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OVH n'a pas tardé à répondre à l'offensive d'Online (filiale d'Iliad, maison mère de Free), qui lançait ce matin son offre Dedibox V3 à environ 15 euros par mois. Le "numéro un de l'hébergement en France" autoproclamé a effectivement réajusté la série KS de son offre "Kimsufi" pour s'aligner sur son rival.

Facturée au même prix que celle d'Online, soit 14,99 euros hors taxe par mois, la nouvelle offre "Kimsufi 250G" donne droit à un serveur dédié muni d'un processeur Intel Celeron 220 cadencé à 1,20 GHz ou d'un Intel Atom 230 cadencé à 1,60 GHz (en fonction des disponibilités), de 2 Go de mémoire vive DDR2 et d'un disque dur Serial ATA à 3 Gbps de 250 Go (contre 160 Go pour la Dedibox V3).

En terme de connectivité, OVH offre en standard une bande passante de 100 Mbps (contre 1 Gbps pour la Dedibox V3) et propose en option de nombreuses fonctionnalités de répartition de la charge (load balancing) ou de tolérance de panne. Ces serveurs peuvent fonctionner en standard sous l'une des multiples distributions Linux proposées, ou sous Windows Server 2008 Web Edition pour 2,99 euros hors taxe par mois.

L'offre est sans engagement mais les frais de mise en service de 49,99 euros hors taxe sont offerts pour un paiement annuel. L'offre "Kimsufi 250G" est disponible dès à présent.
La chaîne consacrée aux geeks, amateurs de jeux vidéos et autres nouveautés venues du Japon fête ses trois années d'existence. Selon les mots de son président, NoLife oscille entre parcours chaotique et découverte de véritables perles. Pour autant, la chaîne compte bien fêter dignement ses trois ans sur le thème « Still Alive » (toujours vivants) et cherche toujours à faire épanouir son modèle économique.

C'est un peu au débotté et au détour d'un appel téléphonique que Sebastien Ruchet, président de la chaîne diffusée par ADSL a répondu à quelques questions portant sur le présent et l'avenir de NoLife. La « chaîne dédiée aux geeks » s'estime heureuse de revendiquer trois années d'existence. Pourtant, elle a du faire émerger rapidement un modèle économique viable.

Après la mise sous tutelle par l'éditeur Ankama, les dirigeants de la chaine ont été obligés de faire appel à la contribution des internautes. Sebastien Ruchet nous confie qu' « un modèle économique a rapidement émergé en conservant une chaîne gratuite d'un côté mais en proposant de l'autre un modèle un peu fou de télé de rattrapage payante. Ce système a permis jusqu'ici de nous faire vivre pendant un an de plus ». Proposant un abonnement de 3 à 5 euros par mois, la chaîne, même si elle refuse de communiquer le nombre d'adhérents, considère donc le chemin parcouru.

Dès lors, l'avenir de NoLife passera par un modèle économique stable et la recherche de revenus, notamment publicitaires. Même si le président de la chaîne se dit « inquiet pour l'été qui arrive car les abonnements doivent être renouvelés chaque mois », l'institut de mesure d'audience Médiametrie a déjà lorgné du côté des chaînes diffusant uniquement sur l'ADSL.

A ce titre Médiametrie enquête depuis le 1er mars pour établir l'audience des chaînes diffusant sur l'ADSL. « Un secteur devenu trop important pour être ignoré, même si NoLife ne sera audité qu'à 50 % pour des raisons techniques ». Pour autant, la chaîne sait que son avenir est entre ses mains puisque dès que ces résultats seront disponibles, elle devra recruter une équipe commerciale et se frotter à la concurrence des autres médias… On peut néanmoins faire confiance à la chaîne pour décocher quelques Hadoken et adopter pour quelques années encore la thématique du « Still Alive » chère à GLaDOS.
L'opérateur Internet Free s'apprête à proposer des abonnements au forfait Freebox à un prix « encore jamais vu », lors d'une vente privée qui aura lieu les 3 et 4 juin prochains sur le site Vente-privee.com.

Le communiqué de presse de l'événement ne fait pas le détail de ce qui sera proposé lors de ces deux journées, et ne s'étend pas non plus sur la quantité, qui sera probablement limitée. Free se contente d'indiquer que « tous les membres non abonnés au forfait Freebox pourront souscrire à cette offre exceptionnelle » : il faudra également être inscrit sur le site de vente pour accéder à l'offre.

Proposer une offre complète à un prix réduit et durant une durée limitée, alors qu'il y a quelques semaines, Xavier Niels prédisait une possible augmentation du prix de l'offre Triple Play : une façon de créer le buzz et d'attirer de nouveaux abonnés ? Gageons que cette initiative, si elle a le mérite d'être innovante, ne restera pas un cas isolé bien longtemps… Et pour les intéressés, il est d'ores et déjà possible de s'inscrire sur le site de la vente.
Le Parlement Européen, par le biais de sa Commission aux affaires juridiques vient d'adopter le rapport Gallo. Ce texte vise à renforcer notamment l'application du droit d'auteur sur Internet et par conséquent condamner les internautes surpris en train de télécharger illégalement du contenu culturel.

