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Le 18 décembre 2008, Free a été mis en examen pour avoir facturé une de ses clientes sans qu'elle n'ait pu profiter de sa connexion Internet. En effet, la jeune femme qui venait de mettre un terme à son forfait 50 heures chez la filiale de l'Illiad, souscrivit, pas la suite, à l'offre triple-play TV/Téléphone/Internet. Cependant, si malgré ses nombreuses demandes la cliente n'a jamais reçu sa Freebox, elle a vu son compte être régulièrement débité de 29,99 euros... en plus des 14,94 euros du forfait 50 heures qui n'a jamais été clôturé.

Free aurait envoyé le modem à deux reprises mais celui-ci n'aurait pas été réceptionné et donc retourné à son expéditeur. Le 17 décembre 2007, la jeune femme a donc mis en demeure la société en lui demandant de rembourser l'intégralité des prélèvements et de mettre un terme à ses souscriptions dans les plus brefs délais. Le lendemain, Free clôturait les abonnements en question mais refusa de payer la jeune femme.

Six mois plus tard, Free fut convoqué devant les tribunaux et le juge décida de sanctionner le fournisseur d'accès à Internet pour sa négligence envers la cliente. En effet, le FAI aurait dû s'assurer que la cliente puisse recevoir sa Freebox et a été condamné à rembourser l'intégralité de la somme prélevée pour l'offre triple play ainsi que 200 euros de dommages et intérêts. En revanche, Free ne remboursera pas les mensualités pour le forfait de 50 heures car, selon le FAI, la jeune femme n'aurait pas respecté la procédure à suivre dans le cadre d'une migration de forfait qui vise à clôturer la souscription précédente ; une marche à suivre qui aurait été mise en place précisément pour éviter ce genre de problème.

On ne sait pas vers quel opérateur s'est dirigée la jeune femme mais l'on espère qu'à l'avenir le FAI s'assurera de la bonne réception de ses box ADSL. Et pourquoi une clôture automatique de la souscription en cours dans le cas d'une migration vers un autre forfait sur la même ligne téléphonique ?
Alors que le début de l'examen du projet de loi "Création et Internet" par les députés est toujours prévu pour le 4 mars prochain, Christine Albanel en a défendu les grandes lignes mardi après-midi devant la commission des lois de l'Assemblée nationale. Une explication de texte longue de près d'une heure et demi, lors de laquelle la ministre de la Culture et de la communication a rappelé que le projet de loi n'avait pas une valeur répressive, mais pédagogique et dissuasive. Assené à de nombreuses reprises, et repris par le rapporteur du projet de loi, le député UMP Franck Riester, l'argument n'a toutefois pas permis à Christine Albanel de se tirer de toutes les embûches liées aux imperfections du texte présenté.

Se souvenant des débats houleux qu'avait occasionné la loi DADVSI, Christine Albanel a tenu à rassurer que le projet de loi "Création et Internet" ne s'inscrivait pas "dans la même philosophie". "Là, on part d'accords interprofessionnels, entre les acteurs de la musique, du cinéma, tous les FAI, les sociétés d'auteur, etc.", a affirmé Christine Albanel, éludant discrètement le fait que Free, deuxième fournisseur d'accès sur le marché français, a refusé de ratifier les "accords de l'Elysée".

Interrogée sur le fonctionnement de la future Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet, ou Hadopi, Christine Albanel a rappelé qu'il était toujours question d'un budget de fonctionnement de 6,7 millions d'euros, du moins pour la première année.

Les objectifs restent inchangés : une fois instituée, cette Autorité devrait être en mesure d'expédier 10.000 courriers électroniques d'avertissement par jour, puis 3000 lettres recommandées quotidiennes, et 1000 "décisions, transactions ou suspensions d'abonnement", par jour. Des volumes impressionnants, qui constituent pour la ministre le seul moyen d'endiguer efficacement le téléchargement illégal.

La détection des contrevenants incombera aux ayant-droits, pour qui cette tâche devrait représenter un budget annuel de 2,8 à 3 millions d'euros selon la ministre. Même addition pour les FAI, qui auront quant à eux à charge d'associer une adresse IP à un abonné précis sur injonction de l'Hadopi. "La prise en charge de cette somme va être examinée dans le cadre de la rédaction des décrets d'application", a précisé la ministre.

