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le 20/02/2010 à 21:52
Traducteur Google avec PHP-GTK 2
L'extension PHP-GTK permet de créer des interfaces, toutes différentes les unes par rapport aux autres.

Aujourd'hui, le site SintoniaPHP montre sous la forme d'un tutorial comment créer un service de traduction en utilisation le service de Traduction de Google avec PHP-GTK 2.

Ce tutorial se décompose en 3 parties, avec des sources et des captures écrans, vous permettant de voir toutes les possibilités de réalisation.

- Tutorial: Our First Application - Part 1
- Tutorial: Our First Application - Part 2
- Tutorial: Our First Application - Part 3
Microsoft et Yahoo ont désormais les coudées franches pour mettre en place leur accord dans le domaine de la publicité et de la recherche sur Internet. Le département de la Justice américain et la Commission européenne ont en effet tous deux validé jeudi le projet, sans restriction d'aucune sorte. Dans un communiqué commun, les deux partenaires indiquent que le processus débutera dans les jours à venir.

La première étape sera la migration vers les infrastructures de Microsoft des plates-formes payantes et algorithmiques du moteur de recherche Yahoo, avec la mise en place d'une place de marché unique, gérée par Yahoo, pour l'achat des liens sponsorisés sur leurs services respectifs (SEM, Search Engine Marketing). Les deux partenaires resteront toutefois concurrents dans le domaine de la bannière publicitaire (display).

Quand la migration aura été effectuée, les outils de recherche de Yahoo retourneront des résultats émanant du moteur Bing. De son côté, Yahoo se concentrera sur l'enrichissement et la mise en valeur de ces résultats, ainsi que sur le développement de son offre de contenus et de ses outils de personnalisation. Les deux sociétés continueront donc à développer leurs propres services, mais ces derniers reposeront désormais sur un socle technique commun.

En termes de calendrier, elles indiquent s'être fixé comme objectif la finalisation de la migration de la technologie de recherche avant la fin 2010, au moins pour les Etats-Unis. Les changements devraient ensuite être répercutés au niveau de l'ensemble des clients, partenaires, annonceurs et éditeurs de sites dans le monde d'ici le début 2012.

"Grâce à ce partenariat révolutionnaire, les équipes de Yahoo! vont pouvoir se concentrer encore davantage sur l'innovation et l'amélioration de l'expérience utilisateur", se félicite dans un communiqué Carol Bartz, CEO de Yahoo!. « Nous allons pouvoir faire ce que nous faisons le mieux, à savoir conjuguer notre expertise scientifique et technologique à des contenus de grande qualité pour offrir aux internautes et à nos clients des expériences en ligne pertinentes et personnalisées. »

En juillet 2009, après plusieurs mois de négociations, le projet de rachat de Yahoo par Microsoft a finalement abouti à la signature de l'accord de partenariat désormais validé par les Autorités de la concurrence. Celles-ci ont estimé que le rapprochement entre les deux géants américains serait profitable à la concurrence sur les marchés de la recherche en ligne et des liens sponsorisés, aujourd'hui largement dominés au niveau mondial par Google.
Alors que le service de cartographie en ligne Google Maps vient de recevoir son Labs en cadeau (voir Google Maps a maintenant ses Labs), c'est au tour de Microsoft d'annoncer des nouveautés pour son application concurrente, Bing Maps.

Côté chiffres, Microsoft annonce que son service couvre désormais une superficie d'un million de km2 supplémentaires. Annoncée en fin d'année dernière (voir Avec Silverlight, Bing Maps taquine Google Street View), la fonction Enhanced Bird's Eye bénéficie de nouvelles images dans plusieurs pays d'Europe (Italie, Roumanie, Pays-Bas, Espagne et Suède) ainsi qu'aux Etats-Unis.

