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Outlook s'ouvre aux réseaux sociaux. Microsoft a mis en ligne mercredi soir une version d'essai de sa première extension Outlook Social Connector, dédiée au réseau social professionnel Linkedin. Réservée aux utilisateurs de la version bêta d'Outlook 2010, elle permet de retrouver directement dans sa boite de réception et son carnet d'adresses des informations en provenance de Linkedin : statuts, invitations ou messages, mais aussi mise à jour en temps réel des informations de contact ou affichage de la photo du correspondant. Dans le même temps, Microsoft annonce avoir signé un accord avec Facebook et MySpace, qui disposeront donc bientôt de leur propre "connecteur" au sein du client de messagerie de la suite Office.

Pour en profiter, il faudra donc de préférence disposer de la bêta d'Office 2010 et télécharger le composant logiciel dédié. Les deux partenaires indiquent toutefois que les utilisateurs des versions 2003 et 2007 d'Office pourront également l'installer, après équipé leur client de l'extension Outlook Social Connector. Seule restriction, cette dernière n'est pour l'instant disponible qu'en version 32 bits.

Microsoft promet par ailleurs que Facebook et MySpace seront disponibles sur Outlook Social Connector « au premier semestre 2010 », sans plus de précision. La version finale de la suite Office 2010 devrait quant à elle voir le jour au mois de juin, vraisemblablement aux alentours du 15.
Google a annoncé mercredi l'acquisition de reMail, éditeur d'une application iPhone payante visant à faciliter la gestion des courriers électroniques sur téléphone mobile. Celle-ci offre un moteur de compression, qui vise à réduire l'espace de stockage occupé par la boite de réception, doublé d'un outil de recherche capable d'examiner le corps des messages. Selon Gabor Cselle, fondateur de reMail, son outil offrirait en matière de recherche des performances bien supérieures à celle du moteur intégré au système d'exploitation de l'iPhone.

Dans un billet annonçant le rachat de ses activités par Google, il indique qu'il rejoindra l'équipe en charge du développement de Gmail, au sein de laquelle il devrait plancher sur les fonctionnalités spécifiques au mobile. En parallèle, l'application reMail a été desindexée de l'App Store, où il n'est donc plus possible de l'acheter.

Sur le Web, certains utilisateurs de l'application regrettent cette acquisition et se demandent si Google n'a pas tout simplement cherché à s'approprier la technologie élaborée par l'équipe de reMail pour empêcher les utilisateurs d'iPhone d'en profiter et ainsi les inviter à se tourner vers sa propre solution mobile, Android.
Bien que les internautes aient la possibilité de se tourner vers Firefox 3.6, dernière version en date du célèbre navigateur, la fondation Mozilla poursuit le support des branches précédentes, avec la publication dans la nuit de mercredi à jeudi des versions 3.0.18 et 3.5.8. Ces mises à jour, que l'on peut dès à présent télécharger pour Windows, Mac et Linux, n'apportent aucune nouveauté mais viennent corriger un certain nombre de problèmes de sécurité ou de stabilité.

Les internautes qui naviguent à l'aide de Firefox mais qui pour une raison ou pour une autre ne seraient pas encore passés à la version 3.6 sont toujours invités à le faire. S'ils tiennent à conserver l'une des moutures précédentes, l'installation de ces mises à jour est recommandée. Du côté de Firefox 3.5.8, cinq vulnérabilités sont corrigées, dont trois sont qualifiées de critiques.
Hasard du calendrier ou volonté de montrer le bon exemple à ceux qui s'interrogent sur le bien fondé des mesures de la loi Loppsi ? L'Assemblée nationale vient de mettre en place un dispositif de filtrage visant à interdire l'accès aux sites Internet pornographiques ou pédophiles depuis les ordinateurs qu'elle propose à ses membres et employés.

« Le dispositif de filtrage vise à empêcher toute connexion aux sites pornographiques, pédophiles, ainsi qu'à des sites susceptibles de propager certains virus », indique une note publiée sur le réseau interne de l'Assemblée nationale, dont la teneur est rapportée par l'AFP. Elle précise en outre que les traces de connexion sont, « pour des raisons techniques », conservées pendant 24 heures.

