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Disponible au téléchargement depuis la semaine dernière, la troisième alpha du système Ubuntu en version 10.04 (Lucid Lynx) introduit, en autres, une nouvelle fonctionnalité baptisée Me Menu.

Ce nouvel outil présente une interface unifiée pour gérer ses différents réseaux communautaires tels que Twitter, Facebook, Identica, Friendfeed ou encore Flickr. Un champ texte permet ainsi de publier une mise à jour sur plusieurs réseaux d'une traite. Les développeurs de Canonical ont également travaillé sur l'intégration avec logiciel de messagerie instantanée Empathy. De cette façon un message envoyé sur un réseau social pourra également être prédéfini en tant que statut sur les comptes de messagerie MSN, Yahoo et Gtalk du client.

Les fonctionnalités de Me Menu sont basées sur la technologie de Gwibber, un client de micro-blogging open source développé en 2007 spécifiquement pour l'environnement de bureau GNOME. A la manière du logiciel Tweetdeck, Gwibber dispose de plusieurs colonnes afin de discerner les mises à jour de ses contacts des messages privés.

Ryan Paul, créateur de Gwibber, explique sur Ars Technica : «  Je travaille actuellement sur la prise en charge d'OAuth, des listes de Twitter et de l'auto-remplissage pour les surnoms des contacts. Ces trois fonctionnalités sont en cours de développement et ne seront pas prêtes pour la sortie d'Ubuntu 10.04. Je prévois également la compatibilité avec Google Buzz dès qu'une interface de programmation sera mise à disposition ».

La sortie d'Ubuntu 10.04 est prévue pour le 29 avril prochain. Vous pouvez télécharger la 3e alpha - strictement destinée aux testeurs - ici.
Hier soir Microsoft a publié un bulletin de sécurité à destination des utilisateurs de Windows 2000, XP et Server 2003. La faille, repérée le 1er février par le chercheur polonais Maurycy Prodeus, concerne le navigateur Internet Explorer.

« La vulnérabilité est présente lorsque VBScript interagit avec les fichiers d'aide Windows au sein d'Internet Explorer », explique Microsoft en précisant : « si un site Internet malicieux retourne une boite de dialogue, l'utilisateur pressant la touche F1 peut amorcer l'exécution de code ». Dans la mesure où l'utilisateur est invité à faire une action, M.Prodeus n'a pas considéré cette faille comme critique mais « medium » ; même si le hacker pourrait prendre le contrôle de tout le système.

Notons que les versions 6, 7 et 8 d'Internet Explorer sont concernées. Sur le blog Security Research & Defense de Microsoft, l'ingénieur David Ross explique : « Dans l'attente d'une solution finale, les utilisateurs sont invités à ne pas presser la touche F1 lorsqu'une boite de dialogue est générée depuis un site web ou tout autre contenu Internet ».

Aucune date n'a été mentionnée pour la publication d'un correctif.
Opera Software dévoile aujourd'hui la version finale de son navigateur Internet en version 10.50 pour Windows. Toujours plus rapide le logiciel dispose d'un nouveau moteur JavaScript et affiche une meilleure intégration à Windows 7.

Pour cette nouvelle mouture Opera s'est refait une beauté ; chacune des options ont été rassemblées au sein d'un même menu déroulant. Les développeurs ont en effet repensé l'ergonomie afin d'octroyer plus de place au contenu de la page web en cours de lecture.

Carakan, tel est le nom du nouveau moteur Javascript embarqué à Opera 10.50 et qui remplace donc Futhark. Opera certifie une fois de plus qu'il s'agit du navigateur le plus rapide que la société ait jamais concocté. D'ailleurs au travers de nos tests sur la version bêta, les performances se sont révélées supérieures à celles de Google Chrome, que ce soit dans sa version stable 4.0 ou la bêta 5.0, et presque 10 fois supérieures à Opera 10.10 ! Le navigateur fait également des progrès au niveau de la prise en charge du HTML5 et du CSS3, notamment la balise ,

Opera 10.50 intègre un mode de navigation privée, lequel peut-être activé pour un onglet spécifique ou une fenêtre séparée. Si Firefox 3.6 devait initialement afficher une meilleure intégration à Windows 7 c'est finalement Opera qui emboite le pas à Internet Explorer. Chacun des onglets ouverts pourront être visualisés dans les Jump Lists de la barre des tâches du système d'exploitation. Notons enfin que tous les raccourcis du Speed Dial seront directement intégrés au menu de démarrage lorsque le logiciel est ouvert.