"Les internautes téléchargent des millions de choses par réflexe", a plaidé Christine Albanel. L'envoi d'emails d'avertissement, puis de lettres recommandées informant de la coupure prochaine de l'abonnement à Internet en cas de récidive, serait donc de nature à faire perdre aux Français leurs délictueuses habitudes. Bien que la dissuasion soit une méthode éprouvée, les fondations du projet de loi "Création et Internet" comportent quelques zones d'ombre, que n'ont pas manqué de souligner les députés de l'opposition."

Il n'y a qu'une question de délais et de coûts"

Avant même de parler de la question de la présomption d'innocence et du fait que le titulaire d'une ligne Internet pouvait ne pas être celui qui avait téléchargé illégalement, il aura fallu à Christine Albanel rassurer sur la faisabilité technique de la coupure de l'abonnement à Internet, toute la difficulté résidant dans le fait de ne pas supprimer l'accès au téléphone ou à la télévision dans le cadre des offres triple play.

Selon la ministre, la faisabilité technique n'est pas à démontrer, et a été confirmée par les FAI. Les difficultés viendraient de ce que pour parvenir à ne couper qu'Internet, ces derniers devraient sans doute procéder à un aménagement de leurs réseaux. Lorsqu'on leur pose la question directement, les intéressés ne voient pas exactement les choses de la même façon, et certains doutent ouvertement qu'il soit possible d'obtenir ce que préconise le projet de loi. L'Hadopi a de toute façon d'autres moyens d'action : ainsi pourrait-elle imposer sur injonction à l'abonné un logiciel de type pare-feu, a rappelé C. A. La liste des outils en question reste à définir... et la question urge, puisqu'elle pose le problème du recours devant la justice en cas d'erreur sur la personne.

De l'art de prouver sa bonne foi...

Le problème est le suivant : si une adresse IP est détectée dans le cadre d'un échange frauduleux, comment s'assurer, avec certitude, que c'est bien le titulaire de la ligne qui a lancé le téléchargement concerné ? Christine Albanel admet qu'une possibilité de recours doit être laissée à l'internaute, mais il parait difficile de se baser sur sa simple bonne foi. Différentes voies de recours sont envisagées. La première "est liée à l'intrusion frauduleuse d'un tiers", le cercle familial n'étant pas inclus, tandis que la seconde est "le cas de force majeure". Dans les deux cas, il incombe à l'internaute qui choisit de se disculper par ce biais d'apporter la preuve de ses dires.

Comme on voit mal comment le quidam moyen pourrait prouver que sa ligne a été piratée par un tiers, la rue de Valois offre une troisième alternative : une solution de "sécurisation" de la ligne, sorte de pare-feu permanent qui, s'il est installé, permet à l'abonné de faire valoir sa bonne foi.

Plusieurs députés PS n'ont pas manqué de souligner qu'on inversait ici le processus habituel de la répression. D'ordinaire, c'est à l'accusation de prouver ses dires pour étayer son attaque envers un individu présumé innocent alors qu'avec ce modèle, l'accusé est présumé coupable d'office. L'argument fait mouche, mais ne remettrait pas en cause le bien-fondé de l'ensemble.

Reste, entre autres choses, le problème des points d'accès publics (mairies, bibliothèques, restaurants, etc.), qui pourraient être utilisés pour pirater. Là, la solution préconisée se révèle des plus draconiennes, puisqu'il serait tout simplement question de restreindre ces points d'accès à une « liste blanche » de sites et de services jugés sûrs. Castrer le Web est certainement un moyen efficace de limiter les risques d'actions illégales, et cette solution ne manquera pas de ravir les utilisateurs de ces points d'accès...

"Votre projet de loi oppose systématiquement les créateurs contre les internautes et à aucun moment, il n'aide à l'émergence d'un modèle économique nouveau", a fustigé le député Christian Paul, soutenu par d'autres élus qui ont fait remarquer l'absence de décision concrète allant dans le sens du développement de l'offre légale.

Au final, rien de neuf sous le soleil ? Alors que le feu des critiques se fait de plus en plus nourri, la justification et la défense du texte n'a guère évolué depuis notre dernière rencontre avec Christine Albanel. Le vote est pourtant proche, et la ministre se dit confiante pour que les décrets d'application soient signés avant l'été.
En juin 2008, L'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), l'organisation chargée de superviser la gestion des suffixes Internet, a annoncé son souhait de libéraliser les extensions de noms de domaine (TLD). Cette initiative a pour but de relancer le marché des noms de domaine en permettant aux entités commerciales de créer elles-mêmes leur(s) extension(s) web pour revendre par la suite les noms de domaine associés.

