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le 25/02/2010 à 23:00
Zend server 5.0
Zend vient de sortir la version finale de Zend Server 5.0. Cette nouvelle version propose de nombreuses évolutions, comme :
- Une amélioration des performances
- Une résolution plus rapide des problèmes

Cette version permet de supporter PHP 5.3, qui garantit un gain important pour repérer les problèmes éventuels

A cette occasion, Zend Technologies, Inc., publie des résultats de l’étude sur la "Situation du développement PHP et Zend Framework" réalisé en décembre 2009.

- Zend server 5.0
- Sondage PHP et Zend Framework
le 25/02/2010 à 23:00
La performance des compilateurs PHP
Le site PHPclasses.org a publié un article comparatif concernant les compilateurs de code source et quelques compilateurs PHP connus pour vous aider à optimiser votre code.

L'article propose un tour d'horizon des compilateurs sous la forme de diagrammes. Les principaux compilateurs sont Roadsend, PHC open source compilateur et même le compilateur HipHop de Facebook.

Bien entendu, un résultat est proposé suivant les compilateurs avec les différentes méthodes d'utilisation de PHP.

- PHP compiler performance
le 24/02/2010 à 23:58
Salon Solutions Linux 2010
Du 16 au 18 mars à porte de Versailles, le salon « Solutions linux » va ouvrir ces portes pour la 12eme édition avec de nombreux exposants professionnels comme Alter Way, mais aussi la présence de nombreux associations dont l'AFUP (Association Française des Utilisateurs de PHP) seront présentes.

L'une des grosses nouveautés concerne le village April – Tarsus a visité absolument, mais pour en savoir plus, il est nécessaire de consulter le communiqué.

- Communiqué Salon Solutions Linux 2010
le 24/02/2010 à 23:58
Slow Show
Slow Show est un outil open source qui va vous permettre de prendre différentes mesures de performance de vos sites internet en PHP. Ces différentes mesures pourront vous aider à analyser l'ensemble de vos sites sur une période donnée.

Il capture les résultats en utilisant YSlow et les classe en rapidité sous la forme graphique. Les résultats que vous obtenez vont vous aider à comprendre les changements à effectuer au niveau des performances.

Le site de cet outil montre quelques pages venant du web sous une forme métrique.

- site officiel Slow Show
Le numéro un mondial des moteurs de recherche vient d'annoncer qu'il faisait l'objet d'une enquête diligentée par la Commission européenne suite à des plaintes déposées par trois acteurs du monde Internet pour abus de position dominante dans le domaine de la recherche en ligne. Sur l'un de ses blogs, Google assure que son succès a toujours été bâti sur des bases saines, sans jamais modifier ses outils pour désavantager tel ou tel de ses concurrents.

Les plaintes émaneraient de trois acteurs européens : le comparateur de prix britannique Foundem, le moteur de recherche français, spécialisé dans le droit, ejustice.fr, ainsi que le comparateur de prix Ciao, racheté par Microsoft en août 2008.

D'après Google, Foundem et ejustice.fr l'accuseraient d'avoir dégradé la position de leurs contenus dans ses pages de résultat parce qu'ils entrent en concurrence avec ses propres produits. La plainte émise par Ciao concernerait quant à elle les conditions d'utilisation des services publicitaires de Google. La procédure engagée à Bruxelles fait suite au dépôt d'une première plainte en Allemagne, en janvier dernier. Ciao indiquait alors chercher, sans succès, à mettre fin à un contrat, signé avec Google avant d'être racheté par Microsoft, l'obligeant à afficher des publicités AdSense.

« Dans la mesure où ces plaintes vont susciter l'intérêt des médias, nous voulons en expliquer un peu le contexte », affirme le numéro un mondial de la recherche en ligne, qui se fait fort de rappeler que Foundem appartient à l'ICOMP, organisation partiellement financée par Microsoft. « Bien que chacun de ces cas soulève des problèmes différents, la question qu'ils posent tous au final est de savoir si Google entreprend quoi que ce soit pour étouffer la concurrence ou pénaliser ses utilisateurs et partenaires ». Ce n'est pas le cas, assure Julia Holtz, conseiller juridique à la concurrence chez Google.

La rançon du succès ? Le succès croissant de Google entraine la multiplication de procédures que l'on croyait jusqu'ici réservées à des géants tels que Intel ou Microsoft. Aux Etats-Unis, le département de la Justice scrute les accords passés par le moteur de recherche avec les éditeurs en vue d'alimenter son programme de livres numérisés accessibles en ligne, alors que la Federal Trade Commission retarde la finalisation du rachat de la régie publicitaire mobile Admob, afin d'avoir le temps de déterminer si cette transaction ne risque pas d'entrainer la création d'un monopole.
Selon un récent rapport publié par la société américaine Verisign, au dernier trimestre de l'année dernière, chaque mois, en moyenne 3,7 millions de nouveaux noms de domaines ont été déposés pour un total de 11 millions - toutes extensions confondues - sur cette période. Cela représenterait une hausse de 8% par rapport au trimestre précédent.