Sans plus de précision, Opera software précise que les versions pour Mac OS X et Linux devraient prochainement être disponibles. Retrouvez de plus amples informations sur site d'Opera Software.
Crédits : deadgod.netDécidément, les histoires relatives aux violations de brevets logiciels n'en finissent plus. Aujourd'hui c'est Apple qui a annoncé avoir déposé une plainte à l'encontre du fabricant taïwanais HTC pour violation de technologies protégées par des droits de propriété intellectuelle. La firme de Cupertino explique que ces droits ont été déposés via une vingtaine de brevets pour la technologie embarquée au sein de l'interface utilisateur de l'iPhone.

Les actions judiciaires ont été entreprises auprès de la Commission Internationale du Commerce (ITC) et les plaintes furent déposées auprès de la cour fédérale de l'état du Delaware. « Nous pouvons observer les concurrents voler nos inventions protégées et ne rien faire ou au contraire décider de faire quelque chose  », déclare Steve Jobs lui-même dans un communiqué officiel avant d'ajouter : « Nous avons décidé d'entreprendre des actions. Si nous estimons qu'il est sain d'avoir de la compétition, les concurrents devraient créer leur propre technologie et non pas voler la nôtre  ».

Aucune information n'a été mentionnée concernant la nature des brevets en question. Par le passé, lors d'une conférence téléphonique, Tim Cook, le COO d'Apple, s'était particulièrement insurgé contre les constructeurs qui entendent copier l'interface de l'iPhone et déclarait vouloir « faire respecter ses droits liés à la propriété intellectuelle ». Apple avait ainsi déposé 360 pages de brevet décrivant plusieurs manipulations gestuelles sur une interface multipoint (zoomer, faire défiler). Rappelons que HTC a fabriqué divers appareils tournant sous Android et notamment le Nexus One, c'est-à-dire le premier Google Phone commercialisé directement auprès du grand public par le géant de la recherche.Exemple de croquis pour un brevet déposé par Apple
Impossible de conduire une politique efficace de numérisation du patrimoine littéraire français sans faire appel aux services de Google ? C'est ce que laisse entendre un rapport rendu public lundi par la commission des finances du Sénat. Son auteur, Yann Gaillard (UMP), y rejoint les conclusions rendues en janvier dernier par la mission Tessier : en dépit des fonds qui seront dévolus à cette tâche dans le cadre du grand emprunt, les efforts de la Bibliothèque nationale de France n'y suffiront pas.

En partant du principe que la France cherche à faire numériser un catalogue d'environ 15 millions de livres, il estime « qu'avec les moyens actuels de la BnF, il faudrait environ 750 millions d'euros et 375 ans pour numériser l'ensemble des ouvrages », alors que les délais pourraient être ramenés à dix ans en cas d'accord avec Google.

En France, le débat fait rage depuis 2006. A cette époque, la BnF est dirigée par Jean-Noël Jeanneney, qui voit d'un très mauvais oeil le programme de numérisation systématique des livres qu'est en train de construire Google. A plusieurs reprises, il s'insurge contre Google Book Search, et affirme que la France ne doit surtout pas laisser son patrimoine tomber entre les mains d'une société étrangère.

Aujourd'hui, la Culture et la BnF ont adopté une position moins véhémente, mais personne n'a encore réussi à trouver un modèle qui permettrait de concilier l'exigence de numérisation aux moyens consentis. D'où l'idée, récurrente, de se tourner vers Google. Reste à mettre sur pied un accord susceptible de convenir au numéro un mondial de la recherche en ligne, qui souhaite pouvoir rentabiliser les investissements que représente la numérisation.

