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Après avoir contesté les informations récoltées par les Google cars, l'Allemagne s'inquiète du traitement des données personnelles sur Facebook. Pour preuve, l'autorité de la protection des données sur Internet de la ville-Etat de Hambourg explique vouloir prendre des mesures contre le réseau social.

Selon la ville, Facebook exploite les données de personnes qui ne sont pas membres de ce réseau. En cause, l'option de « proposer un ami » qui puiserait dans des « répertoires d'adresses des boîtes électroniques de ses membres ». Ces adresses contribuent ensuite à établir de nouveaux profils de personnes pourtant non-membres.

Autre point, la ville d'Hambourg estime que Facebook utilise ces informations indûment obtenues à des fins publicitaires. Le problème est donc qu'en principe, aucune autorisation n'est demandée. L'Allemagne laisse à Facebook jusqu'au 11 août pour répondre à ces accusations.
L'éditeur de solutions de sécurité Webroot annonce le rachat BrightCloud. Webroot propose des outils sous forme de logiciels auprès des particuliers ainsi que des solutions hébergées pour les entreprises. De son côté BrightCloud dispose d'un système de classification du contenu web associé à un jeu de filtres de sécurité.

La technologie de BrightCloud est donc complémentaire à celle de Webroot. Cette dernière fut développée par Quinn Curtis précédemment responsable de produit chez WebSense et ancien employé de Microsoft au sein de l'équipe de Exchange. En tout 200 millions de liens d'adresses IP sont passés à la loupe afin de détecter de potentielles menaces. BrightCloud licencie sa technologie auprès de sociétés tierces comme des fournisseurs d'accès à Internet, des éditeurs de sécurité ou encore des applications mobiles. L'équipe de BrightCloud devrait rejoindre travaillera sur les technologies hébergées de Webroot.

Aucune information n'a été communiquée sur le montant de cette acquisition.
Microsoft décuple ses efforts pour augmenter les ventes de ses produits au sein des pays où sa part de marché reste modeste. Au coeur cette stratégie la société mise avant tout sur la sécurité de ses systèmes d'exploitation et de ses applications. Au début du mois dernier nous rapportions ainsi que Microsoft avait permis aux autorités chinoises de scruter, entre autres, le code source de Windows XP, Vista et 7. Cette fois la firme de Redmond se tourne vers la Russie.

En effet, selon le magazine vedomosti.ru, Microsoft a conclu des accords avec le centre technologique Atlas de la fédération de Russie. Cette initiative permettra au gouvernement local d'étudier le code source de plusieurs produits. Outre le système Windows 7 nous retrouvons Windows Server 2008 R2, Office 2010 et le gestionnaire de bases de données Microsoft SQL Server.

Pour Microsoft il s'agit finalement de renouveler des accords déjà signés en 2002 et concernant les versions antérieures de ses produits. Les chercheurs du centre Atlas pourront alors développer des outils de sécurité à destination de Windows 7 par exemple et les déployer auprès des agences gouvernementales du pays dont le service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie (FSB) ; le principal successeur du KGB aux côtés du SVR.

Les autorités russes souhaitent s'assurer que les logiciels de Microsoft respectent les standards en vigueur requis auprès des organisations gouvernementales du pays tandis que Microsoft a pour objectif de multiplier ses activités sur le secteur public. Selon le cabinet IDC, le chiffre d'affaires annuel de Microsoft en Russie serait d'environ 1 milliard de dollars dont 10% proviendrait de l'état.

Alexei Kuzovkin, président au conseil de la société russe Armada - spécialisée dans les technologies de l'information - explique que cet accord a également pour but de contrer l'avancée du logiciel libre au sein du pays. Le ministère de l'éducation local aurait en effet envisagé d'équiper les écoles de systèmes basés sur GNU/Linux.
IBM a annoncé être en train d'établir un consortium avec l'Union européenne (UE) et des universités pour chercher de nouveaux modèles de cloud computing qui permettraient de réduire le coût d'hébergement et de maintenance des services en ligne.