En décembre dernier, Paul Twomey, PDG de l'ICANN avait annoncé l'introduction des TLD génériques pour l'année 2009 en déclarant : " dès le premier trimestre, les 1,3 milliard d'internautes pourront acquérir des adresses génériques, en déposant des mots courants comme '.amour', '.haine' ou encore des noms propres". M. Twomey précisait par ailleurs qu'il y aurait entre entre 200 et 800 nouvelles extensions cette année.

Pourtant les choses ne se sont pas tout à fait déroulées comme prévu. En effet, L'ICANN doit désormais faire face à de nombreuses critiques. Karla Valente, directrice des services de communication de l'ICANN explique : "même si le lancement n'aura pas lieu le 30 septembre, comme nous l'avions annoncé lors d'une conférence au Caire, nous continuons de travailler pour une introduction dans le courant de l'année 2009".

Chaque nouvelle extension de nom de domaine sera commercialisée 185 000 dollars à la société souhaitant l'acquérir, auxquels viendront s'ajouter 75 000 dollars pour une utilisation annuelle. Autant dire que les pratiques tarifaires de l'ICANN, cette organisation internationale publique à but non lucratif vouée à rendre l'Internet plus sécurisé, plus stable et plus interopérable, sont clairement pointées du doigt.

Du côté technique, certains s'interrogent aussi sur l'effet de déstructuration de la syntaxe du nom de domaine et les conséquences éventuelles en terme de visibilité et d'accessibilité pour l'internaute habitué à se rendre sur un site du type www.dupont.com plutôt que www.site.dupont. A cela s'ajoute aussi le problème du cyber-squatting qui forcera les grandes entités à investir dans ces extensions sous peine de se les faire siffler par un concurrent.

Le retard annoncé par l'ICANN est principalement dû à l'intervention de la chambre de commerce américaine qui, en décembre dernier, soulignait que l'ICANN n'avait pas mis à disposition une documentation précise sur l'impact de cette initiative.

L'ICANN a modifié son étude sur les conséquences techniques et commerciales de l'introduction des nouvelles GTLD et invitent les parties tierces à s'y référer afin d'ouvrir une série de discussions à partir d'avril prochain.
Les contenants, c'est bien, les contenus, c'est mieux. Constructeur de la Squeezebox, Logitech a décidé d'élargir les partenaires de ce « système musical », capable de diffuser en Wifi les contenus stockés sur un disque dur ou sur un service en ligne.

Déjà associé à Last.fm et MP3tunes, la société annonce en effet la signature de partenariats avec Mediafly (concerts et podcasts), Classical.com (musique classique), SmartRadio et Deezer (webradios) mais également Napster, sous réserve que les internautes souscrivent à l'abonnement payant (12.95 US$ par mois) à ce service d'écoute à la demande de plus de 7 millions de titres.

"Les internautes ont désormais des milliers de chansons et de stations de radio à portée des doigts. Le plus compliqué, c'est de choisir ce que l'on va écouter et où." plaisante David Wall, Product Manager régional pour l'activité Streaming Music de Logitech.

Une offre de contenu généreuse qui devrait permettre à Logitech de se démarquer sur un marché où évoluent également Philips (Streamium), Denon (S-52DAB), Sagem (InternetRadio), Nokia (HomeMusic) et désormais Sony (Vaio WA1).
Selon le magazine Techarp, la prochaine version du navigateur de Microsoft, Internet Explorer 8, devrait tre livre aux vendeurs durant les deux dernires semaines du mois de mars. Le 5 mars prochain, le gant de Redmond annoncerait les dtails de la mise disposition de IE8 RTM. Le navigateur serait donc distribu en version OEM et install directement au sein des systmes Windows Vista et Windows XP, pour ceux qui ont choisi de rtrograder vers ce dernier. Toujours d'aprs Techarp, le 8 mars prochain Microsoft devrait officialiser une date de disponibilit pour Internet Explorer 8 sous forme de mise jour via Windows Update.