Dans son rapport, Yann Gaillard dit donc approuver la suggestion déjà formulée par la mission Tessier proposant, « dans le cadre d'un partenariat avec Google, d'échanger des fichiers, ou à défaut de mettre en place une filière commune de numérisation ».

Il souligne toutefois que le « principal enjeu pour les éditeurs, et donc pour le maintien de la diversité éditoriale, est de ne pas se trouver dans l'obligation de vendre leurs livres à un prix très bas à un libraire numérique qui serait en situation de quasi-monopole » et propose donc la mise en place d'une "entité coopérative réunissant les bibliothèques publiques patrimoniales et les éditeurs", qui fournirait au lecteur une offre exhaustive. Rien ne dit toutefois que Google ait envie de s'associer à un tel projet...
Initialement présenté sous la forme d'un répertoire de sites Internet sélectionnés manuellement, Yahoo! fut créé en janvier 1994 et devenu une société Internet le 1er mars 1995. Quinze ans plus tard, la firme de Sunnyvale est devenue un pilier de l'Internet qui entend bien reprendre son souffle et oublier ces dernières années chaotiques aussi sur bien sur le plan financier qu'organisationnel.

Un pilier du web

Aujourd'hui Yahoo! reste l'une des destinations privilégiées des internautes. Avec ses 50 millions de visiteurs uniques par mois, Yahoo! News est ainsi le premier portail d'actualités généralistes de la Toile. Le service de courriers électroniques Yahoo! Mail continue de croître et enregistre de son côté 320 millions d'utilisateurs dans le monde (dont +de 6 millions en France) et se place en seconde position derrière Hotmail. Dans leur domaine respectif, les sites de Yahoo! Finance, Sports, Answers ou Games sont pour leur part dans le top 3 face à la concurrence. Au fil des années, la stratégie de Yahoo! a cependant connu plusieurs lacunes, notamment dans le domaine du web social.

Communautaire : on a loupé le coche

Alors que les services communautaires fleurissent de part et d'autre de la Toile, Yahoo! est souvent critiqué pour ne pas avoir su tirer son épingle du jeu. Yahoo! 360, la première tentative lancée au mois d'avril 2005, ne connut pas le succès espéré devant le leader de l'époque MySpace. Yahoo! s'est ensuite essayé à Mash, puis à Kickstart sans plus de succès. Finalement la société a décidé de changer de politique avec sa stratégie d'ouverture. C'est ainsi que la firme a décidé de s'allier à ses ennemis. Facebook, Twitter, YouTube et autres ont ainsi fait leur apparition au sein de Yahoo! Mail et même sur la page d'accueil yahoo.com. Yahoo! a également signé plusieurs partenariats pour intégrer Facebook et Twitter à des endroits stratégiques sur son portail.

Trop d'acquisitions tue la stratégie

De Konfabulator à MyBlogLog en passant par Delicious ou Flickr, Yahoo! a multiplié les acquisitions au point de perdre toute stratégie de croissance. Pendant quelques années, le portail offrait ainsi plusieurs fois le même service sur différents produits : Delicious Vs Yahoo! Bookmarks Vs MyWeb, Yahoo! Photos Vs Flickr... Ce manque de stratégie provoqua plusieurs remous au sein des différentes équipes de développement. C'est également sur cette « obésité » que la PDG Carol Bartz souhaite travailler en fermant à tour de bras les services les moins rentables de la société pour recentrer sa stratégie sur les produits phares de la marque. Si contrairement à AOL Yahoo! n'a pas fermé ses portes en France, ces remaniements internes ont entrainé plusieurs vagues de licenciements au niveau mondial, dont 15% des effectifs dans l'Hexagone.