Adopté par 13 voix contre 8, le rapport Gallo est une sorte de feuille d'intentions pour l'Union européenne, également partie aux débats sur l'ACTA. Plus précisément, le texte vise à faire entrer en ligne de compte les conséquences économiques du piratage. Ainsi, l'étude chiffre à 1,2 million le nombre d'emplois qui seraient impactés par le téléchargement illégal à l'orée 2015.

Pour autant, une levée de boucliers s'est faite pour pointer les risques d'une telle position. Outre Reporters sans frontières, la Quadrature du net juge qu'il s'agit là « d'un appel de plus à la répression ». Son porte-parole, Jérémie Zimmermann estime que « le rapport Gallo montre à quel point le lobbyisme de quelques industries anachroniques peut être puissant sur le Parlement européen. Leur influence sur le processus législatif va à l'encontre de l'intérêt général et empêche le Parlement d'explorer les pistes d'une nouvelle économie créative. »

Si le texte a été adopté par la Commission aux affaires juridiques, le vote en séance plénière devrait avoir lieu le 15 juin prochain. Reste à savoir si le rapport sera qualifié de stratégique ou non. Dans le premier cas, il pourra être amendé et soumis au débat des euro-députés. Ce qui pourrait engendre de belles passes d'armes en perspective.
Lors d'un projet Web, il existe différentes manières et approches pour amener à bien un projet en PHP comme l'utilisation des tests unitaires.

Pour rappel la définition venant de Wikipédia concernant les tests unitaires : «  Un test unitaire est un procédé permettant de s'assurer du fonctionnement correct d'une partie déterminée d'un logiciel ou d'une portion d'un programme ».

Anna filina publie sur son blog 10 raisons pour écrire des tests unitaires, qui sont :
- Ne pas laisser vos clients trouver les bugs génants
- Préparer des scénarios de tests complexes
- Eviter de refaire des portions de codes
- Ecrire juste le code nécessaire
- Assurer la lisibilité
- Assurer la maintenance
- etc

- 10 Reasons to Write Unit Tests
le 01/06/2010 à 23:03
Magix CMS
Magix CMS est un nouveau CMS réalisé en PHP 5, soutenu par la société « Web Solution Way », qui participe entre autre à Magix cjQuery.

Cette société est spécialisée dans le référencement auprès des moteurs de recherche. Par conséquent, l'application a été optimisée pour le référencement (sites, images...), tout en gardant tous les avantages d'un CMS classique, c'est à dire :
- Les termes de navigation
- L'ergornomie
- Les modules
- Les templates
- etc

Sa distribution est un peu différente des autres CMS car il s'agit d'une licence semi-pro, c'est à dire Magix CMS propose une boutique d'extensions, de modules et de templates qui rémunére toutes les personnes qui participent à l'évolution du projet.

Enfin, l'interface s'est dotée des technologies jQuery, permettant de créer facilement un site web et vous pourrez ainsi utiliser le drag and drop (glisser/déposer)... A découvrir.

- Magix CMS : Site officiel
- Toutes les informations de Magix CMS
Dans la catégorie « si Google le dit, c'est que ça doit être vrai même si ça a l'air absurde », voici l'histoire de Lauren Rosenberg : cette américaine poursuit actuellement le moteur de recherche en justice, accusant le service Google Maps de l'avoir guidé sur une route très fréquentée où elle s'est fait percuter par une voiture.

Les faits remontent au 19 janvier 2009 : Lauren Rosenberg cherche son chemin à Park City, dans l'Utah, et décide de se servir de son Blackberry pour calculer son itinéraire grâce à Google Maps. Elle se sert alors du mode piéton du service, qui lui donne un itinéraire de prime abord correct, jusqu'à ce qu'elle se retrouve en train de longer une route très fréquentée, « sans trottoirs », et où la présence de murs antibruit l'oblige à marcher sur la route. L'infortunée persiste, et se fait finalement percuter par une voiture.

Aujourd'hui, Lauren Rosenberg réclame 100 000 dollars à Google, prétextant que le service piéton de Google Maps est responsable de son accident puisqu'il l'a orienté sur une route réservée aux voitures le conducteur de la voiture qui l'a percuté est également cité dans la plainte. La firme de Mountain View, de son côté, se défend, prétextant qu'il est clairement indiqué sur son service que la fonction dédiée aux piétons est en bêta, et qu'il faut l'utiliser avec prudence. Lauren Rosenberg ne l'entend pas de cette oreille : selon elle, l'alerte n'était pas visible sur son Blackberry.

Reste que, comme le souligne le site Search Engine Land à grand renfort de captures d'écran de Street View, la plaignante aurait sans doute pu se rendre compte d'elle-même de la dangerosité de la route qu'elle était en train d'emprunter. C'est le tribunal de l'Utah qui sera chargé de démêler cette affaire dont on entendra sans doute encore parler.
Les hostilités devraient débuter ce 1er juin. Un rapport initié par l'eurodéputé Marielle Gallo (UMP) va être présenté devant l'institution communautaire. Bien que n'ayant aucune valeur juridique, cette lettre d'intention a vocation à appuyer de futures positions dures concernant les mesures anti-téléchargement. Alors que le Parlement européen négocie dans le cadre de l'ACTA, cette ligne pourrait devenir sa position officielle.