Outre cet effort cartographique et photographique, Bing Maps propose également quelques nouveautés intéressantes. Sky View, par exemple, permet de juxtaposer à l'image une carte du ciel (constellations, étoiles, planètes) simplement en dirigeant la vue vers le ciel.

Autre nouveauté d'importance : Streetside Photos. Cette fonction assez novatrice permet de superposer à une image Bing Maps une photo prise par un utilisateur. L'effet est assez intéressant et si la juxtaposition est parfois légèrement imparfaite, l'incrustation est la plupart du temps très réussie. Cette nouvelle fonction ne concerne toutefois pour l'instant que les villes de Seattle, San Francisco et Vancouver, où se déroulent actuellement les Jeux Olympiques d'hiver. Elle utilise en outre SilverLight 3, que Chrome, par exemple, ne gère pas.

L'intérieur des immeubles peut également être "visité" en utilisant les photos chargées par les particuliers sur Flickr. Bing peut également travailler de la sorte avec une vidéo, en l'incrustant dans l'image.

Vous pouvez d'ores et déjà tester ces fonctions sur Bing Maps. Voici une vidéo dans laquelle Blaise Aguera y Arcas, ingénieur architecte chez Microsoft Labs, explique les nouveautés liées à Bing Maps.
Nous nous faisions l'écho, la semaine dernière, des problèmes engendrés par une récente mise à jour de Windows XP (voir Windows XP ou la mise à jour qui plante). L'un des patchs publié par Microsoft dans le cadre de son bulletin de sécurité mensuel provoquait en effet, sur certaines configurations, l'apparition d'un écran bleu. Le patch MS10-015 revenait pour mémoire sur une vulnérabilité vieille de 17 ans affectant toutes les versions 32 bits de Windows de Windows NT 3.1 à Windows 7. Les équipes de Microsoft ont visiblement avancé sur les causes de ce plantage. D'après les ingénieurs du géant des logiciels, les machines présentant un écran bleu après installation du dit patch sont infectées par un rootkit, en l'occurrence le rootkit Alureon. C'est en analysant les rapports de plantage et les données issues des opérations de vidage de la mémoire que Microsoft a pu formuler cette conclusion.

Le rootkit Alureon modifiant certains fichiers de noyau Windows, les modifications apportées par la mise à jour de sécurité entrent en conflit engendrant les fameux écrans bleus. Certains se demanderont maintenant pourquoi Microsoft n'a pas identifié le problème en amont, avant de déployer la dite mise à jour. Réponse : les machines infectées par des rootkits sont tellement instables qu'il est en général impossible ou difficile de tester leur stabilité après application de mises à jour Windows.

Si vous êtes concerné par ce problème, la meilleure solution pour éradiquer un rootkit reste la réinstallation de Windows, une opération il est vrai lourde et pénible mais au résultat garanti contrairement aux diverses solutions de nettoyage d'une machine infectée par un rootkit.
Rappel des faits : le 12 janvier dernier, Google subissait une attaque d'envergure, « très sophistiquée et très ciblée" provenant de Chine, rapportait à l'époque David Drummond, responsable juridique de Google. Cette attaque avait par ailleurs affecté quelque vingt autres sociétés d'importance. Quelques bisbilles diplomatiques plus tard, c'est une enquête approfondie qui reprenait le dessus et qui semble livrer ses premières conclusions.

D'après le New York Times, deux sources de ces cyber-attaques retentissantes auraient été identifiées : l'une d'elles serait une université de Shanghai (l'université Jiaotong), réputée pour sa formation en informatique, tandis que l'autre proviendrait d'une école professionnelle fournissant des informaticiens à l'armée, celle de Lanxiang. Les sources proches de l'enquête entendues par le journal sont même plus précises, affirmant que des éléments en possession des enquêteurs conduiraient ces derniers vers un ordinateur précis, placé dans une salle de science de l'école de Lanxiang.