Le consortium se concentrera sur des recherches qui pourraient apporter de nouveaux modèles scientifiques en informatique. Il vise à une cohérence de communication et de collaboration de différents services basés sur Internet, depuis différents environnements matériels et logiciels, dans un environnement cloud flexibe, explique IBM dans un communiqué.

Les nouveaux modèles de conception et de déploiement pourraient réduire les coûts par rapport aux modèles conventionnels, qui sont complexes, et demandent souvent une intervention manuelle pour le déploiement et le paramétrage. Ces modèles conventionnels prennent trop de temps et d'argent, selon IBM, qui estime qu'avec de nouvelles méthodes, les entreprises pourraient être débarrassés de cette complexité pour se concentrer sur leurs affaires. Les chercheurs espèrent établir une plateforme pour réduire le temps de conception et de déploiement, en hébergeant tous les services dans un environnement cloud centralisé.

Le projet développé par les chercheurs se nomme Artifact-Centric Service Operation (ACSI), et est basé sur un concept de hubs d'interopérabilité, développés et lancés par IBM Research l'an dernier. Ces hubs apportent un environnement cloud où des services et programmes flexibles peuvent aisément être déployés. Les clients paieront pour l'intégration des services en fonction du volume de données stockées et du volume de transactions réalisées. IBM a précisé que le partenaires du consortium développeraient des services et applications pour le projet. Big Blue n'a toutefois pas précisé quels types de technologies dérivées du projet pourraient être mises en service tout de suite.

Les universités impliquées sont la Sapienza Universita di Roma en Italie, la Free University of Bozen-Bolzano en Italie, l'Imperial College de Londres, la Technische Universiteit Eindhoven aux Pays-Bas, et l'Université de Tartu en Estonie.
L'achat de contenus ou de biens depuis son téléphone mobile serait désormais une réalité pour près d'un mobinaute sur deux, révèle cette semaine une étude Médiamétrie réalisée pour le compte de l'Association Française du Multimédia Mobile (AFMM) ; mobinaute étant défini ici comme l'utilisateur d'un téléphone mobile offrant la possibilité de se connecter à Internet. 47,9% d'entre eux auraient ainsi déjà effectué un achat en ligne d'un montant inférieur à 10 euros depuis leur mobile, un chiffre qui ne tient pas compte des téléchargements effectués à partir des kiosques d'application tels que l'App Store ou l'Android Market.

35,2% de ces acheteurs du Web mobile se seraient tournés vers des contenus dématérialisés : musique, fond d'écran, sonnerie ou jeux vidéo. 14,5% auraient fait appel à un service pratique tel qu'un annuaire payant, tandis que 10,7% auraient accepté de payer pour un service d'information et 9,5% pour un service communautaire tel qu'un site de rencontre. Ils présenteraient un profil plus masculin que la moyenne, mais aussi plus jeune, avec 60% des acheteurs compris dans la tranche 15 - 34 ans.

Pour l'AFMM, les résultats de cette étude sacrent la micro-transaction sur mobile comme une véritable tendance de fond, qui implique de réfléchir aux moyens de paiement qui lui sont associés. Aujourd'hui, la solution de paiement la plus utilisée pour réaliser un achat sur Internet depuis son mobile semble être le débit la sur facture de l'opérateur mobile. C'est elle qui a été retenue par 58,2% des sondés, contre 34,8% pour la carte bancaire et 17,8% pour Paypal.
La compagnie de paiements malaisienne MOL et Facebook ont tenu une conférence de presse à Kuala Lumpur, Malaisie, pour annoncer un partenariat qui fera rentrer la monnaie virtuelle de Facebook dans la vraie vie. Les Facebook Credits, dont la valeur faciale est de 10 cents, seront disponibles à travers le réseau de MOL en Asie... Ce qui fait tout de même 500 000 points de distribution.