Parmi les TLD (domaines de premier niveau) les plus utilisés nous retrouvons : .com, .cn, et .de. L'extension .net ne vient qu'en quatrième place devant les .uk (Royaume-Uni), .org, .info, .nl (Pays-Bas), .eu (Union Européenne) et .ru (Russie). Au total, ce sont 192 millions de noms de domaines qui ont été enregistrés, soit 15 millions de plus qu'en 2008. A la fin 2009, l'on dénombrait 78,6 millions de noms de domaines utilisant des TLD régionaux (ccTLDs), comme le .fr (France) ou le .it (Italie). Taux de renouvellement des noms de domaine en.com et .net

Sur 12 mois, le .fr (France) et le .au (Australie) ont tous les deux enregistré une progression de 23% contre 37% pour l'extension .ru (Russie), 27% pour le .br (Brésil) mais surtout 467% pour le .cn (Chine). De leurs côtés, les .com et .net ont affiché une hausse trimestrielle de 2% pour atteindre 96,7 millions de noms de domaines. Il s'agit-là d'une croissance de 7% sur un an. Ce dernier trimestre ce sont 7,3 millions de nouveaux domaines qui ont été déposés en .com ou .net avec une moyenne de 2,4 millions chaque mois.

Retrouvez le rapport complet ici (fichier PDF en anglais).
Comme prévu, Microsoft vient de mettre en ligne une mise à jour pour ses systèmes d'exploitation Windows (Windows XP, Windows Vista, Windows 7) permettant de sélectionner la navigateur Internet par défaut. Annoncée il y a maintenant presque une année, cette mise à jour est proposée par Windows Update comme une mise à jour importante mais elle n'est pas cochée par défaut.

Son installation nécessite un redémarrage, et entraîne la suppression de-facto de l'icône Internet Explorer de la barre des tâches Windows. S'en suit un écran de choix affichant les différents navigateurs Internet du marché, dans un ordre aléatoire. L'utilisateur peut donc télécharger et installer un navigateur Internet au choix parmi Safari, Chrome, Opera, Firefox ainsi que d'autres navigateurs moins connus.
Pourquoi s'acharner à essayer de mettre en oeuvre une stratégie communautaire lorsqu'il est possible de tirer parti de la popularité des outils existants ? Telle est la stratégie suivie par Yahoo! après avoir vainement tenté sa chance avec Yahoo! 360, Yahoo! Mash ou encore Kickstart. Après avoir signé un accord de cinq ans avec Facebook au mois de décembre pour l'intégration prochaine de la technologie Facebook Connect sur l'ensemble de son portail, Yahoo! se rapproche cette fois de Twitter.

Les internautes seront ainsi en mesure de retrouver leur flux de mises à jour et celui de leurs contacts depuis n'importe quel site Internet de Yahoo! de la page d'accueil à Yahoo! Mail en passant par Yahoo! Sport. Outre la possibilité de mettre à jour son statut directement depuis les pages du portail, Yahoo! devrait également intégrer des flux thématiques de Twitter afin que les internautes puissent suivre les discussions à chaud sur un sujet donné en fonction de l'actualité.

En somme Yahoo! essaie d'associer le contenu de son portail à l'activité croissante de Twitter. Pour Biz Stone, co-fondateur du site de micro-blogging, il s'agit de mettre en avant ces 50 millions de « tweets » publiés chaque jour. La firme de Sunnyvale annonce également avoir finalisé l'implémentation des résultats de Twitter au sein de son moteur de recherche.
C'est au tour de YouTube d'abandonner la prise en charge des navigateurs internet obsolètes. Les internautes qui tentent de consulter une vidéo depuis un navigateur antérieur à Internet Explorer 7, Firefox 3, Chrome 4 ou Safari 3 sont désormais invités à se procurer un navigateur à jour. À partir du 13 mars, ils pourront toujours consulter les vidéos mais ils ne bénéficieront plus des dernières fonctionnalités.

En ne prenant pas en charge les dernières évolutions des standards, les navigateurs internet obsolètes contraignent effectivement les concepteurs de sites internet à niveler vers le bas les fonctionnalités de leurs réalisations, et freinent ainsi le progrès. Google profite donc de son emprise sur le Web pour responsabiliser les trop nombreux utilisateurs d'anciens navigateurs.

Entre une mesure similaire prise un peu plus tôt pour la suite bureautique Google Docs et l'écran de choix proposé aujourd'hui sur Windows, l'internaute est plus que jamais sollicité. Reste à voir si ces deux annonces auront rapidement un impact sur les parts de marché des navigateurs.
Google annonce l'intégration du service Panoramio directement au sein de Picasaweb. Panoramio ? Il s'agit d'une start-up rachetée par la firme de Mountain View en 2007 hébergeant des clichés géo-localisés. Une fois votre compte Panoramio activé, il faudra que les photos, dotées d'une marqueur géographique, soient placées au sein d'un album public de Picasa Web. L'option « Upload to Panoramio » sera ensuite proposée.

Quel intérêt vous demandez-vous ? Et bien les clichés hébergés sur Panoramio se verront directement intégrés au sein du moteur de recherche de Google et des services Google Maps et Google Earth. Cette nouvelle fonctionnalité n'est pas sans rappeler les dernières options de Bing présentées la semaine dernière lors du sommet TED 2010. En effet, StreetSide Photos permet justement de superposer l'image d'un utilisateur de Flickr à Bing Maps.

Après avoir implémenté Buzz au sein de Google Maps le géant de la Toile semble donc vouloir développer davantage sa stratégie communautaire sur ses services de cartographie.
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