Toujours d'après le journal, ces attaques seraient une entreprise de longue haleine, puisqu'elles auraient débuté en avril 2009. Google, de son côté, affirme poursuivre ses investigations. À l'heure où les tensions rejaillissent entre Washington et Pekin suite à l'entrevue entre Barack Obama et le Dalaï-Lama, nul doute que la position du gouvernement chinois, qui avait nié toute implication dans l'attaque, devient de plus en plus difficile à tenir.
Dix associations ou groupements d'entreprise actifs dans le domaine du logiciel libre au niveau régional ont annoncé jeudi la création officiel d'un Conseil National du Logiciel Libre (CNLL), une structure grâce à laquelle ils entendent bien être en mesure de représenter leurs intérêts et développer leur attractivité sur le plan national.

« Le CNLL a pour vocation de parler au nom de l'ensemble de la filière économique du logiciel libre, sans discrimination, afin de faire connaître les bénéfices du logiciel libre dans le contexte actuel de relance économique, et de faire entendre les demandes de ses membres auprès des pouvoirs publics, pour un soutien à l'activité économique de la filière », résume un communiqué.

Le CNLL se propose notamment de représenter l'écosystème du logiciel libre auprès des pouvoirs publics ou à l'international, d'assurer une visibilité plus importante à ses acteurs et d'aider à la mise en place de synergies entre ses membres.

Des missions que le CNLL estime complémentaires de celles que se sont fixé d'autres acteurs déjà en place, comme l'April (Association française de promotion du logiciel libre, l'Aful (Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels Libres) ou l'Adullact (Association des Développeurs et Utilisateurs de Logiciels Libres pour les Administrations et les Collectivités Territoriales).

Les dix membres fondateurs du CNLL sont Alliance Libre, Cap Libre, Collibri (Cap Digital), Groupe Thématique Logiciel Libre (SYSTEM@TIC), Libertis, OSS@TV (Telecom Valley), PLOSS, PLOSS RHA, Pôle Nord et ProLibre. Plus d'informations sur le site cnll.fr.
Christine Albanel ne prendrait finalement pas le chemin de la Bibliothèque nationale de France, mais celui de l'opérateur historique, France Télécom. D'après le Figaro, l'ex ministre de la Culture et de la Communication ferait en effet partie de l'équipe composée par Stéphane Richard, ancien numéro deux du groupe FT, amené à prendre en main l'ensemble des activités opérationnelles à partir du 1er mars prochain.

Au sein de France Télécom, Christine Albanel serait amenée à occuper « un poste vaste et important autour de la communication et des contenus de l'opérateur », indique le Figaro.

Christine Albanel, 54 ans, a présidé de 2003 à 2007 l'Etablissement public du musée et du domaine national de Versailles, avant de prendre la tête du ministère de la Culture et de la Communication, où elle a notamment géré le dossier de la lutte contre le téléchargement illégal, désormais incarné par les deux volets de la loi Hadopi.Mise à jour, 16h05 :

D'aucuns s'étonnent de cette possible nomination. Bien qu'elle n'ait pour l'instant pas été confirmée par France Télécom, la diffusion de cette information a rapidement suscité la mise en ligne d'une pétition demandant que Christine Albanel « se voie refuser le droit d'être embauchée par France Télécom au nom de l'indépendance nécessaire entre état et lobbys privés ».
Le feuilleton du "Ballot Screen" touche à sa fin. L'écran de sélection du navigateur par défaut de Windows 7 devait permettre à Microsoft de clore ses déboires avec l'Union Européenne, saisie notamment par Opera Software, Google et la Fondation Mozilla. Microsoft annonce sur le blog Microsoft On The Issues que le module sera testé dès la semaine prochaine, pour les utilisateurs européens de Windows 7 et Vista. L'écran de sélection des navigateurs sera disponible via Windows Update en France, en Belgique et en Grande Bretagne, pour les utilisateurs qui souhaitent le tester, avant d'être proposé comme une mise à jour automatique à partir du 1er mars.

