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La fondation Symbian annonce la disponibilité du kit de développement produit pour le système mobile Symbian^3. Les fonctionnalités implémentées ont en effet été arrêtées le mois dernier et les développeurs peuvent désormais consulter le code source de la plateforme.

Dans un billet publié sur le blog de la fondation il est expliqué : "S^3 est une étape importante pour la plateforme Symbian avec une expérience utilisateur largement optimisée, plusieurs écrans d'accueil personnalisables, de nouvelles fonctionnalités multimédia avancées passionnantes comme le support du HDMI, l'introduction d'une nouvelle génération de graphisme, une meilleure prise en charge du réseau et bien d'autres choses encore !"

La version 3.0 du PDK inclut un nouveau thème baptisé Fresh. La communauté des développeurs est invitée a rapporter les éventuels bugs lors d'une session IRC baptisée Bug Squad qui se tiendra le 12 juillet.

Parmi les smartphones qui devraient être équipés de Symbian^3 notons le Nokia N8. Certaines rumeurs pointent également vers le Nokia N9 ainsi que le Samsung i8920 Omnia HD2. Reste à savoir si le système saura se doter d'une communauté de développeurs assez dense pour faire face à l'iOS, Android mais également MeeGo développé conjointement par Intel et Nokia.

Pour télécharger le PDK de Symbian S^3, les développeurs peuvent se connecter ici.
Après avoir dépassé récemment les 2 milliards de tweets par mois, la célèbre plateforme de microblogging Twitter vient de battre un nouveau record en dépassant les 800 millions de recherches quotidiennes, soit un total mensuel de 24 milliards de requêtes.

Un chiffre qui représente une augmentation de 33% par rapport au mois d'avril, où le nombre de 600 millions de requêtes journalières avait été annoncé lors de la conférence Chirp dédiée aux développeurs.

La croissance rapide de Twitter devrait être bénéfique au service sur de nombreux points, et en particulier au niveau des revenus publicitaires générés par son service officiel de tweets sponsorisés lancé en avril dernier.
En juin dernier, nous apprenions que les dépôts de noms de domaines en .com et .net avaient augmenté. Ces douze derniers mois, 11 millions de nouveaux noms auraient été enregistrés pour franchir la barre des 193 millions. Occasion nous a alors été donnée de poser quelques questions à Ken Silva, le directeur technique de VeriSign, pour évoquer le côté technique de cette évolution.

Avec la hausse constante du nombre de domaines, sur quels acteurs du secteur l'attention doit être portée ?
Les registrars ont fait de nombreux efforts depuis deux ans, ils savent désormais ce que font les consommateurs. Dans ce sens, les FAI ont également compris quelles étaient les responsabilités de chacun. Le plus important des critères reste qu'il faut rendre les intrusions plus compliquées. En ce sens, les technologies de chiffrement sont très utiles.

Comment organiser la capacité de gestion des demandes de normes de domaine en repérant les fraudes ?
Il faut bien comprendre que les risques de sécurité augmentent plus rapidement que la hausse des noms de domaines. La question principale réside dans le fait que l'augmentation du nombre d'utilisateurs signifie que le nombre de points d'entrée est plus important pour un attaquant. Par conséquent, on peut estimer que les tentatives d'attaques seront plus nombreuses. Auparavant, les risques étaient moins nombreux car il y avait peu d'accès. De nos jours, il faut bien comprendre que la bande passante est souvent occupée par du mauvais contenu.

Quels sont les conseils à donner en matière de gestion de la mobilité et sur l'utilisation de nouveaux produits en entreprise. Comme l'iPad par exemple.
Nous avons monté le projet Apollo, une initiative qui vise à augmenter les capacités de gestion des demandes de normes de domaines en repérant au mieux les fraudes en questions. Concernant l'iPad, c'est un bon exemple de la tendance qui se dessine. Chaque entreprise doit bien comprendre qu'elle a déjà perdu le contrôle sur ses points d'accès. C'est pourquoi nous restons attachés à des technologies comme le certificat digital, l'OTP (One Time Password) ou le SSL.
The Pirate Bay revient ces derniers temps sur les devants de la scène : après les déclarations du parti pirate suédois qui annonçait hier sa volonté de voir le site hébergé au sein-même du Parlement, on apprend aujourd'hui que le très controversé moteur de recherche de fichiers torrents vient de faire l'objet d'un piratage de sa base de données.

A l'origine de la manœuvre, un groupe de hackers argentins mené par un certain Ch Russo, qui se serait servi de failles de sécurité pour réaliser des injections SQL, et ainsi accéder à l'administration du site. Là, les pirates ont eu accès à toutes les informations concernant les utilisateurs inscrits au service, soit plus de 4 millions de personnes, adresses IP et adresses email.