MOL AccessPortal deviendra donc un fournisseur de paiement pour les crédits Facebook, ce qui permettra aux utilisateurs d'en acheter en utilisant des MOLPoints sur Facebook et sur MOL.com, le site du groupe. Rien de bien exceptionnel à première vue, si ce n'est l'ajout d'un nouvel intermédiaire... Sauf que ces MOLPoints sont disponibles dans des points de vente physiques. MOL en détient 500 000, principalement en Malaisie, à Singapour, en Indonésie, aux Philippines, en Thaïlande, en Inde, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Ces points de vente sont notamment la chaîne 7-Eleven, très populaire en Asie. Viendra s'y ajouter le réseau de banques en ligne de MOL dans ces pays. Facebook et MOL distribueront également des cartes cadeaux échangeables contre des crédits Facebook.

Le but de Facebook et MOL est de rendre plus aisé l'achat d'objets et services virtuels en Asie, où beaucoup d'internautes utilisent plus volontiers des cartes prépayées qu'une carte bancaire pour payer en ligne. « La relation avec Facebook démontre le rôle croissant de MOL comme fournisseur de services de paiement pour les réseaux sociaux en Asie, » estime Ganesh Kumar Bangah, le PDG de MOL Global. « Au cours des quatre derniers trimestres, nous avons connu une croissance à deux chiffres des transactions, en volume comme en nombre. Ce partenariat permet à MOL de poursuivre son but, qui est de construire le premier réseau end-to-end de contenu, de distribution et de commerce en Asie. »

« Travailler avec MOL signifie que nous pouvons proposer Facebook Credits à des millions de gens en Asie par l'intermédiaire d'un système de paiement déjà largement utilisé et qui a fait ses preuves, » selon Vaughan Smith, directeur du business et du développement de Facebook. « Nous investissons dans le long-terme pour les crédits Facebook, et nous voyons cet accord comme une opportunité majeure pour distribuer une monnaie simple et unique qui peut être utilisée dans les jeux et les applications de Facebook. »
Alors que, de son côté David Fincher vient tout juste de présenter la première bande-annonce de son film The Social Network dévoilant la genèse de Facebook et la personnalité de son créateur Mark Zuckerberg, Ridley Scott s'intéresse quant à lui à la communauté de Youtube, mais d'une façon bien différente.

Le réalisateur d'Alien et de Blade Runner jouera en effet les producteurs pour le film Un Jour dans la vie, qui sera réalisé par Kevin MacDonald (réalisateur du Dernier Roi d'Ecosse) et qui mettra à l'honneur les vidéos envoyées par les membres du service de vidéo en ligne de Google. « Un jour dans la vie est une expérience inédite visant à créer un film à partir de vidéos réalisées par les internautes du monde entier. En un mot, c'est un documentaire tourné en un jour par des gens comme vous » explique la page dédiée au projet.

Le jour en question n'est autre que le 24 juillet prochain, date à laquelle les internautes désireux de participer au film seront invités à envoyer leurs contributions via Youtube. « Si vos images ont été retenues, vous serez honoré du titre de metteur en scène associé » ajoute le site. 20 contributeurs seront également invités à la projection du film en avant-première au Sundance Film Festival, en janvier prochain.

Il reste donc 15 jours aux internautes motivés pour trouver une idée à filmer et à proposer le jour J. Le résultat final devrait être visible sur les écrans et probablement sur Youtube en 2011.
La société norvégienne Opera Software annonce une mise à jour pour son navigateur Opera Mini. L'application, qui serait adoptée par 61 millions de mobinautes à travers le monde, passe en version 5.1 dans sa déclinaison Java et Symbian.

Cette nouvelle mouture optimiserait le surf pour les téléphones pourvus d'un faible espace de stockage. L'éditeur annonce également une nouvelle ergonomie permettant d'ouvrir plusieurs pages simultanément tout en améliorant leur navigation. Parmi les terminaux sur lesquels cette mise à jour est recommandée notons les Nokia 5130 XpressMusic, Nokia 6300, Nokia 2700, Sony Ericsson K550i ou leSony Ericsson W810i.