Il y a tout juste un an, le 5 mars 2008, Microsoft mit disposition la premire bta d'Internet Explorer 8 introduisant, entre autres, un moteur de rendu des pages web plus respectueux des standards et une amlioration du systme anti-phishing. Six mois plus tard, le 17 septembre dernier, la seconde bta fut dcline en version 32 et 64 bits pour la France. Enfin la premire Release Candidate fut publie la fin du mois de janvier.

Qu'en dira la Commission Europenne ?

Le 14 janvier dernier, la Commission Europenne avait annonc l'ouverture d'une nouvelle enqute concernant l'abus de position dominante qu'entretient Microsoft en livrant ses logiciels directement au sein du systme d'exploitation Windows. L'une des plaintes fut dpose par l'diteur norvgien Opera Software qui affirmait que l'intgration d'Internet Explorer au sein de Windows portait prjudice aux logiciels concurrents. Le 9 fvrier dernier, Mitchell Baker, la prsidente de la fondation Mozilla, avait publiquement annonc que son quipe se tiendrait aux cts de Bruxelles afin de rsoudre la question du monopole de Microsoft sur le march des navigateurs. A noter qu'au mois de novembre Google annonait avoir sign des accords de distribution OEM pour son navigateur Chrome.
Frdric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, a adressé lundi au président de l'Assemble nationale, Bernard Accoyer, une lettre lui demandant la mise en place d'une commission d'enqute parlementaire charge d'tudier la question des sites qui diffusent illgalement des contenus vido sur le mode du streaming. Cette requte, qui fait suite la tirade de Luc Besson ayant conduit la fermeture du site Beemotion.fr, s'appuie sur les arguments avancs par le cinaste : divers acteurs de l'industrie du Web cautionnent, de faon directe ou indirecte, les diteurs de ces sites, et se retranchent derrire un rempart lgal qui n'aurait plus lieu d'tre.

Dans le cas Beemotion, ce ne sont, selon la lettre rdige par Frdric Lefebvre, "pas moins de cinq oprateurs conomiques domicilis en France qui concourent volontairement ou non la rmunration de l'diteur de ce site, qui diffuse des films rcents sans en avoir acquis les droits depuis le Canada". Bien que cette allusion au Canada, initialement formule par Luc Besson, ne s'appuie sur aucun fait tangible, puisque Beemotion, hberg et enregistr en France, est administr par un Franais, la conclusion s'impose d'elle-mme pour le porte-parole de l'UMP : "C'est un exemple parfait de piratage industriel".

Comme Luc Besson, Frdric Lefebvre juge donc anormal que Free hberge un site tel que Beemotion, que Google y affiche des publicits AdSense ou que PriceMinister y apparaisse par le biais d'espaces commercialises par une tierce rgie. Tous deux estiment donc que ces entreprises cautionnent le piratage, dans la mesure o elles tirent un profit indirect du site incrimin.

Toutefois, comme nous l'expliquions dimanche, les rgies publicitaires telles que Google ou Allotraffic, cliente de PriceMinister, se retranchent quant elles derrire les conditions d'utilisation de leurs services, qui prcisent effectivement que l'diteur de site qui souhaite utiliser leurs bannires et liens sponsoriss ne doivent publier que des contenus conformes la loi. L'hbergeur peut quant lui se reposer sur la loi LCEN, selon laquelle sa responsabilit n'est engage qu' partir du moment o il a eu connaissance du caractre illicite des contenus incrimins.

Quoi qu'il en soit, Frdric Lefebvre estime ncessaire d'apporter les rponses adaptes pour lutter contre ce phnomne, et suggre le recours la loi. Dans le cas Beemotion, celle-ci ne permettait-elle pas pourtant aux ayant-droits lss de se retourner contre l'diteur du site ?

Haut débit, père de tous les maux ?

"L'augmentation des dbits disponibles sur les rseaux Internet rend possible la consommation de films sans avoir utiliser les technologies dites de Peer To Peer pour les tlcharger et les visualiser", poursuit F. Lefebvre. "Les investissements colossaux consacrs aux dveloppements des rseaux haut dbit sont de nature faciliter et augmenter trs rapidement cette forme de piraterie". Le dput rejoint ici l'opinion exprime le 12 fvrier dernier par le directeur financier de Vivendi qui, l'occasion d'une table ronde sur la position des oprateurs tlcoms face la crise, avait dclar que la fibre ne servait pas grand chose, si ce n'est pirater.