Microsoft fournit également quelques détails sur le Ballot Screen, confirmant que l'écran présentera les 5 principaux navigateurs (IE, Mozilla Firefox, Google Chrome, Opera et Safari) dans un ordre aléatoire, ainsi qu'une sélection également aléatoire d'autres navigateurs web. Si Internet Explorer est déjà dans votre barre des tâches sous Windows 7, le module le supprimera . L'installation du module sera également précédé d'un texte introductif rappelant l'importance du choix d'un navigateur, et informant l'utilisateur de ladite suppression.
Virgin Mobile a récemment mis à jour son offre mobile. Si les forfaits conservent leur substantifique moelle, la mention « illimité » disparait en revanche de plusieurs composantes des forfaits Paradyse et Liberty Sim.

À commencer par la voix. Autrefois illimités, les appels gratuits vers 5 numéros sont désormais plafonnés à 5 heures par mois et par correspondant, soit un maximum de 25 heures. Au-delà du temps imparti, les appels sont décomptés du temps de communication restant, ou à défaut facturés hors forfait (0,37 euro la minute).

Mais ce sont surtout deux petites modifications apportées aux forfaits internet qui méritent qu'on leur porte attention, puisqu'elles pourraient provoquer de mauvaises surprises, telles qu'en ont rencontré d'autres mobinautes mal informés. Les forfaits "Tout internet et full mails" sont dorénavant limités à 300 Mo par mois, au-delà desquels les dépassements sont facturés à prix d'or : 0,03 euro par tranche de 10 Ko, soit pas moins de 3 euros le Mo.

Avec la nouvelle formule, une consommation mensuelle de 500 Mo, soit le quota au-delà duquel les connexions étaient jusqu'à présent bridées et non facturées, coûte donc la modique somme de 600 euros, auxquels s'ajoutent encore le montant (alors négligeable) de l'abonnement.

Contacté par nos soins, un porte-parole de l'opérateur virtuel indique que ces mesures sont un "garde fou contre les utilisations frauduleuses", et assure qu'elles ne devraient pas impacter la majorité des usagers puisque seul 1% de ses abonnés consommerait plus de 300 Mo par mois. Un système d'alerte avise automatiquement l'abonné lorsqu'il est à 80% de son quota (240 Mo), mais pas lorsqu'il l'a atteint. Nous attendons donc avec impatience le prochain record de facturation. Score à battre : 159 212 euros (l'équivalent de 50 Go tout de même).

Notons enfin que ces changements ne s'appliquent qu'aux nouveaux abonnés. Ceux qui étaient clients avant le 17 février sont épargnés et continuent de bénéficier de forfaits certes parfois bridés, mais toujours illimités. Virgin Mobile a au moins le mérite de ne pas faire passer pour illimité ce qui ne l'est pas.
le 19/02/2010 à 21:46
Symfony 2.0a et Symfony live 2010
L'évènement Symfony live 2010 vient de fermer ses portes. Cette édition fut un grand succès, dévoilant de nombreuses évolutions du produit Symfony.

Les points forts :

Doctrine 2 : Cette version est réécrite pour exploiter pleinement la puissance de PHP 5.3. Elle montre un résultat au moins 3 fois plus rapide que la version 1

Symfony 2 : La version 2 a été présentée en clôture de l'évènement. Cette nouvelle version consomme moins de ressources mémoire et sera plus configurable et plus flexible. Avec ces nouvelles possibilités, la gestion des plugins sera 100 % personnalisable en fonction de vos besoins. Par ailleurs, de nombreuses fonctionnalités sont apparues comme un event dispacher, basé sur le centre de notification d'Apple.

Zend et Symfony : Avec l'ouverture du code et des possibilités de la version 2 de Symfony, celle-ci se voit dotée de quelques fonctionnalités venant de Zend Framework comme la gestion mémoire.

- Demo et présentation de Symfony 2.0
- Tous les conférences de Symfony live
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