News

Afin d'aller conquérir de nouveaux utilisateurs mobiles dans des pays où les réseaux de troisième génération ne sont pas encore généralisés, Facebook travaille à la mise au point de "Facebook Zero", une nouvelle version de son interface particulièrement légère où ne seront affichées ni les images, ni les vidéos.

Présenté à l'occasion du Mobile World Congress (MWC) de Barcelone, Facebook Zero devrait être disponible dans les semaines à venir, à l'adresse zero.facebook.com qui, depuis la France, renvoie pour l'instant vers la version mobile standard, en affichant le message suivant : « votre opérateur ne prend pas zero.facebook.com en charge ».

Déclinaison ultralight du service, Facebook Zero viendra compléter un dispositif spécialement conçu pour les pays émergents, à qui le réseau social aux 400 millions de membres propose déjà Facebook Lite, une version Web simplifiée pensée pour les connexions bas débit.

Aujourd'hui, 100 millions d'internautes se connecteraient tous les mois à l'une des versions mobiles de Facebook.
Pourquoi faire le guet dans des quartiers résidentiels à la recherche d'un départ en vacances imminent alors qu'il suffit d'une veille efficace sur les réseaux sociaux pour préparer son prochain cambriolage ? C'est de ce constat, à la morale discutable, qu'est née l'idée du site Pleaserobme.com (s'il vous plait, cambriolez-moi), qui scrute les réseaux sociaux à la recherche de messages dans lesquels les internautes indiquent leur position géographique, afin de déterminer s'ils sont ou non à leur domicile.

Pleaserobme tire tout particulièrement parti des interactions entre Twitter et le service américain Foursquare, qui permet à l'utilisateur de poster automatiquement un message indiquant sa localisation sur les réseaux de son choix. Foursquare permet d'afficher une adresse compréhensible (numéro et nom de rue) plutôt que d'obscures coordonnées GPS.

Pour identifier une cible, il suffirait de détecter un message indiquant que l'utilisateur est chez lui, afin de récupérer son adresse, puis d'attendre qu'il signale un déplacement à l'extérieur. Les concepteurs de Pleaserobme.com se défendent toutefois de vouloir faciliter la vie des voleurs.

« Le site n'est pas un outil pour cambrioleur. Ce que nous essayons de montrer, c'est que s'il n'y pas si longtemps, on pouvait se poser la question de savoir s'il fallait dévoiler son vrai nom sur Internet, cette étape a été très largement dépassée », expliquent les concepteurs du service, interrogés par la BBC.

« Le danger consiste à dire publiquement où vous vous trouvez. Ainsi, vous indiquez que s'il y a un endroit ou vous n'êtes définitivement pas... c'est votre domicile », résume l'une des pages d'aide du site.
Après avoir encaissé un chèque de 2 millions de dollars de la part du fondateur d'eBay au mois d'août, la fondation Wikimedia vient de recevoir un nouveau don cette fois de Google. Ce sont ainsi deux nouveaux millions de dollars qui seront investis pour continuer le développement et la maintenance de la plus grande encyclopédie libre Wikipedia.

Cette année, Wikimedia a reçu des contributions de la part de 240 000 donateurs. Avec ce nouveau don, la fondation devrait finir son année fiscale au mois de juin avec 10,6 millions de dollars de revenus. Wikipedia bénéficierait aujourd'hui d'une base de 14 millions d'articles rédigés par 100 000 contributeurs bénévoles et ce dans 270 langues.

Sur les prochains mois, Wikimedia devrait dépenser 9,4 millions de dollars afin de rémunérer les salariés mais aussi une équipe de 30 contributeurs. Pour Sergey Brin, co-fondateur de Google, Wikipedia reste certainement : « l'un des plus grands triomphes de l'Internet  »
Quelques jours après l'introduction du service Google Buzz au sein de Gmail, Eva Hibnick, une résidente de Floride, a déposé une plainte via les cabinets d'avocats William Audet of Audet & Partners LLP en pointant du doigt une violation de la vie privée.