Le site KrebsonSecurity, qui a interrogé Ch Russo, indique que les motivations de ce dernier n'ont jamais été d'exploiter les données récupérées de façon malveillante. Le trio de pirates reconnaît par contre avoir « examiné brièvement l'intérêt que représente cet accès et ses informations pour les sociétés anti-piratage » telles que la RIAA (musique) ou la MPAA (films). « La communauté a causé d'énormes problèmes aux entreprises et aux sociétés » déclare par ailleurs Ch Russo sur son blog, ajoutant ne pas avoir agi par « colère » ou par intérêt « commercial », tout en insistant sur la facilité de l'intrusion dans la base de données du site, vidéo à l'appui.

A l'heure actuelle, The Pirate Bay est inaccessible : le site se contente d'afficher une phrase, « Upgrading some stuff, database is in use for backups, soon back again.. Btw, it's nice weather outside I think. » - littéralement « Mise à jour de certaines choses, la base de données est utilisée pour les sauvegardes, bientôt de retour A part ça, il fait beau dehors, je pense. »

Les failles seront donc probablement corrigées rapidement. Reste que le « mal » est fait, et que les données des 4 millions d'utilisateurs du site sont bel et bien dans la nature.
Le gouvernement américain annonce qu'il lance son programme baptisé « Citoyen parfait » (Perfect Citizen). Une initiative qui a pour but de détecter plus rapidement une cyber-attaque contre des sociétés ou des administrations publiques. Des capteurs seront donc placés sur des infrastructures réseaux jugées critiques comme le réseau électrique ou des plans d'installations nucléaires.

La société Raytheon aurait ainsi remporté l'appel d'offre et signé un contrat « classifié » pour la rondelette somme de 100 millions de dollars. L'annonce sonne étrangement à l'heure où le responsable du département Science et technologie de la Maison-Blanche n'a pas réussi à coordonner tous les services américains de cyber-défense.

Du coup, le GAO (Government Accountability Office) a rendu un rapport estimant que les Etats-Unis ne sont pas suffisamment parés pour protéger leur cyber-espace. Pour cela, il révèle le manque patent de stratégie à moyen et long terme.

Pour l'instant, les Etats-Unis sont confrontés à un éparpillement des compétences. Le mille-feuille national est actuellement composé de 5 organisations différentes dont la National Science Foundation, le ministère de la Défense et l'institut national des Sciences et des technologies. L'écueil étant pourtant prévisible...

Reste donc au président Obama à réussir à coordonner rapidement ces institutions. Pour rappel, il avait placé la cyber-sécurité comme un des 4 piliers majeurs de la politique de défense américaine. Un voeu pieu ?
Lancée en 2007, la version mobile de YouTube vient de connaitre une refonte en profondeur, destinée à renforcer son attrait aux yeux des possesseurs de téléphones connectés. Réservée, pour l'instant, aux utilisateurs de smartphones Apple ou Android, elle se dote des principales fonctionnalités de la version Web de YouTube avec, entre autres choses, la possibilité d'accéder à son compte, de gérer ses abonnements ou de créer des listes de lecture.

Très intuitive, l'interface qui tire parti des avancées du HTML 5 se veut également plus réactive, avec la possibilité de parcourir les commentaires ou de noter une vidéo directement depuis sa fiche de présentation, avant ou après l'avoir lancée en plein écran. L'ensemble a clairement été pensé pour les smartphones à écran tactile, comme on pourra le voir dans la vidéo de démonstration qui suit.

Légère et richement dotée, cette version mobile dispose à première vue des arguments nécessaires pour porter un coup aux applications natives dédiées à YouTube et tout particulièrement au client intégré par défaut au sein du système d'exploitation mobile d'Apple.

Ce dernier souffre en plus d'une limitation de taille : un encodage particulièrement destructeur des vidéos visant à garantir un bon fonctionnement sur des réseaux mobiles peu véloces. La version Web mobile de YouTube propose quant à elle d'accéder à un mode "HQ" nettement plus séduisant. Les utilisateurs d'iPhone qui se connectent au service pour la première fois seront d'ailleurs invités à placer un raccourci vers YouTube Mobile sur le springboard de leur appareil.

Le nouveau YouTube n'est pour l'instant accessible qu'après avoir passé le portail en langue anglaise.
Décidément, le concept du « 1 day, 1 deal » a le vent en poupe. Quelques jours après qu'Amazon a annoncé l'acquisition d'un des spécialistes américains du secteur, le site Woot.com, et que Twitter a dévoilé son offre Earlybird, l'équipe de Dealissime.com indique avoir levé quelque 600.000 euros de fonds auprès d'investisseurs tels que Oleg Tscheltzoff (Fotolia), Simon Istolainen (My Major Compagny, Peopleforcinema) et Jonathan Benassaya (Deezer).

Lancé en avril, Dealissime.com propose chaque jour un produit ou un service à prix cassé, dont la vente n'est effective que si le nombre minimum d'acheteurs requis est atteint. Au terme du processus, les internautes qui ont participé à la vente reçoivent un bon d'achat leur permettant d'aller retirer le produit chez un commerçant partenaire. Aujourd'hui, le site génèrerait entre 150 et 200 transactions par jour, avec un fonctionnement identique à celui de Groupon, mais ciblant exclusivement une clientèle féminine encline au haut de gamme.