C'est également Frdric Lefebvre qui, au cours des dbats sur la loi audiovisuelle, avait suggr que la publicit en ligne, sur les sites de contenus gnrs par les utilisateurs soit place sous la tutelle du CSA.
Le changement controversé des termes d'utilisation de Facebook n'est plus. Mark Zuckerberg, président du réseau social, a indiqué mardi soir dans un billet revenir aux conditions initiales :"Il y a quelques semaines nous avons décidé de réviser les conditions d'utilisation du service en espérant clarifier certaines mentions pour nos utilisateurs. Ces derniers jours, nous avons reçu de nombreux commentaires relatifs à ces changements et à ce qu'ils signifient pour les gens et pour leurs informations. Sur la base de ces réactions, nous avons décidé de revenir à nos précédentes conditions d'utilisation."

Incluse le 4 février dernier, la mention évoquant "une licence perpétuelle et mondiale" sur l'ensemble des contenus publiés sur le réseau social a particulièrement déplu. L'objectif, officiel, consistait à maintenir les contenus partagés avec d'autres membres du réseau, y compris après le désabonnement de l'expéditeur de ces contenus. Autrement dit, une fois les contenus partagés par le biais de Facebook, l'internaute en perdait le contrôle.

Facebook a mené un sondage sur la modification controversée. Seuls 6% des internautes ont déclaré soutenir la mesure. Plutôt que de froisser les 175 millions d'utilisateurs de la plateforme à travers le monde, Facebook a préféré revoir sa copie.
Télé 2.0 ? Popularisés par Dailymotion puis YouTube sur le web, les services de partage de fichiers vidéo sont depuis 18 mois également disponibles sur les box des opérateurs avec par exemple la TV perso de Free.

En fin de semaine dernière, Numéricâble a décidé d'établir un pont entre ces deux univers en lançant « Numerispace », un nouveau service permettant aux internautes de poster photos et vidéos depuis leur ordinateur mais également - et c'est une nouveauté - de pouvoir y accéder depuis leur téléviseur.

Même si l'interface web est ouverte à tous les internautes (1 Go d'espace), l'accès depuis le téléviseur est par contre réservé aux abonnés TV numéricâble (canal 902) , titulaires d'un décodeur TV compatible et situés en zone éligible.

Plutôt pertinent, Numerispace devrait donc ravir les abonnés Numéricâble souhaitant partager contenus photo et vidéos avec d'autres abonnés n'ayant pas forcément accès à internet et sans doute donner des idées aux autres opérateurs...
le 17/02/2009 à 19:00
LDAPau 1.1
LDAP est le protocole d'annuaire sur TCP/IP et LDAPau un projet IHM réalisé en PHP vous permettant d'administrer les utilisateurs et les groupes d'un serveur LDAP.

C'est un projet qui mérite d'être souligner car avec la présence de l'ADSL, on peut avoir besoin de ce genre d'outils pour éviter d'en réaliser un identique.

- LDAPau 1.1
- Wikipedia Lightweight Directory Access Protocol (LDAP)
- LDAP
Au 15 février dernier, soit quelques semaines après l'annonce du démantèlement de Lycos Europe, le portail Lycos France a fermé ses portes et abandonné plusieurs de ses services. Aujourd'hui nous apprenons que le groupe GMX (Global Mail Exchange) annonce l'arrivée de son webmail sur le territoire français et a racheté tous les noms de domaines de CaraMail.fr.

Les utilisateurs de CaraMail pourront donc conserver leur adresse email au travers de l'outil MailCollector fourni par GMX et la paramétrer par défaut. GMX offre 5 Go d'espace disque ainsi qu'un 1 Go permettant de stocker divers fichiers. Le webmail se couple à un carnet d'adresses et un agenda et propose de centraliser par POP plusieurs comptes externes (Yahoo!, Gmail, Hotmail...).

La semaine dernière, plusieurs rumeurs affirmaient que le Lycos France avait décidé de vendre CaraMail au groupe Noesis Systems Ltd, une société montée par des salariés danois de Jubii, l'une des seules marques communautaires de Lycos amenée à survivre au démantèlement du groupe.

GMX est un service de courrier allemand fondé en 1997 et une filiale du fournisseur d'accès à United Internet. A ce jour GMX compterait 10 millions d'utilisateurs.
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