Buzz fut principalement critiqué pour son outil pre-sélectionnant les contacts d'une personne en fonction de leur fréquence de communication par courriers électroniques. Seul hic, un contact avait la possibilité de voir l'intégralité des amis d'une personne ainsi que leurs adresses email respectives. Certains pointaient également du doigt l'activation du partage sur les services Picasa et Google Reader. Cette faille fut corrigée très rapidement par Google mais déjà des actions judiciaires sont en cours. Le modèle initial choisi par la firme de Mountain View aurait été en violation de plusieurs lois informatiques américaines notamment le Computer Fraud and Abuse Act. Eva Hibnick souhaite se placer en porte-parole de tous les utilisateurs de Gmail dont le compte fut automatiquement relié à Buzz... c'est-à-dire à peu près tous (soit 31,2 millions, selon les derniers chiffres du mois de janvier).

A ces actions judiciaires s'ajoutent les accusations de l'Electronic Privacy Information Center (EPIC). L'organisme milite pour la sécurité de la vie privée des utilisateurs utilisant des outils de communication électronique. L'EPIC a déposé une plainte auprès de la Federal Trade Commission, l'agence chargée de réguler les pratiques commerciales outre-Atlantique, en expliquant que l'utilisateur aurait dû choisir d'activer lui-même l'outil Buzz au sein de Gmail. Kimberly Nguyen, conseillère de l'EPIC, déclare ainsi : « en résumé les utilisateurs auraient dû avoir beaucoup plus de contrôle sur leurs informations ».

De son côté la firme de Mountain View attend de prendre connaissance des détails de ces plaintes.
Deux ans ferme, trois ans de mise à l'épreuve et 24 738 dollars d'amende. C'est la condamnation record dont vient d'écoper Robert Henderson, 42 ans, pour avoir réalisé un enregistrement vidéo (camcording) du film Batman The Dark Knight le 18 juillet 2008, peu après sa sortie en salle.

Arrêté dans le cadre d'une enquête de la MPAA (Motion Picture Association of America), Robert Henderson n'en était pas à son coup d'essai puisque son caméscope recelait également des enregistrements de Hell Boy 2 et Les Chroniques de Narnia - Le prince caspian. A son domicile ont également été retrouvés plus de 1.200 DVD contrefaits, signe manifeste d'une volonté de monter un commerce illégal selon l'accusation.

C'est un enregistrement du film Hancock qui a mis la puce à l'oreille des enquêteurs. En analysant un fichier circulant sur Internet, ces derniers ont réussi à déterminer depuis quel cinéma avait été réalisé l'enregistrement. La salle a été placée sous la surveillance de la MPAA. En plein mois de juillet, les enquêteurs ont trouvé suspect l'accoutrement de Robert Henderson, qui portait un manteau d'hiver sous lequel il dissimulait sa caméra. Lors de son audition, le 7 octobre dernier, l'intéressé a reconnu les faits qui lui étaient reprochés.

« Le vol de longs métrages par l'intermédiaire du camcording menace gravement l'industrie du cinéma et les 2,4 millions d'Américains qu'elle emploie. C'est une sentence appropriée pour un crime très sérieux, et nous espérons qu'elle servira d'avertissement à ceux qui envisageraient de voler un film », a déclaré Mike Robinson, vice président protection des contenus au sein de la MPAA.
Apple, qu'on savait relativement prude, virerait-elle au puritanisme pur et dur ? Plusieurs milliers d'applications à caractère sexy ou à connotation sexuelle auraient été supprimées de son kiosque de téléchargement d'applications, l'App Store, en fin de semaine dernière. Ce coup de balai qui ne va pas sans susciter une certaine perplexité du côté des développeurs, dans la mesure où les règles d'admission d'un logiciel sont déjà très strictes et conduisent au rejet systématique de tout contenu à caractère pornographique.

Parmi les applications rejetées, on trouve divers services fournissant un accès direct à des images de jeunes filles peu vêtues, mais sans jamais atteindre la nudité intégrale. Dans le lot, on trouve également divers jeux ou utilitaires, tels que Wobble iBoobs, une application qui permet à l'utilisateur de placer des cibles roses semblables à celles que l'on utilise pour masquer certaines parties intimes. Rien de bien malséant à première vue ?

