De plus en plus de gouvernements ont pris la réelle mesure du rôle essentiel que peut jouer Internet dans le combat pour la démocratie et mettent en place de nouveaux moyens de censurer le Réseau", remarque ainsi RSF.

L'Erythrée, petit état situé au Nord de Djibouti, détrône la Corée du Nord au palmarès des pays dans lesquels les libertés de la presse sont les moins respectées. Dans la queue du peloton, composé des 169 pays dans lesquels suffisamment de données ont pu être recueillies, on retrouve des pays connus pour leurs méthodes de lutte contre la liberté d'expression, à commencer par la Chine, Cuba ou l'Iran. La Birmanie, que pourrait sanctionner l'Union européenne suite à la répression du mouvement populaire contre la junte, obtient la 164e position du classement.

La France gagne quant à elle six places pour se positionner en 31e position. "Les journalistes ont été épargnés des violences qui les avaient touchées fin 2005 lors d'un conflit syndical, en Corse, et pendant les manifestations dans les banlieues. Cependant, de nombreuses inquiétudes demeurent en raison de cas de censure persistants, de perquisitions dans des rédactions et d'un manque de garanties concernant la protection du secret des sources", commente RSF.

Monopole étatique dans la fourniture d'accès à Internet ou dans les médias, atteintes contre la personne des journalistes, actes de censure, pluralisme politique, ouverture du pays aux journalistes étrangers ou respect du secret des sources journalistiques sont quelques-uns des critères étudiés par RSF lors de l'élaboration de ce classement.
Hier nous évoquions l'arrivée d'un premier album sans DRM au format AAC 256 kbits/seconde sur le service de vente de musique d'Apple : iTunes. En réalité, notre découverte n'était ni plus, ni moins que les prémices d'une annonce qui s'officialise aujourd'hui.

Apple annonce ainsi que tous les morceaux d'iTunes Plus passent à 0,99 euro. Le catalogue iTunes Plus est désormais composé de deux millions de morceaux dépourvu de DRM et encodés en 256 kbps. Il n'y a donc plus vraiment de raison de se tourner vers l'offre iTunes avec DRM (vendue au même prix et associé à un encodage d'une qualité inférieure en 128 kbits/seconde), sauf peut être pour l'exhaustivité du catalogue (composé de 6 millions de chansons).
Paradis du téléchargement illégal, les newsgroups sont désormais dans le collimateur de l'industrie du disque américaine. Forte d'une première victoire face aux utilisateurs des réseaux P2P, l'association qui défend les intérêts des maisons de disque aux Etats-Unis attaque en justice le fournisseur d'accès Usenet.com, dont les services sont utilisés pour le téléchargement de millions de fichiers soumis au droit d'auteur.

Dans sa plainte, la RIAA considère que les newsgroups constituent un moyen redoutablement efficace de se procurer des fichiers musicaux sans l'accord des ayant droits et reproche à Usenet.com d'encourager ses utilisateurs au téléchargement illégal. Elle réclame donc une injonction permanente à l'encontre de Usenet.com, qui dispose des moyens techniques de filtrer les contenus proposés à ses abonnés, ainsi que le versement de dommages et intérêts destinés à indemniser les quatorze maisons de disque représentées dans cette affaire, au nombre desquelles on retrouve Sony BMG, Universal ou Warner.

Usenet et les newsgroups sont à l'origine un ensemble de protocoles permettant la mise en place de forums de discussion décentralisés, où les messages envoyés par les utilisateurs sont stockés sur un serveur avant d'être répliqués sur d'autres machines du réseau à partir desquels ils seront accessibles à d'autres utilisateurs abonnés à ce groupe de discussion (newsgroup). Initialement conçus pour échanger des messages textes, les newsgroups permettent également de faire transiter des fichiers non texte, dits fichiers binaires et l'on trouve désormais des groupes dédiés à l'échange de films, de jeux vidéo, de logiciels ou de musique.

Les fournisseurs d'accès vendent à leurs clients un accès aux newsgroups, et répliquent sur leurs propres machines une partie des contenus stockés sur les serveurs de discussion populaire. En pratique, l'accès ces serveurs permet un téléchargement extrêmement rapide et anonyme. Certains vont même jusqu'à proposer le chiffrement de la connexion (SSH) de façon à ce que l'utilisateur ait un total sentiment d'impunité. Proposé par certains FAI comme Free, l'accès aux newsgroups est généralement facturé. Usenet.com propose par exemple une offre à 18,95 dollars par mois ouvrant droit à un téléchargement illimité.