D'après Bakchich.info, il semblerait toutefois que le système soit faillible. Basé, selon une source interrogée sur place par ses soins, sur un système de type liste noire, il ne bloquerait pas correctement certains annuaires dont le caractère pornographique ne fait aucun doute. A l'inverse, il interdirait l'accès à au moins une adresse qui pourtant ne revêt à première vue ni danger, ni atteintes aux bonnes moeurs.

L'anecdote ne prêterait guère à conséquence, si les députés ne venaient justement pas d'adopter, dans le cadre de la loi Loppsi, le principe du filtrage comme moyen de lutter contre la diffusion de contenus pédophiles sur Internet.Leur vote aurait-il été différent s'ils avaient constaté l'efficacité toute relative des garde-fous qui leur sont censément imposés ?
le 18/02/2010 à 21:43
PHP Firewall
PHP Firewall est une API qui va vous aider à contrôler un certain nombre de points de sécurité connus, touchant entre autres la détection des PROXYs mais aussi :
- Des sécurités touchant les attaques XSS, les injections SQL, les attaques DOS
- Le repérage des robots
- Les inclusions de fichiers
- Des URL de sites
- Le nettoyage des cookie's, des variables POST et GET
- etc

- PHP Firewall
le 18/02/2010 à 21:43
Maarch entreprise
Maarch Entreprise est un application écrite en PHP 5 sous licence GPL 3. Elle est basée sur le Framework du même nom.

Cette API est destinée pour une utilisation métier et plus exactement pour l'archivage électronique (SAE), la gestion des archives physiques et la gestion documentaire (GED). L'ensemble des possibilités qui vous sont offertes répondent à la norme NF Z42-013

Enfin, le module de gestion des archives physiques permet de gérer un fonds d'archives papier avec une gestion de l'espace de stockage tout en contrôlant les entrées et les sorties de documents.

- Maarch Entreprise 1.0, la nouvelle application packagée de GED et d archivage
Dans un arrêt rendu mardi, la Cour de cassation a estimé que la décision de casser l'exclusivité liant Orange à l'iPhone d'Apple n'avait pas été suffisamment motivée par la Cour d'appel de Paris et l'a donc cassée. Le dossier, ici examiné sur la forme plus que sur le fond, pourrait être rejugé par cette même Cour d'appel, mais Orange semble décidé à renoncer à cette nouvelle étape judiciaire.

Apple et Orange avaient initialement prévu que l'opérateur soit le seul à pouvoir commercialiser officiellement l'iPhone dans l'Hexagone pour une durée de cinq ans. Fin 2008, suite à un recours déposé par SFR et Bouygues Telecom, l'Autorité de la concurrence a fait cesser cette exclusivité, une décision confirmée par la Cour d'appel de Paris en février 2009 et désormais cassée par la Cour de cassation.

« Cet arrêt permet de redonner sa place aux exclusivités, compte tenu de leur caractère incitatif en matière d'investissement et d'innovation », s'est félicité mardi un porte-parole d'Orange, interrogé par l'AFP. Les modalités de commercialisation de l'iPhone, désormais présent chez les principaux opérateurs, ne devraient toutefois pas évoluer, mais le principe d'exclusivité redevient d'actualité du fait de cet arrêt, en attendant un éventuel nouveau verdict.
le 17/02/2010 à 21:40
Nouveau site AFUP
Pour cette 10ème année, l'AFUP (Association Française des Utilisateurs de PHP) a publié une nouvelle version de son site internet.

Vous pourrez retrouver l'ensemble des rubriques touchant PHP, mais aussi
- les actualités de l'association
- Les vidéos
- Les informations du Forum
- L'annuaire
- Les actualités PHP des blogs et sites en France
- et de nombreuses rubriques

Bien entendu, il existe un flux RSS pour être informé des différentes actualités.

- AFUP le nouveau site internet (53 visites) Flux RSS AFUP
Alors que l'Assemblée nationale doit procéder aujourd'hui au vote solennel de la loi de programmation sur la performance de la sécurité intérieure (Loppsi), la ligue Odebi ambitionne de fournir à l'internaute lambda les moyens qui lui permettront de se soustraire à toute mesure technique de surveillance de leur ordinateur. En des termes toujours très vindicatifs, elle annonce le lancement du projet Odebian : une distribution Linux basée sur Debian, proposée sous la forme d'un Live CD et paramétrée pour une protection maximale de la vie privée.