Pour télécharger Opera Mini 5.1 rendez-vous sur m.opera.com.
Pour les vieux geeks, ce nouvel épisode politico-Web 2.0 ressemble un peu au film presque mondialement connu « Je sais rien mais je dirai tout ». Nanard cultissime qui a définitivement fait entrer le cinéma français dans une phase de renouveau. Le groupe UMP de l'Assemblée nationale avait pourtant rassemblé mercredi soir députés, bloggeurs, responsables de firmes, de FAI, d'ayants-droit pour débattre des données personnelles, d'Hadopi et de neutralité du Net.

Si les sujets étaient bien trop vastes pour être abordés en quelques heures, certains y sont tout de même allés de leur pique contre la loi Hadopi. C'est le cas de Jean-François Coppé, président du groupe UMP à l'Assemblée qui estime : « J'en percevais déjà les faiblesses. Maintenant, j'ai évolué sur cette question mais il fallait protéger le droit d'auteur. De même je suis conscient que les technologies sont plus rapides que les politiques. C'est une énorme remise en question quand on voit comment une information se diffuse depuis un site Internet (en référence à l'affaire Mediapart-Bettencourt, ndr), cela amène une réflexion sur la vérification de l'information par exemple ». Puis il se tourne vers la salle et lance « Nous avons besoin de vous » avant de partir pour un autre débat portant sur la Burqa.

Pour celui qui a le titre de chef de la majorité à l'Assemblée, cette position est étonnante puisque durant les débats sur Hadopi, il aurait largement pu demander à l'UMP de ne pas voter la loi. Pourtant, à l'époque, personne n'a bougé...

L'ambition était donc grande de la part de l'UMP de rassembler toutes les « forces vives » des nouvelles technologies afin d'étudier le rapport du groupe de travail Ethique du numérique. Un texte de référence qui devrait servir de point de départ à de nouvelles réflexions autour du Web. Hervé Mariton (UMP), chef d'orchestre de cette réunion confie : « le but à l'avenir sera plutôt de fournir des grands principes et non pas une loi encadrant strictement des activités. Pour autant, je refuse de croire en l'incompétence du législateur ».

Dans cette optique, le rapport donne sa position notamment sur l'adresse IP en ne souhaitant pas qu'elle soit considérée comme une donnée personnelle, la différence de la Cnil et de la proposition de loi des sénateurs Détraigne-Escoffier. De même, le groupe aimerait adopter une régulation sur la collecte des données personnelles.

Pour le débat portant sur la neutralité du Net, bien que l'initiative soit louable, Olivier de Bailenx, directeur des relations institutionnelles d'Iliad-Free constate simplement : « L'Europe est en train d'organiser une consultation sur la neutralité du net, prenons garde à ne pas anticiper des choses qui viendront plus tard ». Une position contrebalancée par Laure de la Raudière (UMP) qui estime que « la régulation sur la neutralité du net peut et doit se faire en France ».

Pour la neutralité comme pour une éventuelle réforme d'Hadopi, la France devra néanmoins prendre garde à ne pas prendre certaines positions sans consulter plus largement les internautes. Histoire de ne pas tout dire sur rien. Ou l'inverse.
Google est en bonne place pour devenir l'entreprise à avoir acquis le plus de startups financées par l'investissement pour l'année 2010. Depuis des années, c'étaient pourtant des entreprises comme Cisco, IBM ou Microsoft qui dominaient le marché des fusions et acquisitions.

Alors que nous sommes à la moitié de l'année 2010, Google vient d'annoncer son intention d'acquérir ITA software, un éditeur de technologie d'information sur les voyages en avion. Larry Page et Sergey Brin ont ainsi fait l'acquisition de 20 entreprises au cours des 12 derniers mois. La nouvelle stratégie de Google semble donc se confirmer : acheter des technologies et des professionnels brillants dans des startups extérieures, plutôt que de tout développer en interne. Et Google utilise de plus en plus ces acquisitions dans le cadre de sa rivalité avec Microsoft et Apple.