L'alliance avec Microsoft

Pour Yahoo!, ces dernières années furent également marquées par plusieurs séries de discussions avec Microsoft. En février 2008, Steve Ballmer fit publier un communiqué annonçant son intention de racheter le portail pour la somme de 44,6 milliards de dollars à hauteur de 31 dollars par action. Jerry Yang, alors à la tête de Yahoo, refusa catégoriquement. Par la suite, les deux parties ont tenté de trouver un accord. C'est finalement en juillet dernier que l'on apprend les détails de cette entente dans le domaine de la recherche. Pour beaucoup, il s'agit d'une défaite monumentale de Yahoo! sur ce marché, même si la société certifie qu'il n'en est rien et reconnaît ne pas avoir été très claire sur ses intentions.

La firme n'est pas toujours perçue d'un bon oeil par le geek d'aujourd'hui. Il faut dire qu'en comparaison à Google, Yahoo! communique très peu sur ses projets internes aussi bien en matière de développement que dans le domaine de la recherche. Quinze ans plus tard, Yahoo! reste tout de même une icône incontournable de la Toile dans plusieurs domaines et continue de prendre des risques par exemple en changeant radicalement sa page d'accueil ou en repensant de fond en comble ses différentes stratégies internes. Reste à savoir si le portail saura sortir de cet âge ingrat et trouver sa maturité dans les quinze prochaines années.
La tempête Xynthia, qui s'est abattue sur la France ce week-end, aurait provoqué une interruption de service pour quelque 170.000 clients de France Télécom, a fait savoir lundi matin l'opérateur dans un communiqué. Les foyers concernés sont concentrés dans les régions Centre, Poitou-Charentes et Pays de la Loire.

Avec des vents particulièrement violents, allant jusqu'à 160 Km/h, couplés à des marées très fortes, Xynthia aurait compromis l'alimentation électrique de plusieurs centaines de sites techniques qu'il faudra temporairement équiper de groupes électrogènes, avec un impact direct sur les abonnés France Télécom en téléphonie fixe ou en ADSL.

Les clients mobiles sont également susceptibles de rencontrer des perturbations lundi, dans la mesure où plus de mille antennes relais ne seraient plus alimentées correctement. « La couverture en téléphonie mobile est dégradée dans les mêmes régions mais également dans certains départements des regions Bourgogne, Champagne-Ardenne et Lorraine », précise l'opérateur. Enfin, France Télécom indique que plus de 100.000 lignes terminales ont été coupées, en raison notamment des chutes d'arbre. « La réparation de l'ensemble de ces lignes individuelles nécessitera de l'ordre de 2 à 3 semaines », indique-il encore.

Le réseau électrique a également souffert des intempéries. Dimanche soir, plus d'un million de foyers étaient privés d'électricité, un chiffre ramené à 220.000 lundi à 11 heures selon ErDF, filiale de distribution d'EDF.
La semaine dernière Google annonçait faire l'objet d'une enquête de la Commission Européenne dans le domaine de la recherche en ligne. En effet, le comparateur de prix britannique Foundem, le moteur de recherche français, spécialisé dans le droit, ejustice.fr et le comparateur de prix Ciao ont tous les trois déposé une plainte pour abus de position dominante.

Les plaignants estiment que Google a volontairement altéré l'indexation de leurs sites sur le moteur de recherche parce que ces derniers entrent en concurrence avec la firme de Mountain View. Puisque le moteur de Ciao a été racheté par Microsoft en 2007, tous les regards se sont alors portés vers la société de Steve Ballmer concernant ce dépôt de plainte. Dave Heiner, vice président et député du conseil général de Microsoft, ne s'en cache pas. Dans un billet publié sur son blog il déclare ainsi : « Ces derniers mois, Microsoft aussi a rencontré le département américain de la justice et la Commission Européenne ». Les représentants de Microsoft ont ainsi discuté du partenariat avec Yahoo! et de la stratégie suivie par Google en pointant du doigt certaines "pratiques dangereuses pour les éditeurs, les annonceurs et la competition dans le domaine de la recherche et de la publicité en ligne ».