« Vous avez été maintes fois prévenus qu'en voulant trop contrôler l'internet, celui ci finirait par vous échapper complètement avec la généralisation des outils de cryptage et d'anonymat, aujourd'hui réservés aux seuls 'initiés' », indique la ligue Odebi dans une lettre ouverte adressée aux députés, dans laquelle elle les invite à rejeter le projet Loppsi.

Elle y annonce Odebian, qui se veut un « outil simple d'utilisation et à la portée de tous », permettant « à l'ensemble de nos concitoyens d'échapper à la surveillance généralisée et au filtrage des réseaux ».

Odebian ne requiert aucune installation spécifique : comme tout Live CD, il suffira de la graver sur un disque puis de régler son ordinateur pour que ce dernier démarre sur le lecteur optique plutôt que sur le disque dur, ou de la charger sur une clé USB. En gestation, le projet se limite pour l'instant à une base Debian équipée du navigateur Iceweasel et réglée pour que les connexions réseau transitent systématiquement par Tor, un réseau décentralisé mondial visant à garantir l'anonymat des connexions.

« L'objectif est de fournir un OS 'live' cumulant les avantages de debian (liberté, sécurité, fiabilité, communauté) et les valeurs défendues par Odebi », résume Tomtom, l'instigateur du projet. A l'heure actuelle, l'initiative ne risque guère de séduire le grand public, notamment parce que le réseau Tor est particulièrement lent, mais il pourrait bien participer à la démocratisation des solutions techniques visant à garantir l'anonymat des échanges, compromettant de ce fait l'efficacité des dispositifs tels que Loppsi ou Hadopi.
Xavier Niel, principal actionnaire d'Iliad, s'est associé avec l'entrepreneur Jérémie Berrebi (Zlio) pour fonder Kima Ventures, un fonds d'investissement qui ambitionne d'investir dans une centaine de startups d'ici deux ans. La structure sera dotée d'un budget de départ d'environ 10 millions d'euros, qui donnera lieu à des investissements pouvant aller de 5.000 à 150.000 euros dans des sociétés évoluant dans l'industrie de l'Internet, du mobile, des jeux vidéo ou des applications télécoms.

Kima Ventures, qui a déjà contacté plusieurs startups Internet ces dernières semaines, se positionne sur la phase d'amorçage de jeunes sociétés et ambitionne de se montrer plus agile que les fonds d'investisseurs issus du monde de la finance. Elle promet une prise de décision rapide, refuse les entreprises ayant déjà une valorisation élevée et dit souhaiter se positionner comme « un actionnaire minoritaire significatif de l'entreprise financée », sans préciser dans quelles proportions.

Interrogé par nos soins, Jérémie Berrebi indique que certaines des participations déjà prises par ses soins ou par Xavier Niel dans des startups seront intégrées au fonds, la liste restant toutefois à définir. Il confirme également leur volonté commune de créer une sorte d'incubateur virtuel pour les sociétés dans lesquelles ils investiront ensemble et promet l'arrivée, d'ici l'été, d'outils dédiés à leur mise en relation.

« Notre objectif n'est pas seulement de créer un simple fond d'investissement mais un véritable écosystème d'entreprises internationales qui pourront travailler et échanger ensemble. Les sociétés du portefeuille ne profiteront donc pas uniquement de nos fonds, mais surtout de notre expérience et de notre réseau relationnel à travers le monde », indique ainsi Jérémie Berrebi, qui assurera l'essentiel de l'opérationnel au sein de Kima Ventures tout en poursuivant le développement de sa propre société.

Au fait, pourquoi ce nom ? « C'est une espèce d'araignée... idéal pour investir sur la toile, non ? », nous indique Jérémie Berrebi. Les deux partenaires, qui ont déjà quelques investissements communs à leur actif, formalisent ainsi leur ambition de business angels tout comme l'ont déjà fait des entrepreneurs du Net tels que Marc Simoncini (Meetic), Jacques-Antoine Granjon (Vente-privee.com) ou Jean-David Blanc (Allociné), qui tous se proposent d'apporter fonds, expériences et réseau aux jeunes pousses, qu'elles soient françaises ou internationales.
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