Malgré une franche opposition politique, le rapport vise à faire entrer en ligne de compte les conséquences économiques du piratage. Ainsi, l'étude chiffre à 1,2 million le nombre d'emplois qui seraient impactés par le téléchargement illégal à l'orée 2015.

L'association La Quadrature du Net met clairement en garde contre ces mesures en estimant que certains amendements censés « apaiser le texte  »n'ont jamais été pris. Elle estime que « Mme Gallo tente de dissimuler l'incompatibilité entre deux positions contradictoires : d'un côté, la logique ultra-répressive de la rapporteure contre le partage de fichiers en ligne - ainsi que son soutien à l'accord ACTA et à la création de polices privées du droit d'auteur - et de l'autre côté, la compréhension qu'une économie florissante de la création se construira avec les internautes et non contre eux ».

Enfin, la Quadrature précise qu'il s'agit réellement d'un danger pour la démocratie dans le sens où la député Gallo tenterait d'introduire au Parlement européen de « faux amendements de compromis qui doivent être rejetés pour s'assurer qu'un débat digne de ce nom ait lieu ». Ledit rapport sera présenté ce 1er juin à 12h30. La rédaction de Clubic suivra attentivement les débats.
NVIDIA a fait la démonstration d'un flux streaming 3D en direct via l'Internet, aujourd'hui au Computex. Il a utilisé pour l'occasion sa technologie 3D Vision PC, Microsoft Silverlight, et la technologie IIS Smooth Streaming.

« Nous avons collaboré avec Microsoft pour permettre la prise en charge de la 3D dans un navigateur Internet, pour que ce soit très simple à utiliser, » explique Phil Eisler, responsable de la technologie 3D Vision à NVIDIA. « Il suffit de cliquer sur une vidéo 3D et elle se joue, en utilisant NVIDIA 3D Vision et le dernier lecteur vidéo basé sur Silverlight. Les internautes peuvent maintenant profiter de contenus 3D en haute-définition en streaming, et les voir en pleine résolution. »

Pour tirer parti de cette technologie, il faut évidemment un PC compatible. Comme un ordinateur basé sur NVIDIA 3D Vision, avec les derniers pilotes et le plug-in de navigateur Silverlight. NVIDIA parle d'une étape pour les producteurs de contenus, qui pourront ainsi bénéficier d'un canal de diffusion sécurisé et monétisable, selon lui.

« Les consommateurs ont un intérêt grandissant dans les expériences de loisirs en 3D, et Microsoft souhaite travailler avec NVIDIA pour leur apporter ces expériences, » explique Scott Guthrie, vice-président de la division Développement .NET chez Microsoft. « Silverlight et IIS Smooth Streaming apportent la meilleure qualité de vidéo HD sur le web, et avec NVIDIA 3D Vision, permettront désormais d'offrir aux clients la lecture de leurs films, événements sportifs, vidéos musicales en 3D, sur leur propre ordinateur. »
A l'issue de la consultation publique sur le droit à l'oubli numérique, la secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, Nathalie Kosciuzko-Morizet a rendu son rapport. Sur son site, la ministre évoque le « Quit Facebook Day » comme une journée propice pour rendre les conclusions de cette consultation.

Sur 464 participants, la plupart se sont prononcés pour l'instauration d'un droit à l'oubli portant sur les informations personnelles. 74% des votants se déclarent ainsi favorables à la mise en place d'un tel droit. Concrètement, ce droit s'articulerait sous la forme d'une possibilité de résilier facilement son compte sur les réseaux sociaux mais également de faire effacer son profil publicitaire.

Enfin, la secrétaire d'Etat estime qu'il serait « important d'élaborer une date de péremption pour les données publiées, la possibilité pour l'internaute de désindexer son nom des moteurs de recherche, ou la mise en place d'une protection particulière pour les mineurs ». Des mesures qui vont donc dans le sens d'une meilleure compréhension des internautes sur les données qu'ils mettent en ligne.

Pou autant on s'étonnera que la plupart de ces mesures existent déjà. En effet, la Cnil rappelle régulièrement ces droits, notamment aux professionnels, sur le volet de la conservation des données. La loi du 12 avril 2000 modifiée en 2004 inscrit dans le code pénal certaines mesures visant à la bonne conservation des données. L'article 226-20 énonce ainsi que : « le fait de conserver des données à caractère personnel au-delà de la durée prévue par la loi ou le règlement, par la demande d'autorisation ou d'avis, ou par la déclaration préalable adressée à la Commission nationale de l'informatique et des libertés, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 300.000 euros d'amende. »

Reste donc à savoir comment les services du gouvernement sépareront les nouveautés des mesures déjà existantes.
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