« Nous sommes convaincues du potentiel de développement de ce nouveau concept en France. Dealissime.com repose sur un modèle "gagnant-gagnant" : gagnant pour les consommateurs qui accèdent à des offres de prestige à moindre prix, et gagnant pour les commerçants qui optimisent leurs ventes et leur visibilité auprès d'une nouvelle clientèle », soutient Lara Rouyrès, cofondatrice du site.

A partir d'un modèle économique tout simple de commission sur les transactions réalisées, Dealissime.com n'ambitionne rien de moins qu'atteindre un volume de ventes de 4 millions d'euros d'ici la fin de l'année et vise la barre des 200.000 membres.
Après des gesticulations politiques puis une « révélation » dans LeMonde.fr, il semble que l'application de la redevance TV pour les ordinateurs soit oubliée. Deux sénateurs, Claude Belot (UMP) et Catherine Morin-Desailly (Union Centriste) avaient pourtant remis un rapport insistant sur la nécessité d'une telle mesure.

Pour autant, le débat était loin d'être gagné par le duo. Déjà en janvier 2009, Jean-François Copé, chef de file des députés UMP avait glissé un très clair : « Moi vivant, il n'y aura pas d'augmentation de la redevance ». Des propos qui n'avaient pas refroidi les ardeurs des sénateurs.

Afin d'en avoir le coeur net, une question a donc été posée devant l'Assemblée nationale. François Baroin, ministre du Budget a alors rappelé la position du gouvernement : « Aucune étude ne permet en effet d'affirmer que les ménages français consomment désormais principalement les programmes de télévision sur ordinateur : on observe plutôt des phénomènes de duplication, l'ordinateur devenant un second écran ». Les propos, repris par PCInpact confirment donc la volonté du gouvernement de ne pas instaurer de nouvelle taxe.

Si la question est donc enterrée, il se pourrait cependant que la décision ne soit pas définitive. Avec l'essor de la télévision de rattrapage, il se pourrait qu'à terme (pas maintenant) l'écran PC vienne se substituer à la TV traditionnelle. Dans ce cas, la redevance de 121 euros par an pourrait être réclamée à la plupart des internautes...
La division indienne de HP Labs a développé une technologie basée sur le cloud, baptisée SiteonMobile, qui simplifie l'accès au contenu et la réalisation de transactions sur le web. Plutôt que d'obliger l'utilisateur à naviguer sur le web avec plusieurs étapes pour terminer une transaction, la série d'étapes est encapsulée dans une application cloud appelée TaskLet par HP.

Cela permet aux utilisateurs d'accéder à un contenu web spécifique ou de finaliser une transaction en envoyant simplement un SMS, ou en appelant un numéro qui invoque la TaskLet pertinente dans le cloud. Selon les ingénieurs de HP Labs, un utilisateur de PC peut même lancer la TaskLet spécifiée en double-cliquant sur une icône de leur bureau. En Inde, où il y a plus de 600 millions de lignes mobiles, la plupart des gens sont en mesure d'accéder au web mobile par le biais de leur téléphone.

HP Labs Inde avait annoncé travailler sur la technologie pour la première fois en 2008, en faisant de l'accès au web mobile dans les marchés émergents une priorité. La bande passante étant relativement cher dans ces pays, et l'habitude des technologies étant moins développée qu'en Europe ou aux Etats-Unis par exemple, les utilisateurs préfèrent un accès rapide et intuitif aux informations dont ils ont besoin, selon les chercheurs.

SiteonMobile permet aux gens avec peu ou pas du tout de compétences en programmation de créer rapidement des TaskLets pour divers services, comme l'horoscope, la météo, ou les réservations de billets de train par exemple. Il suffit alors d'envoyer un SMS avec écrit "try weather" dans le corps du message, ou d'appeler un numéro dédié. Le service est pour l'instant accessible uniquement sur invitation sur le site de SiteonMobile.
le 08/07/2010 à 18:01
PHPCollab 2.5
Après plusieurs années d'attente (version RC), la nouvelle version stable de PHPCollab est disponible sous un environnement PHP/MySQL.

Pour rappel, PHPCollab est un GroupeWare open source qui permet de manière efficace de gérer un projet web.

Les principales nouveautés sont :
- Une interface complètement refaite, pour proposer l'ensemble des fonctions nécessaires pour le management de projet.
- Amélioration de l'interface
- Rapidité
- Gestion complète des différentes étapes d'un projet (planning, suivi, assignation, …)
- De nombreux outils (Répertoires, diagramme de Gantt, Agenda, weblog...)
- Association entre le projet et le site du client pour gérer les commentaires, des requêtes

- Site officiel PHPCollab
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