« L'App Store évolue et de ce fait, nous révisons constamment nos lignes de conduite. Votre application, Wobble iBoobs, contenait des éléments qui avaient initialement jugés propres à la distribution. Quoi qu'il en soit, nous avons reçu plusieurs plaintes émanant de nos clients relatives à ce type de contenu, et avons changé nos lignes de conduite en conséquence », explique Apple dans un courrier adressé au développeur de cette application. A gauche, Wobble iBoobs, supprimé de l'App Store. A droite, Playboy iPhone, toujours en ligne

Sans qu'on sache si toutes ont été motivées par des utilisateurs mécontents, ces suppressions auraient été menées à large échelle : selon le site AppShopper.com, plus de cinq mille auraient effacées de l'App Store ces derniers jours. Apple semble dans le même temps avoir durci ses règles de publication. La présence de photographies de femmes ou d'hommes en maillot de bain, de silhouettes aux positions suggestives et de façon générale tout élément à connotation sexuelle pourrait maintenant valoir un refus d'admission sur l'App Store.

Certains suggèrent que ce durcissement pourrait être justifié par l'arrivée prochaine de l'iPad, la tablette tactile d'Apple, que le fabricant ambitionne de placer auprès d'écoles ou d'entreprises. En attendant, les développeurs s'interrogent et font remarquer que certains logiciels pourtant suggestifs ont toujours droit de cité chez Apple, à l'image de l'application Playboy pour iPhone.
Dans un entretien accordé à Ecran Total, Joseph Guégan, directeur général adjoint de la technologie à Canal+, indique que la chaîne cryptée devrait lancer un canal dédié à la télévision en relief à la fin de l'année.

« Nous réglons ce premier semestre les derniers problèmes techniques et nous comptons lancer pour Noël une chaîne dédiée à la 3D. Elle proposera des films d'animation en relief, des films en 3D native et du sport live », explique-t-il. De plus, la chaîne cryptée sera capable de convertir des images 2D en 3D. Les fabricants d'électronique prévoiraient quant à eux de commercialiser dès la fin de l'année des « packs téléviseur 3D Ready, lecteur Blu-Ray 3D et lunettes actives », précise Ecran Total.

Les derniers décodeurs HD mis à disposition des abonnés satellite de Canal+ seraient d'ores et déjà compatibles 3D. Reste à savoir à quel prix seront commercialisées les formules associées.
De passage en Europe, Yoelle Maarek, chercheur au laboratoire Yahoo! Labs en Israël, a présenté l'avenir du moteur de recherche de la société Internet au lendemain des accords signés avec Microsoft. En effet, vendredi dernier, la Commission Européenne et les autorités de régulation américaines ont donné leur feu vert au partenariat de 10 ans annoncé par les deux parties l'été dernier. A l'heure actuelle, seules les autorités de la concurrence de Corée, de Taïwan et du Japon doivent donner leur aval pour que les fruits de cette entente soient déployés au sein de ces trois pays.

Commençons par rappeler que la société Yahoo! se placera en régie publicitaire sur les sites de Yahoo! et Bing. Par ailleurs, Yahoo! bénéficiera des serveurs de Microsoft et notamment tout ce qui touche à l'infrastructure de gestion (climatisation/refroidissement des machines). Yahoo! tient à le crier haut et fort : « nous sommes toujours dans la course », déclare Yoelle Maarek - également ex-employée de chez Google - « et nous sommes en compétition avec Bing ».

Mme Maarek explique qu'après deux batailles axées sur l'infrastructure matérielle et l'analyse de liens, le troisième enjeu réside dans l'expérience offerte à l'utilisateur, ou, pour reprendre le terme technique anglais le frontend. Cela se traduit par l'affichage des résultats et des fonctionnalités secondaires telles que l'auto-remplissage d'une requête. "Lorsque je travaillais chez Google, nous avions beaucoup de respect pour Yahoo! parce que l'on voyait bien qu'ils prenaient des risques », ajoute Yoelle Maarek.