Le géant de Moutain View avait pourtant passé près de six mois sans annoncer le moindre rachat à la fin de l'année 2008 et au début 2009. Il faut dire qu'à ce moment l'époque n'était favorable pour personne, toutes les autres grandes entreprises technologiques réduisant leurs dépenses en raison de la crise. Au mois d'octobre dernier, le PDG Eric Schmidt a annoncé que Google était « ouvert pour des acquisitions d'entreprises stratégiques, à la fois petites et grandes. » Google n'est pas revenu sur son annonce, qui a depuis pris la tête du marché en terme de nombre d'acquisitions, selon les données publiées par Dow Jones VentureSource.

Google, qui n'avait jamais vraiment arrêté les acquisitions, se focalisait traditionnellement sur des entreprises plus petites, à part pour les deux exceptions notables de DoubleClick, acheté 3,1 milliard de dollars, et de Youtube, pour 1,65 milliard. Il est intéressant de noter que Google n'a réalisé aucune acquisition atteingnant le milliard de dollars au premier semestre de l'année 2010. Son achat le plus important concerne AdMob, acquis pour 750 millions de dollars en mai.

« Je pense que nous nous attendions à ce qu'ils achètent beaucoup de startups financées par l'investissement, mais pas autant, et pas aussi vite, » explique un analyste de Dow Jones VentureWire. « Ils ont toujours essayé de développer des choses en interne. Mais maintenant ils s'étendent dans énormément de nouveaux secteurs, comme le mobile ou même l'énergie. Ils ont beaucoup plus de concurrents, et ils ont besoin de faire des acquisitions pour être compétitifs. » Depuis le début de l'année, Google a acheté l'inventeur de la technologie de bureau en 3D BumpTop, le vendeur d'outils de recherche sociale Aardvark, l'application iPhone de recherche dans les comptes IMAP et Gmail reMail, l'éditeur de photos en ligne Picnik, l'add-on de collaboration pour Microsoft Office DocVerse, la startup d'applications iPhone Plink, le fabricant de processeurs ARM Agnilux (fondée par des anciens d'Apple et PA Semi), et Episodic, qui a développé une technologie de vidéo streaming en live qui pourrait s'intégrer dans Youtube.

Cela fait huit acquisitions de startups, soit le double d'IBM, son plus proche concurrent. Même si ces chiffres ne prennent pas en compte les acquisitions de startups qui n'ont pas été financées par des investissements, cela donne une bonne idée de la force de Google sur le marché des fusions et acquisitions. En 2009, c'était Oracle qui était en tête, alors que Google n'avait réalisé que trois acquisitions.

En comparaison, sur la décennie allant de 2000 à 2009, Cisco a été leader sur le marché, avec 48 acquisitions, suivi d'IBM et ses 35 achats, de Microsoft avec 30 acquisitions, d'EMC (25) et d'Oracle (23). Google arrivait à la neuvième place, avec 17 acquisitions, ce que beaucoup de commentateurs comme Dow Jones VentureWire estiment impressionnant, pour une entreprise créée deux ans avant le tournant du millénaire. Pour autant, Google ne devrait pas être le plus gros acheteur en terme de sommes dépensées. Ces données sont plus difficiles à obtenir, Google n'ayant pas dévoilé les chiffres de la majorité de ses rachats, mais les entreprises dans lesquelles le géant a investi sont généralement très petites. Et l'acquisition de Sun par Oracle, qui a été finalisée en janvier 2010, est chiffrée à 7,4 milliards de dollars... Ca semble jouer du côté des sommes dépensées, mais sur le nombre d'acquisitions, Google est en bonne voie pour terminer l'année en tête. D'autant que ça ne ralentit visiblement pas : « Je m'attends à beaucoup d'autres acquisitions d'ici la fin de l'année, » explique un analyste de Dow Jones VentureSource.
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