Du point de vue de la RIAA, Usenet.com tire ses revenus de la fourniture d'accès à un service de téléchargement illégal. Déjà pointée du doigt par les studios hollywoodiens, la société se présente comme un simple fournisseur d'accès et décline toute responsabilité. Les conditions d'utilisation du service interdisent effectivement la diffusion ou la propagation de fichiers soumis au droit d'auteur sur les newsgroups.

Ce ne sont pourtant pas les tournures publicitaires employées par Usenet.com qui dissuaderont les utilisateurs de télécharger des contenus soumis au droit d'auteur sur les newsgroups. "Chut... Nous pensons que ce que vous faites sur Internet ou sur Usenet ne regarde que vous. Nous n'enregistrons pas les activités de nos utilisateurs", indique la firme sur sa page d'accueil. Elle y vante également les 3 To de données proposés à ses utilisateurs et parle de plus de deux millions de fichiers.

La RIAA devrait vraisemblablement s'appuyer sur la jurisprudence Grokster pour tenter d'obtenir gain de cause dans cette affaire. En juin 2005, il avait été reconnu que la responsabilité d'un éditeur ou d'un hébergeur peut être engagée lorsque celui-ci encourage au téléchargement illégal et ne prend pas les mesures qui s'imposent pour juguler les actes de contrefaçon commis par son intermédiaire.

Si cet argument prévalait face au Digital Millenium Copyright Act, qui lui protège un hébergeur tant qu'il accepte de supprimer les contenus illégaux de ses serveurs lorsqu'on les lui signale, la RIAA pourrait engager des poursuites contre l'ensemble des fournisseurs d'accès aux newsgroups.
Après avoir signé un contrat important avec la maison de disque Sony BMG, le service d'écoute de musique gratuite sur Internet, Deezer signe avec la SPPF (Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France).

Grâce à ce nouvel accord, le service va pouvoir diffuser des musiques d'artistes indépendants. C'est ainsi plus de 900 000 tires qui vont être ajoutés au jukebox en ligne Deezer via cette annonce. Le tout sera associé à l'outil "SmartPlaylist" qui permet de créer sa propre programmation musicale à partir d'une liste d'artistes et de titres suggérés.

Pour rappel, Deezer est un service gratuit qui est entièrement financé par la publicité. Lancé il y a quelques semaines, Deezer doit déjà faire face à un différend juridique avec la maison de disques Universal qui n'a visiblement pas apprécié son association avec le fournisseur d'accès à Internet Free.
Dominé par Google sur le marché des outils de recherche et de la publicité en ligne, Yahoo plie, mais ne rompt pas. Au troisième trimestre de son exercice fiscal 2007, le bénéfice net du portail Internet américain a légèrement reculé, passant de 151,3 millions de dollars (11 cents par action) à 158,5 millions de dollars un an plus tôt. Le chiffre d'affaires brut du groupe, en revanche, a augmenté de 12% sur la période à 1,77 milliard de dollars.

Cette progression reste cependant très inférieure à la croissance du marché de la publicité en ligne (+25% en 2007 à 33,7 milliards de dollars, selon ZenithOptimedia). Chahuté par Google mais également par Microsoft et AOL sur ce terrain, Yahoo cherche un second souffle. "Sur les trois derniers mois, nous avons mené une révision en profondeur de nos activités et du marché. Nous avons pris des décisions stratégiques pour investir et accroître notre large communauté d'utilisateurs, annonceurs et éditeurs de sites", a souligné le trentenaire Jerry Yang, président et co-fondateur du groupe, le 16 octobre 2007 dans un communiqué.

Yahoo maintient ses prévisions pour l'ensemble de l'année 2007, avec un chiffre d'affaires compris entre 5,02 et 5,16 milliards de dollars. A Wall Street, le titre Yahoo a chuté de 4% en séance mardi pour clôturer à 26,69 dollars, avant de reprendre des couleurs en après-bourse à 29,40 dollars.
Les premières contractions de la maman éléphpant sont bien régulière, et il est maintenant prévu que les éléphpants arrivent lundi 21 octobre dans les locaux de nexen.net.

Ce jour-là, les groupes d'utilisateurs du monde entier (voyez la carte du monde, il y en a partout!) verront leurs portées envoyées. Les premières livraisons sont attendues une semaine après, pour les plus près.

Il est possible de s'en procurer en ligne dès maintenant, ou bien sur place dans les réunions de groupe d'utilisateurs (PHP Québec Montréal), ou bien différentes conférences (DC PHP Washington, USA, et Forum PHP Paris, France).

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