Pour Yahoo! il s'agit véritablement de redorer son image en expliquant que même si la part de marché de son moteur de recherche n'atteint pas les sommets de celle de Google, la firme n'en reste pas moins innovante. Yoelle Maarek explique notamment que la technologie Search Monkey fut reprise par Google et rebaptisée Rich Snippets. Pour mémoire, Search Monkey permettait aux éditeurs et/ou blogueurs de présenter comme ils le souhaitent leurs sites au sein des résultats de recherche (par exemple avec quelques liens de navigation) via un jeu de métadonnées (RDF). "Dites-nous de quelle manière vous souhaitez que l'on présente vos résultats et de notre côté nous vérifions juste que le site est légitime », explique-t-elle ainsi. En France Allociné fait notamment usage de cette technologie.

Yahoo! souligne également avoir été le premier à déployer son assistant de recherche offrant la remplissage automatique des requêtes. « Je le sais bien, c'est moi et mon équipe qui en étions chargés », affirme la chercheuse avant de préciser : « Yahoo! l'a fait en 2007 et Google en 2008 ». Cette petite fonctionnalité qui passerait presque inaperçue requiert pourtant une lourde infrastructure puisque les serveurs doivent retourner des suggestions à la vitesse de frappe des internautes.

Alors qu'est-ce qui différencie Google de Yahoo! ? "Yahoo! n'est pas une boîte d'ingénieurs mais de chercheurs », nous explique-t-on. Alors que Yahoo! cherche à satisfaire l'ensemble des utilisateurs, les ingénieurs de Google produiraient des outils répondant à leurs propres besoins et donc "un peu trop geek pour l'utilisateur lambda". La culture interne serait également différente car si les chercheurs de Yahoo! se doivent de publier les fruits de leurs recherches en les mettant à disposition de tout le monde, Google interdirait cette pratique pour conserver le secrets des travaux effectués en interne. "Nous attirons les chercheurs qui souhaitent publier, nous sommes jugés sur nos publications, comme un prof à la fac", explique M. Maarek. Ce sont d'ailleurs précisément, les critiques reçues pour une publication qui permettent aux chercheurs de se remettre en cause ou d'approfondir un projet.

A l'avenir Yahoo! devrait donc accélérer ses travaux sur la présentation des résultats notamment en regroupant les informations et médias de plusieurs sites Internet partenaires au sein d'un même module (Web of Things). Yahoo! devrait également analyser le surf d'un internaute afin de mieux cerner la requête demandée à partir d'une page web précise. « Si je fais une requête sur le mot "football" sur Yahoo! Sport à priori je veux des résultats sportifs », déclare Yoelle Maarek. L'enjeu reste véritablement de ne pas trop cibler l'internaute. « Nous souhaitons repérer les intentions d'une personne mais pas l'identifier en tant qu'individu. Il ne faut pas pouvoir regrouper les résultats au travers de vos requêtes », ajoute-t-elle en mentionnant la bourde d'AOL en 2006.

En utilisant les serveurs de Microsoft pour procéder aux calculs des résultats, Yahoo! devrait économiser quelque 100 millions de dollars qui seront réinvestis directement sur l'infrastructure utilisée pour le frontend. Reste à savoir si la part de marché suivra et saura repasser au-dessus des 20%. Quoiqu'il en soit Yahoo! semble vouloir communiquer davantage sur ses efforts dans le domaine de la recherche et ne souhaite pas être laissé pour compte sur ce marché.
le 22/02/2010 à 21:54
PHPMD : PHP Mess Detector
PHPMD est une API inspirée de l'outil Java PMD. Cette API va essayer de repérer les problèmes éventuels d'une page PHP.

Les problèmes qu'il repère sont :
- Les bugs éventuels
- Le code non optimisé
- La détection d'expression trop compliquée
- Des parties inutiles comme des paramètres, des propriétés...

Actuellement, le projet ne permet pas de faire une partie des fonctions, mais le projet avance vite... A suivre.

- site officiel PHPMD : PHP Mess Detector
le 22/02/2010 à 21:54
Compresser et ranger le CSS avec PHP
Pour économiser des requêtes HTTP, les développeurs essayent de compresser un maximum le code en utilisant différentes techniques.

Le plus répandu concerne la compression JS (javascript), mais il est tout à fait possible de compresser aussi le CSS. Celui peut se faire en PHP comme le montre Darklg.

Ce tutorial va réduire et regrouper les CSS pour en obtenir un petit fichier grâce au PHP.

- Compresser et ranger son CSS avec PHP.
LoadingChargement en cours