Selon M. Heiner, Google tente de se placer en victime en véhiculant une image erronée lorsque la société est devant les tribunaux. « Google déclare aux médias que les débats antitrust dans le domaine de la recherche n'existent pas puisque quelques-unes des plaintes proviennent de l'un de ses derniers concurrents », explique-t-il avant de préciser : "mais en ce qui concerne les lois de concurrences, les plaintes émanent généralement de la compétition ».

M. Heiner ajoute que les petites sociétés estimant être victimes de concurrence déloyale, n'osent pas toujours rendre public leur dépôt de plainte à l'encontre de Google par peur d'entacher les relations commerciales existantes avec la société de Mountain View. Cependant, la tendance serait en train de s'inverser Dave Heiner ajoute que de plus en plus d'actions en justice ont été menées à l'encontre du moteur de recherche ; un phénomène qui mettrait en évidence "la stratégie aggressive", "le manque de transparence » et "les problèmes de concurrence déloyale » de Google.
Suite au séisme de samedi dernier, qui a enregistré une amplitude de 8,8 sur l'échelle de Richter, le bilan des personnes décédées et disparues s'alourdit d'heures en heures. Pour cette raison Google a mis a disposition un outil permettant de faciliter les échanges d'informations. Baptisé Google Person Finder, le site est disponible en anglais et en espagnol.

A partir de cette simple page Internet il est possible de spécifier un nom pour obtenir des informations sur une personne recherchée ou au contraire de partager des informations relatives à un individu en particulier. Google précise que les détails entrés seront publiés et donc visibles aux yeux de tous les internautes. A l'heure actuelle le site enregistre déjà plus de 36 000 entrées.

Google a également mis à disposition un site via lequel il est possible de faire ses dons auprès de l'Unicef et de DirectRelief International ou d'appeler un numéro spécial pour partager des informations avec le gouvernement américain. Toujours depuis ce site l'internaute trouvera des numéros pour envoyer des SMS de solidarité depuis les Etats-Unis ou encore les liens pour publier une vidéo du tremblement de terre et la mettre en ligne sur YouTube.

Reste à savoir si Google France mettra à disposition une version française de ces quelques pages.
Quelques semaines après la mise en ligne de son nouveau site, la chaine d'information internationale France 24 a dévoilé lundi une fonctionnalité expérimentale associée à son lecteur vidéo : la transcription écrite automatique des contenus diffusés à l'antenne. Une façon pour la chaine d'améliorer l'accessibilité de ses programmes en direction des sourds et malentendants, mais aussi d'explorer de nouvelles pistes en matière de référencement, de recherche sémantique, ainsi que de partage ou de recherche des contenus.

France 24, filiale de l'Audiovisuel Extérieur de la France (AEF), indique avoir développé cette technologie de transcription automatique en partenariat avec Yacast Media, le moteur de recherche français Exalead, le spécialiste de la reconnaissance vocale Vecsys et Microsoft, dont la technologie Silverlight sert de socle au "Player HD", le lecteur multimédia de la chaine.

En pratique, l'utilisateur voit donc s'afficher, à côté du flux vidéo, une fenêtre dans laquelle apparait l'intégralité des propos prononcés à l'écran, qu'il s'agisse d'un intervenant plateau, d'une voix off ou d'un reportage. Les termes ainsi détectés au sein du flux audio sont ensuite utilisés pour proposer à l'internaute de naviguer au sein des dernières 24 heures de programme de la chaine.

« Certes les textes obtenus contiennent parfois des erreurs, mais demain, l'ensemble des contenus pourraient être découpés automatiquement, enrichis en métadonnées, sous-titrés, et éventuellement traduits automatiquement. A court terme, cette technologie peut grandement améliorer le référencement de nos contenus. Elle offre un meilleur confort de lecture quand l'audio pose des difficultés et en particulier pour les malentendants. Enfin, elle peut être une aide potentielle dans le cadre de l'apprentissage des langues », se félicite Michel Lévy-Provençal, directeur du Studio Multimédia de France 24.

Le dispositif de transcription automatique est présenté dans la vidéo ci-dessous. On pourra, sous réserve de disposer du composant Silverlight (Mac OS ou Windows), juger sur pièce via le Lab de France 24.
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